G8, boutiques Potemkine

Sommet du G8, Irlande du Nord…Images collées sur des boutiques en faillite, impossible d’y rentrer. Les portes semblent ouvertes, fausse open-society.

George Orwell en action, la novlangue se répand, le prix Nobel de la paix prépare ses guerres…


On cache la crise aux “puissants”… De fausses “vitrines” sic dans les villages irlandais autour du G8…

L’expression « villages Potemkine » désigne un trompe-l’œil à des fins de propagande. Selon une légende historique, de luxueuses façades avaient été érigées à base de carton-pâte1, à la demande du ministre russe Potemkine, afin de masquer la pauvreté des villages lors de la visite de l’impératrice Catherine II en Crimée en 1787.

Controverse

Selon Vladimir Volkoff, il s’agit d’un mythe fabriqué de toutes pièces par Georg von Helbig2, un diplomate saxon qui cherche à discréditer la politique du favori, et qui publie un livre-pamphlet en 1797 dans lequel se trouve le mythe. Potemkine n’a jamais caché le fait que les villages visités étaient apprêtés pour la visite de l’impératrice. Il n’a pas « construit » des villages. On ne pourrait donc parler d’une tromperie délibérée.



Vérité et mensonges…Le Pape écrit au G8
Le Pape François a répondu à David Cameron. Dans une lettre datée du 15 juin, le souverain pontife répond à la missive que lui adressé le premier ministre britannique pour l’informer de l’agenda qu’entend mettre en place le Royaume-Uni au cours de sa présidence du G8 qui se tient les 17 et 18 juin en Irlande du Nord. 
L’Homme doit être au centre de tout
François rappelle que la référence à l’Homme doit être au coeur de toute activité politique et économique nationale ou internationale. Ces activités devraient, d’une part, permettre la plus grande expression possible de la liberté et de la créativité individuelle et collective et, d’autre part, promouvoir et garantir qu’elles s’exercent de manière responsable et toujours dans le sens de la solidarité, avec une attention particulière aux plus pauvres. Les priorités de la présidence britannique du G8 se situent principalement dans les domaines du libre-échange international, de la fiscalité, de la transparence des gouvernements et des acteurs économiques. Il ne manque pas également une attention fondamentale à l’Homme avec une proposition d’action concrète pour supprimer le fléau de la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire. 
La paix au cœur des préoccupations de l’Eglise
La protection des femmes et des enfants contre les violences sexuelles dans le cadre des conflits est également au cœur des préoccupations de l’Eglise et des participants au sommet. François insiste évidemment sur les zones de conflits et les guerres pour lesquelles il faudra au plus vite trouver une solution. Au cœur des discussions des grands de ce monde figure biensûr le Moyen-Orient et en particulier la Syrie. Le Vatican espère ainsi qu’un cessez-le-feu immédiat et durable pourra être obtenu et que les belligérants tourneront à la table des négociations. 
Un développement plus humain et juste
Le Pape salue la mise à l’agenda de la présidence britannique du G8 la lutte contre l’évasion fiscale et l’assurance de plus de transparence dans l’action gouvernementale des différents pays. Des mesures qui visent à plus d’éthique chez les hommes politiques comme le souhaitait son prédécesseur Benoît XVI. Le Pape émérite avait relevé que la crise globale prouve que l’éthique n’est pas quelque chose d’externe à l’économie mais une partie qui ne peut pas être dissociée de l’action économique. Cela passe évidemment par le respect de la vérité sur l’Homme qui n’est pas un facteur économique parmi tant d’autres mais qui a sa propre dignité irréductible et qui ne peut être soumise à de simples calculs de profit. L’Homme doit ainsi être le point de départ de toute solution politique et économique à la crise. 
L’économie au service des plus humbles
Le but de l’économie et de la politique est le service de l’humanité, à commencer par les plus pauvres et les plus vulnérables, où qu’ils soient. Toute théorie ou action économique et politique doit s’efforcer de fournir à chaque habitant de la terre la protection minimale qui lui permet de vivre dans la dignité, dans la liberté, avec la possibilité de soutenir une famille, éduquer des enfants, de louer Dieu et de développer ses propres capacités humaines. C’est la chose principale. Sans cette vision, toute activité économique serait dénuée de sens avertit François. L’argent doit donc servir à atteindre ces buts et non gouverner les hommes rappelle le Pape. 


Solutions:


http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/06/solutions-suisses.html

    1. Derelict Northern Ireland shops get facelift ahead of G8 summit

      NBCNews.com (blog) ‎- il y a 12 heures
      The Northern Ireland border village of Belcoo has never looked so good. And critics say that’s just the problem. Organizers of the Group of Eight 
    1. Fake shops used to make towns neater for G8 – RTÉ News

      www.rte.ie/news/2013/…/454399-g8-fake-shop-front…‎

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      6 juin 2013 – Local councils in Northern Ireland have painted fake shop fronts and covered derelict buildings with huge billboards to hide the economic 

    2. Fake Shops Hide Northern Ireland’s Struggling Economy Ahead Of 

      www.huffingtonpost.com/…/fake-shopsg8-northern-…‎

      Traduire cette page

      1 juin 2013 – City councils are attempting to hide the level of economic decay suffered in some Northern Ireland towns by painting fake storefronts on 

    3. ‘Fake shops‘ open up ahead of the G8 summit – Telegraph

      www.telegraph.co.uk › News › World News › G8

      Traduire cette page

      31 mai 2013 – With the globe’s most powerful figures descending on their doorstep, bringing with them the attention of the world, it is not surprising that the 

    4. BBC News – G8 fake shop fronts make headlines

      www.bbc.co.uk/news/uk-northern-ireland-22738710‎

      Traduire cette page

      31 mai 2013 – Some empty shops and restaurants in Fermanagh attract worldwide attention after they have images attached to their windows to make them 

    5. Derelict Northern Ireland shops get facelift ahead of G8 summit – News

      news.ca.msn.com/…/derelict-northern-ireland-shops-g…‎

      Traduire cette page

      Il y a 13 heures – A member of ground staff paints a sign on the 18th tee box at Lough Erne Golf Resort on June 6; 2013. The resort is due to host the G-8 summit 

    6. Why even the G8 prefer vibrant, diverse local economies really…

      www.resilience.org/…/why-even-the-g8-prefer-vibran…‎

      Traduire cette page

      10 juin 2013 – The empty shop is one of a number that have had graphics placed on the windows to make them look like working shops ahead of the G8 

    7. Derelict N.Ireland Shops Get Facelift to Charm G-8 – ABC News

      abcnews.go.com › International

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      6 juin 2013 – The Northern Ireland border village of Belcoo has never looked so good. And critics say that’s just the problem. Organizers of the G-8 summit of 

    8. Northern Ireland Town Fakes Prosperity for G8 Summit | @pritheworld

      www.theworld.org/…/northern-ireland-town-fakes-pr…‎

      Traduire cette page

      29 mai 2013 – World leaders are gathering in the town of Enniskillen for the G8 summit Dan Keenan: These are basically empty shops that are being now 

    PRISM…USA & TIA …Total Cyber Domination ?



    Dear readers,

    Here we go.

    Eradicating « TERROR » justifies EVERY IMAGINED MEANS.That is : The end justifies the means ! 
    Lenin, as usual, puts it well : “You can’t make an omelette without breaking eggs.”

    SIXTY MILLION EGGS  ? 
    Total Cyber-Domination (TIA) :  normalising universal snooping by brainwashing.

    From now on, it’s just a matter of carefully, gradually guiding US public opinion to fully “normalize” TIA (Total Cyber-Domination).  After all, we’re making all these sacrifices to protect you. 


    Normalising 1984/Brave New World !

    JMBhttp://www.atimes.com/atimes/World/WOR-02-130613.html

    http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-22884566

    http://killerapps.foreignpolicy.com/posts/2013/06/12/nsa_boss_tells_lawmakers_the_govt_wants_to_collect_even_more_data

    Comment from Asia Times :

    Which trading firms do you think are wired into NSA friends to obtain inside information on stocks as indicated in this article that inside trading is taking placed based on this information?  I don’t know if you were aware, but Nelson Rockefeller used to wire tap legislators in Albany to obtain dirt to coerce legislators to vote as he wanted them.  This NSA date a major source of such information as in the J. Edgar Hoover secret file days and will be used for blackmail of Supreme Court members, Congressional, press as well as others.  When I was at Horace Mann and read Brave New World, I thought it was a figment of Huxley’s imagination but he saw it coming.  As Orwell. 

    …The real question is not what they are going to do to Snowden. It’s what we Americans are going to do now that we know how truly insane and totalitarian our government has become.
    Will we go back to watching our sports teams and our reality TV programming, and forget about the fact that we no longer have any privacy in our lives, that our elected leaders and our judges are operating on the assumption that if they get out of line the fascist machine at the NSA that works in service of the corporate elite will blackmail or destroy them with its access to all their communications. Or will we rise up and demand an end to this high-tech tyranny in the name of a fraudulent “War” on Terror?
    Snowden exiled himself and gave up a great job in Hawaii in the hope that we would rise up when we learned that our democracy has been hijacked.
    Let’s hope he’s right.

    DAVE LINDORFF is a founding member of ThisCantBeHappening!, an online newspaper collective, and is a contributor to Hopeless: Barack Obama and the Politics of Illusion (AK Press).

    The lunatic is in my head / The lunatic is in my head
    You raise the blade / you make the change
    You re-arrange me ’til I’m sane.
    You lock the door / And throw away the key
    There’s someone in my head but it’s not me

    – Pink Floyd, Brain Damage

    Pink Flyod

    © Fanpop

    Let’s talk about PRISM. And let’s see some implications of the Edward Snowden-leaked National Security Agency (NSA) Power Point presentation for Total Cyber-Domination.

    What’s in a name? A prism breaks light into a spectrum of color. PRISM, as expressed in its Dark Side of the Moon-ish logo, is no less than a graphic expression of the ultimate Pentagon/neo-con wet dream; the Full Spectrum Dominance doctrine.

    The NSA – also known as No Such Agency – is part of the Pentagon.

    Full Spectrum Dominance was conceptualized in the Pentagon’s 2002 Joint Vision 2020. [1] It’s the Pentagon/NSA blueprint for the foreseeable future; in trademark Pentagonese, it identifies “four capabilities – “dominant maneuver, precision engagement, focused logistics and full-dimensional protection”. In sum: Total Information Awareness (TIA).

    Care for a drive to Utah?

    The new, US$2 billion NSA Utah Data Center was uncovered by Wired way back in March 2012. [2] Call it the Matrix – rather a key node of the Matrix. It will be up and running in September.

    The Utah Matrix node is the Total Information Awareness dream come true. TIA, if anyone remembers, was a Bush 1.0 invention concocted by DARPA that was killed by the US Congress in 2003, allegedly because it would destroy the privacy of American citizens.

    Well, iiiiit’s back – as the Utah Matrix node. And fully privatized – operated by the usual legions of contractors with top-secret clearances.

    Enter – again – the privatized racket. In March, Director of National Intelligence (DNI) James Clapper flatly denied the NSA collects “any type of data at all on millions or hundreds of millions of Americans”. That was a flat out lie. And Senator Dianne Feinstein let it pass.

    Former NSA and DNI director Mike McConnell now happens to be vice chairman of Booz Allen Hamilton – Snowden’s employer up to this week. Talk about revolving door; from the NSA to Booz Allen to DNI and back to Booz Allen. Only this year McConnell has already raked in US$1.8 million by selling Booz Allen shares and options. [3] Clapper, the current DNI, is a former Booz Allen executive.

    The US government spin feels like the dark monolith in Kubrick’s 2001. PRISM is benign. PRISM is legal. It only targets non-US citizens outside of the US. Well, it “may” sweep US citizens’ digital information; that’s also legal but we can’t tell you how.

    But then there’s the mantra PRISM has been essential to foil major terrorist plots; that has been thoroughly debunked. [4] What is never acknowledged is that PRISM is TIA in action. Anyone – with the right clearance – may use TIA to amass serious inside financial information and make staggering profits. So yes, follow the money.

    Snowden goes TIA

    Google is adamant there is a “serious misperception” concerning PRISM, according to its chief legal officer David Drummond. Google insists “there’s no lockbox, there’s no backdoor” for NSA’s direct access to its servers. But “legal restrictions” won’t allow Google to explain how.

    Unbounded by “legal restrictions”, Snowden was certainly smart enough to smell a rat, major rats. After the Clapper denial, he could not possibly trust congress. Not to mention the parroting US mainstream media. He did contact the Washington Post – but eventually settled on Glenn Greenwald, who’s definitely not mainstream. The UK Guardian’s position is more dubious; it badly wants to crack the American market, but at the same time solemnly ditched, even smeared, Julian Assange after it got what it wanted from him.

    Snowden is surfing the PR tsunami as a master – and controlling it all the way. Yes, you do learn a thing or two at the CIA. The timing of the disclosure was a beauty; it handed Beijing the ultimate gift just as President Obama was corralling President Xi Jinping in the California summit about cyber war. As David Lindorff nailed it, [5] now Beijing simply cannot let Snowden hang dry. It’s culture; it’s a matter of not losing face.

    And then Snowden even doubled down – revealing the obvious; as much as Beijing, if not more, Washington hacks as hell. [6]

    Following the money, the security privatization racket and Snowden’s moves – all at the same time – allows for a wealth of savory scenarios … starting with selected players embedded in the NSA-centric Matrix node making a financial killing with inside information.

    Snowden did not expose anything that was not already known – or at least suspected – since 2002. So it’s business as usual for those running the game. The only difference is the (Digital Blackwater) Big Brother is Watching You ethos is now in the open. TIA, a bunch of wealthy investors and a sound business plan – privatized Full Spectrum Dominance – all remain in play. From now on, it’s just a matter of carefully, gradually guiding US public opinion to fully “normalize” TIA. After all, we’re making all these sacrifices to protect you.

    Notes:
    1. Joint Vision 2020 Emphasizes Full-spectrum Dominance, American Forces Press Service, June 2, 2000.
    2. The NSA Is Building the Country’s Biggest Spy Center (Watch What You Say), Wired, March, 2012.
    3. Booz Allen Vice Chairman McConnell, Former Government Official, Nets $1.8 Million on Stock Sales, The Daily Beast, June 11, 2013.
    4. NSA surveillance played little role in foiling terror plots, experts sayThe Guardian, June 12, 2013.
    5. Why is Edward Snowden in Hong Kong?, Counterpunch, June 12, 2013. 

    6. Edward Snowden: US government has been hacking Hong Kong and China for years, South China Morning Post, June 12, 2013.

    REVENU DE BASE POUR TOUS

    REVENU DE BASE POUR TOUS

    Avertissement:

    Ce revenu ou dividende ne vient pas des impôts ou des salaires mais de la création monétaire actuellement monopolisée par les banques à 99 %. C’est une juste redistribution de ce qui nous est volé (sic) par un système sournois et rusé en bout de course et en faillite partout.

    http://desiebenthal.blogspot.com/2010/10/disparition-de-maurice-allais.html

    « Un revenu, c’est comme l’air sous les ailes de l’oiseau ! ». C’est ainsi que commence le film. Est-ce que ce revenu devrait être inconditionnel pour chacun ? Est-ce possible, un droit civique économique ?


    Une vieille utopie refait surface en Suisse

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    Daniel Haeni, Ursula Piffaretti, Christian Mueller et Oswald Sigg (de dr. à g.) du comité d'initiative présentant leur projet.

    Daniel Haeni, Ursula Piffaretti, Christian Mueller et Oswald Sigg (de dr. à g.) du comité d’initiative présentant leur projet. (Keystone)
    Par Urs Geiser, swissinfo.ch
    11 juin 2013 – 16:58
    Il s’agit probablement de l’une des initiatives politiques les plus insolites de ces dernières années. Les partisans d’un revenu de base inconditionnel affirment avoir déjà récolté suffisamment de signatures pour que leur projet soit soumis au vote populaire.
    «Rien que des bêtises», grommelle un homme d’âge mûr, à l’entrée de la gare de Bâle en ce jour de fin mai, en réponse à l’invitation d’un jeune militant à signer l’initiative lancée par un groupe de personnes indépendantes de toute organisation politique majeure.

    Dans leur texte de présentation, les initiants déclarent qu’il est temps de tenir un large débat public sur la valeur du travail dans la société, sur l’écart qui ne cesse de se creuser entre riches et pauvres et, en particulier, sur un revenu mensuel de 2500 francs pour chaque résident légal en Suisse. Objectif: donner à chacun le droit à l’autodétermination et à une vie meilleure.

    Bien que ce passant ne soit de loin pas le seul à réagir négativement et à le faire savoir, il fait partie de la minorité, ce samedi matin. Quelques instants plus tard, le même militant est plongé dans un débat animé avec un enseignant retraité sur la valeur du travail, sur la nécessité pour la jeune génération de se battre pour obtenir travail et formation. Finalement, le citoyen grisonnant ne signera pas l’initiative. «Cela semble une bonne idée, mais je ne crois pas qu’elle soit applicable», explique-t-il.

    Le jeune militant ne semble pas se décourager pour autant. Il fait partie d’un groupe de cinq personnes qui semblent prendre plaisir à discuter ouvertement. Et leurs efforts sont récompensés: après avoir exprimé un certain scepticisme, un soldat de 22 ans finit par signer. En partance pour le week-end, il pèse le pour et le contre du texte, hochant lentement de la tête. Puis il se décide et se prononce sur les avantages et les inconvénients de l’initiative. «C’est bien de discuter autour de l’idée», estime-t-il, ajoutant que les initiants devraient éviter de faire un lien entre les notions de prestation sociale et de charité, qui pourrait faire peur à d’éventuels partisans.

    Revenu de base

    Des signatures sont récoltées pour l’introduction d’un revenu individuel et inconditionnel d’existence (revenu de base) pour chaque résident légal en Suisse. Il permettrait à toute la population «de vivre un tant soit peu décemment et de participer à la vie publique».

    Remontant au Moyen Âge avec l’humaniste et philosophe social anglais Thomas More, l’idée n’a cessé de se développer au cours des siècles.

    Au XXème siècle, le philosophe français André Gorz s’est avéré un partisan enthousiaste du revenu garanti pour le citoyen.

    Des efforts dans ce sens ont été lancés dans divers pays (Brésil, Cuba, Mongolie) ainsi que dans les 27 membres de l’UE. En Suisse, le mouvement a démarré en 2006. Lancée en avril 2013, l’initiative sera déposée en octobre.

    Humanisme contre certitudes

    Les promoteurs de l’initiative ont des motivations idéalistes qui pourraient briser un tabou dans une société qui se définit en grande partie par le travail et l’argent.

    Mark Balsiger, chercheur en sciences politiques et expert en relations publiques, indique que la campagne a retenu toute son attention, surtout lors de son lancement. Il se dit étonné de voir le nombre important de signatures récoltées par le texte, en dépit du fait que les personnalités citées comme «amies» officielles ne semblent pas suffisamment en vue pour mobiliser les citoyens en-dehors du cercle étroit de personnes défendant des idéaux humanistes.

    Mais Mark Balsiger ajoute que le travail bénévole de sensibilisation mené dans la rue a une note sympathique et que le site Internet a l’air professionnel, ce qui compense un budget vraisemblablement limité.

    Pour sa part, l’expert en politique Michael Hermann qualifie l’initiative de «tentative de remettre en question des certitudes au niveau politique et philosophique».

    Il estime qu’il y a peu de chances pour qu’un sujet si difficile «provoque un scandale», contrairement à d’autres initiatives, comme les propositions sur la suppression de l’armée suisse, l’enfermement à vie des pédophiles ou la protection de l’environnement.

    «Le texte semble viser principalement à ouvrir une large discussion. C’est pourquoi la campagne est peut-être l’étape la plus importante», commente Michael Hermann. Et d’ajouter que c’est tout-à-fait légitime, mais que cela comporte le risque de voir la question enterrée pendant longtemps au niveau politique. Car le texte a peu de chances dans les urnes, selon lui.

    Une tâche ingrate

    Plus tard le même jour, cette fois devant la gare de la ville fédérale de Berne: une femme d’âge moyen s’empare d’un dossier de signatures et rejoint spontanément les militants. Certains d’entre eux semblent cependant un peu fatigués. «C’est agaçant de voir si peu de gens qui veulent discuter», regrette Dani Häni, partisan inconditionnel du revenu de base.

    Comme pour contredire cette déclaration, une femme dans la quarantaine s’approche. Elle signe sans hésitation. En fait, elle est spécialiste en sciences sociales et explique qu’elle est favorable à l’ouverture d’un débat, parce que la politique sociale actuelle est entachée de méfiance, selon ses termes.

    Salaire minimum

    Diverses initiatives ont marqué l’agenda politique suisse au cours des dernières années.

    Une proposition de la gauche et des syndicats pour l’introduction d’un salaire minimum au niveau national a été soutenue par suffisamment de citoyens pour parvenir bientôt devant le Parlement. Une votation nationale pourrait avoir lieu l’année prochaine au plus tôt.

    Un scrutin devrait probablement avoir lieu cette année encore sur une proposition de limiter le niveau des salaires des top managers à 12 fois le salaire le plus bas dans la même entreprise.

    Au début de l’année, les électeurs suisses ont bouleversé les urnes ont approuvant une proposition d’augmenter les droits des actionnaires sur les salaires des hauts dirigeants.

    Opposition patronale

    Jusqu’ici, l’initiative a trouvé très peu de soutien dans les milieux d’affaires et chez les économistes, à quelques notables exceptions près. Dans un texte de 11 pages publié en octobre dernier, Economiesuisse avertit que, s’il devait être approuvé, le texte pourrait nuire à la concurrence.

    La fédération des entreprises suisses rejette tant la proposition d’augmenter la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour financer le projet que l’affirmation selon laquelle le revenu de base permettrait d’alléger le système de sécurité sociale.

    Les adversaires affirment aussi que le projet coûterait près de 140 milliards de francs par an, à financer par une TVA qui augmenterait à plus de 50%. «Aussi simple et attrayante que cette vision puisse paraître, elle est malheureusement trop belle pour être vraie, conclut le texte. L’eldorado reste un mythe et les exigences des initiants ne font malheureusement que construire des utopies qui se transformeront en gouffre pour notre pays.»

    «On retombe sur terre»

    Rudolf Strahm, ancien Monsieur Prix, estime que l’idée d’un salaire minimum est séduisante au premier abord, «mais on retombe sur terre quand on réalise que, concrètement, les gens seraient entretenus à vie par l’Etat comme des retraités professionnels».

    Cet ancien parlementaire socialiste dit apprécier l’image idéaliste de l’humanité promue par les initiants. Pour lui, le concept de l’initiative et les questions sociales qu’elle soulève devraient être pris au sérieux. «Mais la réponse à ces questions n’a pas été pensée jusqu’au bout.»

    «Les utopies et les visions ne doivent pas répondre à toutes les questions techniques, certes. Mais, dans sa confrontation avec la réalité, une utopie doit aussi répondre à des questions fondamentales», ajoute M. Strahm.

    Les initiants ne sont pas sourds à la critique. Mais l’un des plus en vue d’entre eux, le porte-parole à la retraite du gouvernement Oswald Sigg, est convaincu que cela vaut la peine de se battre pour une société et une distribution des revenus plus justes, même s’il peut sembler impossible de remporter une majorité des suffrages. Et de conclure que «la Suisse est le seul pays au monde où on peut voter sur une idée utopique».

    Le texte avait récolté plus de 110’000 signatures à la fin de mai. Reste encore quatre mois pour mener campagne.

    Urs Geiser, swissinfo.ch
    (Adaptation de l’anglais: Isabelle Eichenberger)

    Political asylum for Snowden in Switzerland by M. Freysinger ?

    Freysinger request political asylum for Snowden.

    M. Oskar Freysinger is a very famous swiss politician, at the federal and cantonal levels.
    Text filed at the swiss governement:

    An approximate and free translation of the Interpellation into English :

    13.3430 – Interpellation


    Spying of the CIA, NSA…


    Will the Federal Council have the courage :


    1. To give immediate political asylum Edward Snowden and all people also threatened by his courageous revelations in favor of civil liberties?


    2. Communicate this irrevocable decision to the Obama administration?


    3. Provide the Swiss Secret services with all relevant human, financial and technical resources, to effectively combat and counter the growing espionage and computer control of some undemocratic countries?

    Development

    Switzerland has been vulnerable for decades, to various forms of economic and industrial espionage in politics, banking, finance, including through electronic means, such as Internet.

    The Federal Council, despite numerous intrusions and manipulations of many servers of its key departments, including the Foreign affairs, does not take the exact measure, nor the adequate measures to counter the illicit activities of Secret services of countries that claim to be “friends of Switzerland”, while perpretaing odious blackmails.

    Similarly, and despite numerous warnings from lucid Parliamentarians and the Department Head for the federal protection of data, the Federal Council seems unwilling or unadequately committed to protecting the privacy of Swiss citizens, facing Google, Skype, youtube, facebook, etc..

    Edward Snowden, who has denounced the actions of the CIA in the field of banking espionage in Switzerland, is now facing extradition and imprisonment for life, risking to be executed or abducted by the U.S. Secret Service.

    http://www.rts.ch/video/info/journal-continu/4973580-l-auteur-des-fuites-sur-les-ecoutes-veut-faire-changer-les-choses.html

    The U.S. Government has never paid Inslaw Inc. for any of these unauthorized uses of Promis.
    “Inslaw deserves to be compensated,” wrote nationally syndicated columnist, Michelle Malkin, in The Washington Times.[38] “More importantly, the American people deserve to know the truth: Did government greed and bureaucratic hubris lead to a wholesale sellout of our national security?”[36]

    More keywords: Promis, Echelon, Tempest, NSA, CIA, Prism, UBS, CS, Wegelin, NSB,  …
    http://www.parlament.ch/f/suche/pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20133430

    Moscow is ready to do the same.


    Official reaction to Snowden scandal :  

    http://www.guardian.co.uk/world/2013/jun/07/obama-china-targets-cyber-overseas



    http://www.guardian.co.uk/world/interactive/2013/jun/07/obama-cyber-directive-full-text

    http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-22883078

    http://www.nytimes.com/2013/06/12/opinion/friedman-blowing-a-whistle.html?_r=0

    Pepe Escobar in Asia Times : 

    http://www.atimes.com/atimes/World/WOR-03-110613.html  



     Continued information on international snooping. 

    http://m.guardian.co.uk/world/2013/jun/07/obama-china-targets-cyber-overseas

     http://m.guardian.co.uk/profile/glenn-greenwald

     http://m.guardian.co.uk/profile/ewenmacaskill

     http://m.guardian.co.uk/world/2013/jun/07/obama-china-targets-cyber-overseas#story 


    Edward Snowden: saving us from the United Stasi of America
    Daniel Ellsberg

    Snowden’s whistleblowing gives us a chance to roll back what is tantamount to an ‘executive coup’ against the US constitution

    In my estimation, there has not been in American history a more important leak than Edward Snowden’s release of NSA material – and that definitely includes the Pentagon Papers 40 years ago. Snowden’s whistleblowing gives us the possibility to roll back a key part of what has amounted to an “executive coup” against the US constitution.
    Since 9/11, there has been, at first secretly but increasingly openly, a revocation of the bill of rights for which this country fought over 200 years ago. In particular, the fourth and fifth amendments of the US constitution, which safeguard citizens from unwarranted intrusion by the government into their private lives, have been virtually suspended.
    The government claims it has a court warrant under Fisa – but that unconstitutionally sweeping warrant is from a secret court, shielded from effective oversight, almost totally deferential to executive requests. As Russell Tice, a former National Security Agency analyst, put it: “It is a kangaroo court with a rubber stamp.”
    For the president then to say that there is judicial oversight is nonsense – as is the alleged oversight function of the intelligence committees in Congress. Not for the first time – as with issues of torture, kidnapping, detention, assassination by drones and death squads –they have shown themselves to be thoroughly co-opted by the agencies they supposedly monitor. They are also black holes for information that the public needs to know.
    The fact that congressional leaders were “briefed” on this and went along with it, without any open debate, hearings, staff analysis, or any real chance for effective dissent, only shows how broken the system of checks and balances is in this country.
    Obviously, the United States is not now a police state. But given the extent of this invasion of people’s privacy, we do have the full electronic and legislative infrastructure of such a state. If, for instance, there was now a war that led to a large-scale anti-war movement – like the one we had against the war in Vietnam – or, more likely, if we suffered one more attack on the scale of 9/11, I fear for our democracy. These powers are extremely dangerous.
    There are legitimate reasons for secrecy, and specifically for secrecy about communications intelligence. That’s why Bradley Mannning and I – both of whom had access to such intelligence with clearances higher than top-secret – chose not to disclose any information with that classification. And it is why Edward Snowden has committed himself to withhold publication of most of what he might have revealed.
    But what is not legitimate is to use a secrecy system to hide programs that are blatantly unconstitutional in their breadth and potential abuse. Neither the president nor Congress as a whole may by themselves revoke the fourth amendment – and that’s why what Snowden has revealed so far was secret from the American people.
    “I know the capacity that is there to make tyranny total in America, and we must see to it that this agency and all agencies that possess this technology operate within the law and under proper supervision, so that we never cross over that abyss. That is the abyss from which there is no return.”
    The dangerous prospect of which he warned was that America’s intelligence gathering capability – which is today beyond any comparison with what existed in his pre-digital era – “at any time could be turned around on the American people and no American would have any privacy left.”
    That has now happened. That is what Snowden has exposed, with official, secret documents. The NSA, FBI and CIA have, with the new digital technology, surveillance powers over our own citizens that the Stasi – the secret police in the former “democratic republic” of East Germany – could scarcely have dreamed of. Snowden reveals that the so-called intelligence community has become the United Stasi of America.
    So we have fallen into Senator Church’s abyss. The questions now are whether he was right or wrong that there is no return from it, and whether that means that effective democracy will become impossible. A week ago, I would have found it hard to argue with pessimistic answers to those conclusions.
    But with Edward Snowden having put his life on the line to get this information out, quite possibly inspiring others with similar knowledge, conscience and patriotism to show comparable civil courage – in the public, in Congress, in the executive branch itself – I see the unexpected possibility of a way up and out of the abyss.
    Pressure by an informed public on Congress to form a select committee to investigate the revelations by Snowden and, I hope, others to come might lead us to bring NSA and the rest of the intelligence community under real supervision and restraint and restore the protections of the bill of rights.
    Snowden did what he did because he recognised the NSA’s surveillance programs for what they are: dangerous, unconstitutional activity. This wholesale invasion of Americans’ and foreign citizens’ privacy does not contribute to our security; it puts in danger the very liberties we’re trying to protect.
    • Editor’s note: this article was revised and updated at the author’s behest, at 7.45am ET on 10 June

    Dear readers,

    Look at these on planetary snooping   :

    From the BBC Edward Snowden :

    http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-22836378

    From The Guardian Edward Snowden :

    http://www.guardian.co.uk/world/video/2013/jun/09/nsa-whistleblower-edward-snowden-interview-videoRegards,

    JMBPlease pray for Edward Snowden and Paul Hattaway ! 

    News from Paul Hattaway Director of Asia Harvest Christian Missionary outreach in Asia : 




    Dear friends,

    You may have heard, but my family and I would appreciate your prayers right now. Here is a summary of what has taken place….
     ·      On Tuesday, May 28 I went to bed feeling normal. The next morning I awoke feeling very dizzy. I tried to get up but was unable to stand or walk. My left hand and arm were as cold as a block of ice so I knew something serious was happening.
    ·      My wife called for an ambulance and I was driven two and a half hours to a hospital in another town.
    ·      Upon arrival I was given a CT scan and after a while a doctor came in with the sombre news: “Mr. Hattaway, you have had a massive stroke. I’m sorry to tell you that half your brain has died.”
    ·      I am now paralyzed on the whole left side of my body. I am able to talk alright but can’t concentrate for more than about a minute at a time.

    What I have learned:
    ·      More than ever I am aware how fragile and fleeting our lives are. Most people live as though they will never die, not realizing that we are all just a heart-beat, blood-clot or accident away from standing face to face before Jesus Christ. The Bible says, “Nothing in all creation is hidden from God’s sight. Everything is uncovered and laid bare before the eyes of him to whom we must give account” (Hebrews 4:13).
    ·      The most difficult moment for me was the long ambulance ride. My wife and two boys followed in a car, not knowing if I was dead or alive. During that time two thoughts dominated my mind: 
    1. How good and loving God has been to me, especially since I gave my life to Him when I was 19. He has never let me down, and has never left or forsaken me. He has overwhelmed me with one blessing after another. Even the worst and most difficult times with Jesus have been a million times better than the best experiences before I knew Jesus.
    2. I was acutely aware that if it was time for me to die and give an account of my life to God, that there is ABSOLUTELY NOTHING I can show or impress Him with. Not one thing I have ever done, said or written will help me win favor with my Maker.
    ·      At the same time, I had complete, supernatural peace that I am a child of heaven, and that there is indeed one single thing I have that does impress the Almighty God. That one thing is  THE BLOOD OF JESUS CHRIST! It is all I or anyone will ever need, and the only way anyone will ever enter heaven. The King of Kings is moved mightily by the only sacrifice He finds acceptable…. The sacrifice of His beloved Son. If you or I plan to rely on our own goodness to enter heaven, we will be doomed! But the Bible says God has created a solution for us: He has exchanged the goodness of Jesus for our own hopeless lives, if we will only believe and give Him our own filthy rags in return.
    ·      I am thankful for technology. It has been such a blessing to sit up in my bed in the middle of the night – with the stench of decaying human flesh and surgical fluids filling the ward – and to be able to lift my spirit by listening to God’s Word and worship music via my phone.
    ·      Another thing I am thankful for is to be part of the Body of Christ. Since the stroke we have received hundreds of messages of support and encouragement. We have been told many Christians are praying fervently for us. News has reached us of praying house church leaders in China, prayer groups in Papua New Guinea, Russia…. One brother informed us that a gathering of 13,000 believers in South Korea paused their meeting and cried out to God on our behalf. Even my dear friend Saeed Abedini took a moment out from his daily routine of being tortured in an Iranian prison to send a message of encouragement via his family.
    ·      I am an unworthy recipient of all this attention, but I am so thankful for the reminder that I am part of God’s global family. My mobility has improved a little every day, and at times we have felt the tangible effect of all those prayers.
     
    What’s Next?
    ·      On Wednesday the hospital is planning to move me to another town with a stroke recovery facility. I will probably be there at least 5 or 6 weeks. They will be helping me recover movement in my left side. I am told it will be a very intensive time, as they teach me how to do everything from scratching my noise to brushing my teeth to learning how to walk again.
    ·      It is very humbling and a little humiliating needing to rely on others to help me do even the simplest of tasks, but last night I was reminded of what Jesus told Peter: “Very truly I tell you, when you were younger you dressed yourself and went where you wanted; but when you are old you will stretch out your hands, and someone else will dress you and lead you where you do not want to go” (John 21:18).
    ·      Jesus wanted Peter to rely on Him more, and if the outcome of my current ordeal is that I rely and trust more in Jesus, then it is all worth it!
     
    ·      The FutureI am hoping and praying for a full recovery. I don’t think God is finished with me yet, and I am motivated by the thought of kicking a ball and swimming in the lake with my sons again.
    Some people have suggested I plan for a life of retirement once this has passed, playing golf and laying on a couch all day. I understand their motive is for me to have a less stressful life, but to tell you the truth the thought of doing nothing constructive except trying to improve my golf swing is about the most stressful thing I can imagine!
    ·      First and foremost I love Jesus, but I am not ashamed to say that I also love serving Him. He has given my life purpose and meaning.

    ·      Anything good that has ever come out of me has all been the doing of Jesus anyway, and I would be incredibly thankful if God would allow this time to pass and let me once again serve Him. There are still 4,835 unreached ethnic groups in Asia, waiting to hear about God’s plan of salvation. We only have this life to help reach them.
    ·      Please let me ask you a personal question: if you had an opportunity to help rescue thousands of drowning people and see them saved into God’s kingdom, but you knew that in doing so you might lose your life, would you still do it anyway? Is Jesus worth it?
    ·      Prayer Requests:
    ·      Please pray God’s supernatural strength will empower me, Joy, and our sons Dalen (16) and Taine (12). Pray we would be drawn closer to the heart of God than ever before, and Jesus Christ would be glorified though all this.
    ·      Please join me inpraying that the words of Psalm 118:17 will become a reality in my life: “I will not die but live,  and will proclaim what the Lord has done.”
    ·      Please pray I would recover fully, and the staff at the rehab center would see a gradual improvement in my body and mind that will point them to the cross of Jesus.

    I would also like to ask you to be patient with us. We are not able to provide regular updates or answer the messages we receive.
    As for Asia Harvest, we have a transition plan in place and all of our projects and activities are continuing as usual, through our co-workers and project leaders throughout Asia. If you are someone who is regularly in contact with us, please don’t be alarmed if our communication is slower than normal for the foreseeable future.

    Thanks and God bless you.
    Paul Hattaway
    www.asiaharvest.org <http://www.asiaharvest.org


    Freysinger demande l’asile politique pour Snowden

    Texte déposé

    La Suisse est vulnérable, depuis des décennies, face à diverses formes d’espionnage politique, bancaire, financier, économique et industriel, notamment par le biais de vecteurs électroniques, dont Internet.

    Le Conseil fédéral, malgré de nombreuses intrusions et manipulations des serveurs de ses Départements clés, dont le DFAE, ne prend pas la mesure exacte, ni les mesures adéquates pour contrer les activités illicites des Services secrets de pays qui se prétendent “amis de la Suisse”, tout en y exerçant d’odieux chantages.

    De la même manière, et malgré de nombreux avertissements de Parlementaires lucides et du préposé fédéral à la protection des données, le Conseil fédéral semble peu enclin, ni adéquatement soucieux de protéger la sphère privée des citoyennes et citoyens suisses, face à Google, Skype, youtube.com, facebook, etc.

    Edward Snowden, qui vient de dénoncer les agissements de la CIA dans le domaine de l’espionnage bancaire en Suisse est maintenant menacé d’extradition et d’une peine de prison à vie, sinon d’une exécution sommaire ou d’un enlèvement par les services secrets américains.

    Dans ce contexte, le Conseil fédéral aura-t-il le courage :

    1.  D’accorder l’asile politique immédiat à Edward Snowden et à toutes personnes également menacées par ses révélations courageuses en faveur des libertés civiles ?

    2. De communiquer cette décision irrévocable à l’administration Obama ?

    3. De doter les services secrets suisses de tous les moyens humains, financiers et techniques utiles, pour pouvoir efficacement lutter et contrer l’espionnage et le contrôle informatique grandissant de certains pays antidémocratiques ?

    PS:
    More keywords: Promis, Echelon, Tempest, NSA, CIA, Prism, UBS, CS, Wegelin, NSB,  …

    The U.S. Government has never paid Inslaw Inc. for any of these unauthorized uses of Promis.
    “Inslaw deserves to be compensated,” wrote nationally syndicated columnist, Michelle Malkin, in The Washington Times.[38] “More importantly, the American people deserve to know the truth: Did government greed and bureaucratic hubris lead to a wholesale sellout of our national security?”[36]



    Moscou s’est dit prêt à aussi accorder l’asile politique.


    PLUS D’INFOS 


    http://www.parlament.ch/f/suche/pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20133430


    Edward Snowden, l’homme qui fait trembler le gouvernement américain (Le Figaro)
    http://www.lefigaro.fr/international/2013/06/10/01003-20130610ARTFIG00394-etats-unis-edward-snowden-un-whistleblower-contre-la-nsa.php 


    Sauter l’échelon (Le monde diplomatique)
    http://blog.mondediplo.net/2013-06-12-Sauter-l-echelon 


    Comprendre le programme PRISM (Le Monde)
    http://www.lemonde.fr/international/infographie/2013/06/11/le-programme-prism-en-une-infographie_3427774_3210.html/


    NSA slides explain the PRISM data-collection program (The Washington Post) (en anglais)
    http://www.washingtonpost.com/wp-srv/special/politics/prism-collection-documents/ 


    MacKay défend le CSTC (Le Journal de Montréal)
    http://www.journaldemontreal.com/2013/06/10/mackay-defend-le-cstc/


    Mille jours de prison sans procès pour avoir donné des informations à Wikileaks (Slate.fr)
    http://www.slate.fr/lien/68689/wikileaks-manning-1000-jours-prison-sans-proces 

    La dette, les religions, le droit ? Le programme.

    Université Toulouse 1 Capitole
    Faculté de Droit et Science Politique de Toulouse
    Centre Toulousain d’Histoire du Droit et des Idées Politiques

    La dette, les religions, le droit ?  Le programme
    Montauban, les mardi 18, mercredi 19 et jeudi 20 juin 2013

    Colloque international
    Université Toulouse 1 Capitole
    Faculté de Droit et Science Politique de Toulouse
    Centre Toulousain d’Histoire du Droit et des Idées Politiques
    Montauban,
    les mardi 18, mercredi 19 et jeudi 20 juin 2013
    La dette, les religions, le droit ?
    Mardi
    18 juin Auditorium du Centre universitaire de Tarn-et-Garonne
    9h15 Accueil des participants
    10h00 Ouverture du colloque
    Séance sous la présidence de Jacques Krynen, professeur à l’université
    Toulouse 1 Capitole, directeur du CTHDIP :
    – Monsieur Jean-Michel Baylet, ancien ministre, sénateur de Tarn-etGaronne et président du Conseil Général de Tarn-et-Garonne.
    – Monsieur Martin Malvy, ancien ministre, président du Conseil Régional de
    Midi-Pyrénées.
    – Madame Brigitte Barèges, maire de Montauban.
    Propos introductif, Jacques Krynen, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole,
    directeur du CTHDIP.
    Ouverture des travaux, Christine Mengès-Le Pape, professeur à l’université
    Toulouse 1 Capitole.
    10h45 Séance inaugurale : une dette envers les autres ?
    Séance sous la présidence de Jacques Krynen, professeur à l’université
    Toulouse 1 Capitole, directeur du CTHDIP :
    – Dominique Borne, président de l’Institut Européen en Sciences des
    Religions, Que devons-nous à nos aînés ?
    – Paul Mironneau, directeur du Musée national du château de Pau, La dette
    intellectuelle : exercices pratiques, d’après quelques manuscrits de la France méridionale
    vers 1390-1400.
    – Jacques Bichot, professeur émérite de l’université Jean Moulin Lyon 3,
    Quelle drôle de dette est devenue la piété filiale !
    Discussion14h00 Définitions et histoire
    Séance sous la présidence de Jacques Bichot, professeur émérite de l’université
    Jean Moulin Lyon 3 :
    – Hugues Minguet, o.s.b., fondateur de l’Institut Sens et Croissance, Avant
    l’argent, la bénédiction.
    – Jean-Marie Pailler, professeur émérite de l’université Toulouse II-Le
    Mirail, Rome. Les liens de la dette.
    – Nikoletta Giantsi, professeur à l’université d’Athènes, Dette et usure pendant
    le bas Moyen Age : un dialogue entre l’Église et la société.
    – Michel Stavrou, ingénieur de recherches, Centre d’Histoire et Civilisation
    de Byzance, Collège de France, professeur à l’Institut de théologie
    orthodoxe Saint-Serge, « Prêtez sans rien attendre en retour. » Les prêts à intérêt
    dans la tradition chrétienne byzantine.
    Discussion-Pause
    16h00 Entre justice et finance
    Séance sous la présidence de Alvaro Gil Robles y Gil Delgado, professeur
    émérite de l’Université Complutense de Madrid, directeur de la Fondation
    Valsaín, premier Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe :
    – Bernard Barbiche, professeur honoraire à l’École des Chartes, Sully et la
    dette.
    – Julian Montemayor, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole, La
    Monarchie catholique et la dette (1519-1800).
    – Jacques Krynen, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole, directeur
    du CTHDIP, La dette de la justice royale.
    – Jacques Leroy, professeur à l’université d’Orléans, La peine assimilée à une
    dette.
    Discussion
    Mardi
    18 juin Conférences à l’Ancien Collège de Montauban
    18h00 Crise de la dette, crise de l’humanité
    Séance sous la présidence de Bruno Sire, président de l’université Toulouse 1
    Capitole :
    – Brigitte Barèges, maire de Montauban.
    – Moncef Cheikh-Rouhou, professeur de finance internationale, HEC-Paris,
    député à l’Assemblée Nationale Constituante de Tunisie, vice-président de
    la Commission des finances, La crise de la dette : voies de sortie.
    – Alvaro Gil Robles y Gil Delgado, professeur émérite de l’université
    Complutense de Madrid, directeur de la Fondation Valsaín, premier
    Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, L’Europe : une
    dette en cours.
    – S. E. Mgr Bernard Ginoux, évêque de Montauban.
    – François Michelin, président honoraire des Établissements Michelin, La
    dette face à la dimension mystérieuse de l’homme, cette splendeur cachée au cœur de
    l’économie.
    – S. E. Mgr Samuel Kleda, archevêque de Douala, Dette, pauvreté et doctrine
    sociale de l’Église catholique.Mercredi
    19 juin Centre de formation consulaire Guy Pécou
    8h30 Entre religions et droit
    Ouverture par Jean-Louis Marty, président de la Chambre de Commerce et
    d’Industrie de Montauban et de Tarn-et-Garonne.
    Séance sous la présidence de René-Samuel Sirat, ancien grand rabbin de
    France, directeur de la chaire Unesco Réseau de connaissance réciproque des
    religions du Livre :
    – Ahmed Ben Taleb, professeur à l’université de Tunis El Manar, Dette et
    morale en droit civil tunisien.
    – Mounir Tlili, professeur de droit musulman à l’université Zitouna de
    Tunis, Le droit islamique et la dette.
    – Shmuel Trigano, professeur à l’université Paris Ouest Nanterre La
    Défense, La dette et le problème de l’origine. Le dispositif biblique.
    – Tanguy-Marie Pouliquen, c.d.b., professeur à la faculté de théologie de
    Toulouse, L’anthropologie du don gratuit comme personnalisme intégral.
    Discussion-Pause
    10h30 Séance sous la présidence de Bernard Barbiche, professeur honoraire à l’École
    des Chartes :
    – Jeanne-Marie Tuffery, professeur à l’université de Strasbourg, L’évolution du
    régime juridique de la dette en droit des affaires. Faillite et banqueroute: l’enjeu d’une
    distinction.
    – Jean Pradel, professeur émérite de l’université de Poitiers, Que dit le droit
    pénal à celui qui ne paie pas ses dettes?
    – Jacques Crémer, membre de l’école d’économie de Toulouse (TSE),
    directeur de recherche au CNRS, Y a-t-il un problème de la dette ? Point de vue
    d’un économiste.
    – Spyridon Flogaitis, ancien ministre, professeur à l’université d’Athènes, La
    dette et la situation actuelle en Grèce.
    Discussion-Pause
    10h30 Table ronde : les entreprises et la dette
    – Jean-Louis Marty, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie
    de Montauban et de Tarn-et-Garonne.
    – François Michelin, président honoraire des Établissements Michelin.
    – Dominique Martinet, directeur départemental de la Banque de France.
    – Patrick Lombrail, directeur général de Ligne T.
    – Tanguy-Marie Pouliquen, c.d.b., professeur à la faculté de théologie de
    Toulouse.
    – Philippe Galinou, président honoraire de Max Havelaar France.
    – Vincent Courtade, étudiant au Collège supérieur de droit, université
    Toulouse 1 Capitole.14h00 Une dette envers Dieu ?
    Séance sous la présidence de Marie-Bernadette Bruguière, professeur émérite
    de l’université Toulouse 1 Capitole :
    – Philippe Nélidoff, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole, Le don
    gratuit du clergé.
    – Olivier Devaux, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole, Ce que
    l’homme doit à Dieu dans l’ancienne France : grosses et menues dîmes ecclésiastiques
    dans quelques arrêts notables du Parlement de Toulouse (XVe
    -XVIIe
    siècle).
    – Ludovic Azema, maître de maître de conférences à l’université Toulouse 1
    Capitole, La dette, l’Église, l’État en 1789, les doléances du Midi toulousain.
    – Vincent Dussart, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole, La dette et
    l’impôt : un lien nécessaire ?
    Discussion-Pause
    15h45 Séance sous la présidence de Spyridon Flogaitis, ancien ministre, professeur à
    l’université d’Athènes, directeur de l’European Public Law Organization :
    – Christian Lavialle, professeur à l’Université Toulouse 1 Capitole, La part du
    sacré dans la dette.
    – Danielle Anex-Cabanis, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole, De
    la dette envers Dieu au devoir envers les hommes.
    – François Dermange, professeur à l’université de Genève, Faut-il être
    équitable, humain ou charitable ? La Règle d’or et la dette selon Calvin.
    – Hervé Le Roy, maître de conférences à l’université Toulouse 1 Capitole,
    La dette dans l’histoire et la théologie de Jacques Ellul.
    Discussion
    Mercredi
    19 juin Conférences au Théâtre Olympe de Gouges
    18h00 Ce que l’homme doit à Dieu et aux autres
    Séance sous la présidence de Hugues Kenfack, doyen de la Faculté de droit de
    Toulouse :
    – Brigitte Barèges, maire de Montauban
    – René-Samuel Sirat, ancien grand rabbin de France, directeur de la chaire
    Unesco Réseau de Connaissance réciproque des religions du Livre,
    L’Alliance du Sinaï et les lois bibliques fondamentales.
    – Hassen Chalghoumi, imam de Drancy, président de la conférence des
    imams de France, La dette et ses conséquences sur le lien social et l’intégration dans
    les quartiers populaires.
    – S. E. Mgr Bernard Ginoux, évêque de Montauban.
    – Jean Pliya, ancien ministre, professeur et recteur honoraire de l’université
    nationale du Bénin, Donner à Dieu, secourir les faibles.
    – Joseph-Marie Verlinde, f.s.j., professeur honoraire à l’institut catholique de
    Lyon, « Ne gardez aucune dette envers personne, sauf la dette de l’amour mutuel, car
    celui qui aime les autres a parfaitement accompli la Loi » (Rm 13,8).Jeudi
    20 juin Auditorium du Centre universitaire de Tarn-et-Garonne
    9h00 Une dette pour le bien commun ?
    Séance sous la présidence de Dominique Borne, président du Comité de
    direction de l’IESR :
    – André Cabanis, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole, Dieu,
    débiteur.
    – Bernadette Pierchon, maître de conférences à l’université Toulouse 1
    Capitole, Le dû social des jeunes filles au XIXe siècle à travers les manuels
    d’éducation.
    – Jacqueline Begliuti-Zonno, historienne du droit à l’université Toulouse 1
    Capitole, La dette, l’État, l’harmonie sociale. Le patronage, « un devoir de justice,
    une œuvre de préservation sociale » à travers l’exemple de Toulouse (1890-1910).
    – Hiam Mouannès, directrice du Centre universitaire de Tarn-et-Garonne,
    université Toulouse 1 Capitole. Une dette de quoi et envers qui ? Quand l’État a
    le devoir de garantir ce que le citoyen est en droit d’attendre.
    Discussion-Pause
    10h30 Séance sous la présidence de Jean Pradel, professeur émérite de l’université de
    Poitiers :
    – Mohamed Nouri, président du Conseil français de la Finance Islamique,
    L’économie islamique : une économie sans dette.
    – Piotr Szwedo, professeur à l’université Jagellonne de Cracovie, « Rends
    compte de ton administration, car tu ne pourras plus administrer mes biens. » (Luc,
    16.2). Le patrimoine commun de l’humanité comme une dette envers les futures
    générations. Une réflexion de droit international.
    – Pandelis Kalaïtzidis, directeur de l’Académie d’Etudes Théologiques de
    Volos, Éthique évangélique et politiques de dette dans l’Europe post-chrétienne.
    Discussion-Pause
    10h30 Table ronde : recherche « économie, religions, droit »
    Séance sous la présidence de Lycette Corbion, directrice du collège supérieur
    de droit, université Toulouse 1 Capitole :
    – Tom Le Crom, allocataire de recherche à l’université Toulouse 1 Capitole,
    Quête de légitimité et dette politique du pouvoir royal (1610-1653).
    – Arnaud Le Gonidec, doctorant à l’université Toulouse 1 Capitole, Richelieu
    et la dette publique. Entre raison politique et foi publique.
    – Manon Séréni, allocataire de recherche à l’université Toulouse 1 Capitole,
    Spolier ses créanciers sous l’Ancien Régime : la banqueroute frauduleuse d’après les
    répertoires de jurisprudence du XVIIIe
    siècle.
    – Claire Stivanin, ATER à l’université Toulouse 1 Capitole, L’endettement
    toulousain et l’indépendance capitulaire.
    – Alexandre Dubois, ATER à l’université Toulouse 1 Capitole, Dieu,
    débiteur solvable ?
    – Charline Rousset, doctorante à l’université Toulouse 1 Capitole, Rétablir le
    crédit de l’État : la création de la caisse des dépôts et consignations.
    – Romy Sutra, ATER à l’université Toulouse 1 Capitole, La dette de l’Église
    envers la République : le régime fiscal d’exception des congrégations religieuses.14h00 Les enjeux entre ici et ailleurs
    Séance sous la présidence de Jacques Leroy, professeur à l’université
    d’Orléans :
    – Miguel R. Capuano, consul général de la République du Nicaragua en
    Grèce, La dette : convergence d’influences entre l’Amérique Centrale et l’Europe.
    – Léon Okioh, professeur à l’université d’Abomey, Famine et pauvreté en
    Afrique.
    – Marcel Lefebvre, directeur de l’institut L. Even, Québec, La cause de la
    pauvreté des pays riches d’Afrique.
    – Claude Sumata, professeur à l’université catholique du Congo, Les défis de
    l’environnement financier international : les politiques micro et macro prudentielles à
    l’échelle planétaire.
    Discussion-Pause
    16h00 Séance sous la présidence de S. E. Samuel Kleda, archevêque de Douala :
    – Jacques Lecaillon, professeur émérite de l’université Paris 1 PanthéonSorbonne, Dette, religion et sécularisation : le point de vue des économistes.
    – Willy Bongo-Pasi, professeur et recteur de l’université panafricaine du
    Congo, Les principes de la doctrine sociale face au crédit social et aux droits de la
    personne.
    – Philippe Galinou, président honoraire de Max Havelaar France, Quelques
    réponses à la financiarisation rampante du micro crédit dans les pays du Sud.
    – Christine Mengès-Le Pape, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole,
    Vers une distribution : « Sous le signe de l’abondance ».
    Discussion
    17h30 Séance de clôture
    Dominique Borne, doyen honoraire de l’Inspection générale de l’Éducation
    nationale, président du comité de direction de l’IESR.
    Christine Mengès-Le Pape, professeur à l’université Toulouse 1 Capitole.CTHDIP
    Centre Toulousain d’Histoire du Droit et des Idées Politiques
    2, rue du Doyen Gabriel-Marty
    31042 Toulouse Cedex 09
    Tél : 05 61 63 35 49
    Jacqueline Begliuti-Zonno
    historienne du droit
    jacqueline.begliuti-zonno@ut-capitole.fr
    Manon Séréni
    allocataire de recherche à l’université Toulouse 1 Capitole
    manon.sereni@ut-capitole.fr
    06 81 21 39 71
    Vincent Courtade
    étudiant au collège supérieur de droit,
    université Toulouse 1 Capitole
    vincent.courtade@ut-capitole.fr
    Christine Mengès-Le Pape
    professeur à l’université Toulouse 1 Capitole
    christine.menges-lepape@ut-capitole.fr

    M3 n’est plus publié par la FED ?

    Et pourquoi donc le M3 n’est plus publié par la “Réserve fédérale des États-Unis” depuis le 24 Mars 2006 ?



    Pour cacher la concentration voulue des économies, la destruction des PME-PMI, l’envolée du nombre des chômeurs et la destruction de pans entiers de nos industries à taille humaine (sic) !

    Voir le pourquoi de la censure brutale dans l’émission ci-dessous:



    Une politique voulue en haut lieu, démonstration dans le lien ci-dessous, voir surtout à 25 minutes et suivantes de la vidéo, le chef de l’émission ôte son oreillette, il vient très probablement de recevoir l’ordre de couper la démonstration pour faire passer une publicité … voir notamment son visage et celui de la banquière de la Banque cantonale de Genève, Mme Angela de Wolff… très expressifs, mieux qu’un long discours…

    http://www.becurioustv.com/fr/show/qu-est-ce-qu-elle-a-ma-girl/episode/19-mai-les-suisses-aiment-ils-vraiment-leurs-banques

    “Je suis banquier, j’étais derrière les rideaux, j’ai vu comme ça se créait. Ils balancent au bilan actif/passif une création pure qui ne vient de NULLE PART !”

    Transcription intégrale :

    François de Siebenthal :

    – Le vrai secret bancaire, en fait, ce que Madame vient d’expliquer n’est pas tout à fait exact. Mais je comprends comme elle explique, parce que ça figure même aussi sur le site de la Banque Nationale Suisse.

    La banque en fait, c’est pas du tout un intermédiaire. C’est ce qu’il faut bien comprendre : le secret bancaire actuel, c’est que les banques créent du néant. C’est les crédits qui créent les dépôts, ce n’est pas le contraire.

    On veut nous faire croire que les banques gagnent leur vie par les différentiels d’intérêt entre ce que les gens vont épargner et que la banque va prêter. Pas du tout !

    Les banques créent du néant des masses colossales de milliers de milliards de dollars, d’euros, de yens, etc. et elles les créent du néant.

    Il y a effectivement des règles prudentielles qui ne sont pas des lois, ce sont les règles de Bâle qui sont faites par la Banque des Règlements Internationaux, mais comme je vous l’ai dit, plus de dix pays n’ont aucune limite légale à la création monétaire.

    Les règles prudentielles c’est eux-mêmes qui se les donnent.

    C’est les banquiers eux-mêmes à Bâle, à la Banque des Règlements Internationaux, ils se créent des règlements, des ratios bancaires, mais c’est le banquier qui crée ses propres limites quand il le veut bien.

    Angela De Wolff :

    – … Non, le banquier ne crée pas seul ses propres limites…

    François de Siebenthal :

    – En fait, dans la réalité économique, excusez-moi, mais l’histoire de Fillon, de Sarkozy, de Merkozy…

    Leila Delarive :

    – Ça on est d’accord, ça on a compris, mais ce n’est pas la raison pour laquelle les gens aiment ou n’aimeraient pas leur banque…

    Fred Vallet :

    – Est-ce que finalement ce n’est pas justement parce qu’on est déjà en train de ne pas être d’accord que les suisses moyens qui n’y connaissent rien ont peur ?

    François de Siebenthal :

    – Exactement, ils commencent à comprendre ce que je vous dis. C’est gros ! Madame ne le croit pas, elle est sincère, mais moi je vous assure, je suis banquier, j’étais derrière les rideaux, j’ai vu comme ça se créait. On crée des masses monétaires très facilement. J’étais étonné de la facilité à laquelle on donnait des crédits à l’époque. Avec un dossier de deux-trois pages, on crée des millions, maintenant c’est des trillions. C’est dément ! Moi-même j’ai eu de la peine à le comprendre, mais ce que je vous dis est vrai : on crée du néant des masses colossales et c’est pas du tout un intermédiaire comme on veut le faire croire.

    Angela De Wolff :

    – Au niveau du bilan, vous ne pouvez pas dire aujourd’hui que par rapport au crédit que vous offrez vous avez des exigences en terme de fonds propres et de liquidité, qui vous empêchent de créer, de fournir des crédits.

    Leila Delarive :

    – Ça devient trop technique pour nous…

    François de Siebenthal :

    – Non, le bilan c’est très simple ! Je vous explique. Trois mots. Je vous explique le bilan, c’est important. Lorsqu’un entrepreneur va chez le banquier demander de l’argent, l’argent que le banquier prête ne vient pas du tout d’un compte d’épargne. Il balance au bilan actif/passif une création pure qui ne vient de nulle part. Ça s’appelle ex nihilo en technique bancaire. Ça ne vient de nulle part, ça ne vient pas des réserves du banquier, ça ne vient pas de la Banque Nationale Suisse ou de la Banque Centrale, ça ne vient pas de comptes d’épargne. C’est créé du néant à l’actif et au passif du bilan. Ça, il faut bien se le dire, c’est la vérité. Et il n’y a pas de limite, si ce n’est des règles prudentielles qu’ils se font eux-mêmes.

    Émission “Qu’est-ce qu’elle a ma girl ?”

    sur http://www.becurioustv.com

    présentée par :

    Fred Vallet

    Leila Delarive

    Avec :

    Angela De Wolff, associée-fondatrice, en charge de l‘advisory et des relations externes chez Conser.ch

    Eva Zaki, conseillère financière et chercheuse en alternatives économiques

    Jan Langlo, Directeur adjoint de l’Association de Banques Privées Suisses

    François de Siebenthal, ancien banquier, économiste, diplomate et personnalité politique suisse

    Full vidéo : http://www.becurioustv.com/fr/show/qu…

    CRÉATION MONÉTAIRE PAR LES BANQUES COMMERCIALES : LES PREUVES

    https://www.facebook.com/notes/g%C3%A…




    Selon l’indicateur fourni par extrapolations et recherches au noir ( shadow )  « SGS M-3″, il semble bien en effet y avoir une chute vertigineuse de cette même simulation d’agrégat M3, conjointement à une hausse astronomique et simultanée de l’indicateur M1.

    Les quantative easing illimités QE1, QE2, QE3… en M1 continuent cette tendance.

    On cache le fait qu’ils coulent les PME en rappelant les crédits M3 et concentrent tous les pouvoirs.
    La situation est même pire car la plupart des opérations sont hors bilans et hors statistiques.
    Pour résister à cette centralisation dangereuse, la meilleure solution est de donner les QE aux citoyens, ce qui provoque une demande décentralisée. 
    La production suit car ce sont des robots et des machines qui produisent avec une haute productivité, donc le risque d’inflation est quasi nul dans ce cas.
    P= M/Q, les prix resteront stables si la Quantité des biens suit la Monnaie.
    1= 10/10
    1= 100/100
    1= 1000/1000
    CQFD
    voir en Suisse, selon la Banque Nationale Suisse  www.bns.ch


    extrait:

    Le contraire de la création de monnaie – la destruction de monnaie – existe-t-il?

    La destruction de monnaie peut s’expliquer d’une manière semblable à la création de monnaie. Un déposant décide de retirer son argent de son compte d’épargne et de le conserver en espèces. La banque en a toutefois prêté la majeure partie sous forme de crédit et n’en a gardé qu’un peu en réserve. Elle devrait par conséquent demander le remboursement du crédit qu’elle a accordé. Heureusement, le crédit arrive justement à échéance, et l’entreprise rembourse la banque en billets. La banque verse l’avoir à l’épargnant, et le crédit n’apparaît plus dans ses livres. La masse monétaire a été réduite du montant du crédit: il y a eu destruction de monnaie.


    Destruction avec effet multiplicateur, comme maintenant un peu partout…

    Selon la Fed dans son communiqué laconique du 10 novembre 2005, révisé le 9 mars 2006 :

    “M3 does not appear to convey any additional information about economic activity that is not already embodied in M2 and has not played a role in the monetary policy process for many years. Consequently, the Board judged that the costs of collecting the underlying data and publishing M3 outweigh the benefits.”

    Le meilleur indicateur de l’Italyxit est le niveau de l’agrégat monétaire M3-M2 (qui correspond à la trésorerie des entreprises) : d’après la Banque (centrale) d’Italie, il est tombé à un plus bas de… 26 milliards d’euros seulement fin février!
    … alors que l’agrégat M1 représente plus de la moitié du PIB annuel (depuis 2009) au lieu de tendre vers 15 % du PIB selon les normes américaines.
    Ainsi, plus de 600 milliards d’euros se trouvent donc indument dans les poches (en tant que billets) et sur les comptes courants des Italiens alors que sur cette somme, 500 milliards auraient dû rester dans les entreprises pour qu’elles puissent survivre puis investir et vivre normalement.
    En réalité, la situation est pire encore car, d’après des aveux de Matteo Renzi, l’Etat devait 60 milliards d’euros mi-2014 à des entreprises italiennes qui attendent en vain le paiement de leurs factures en attente, ce qui n’est pas comptabilisé dans la dette publiqueitalienne.
    L’effet létal de ciseaux des évolutions entre les agrégats, d’une part M3-M2 et d’autre part M1 et M2-M1 est une fois de plus très clair : l’abandon de la monnaie nationale laisse se développer sans la sanction de la dévaluation l’enrichissement apparent indu des ménages (par création monétaire) au détriment des entreprises.
    Une grande partie du système productif disparait dans les pays dont les niveaux et les gains de productivité globale sont faibles (inférieurs à ceux de l’Allemagne) en particulier dans ces cochons de pays du Club Med.
    Le naufrage est lent à apparaitre mais il est certain à terme.
    La vieille Europe continentale aura été coulée par son ignorance du monétarisme, entrainée par les erreurs monumentales de ses dirigeants qui ont voulu damer le pion aux Américains qui conserveront ainsi leur leadership sur le Monde libre.

    Document 1 :

    … ce qui représente moins de 2 % du PIB annuel, depuis le mois de juin 2014…

    Document 2 :

    ***


    La Banque (centrale) d’Italie ne fournit pas actuellement de séries téléchargeables sur les données des agrégats monétaires. Les graphiques ci-dessus sont réalisés à partir des données mensuelles des années débutant en janvier 2013 et sur des données annuelles pour les années précédentes.
    Une étude plus fine et complète sera faite dès que les données mensuelles depuis l’adoption de l’euro seront publiées par la Banque d’Italie.

    à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
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