Les secrets de l’institut d’émission des Etats-Unis, le FED.

par Wolfgang Freisleben, Vienne

Contrairement à une croyance générale, l’institut d’émission des Etats-Unis est, en fait, une machine à fabriquer de l’argent détenue par un cartel bancaire privé, qui gagne d’autant plus que les taux sont élevés. Mine de rien, il imprime des dollars à bon marché et les revend plus cher.
L’institut d’émission des Etats-Unis, appelé aussi «Réserve fédérale» ou «FED», revient constamment en point de mire lorsque le monde financier international se demande, anxieux, s’il va modifier son taux directeur ou non.
L’abréviation FED se rapporte au «Board of Governors of the Federal Reserve System», c’est-à-dire à la conférence des gouverneurs du «Federal Reserve System» érigé il y a 93 ans. Il s’agit non pas d’une ­banque centrale traditionnelle, mais de la réunion de cinq banques privées régionales tout d’abord, de douze banques actuellement, disséminées aux Etats-Unis, habilitée chacune à porter le nom de Federal Reserve Bank, un petit nombre d’initiés seulement sachant à qui elles appartiennent. Un seul point est certain: elles n’appartiennent pas à l’Etat. Néanmoins, elles exercent les fonctions d’un institut d’émission de l’Etat. Elles prennent leurs décisions au sein du Federal Reserve Board, dont le président les représente à l’extérieur et dont les séances ont lieu à Washington dans leur propre et imposant monument historique. La plus importante de ces banques privées est la Federal Reserve Bank of New York, qui contrôle l’énorme place financière de cette ville.

Privilèges d’une machine à fabriquer de l’argent

Ce cartel de banques privées dispose de privilèges incroyables, dont trois doivent être soulignés:
•    En imprimant des dollars, la FED convertit à moindres frais du papier sans valeur en dollars et prête ceux-ci aux Etats-Unis ainsi qu’à d’autres Etats et à d’autres ­banques contre reconnaissances de dettes. Au cours de son histoire, le cartel a donc créé des milliards de créances à partir du néant et encaissé des intérêts en permanence, ce qui lui assure un profit annuel atteignant des milliards. Ainsi, aucun gouvernement américain ne doit se faire des soucis à propos du déficit budgétaire tant que ces messieurs en complet sont à ses côtés et – tel est le cas du financement des guerres durant la présidence de Bush – mettent en branle la planche à billets en cas de besoin.
•    Le privilège des intérêts permet à la FED de fixer elle-même les taux et il est évident qu’elle a le plus grand intérêt à encaisser les plus hauts intérêts possibles. Les taux at­teignent donc un niveau souvent particulièrement élevé et occasionnent périodiquement des crises – ce qui est le cas actuellement et donne l’occasion à la FED d’intervenir ultérieurement comme sauveur. Les intérêts opèrent en permanence une ponction sur le pouvoir d’achat des citoyens américains en faveur des banquiers de la FED, par les intérêts des crédits comme par les impôts transformés en intérêts dus à la FED en raison de l’énorme service de la dette publique. Modifiant constamment les taux d’intérêt, la FED change les conditions cadres de la plus grande économie du globe et de la plus importante bourse des actions, celle de Wall Street, qui, principale bourse du monde, diffuse des signaux en direction des autres bourses.
•    Pour être en mesure de résoudre les crises bancaires, la FED gère les réserves monétaires de ses banques membres (rémunérées à raison de 6% par année), qu’elle remet à disposition du système bancaire lors de l’éclatement d’une de ces crises. Actuellement, la FED s’efforce de prévenir, en fournissant à maintes reprises des liquidités aux banques, une crise financière mondiale causée par le krach du système de financement immobilier américain. Comme de nombreuses banques améri­caines de crédit hypothécaire ont sagement lié leurs crédits à des papiers-valeurs et transmis ainsi leurs problèmes à des banques européennes, celles-ci ont commencé aussi à vaciller.
Mais c’est la FED et son ancien président, Alan Greenspan, qui ont provoqué cette crise. En abaissant rapidement et dramatiquement les taux d’intérêt – après avoir porté le taux directeur jusqu’au niveau exorbitant de 6% –, et avoir approvisionné l’économie américaine excessivement en liquidités, Greenspan avait tenté, à partir du 3 janvier 2001, d’enrayer la plus forte chute boursière depuis 50 ans. Au 25 juin 2003, le taux directeur était tombé à son niveau minimal de 1%, ce qui avait permis aux banques d’octroyer des crédits aux taux extrêmement bas et ce qui avait fait tomber de nombreuses familles dans le «piège du crédit», les incitant à acheter des logements à crédit, à des conditions auxquelles elles ne pouvaient faire face qu’à des taux bas.

Crise provoquée par la FED

A la fin du cycle des taux d’intérêt, Greenspan avait provoqué une situation qui avait déclenché une avalanche. En effet, la FED a majoré douze fois de 0,25% son taux directeur, du 30 juin 2004 au 29 juin 2006, le portant alors à 5,25%. Il dépasse ainsi de 525% le taux fixé il y a quatre ans! Les taux fixés pour les crédits hypothécaires sont montés en conséquence et ont atteint un niveau que toujours davantage de familles ne peuvent pas supporter. Comme la propension à épargner est actuellement négative aux Etats-Unis, que la plus grande partie de la population doit recourir au crédit et que les carnets ­d’épargne ne jouent guère de rôle, la crise s’accentue. Vu que, depuis l’année précédente, toujours davantage de bailleurs de fonds hypothécaires sont – tout comme leurs clients – en retard dans leurs paiements à d’autres banques, le système bancaire est en crise, celle-ci ayant atteint un point culminant en août 2007, lorsque la FED et la Banque centrale ­européenne (BCE) n’ont pu stabiliser le système que par plusieurs injections de liquidités.
La crise des liquidités bancaires s’est immédiatement répercutée sur la bourse, qui réagit généralement de manière sensible aux variations de taux de la FED. En effet, la hausse des taux rend les titres à intérêt fixe plus attrayants que les actions, freine l’économie, est donc un poison pour la bourse et abaisse les cours des actions. Ainsi a commencé septembre 2007.

Les motifs des banques de la FED

Pour comprendre la manière d’agir et les motifs de la FED, qui paraissent parfois curieux, il faut jeter un coup d’œil sur l’histoire de l’institut d’émission.
La proposition d’établir une banque centrale est due au banquier allemand Paul Warburg. La crise financière et bancaire déclenchée en automne 1907 par la faillite de Knickerbocker Trust Co. et la situation menaçante de Trust Company of America a mis en péril 243 banques, car aucune institution n’était en mesure de mettre temporairement des fonds à leur disposition pour surmonter leurs difficultés de paiement. Dans un discours prononcé peu de mois auparavant à la Chambre de commerce de New York, le banquier John Pierpont Morgan avait prévu par hasard cette crise et appelé à fonder une ­banque centrale. La crise se prêtait à merveille au soutien de cette revendication. Par la suite, Morgan a joué un rôle essentiel, à l’arrière-plan, dans la réalisation du projet.
Initialement copropriétaire de la banque Warburg de Hambourg, Paul Warburg avait épousé en 1893, lors d’un séjour aux Etats-Unis, la fille de Salomon Loeb, de la banque new-yorkaise Kuhn, Loeb & Co., qui a fait de lui et de son frère Felix des partenaires de la banque (fusionnée en 1977 avec ­Lehman Brothers).
Pourvu généreusement par la Banque ­Kuhn Loeb d’un salaire annuel de USD 5 000 000, Paul Warburg s’est occupé uniquement, pendant les six ans qui ont suivi la crise bancaire, d’une «réforme bancaire» tendant à ériger une banque centrale d’après le modèle de la Banque d’Angleterre, laquelle appartenait alors à des banquiers privés. Ce faisant, il a été soutenu par le sénateur Nelson D. Aldrich, beau-père du premier héritier milliardaire américain, John D. Rocke­feller junior, connu comme porte-parole du banquier J.P. Morgan au Congrès des Etats-Unis.

Conspiration au yacht-club de Jekyll Island

En novembre 1910 finalement, un groupe de personnes triées sur le volet s’est rassemblé, sous prétexte d’une excursion de chasse, dans un wagon de chemin de fer aux jalousies fermées du yacht-club que possédait le banquier J.P. Morgan à Jekyll Island, en Géorgie. Lors de cette réunion secrète, taxée ultérieurement de conjuration, Paul Warburg, représentant de Kuhn Loeb et d’autres banques ainsi que deux banquiers de J.P. Morgan, représentant aussi les intérêts du groupe Rothschild, et deux du groupe Rockefeller ont décidé d’aider le sénateur Aldrich à rédiger en neuf jours un projet de loi que le Républicain vaniteux entendait présenter en son nom au Congrès. Il s’agissait non pas d’une banque centrale, mais seule­ment d’une société privée nationale de réserve dont plusieurs comptoirs devaient être disséminés aux Etats-Unis et dans lesquels des banques affiliées volontairement de­vaient déposer des réserves monétaires de crise. En raison de ses relations bien connues avec le centre financier et boursier de Wall Street, Aldrich a échoué, la majorité méfiante des députés voyant à juste titre dans son projet un plan tendant à assurer à un cercle restreint de banquiers puissants et liés les uns aux autres une position dominante et, partant, la possibilité de réaliser des profits énormes dans l’économie américaine.
Les requins de Wall Street ne se sont évidemment pas découragés et ont profité des élections présidentielles de 1912 pour faire élire le candidat démocrate ­Woodrow Wilson, qu’ils ont soutenu massivement sur le plan financier. Pendant la lutte électorale, il s’est fait passer pour un adversaire du «Wall Street Money Trust» et a promis au peuple un système monétaire exempt de main-mise des banquiers internationaux de Wall Street. En fait, la conception de la banque centrale a été élaborée par le groupe­ment qui semblait avoir perdu la partie.
En tout cas, les Schiff, Warburg, Kahn, Rockefeller et Morgan avaient misé sur le bon cheval. Sous le titre de «Federal Reserve Act» qui dissimule sa portée et qui prétendument réduit à néant le projet de banque centrale formulé par Wall Street, ils ont déversé le 23 décembre 1913 sur des députés démocrates des mieux disposés et avec le soutien du président Wilson, un projet de loi très peu modifié et ont requis l’approbation du Congrès alors que de nombreux députés non informés prenaient déjà leurs vacances de Noël et que très peu avaient lu le texte du projet.

Le plus grand cartel du monde

Les rares députés qui ont perçu la nature de ce jeu pervers n’ont guère pu se faire entendre. Avec sagesse, le conservateur ­Henry Cabot Lodge senior a prévu «une inflation énorme de moyens de paiement» et que «la monnaie d’or serait noyée dans un flux de papier-monnaie non échangeable». Après le vote, Charles A. Lindbergh senior, le père du célèbre aviateur, a déclaré au Congrès: «Cette loi établit le cartel le plus important au monde […] et légalise ainsi le gouvernement invi­sible de la puissance financière […]. Il s’agit du projet de loi Aldrich déguisé […]. La nouvelle loi provoquera de l’inflation tant que le cartel le souhaitera […].»
Lindberg avait raison, comme le prouve le «privilège du dollar». Avant l’établissement du Système fédéral de réserve, des banques privées avaient déjà imprimé des billets. Dans les années soixante du XIXe siècle, il y avait encore 8000 sortes de billets, émises par des «State Banks» privées avec l’autorisation de l’Etat. A partir de 1880, 2000 banques pourraient avoir encore émis leurs propres billets. Depuis 1914, le chiffre s’est limité à la douzaine de banques privilégiées.
Quand le président Abraham Lincoln a eu besoin d’argent, en 1861, pour financer la guerre civile et que les crédits des ­banques Rothschild, financiers traditionnels des guerres, lui sont devenus trop chers, il a éludé le privilège des banques privées et fait imprimer un billet d’Etat, le «Greenback». Il ne devait pas survivre longtemps à cette démarche téméraire. En 1865, il a été assassiné par un tireur isolé, abattu lui-même lors de sa fuite. Le successeur de Lincoln, Andrew Johnson, a suspendu l’impression de billets pour des raisons inexplicables.
Le prochain président qui a voulu redonner à l’Etat le monopole de l’impression de billets a été John F. Kennedy.

Tentative de Kennedy de priver la FED de son pouvoir

Peu de mois avant son assassinat, John F. ­Kennedy a été semoncé par son père Joseph dans le salon ovale de la Maison Blanche. «Si tu le fais, ils te tueront!» Mais le président ne s’est pas laissé dissuader. Le 4 juin 1963, il a signé l’acte exécutif numéro 111 110, abrogeant ainsi l’acte exécutif 10289, remettant la production de billets de banque dans les mains de l’Etat et privant en grande partie de son pouvoir le cartel des banques privées. Après que quelque USD 4 milliards en petites coupures nommées «United States Notes» eurent déjà été mises en circulation et alors que l’imprimerie de l’Etat s’apprêtait à livrer des coupures plus importantes, Kennedy a été assassiné le 22 novembre 1963, soit 100 ans après Lincoln, par un tireur isolé abattu lui-même lors de sa fuite. Son successeur s’appelait Lyndon B. Johnson. Lui aussi a suspendu l’impression de billets pour des raisons inexplicables. Les douze banques fédérales de réserve ont retiré immédiatement les billets Kennedy de la circulation et les ont échangés contre leurs propres reconnaissances de dette.
Grâce à son monopole de production illimitée d’argent, le cartel bancaire du Système fédéral de réserve dispose d’une énorme machine à fabriquer de l’argent, qui lui permet de gagner énormément. Qui se cache derrière ce système est un secret bien gardé. Car il faut distinguer entre les banques proprié­taires et les simples banques membres, qui déposent des réserves monétaires pour, le cas échéant, être sauvées par la suite. Il y a quelques années, la Federal Reserve Bank of New York a publié les noms de ces banques membres, qui n’ont par ailleurs aucun droit. La rémunération annuelle de leurs dépôts se chiffre à 6%. Mais le niveau de leurs parts est tenu secret comme les noms des propriétaires des banques fédérales de réserve, initialement trois, aujourd’hui quatorze.

Critique après le krach de 1929

Paul Warburg a refusé la présidence du Federal Reserve Board en 1910, alors que ce juif allemand à l’accent prononcé, juste avant le début de la guerre contre l’Allemagne, venait d’acquérir la nationalité des Etats-Unis. Toute­fois, il devint membre du Conseil d’administration et du puissant Council on Foreign Relations, qui passe encore aujourd’hui pour le berceau des politiciens américains et des banquiers de la FED.
Les efforts qu’il a déployés pendant de longues années pour fonder l’institut d’émission américain lui ont valu non seulement de l’argent et des honneurs dans la haute finance, mais aussi la pire expérience de sa vie. En 1928, il a exigé sans succès une limitation de la circulation monétaire afin de freiner la spéculation boursière qui rappelait la ruée vers l’or. Mais ceux qui étaient disposés à l’entendre sont restés rares; on le nommait la Cassandre de Wall Street. Après le krach d’octobre 1929, il devint la cible de ceux qui avaient perdu leur patrimoine. Des rumeurs, des brochures et des articles de presse l’ont décrit, lui qui avait tenté d’entraver les catastrophes financières, comme «l’auteur non américain» de la panique boursière d’alors. On a pu lire que «Paul Warburg avait prêté avec sa bande de l’argent au Système fédéral de réserve afin de mettre en mains juives les finances américaines et d’exploiter l’Amérique jusqu’à son épuisement.» De telles légendes se sont poursuivies jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. Aigri par ces attaques, il est décédé en 1932. En 1936-1937, les cours des actions ont baissé de 50%, en 1948 de 16%, en 1953 de 13%, en 1956 de 13%, en 1957 de 19%, en 1960 de 17%, en 1966 de 25% et en 1970 de 25%. Ont suivi le krach ­d’octobre 1987, les chutes de cours de 1990, 1992 et de 1998 ainsi que, finalement, la forte baisse d’avril 2000 à mars 2003 et la crise actuelle qui a commencé en août/septembre 2007 et dont les effets sont incertains.
Aujourd’hui, on répand le bruit – mais ne le confirme pas – que le groupe bancaire Rocke­feller détient 22% des actions de la Federal Reserve Bank of New York et 53% de tout le Système fédéral de réserve. Principal acquéreur de bons du Trésor des Etats-Unis, la Banque du Japon possèderait 8% de ces actions. On attribue 66% aux banques purement américaines et 26% aux vieilles ­banques européennes (dont 10% aux banques Rothschild).     •
Source: International III/2007
(Traduction Horizons et débats)http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=695

Dioxine – Les rapports truqués “officiels” de l’époque.

08/12/2000 N°1473 Le Point

Dioxine – Le rapport qui ne dit pas tout

Etrange optimisme d'un rapport de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) consacré au degré d'exposition de la population française à la dioxine, un sous-produit industriel ultratoxique. La réalité serait bien plus inquiétante.

La dioxine est une substance dangereuse pour l'homme, une molécule ultratoxique qui favorise le développement de cancers et provoque, à des concentrations infinitésimales, de l'ordre du picogramme (c'est-à-dire du millionième de millionième de gramme), des troubles hormonaux et neurologiques. Chaque année en France, les cheminées des incinérateurs d'ordures ménagères et les aciéries recrachent environ 300 grammes de dioxines. Pourtant, les pouvoirs publics se veulent rassurants. Au ministère de l'Environnement, on s'empresse de rappeler que, depuis trois ans, les émissions industrielles de dioxines ont été réduites de 50 %. Officiellement, l'Hexagone n'a donc pas à craindre le « sida chimique », comme l'appellent les toxicologues. C'est en tout cas ce que laisse entendre le récent rapport de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) consacré aux dioxines (1), lorsqu'il conclut que l'exposition moyenne de la population française « est proche de l'objectif de qualité recommandé par l'Organisation mondiale de la santé [OMS] ». Sauf que le chiffre d'exposition avancé par l'Afssa (1,3 picogramme par kilogramme de poids corporel et par jour) est à prendre avec des pincettes. « Le ministère de la Santé a manipulé les chiffres de contamination des Français par les dioxines », dénonce Pierre-Emmanuel Neurhor, directeur du Centre national d'information indépendante sur les déchets (CNIID), une association qui a fait des dioxines son cheval de bataille. Et de pointer du doigt un étrange oubli : les polychlorobiphényles, plus connus sous le nom de « PCB », sont ainsi passés à la trappe alors qu'il s'agit de molécules « soeurs » des dioxines, qui doivent être obligatoirement prises en compte dans le calcul d'exposition, comme l'a confirmé au Point le docteur Maged Younes, chef de l'unité Evaluation des risques et méthodologies à l'OMS. Après les révélations du CNIID, l'Afssa a d'ailleurs discrètement corrigé le tir en mettant sur son site Internet un rectificatif qui reconnaît l'erreur et précise qu'il ne s'agit « en aucun cas d'une volonté de sa part de minimiser les chiffres ». Il n'empêche que l'omission des PCB avait pour effet de diviser quasiment par deux l'exposition moyenne des Français ! Et ce n'est pas tout. Lorsque l'on épluche le rapport de l'Afssa, on découvre d'autres bizarreries qui font toutes pencher la balance du même côté. Les enfants de moins de 2 ans ont ainsi été écartés d'office des calculs de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments. Pourtant, durant l'allaitement, la jeune maman évacue, via le lait, une partie des dioxines stockées dans son corps, ce qui entraîne une surexposition du nourrisson, qui doit être prise en compte lorsque l'on fait le total des dioxines encaissées sur une vie entière. Résultat : « 5 % de contamination évaporée », selon le CNIID. Questionnée sur le sujet, l'Afssa se justifie en invoquant un partage des rôles avec l'Institut national de veille sanitaire, chargé d'une étude consacrée à l'exposition des nouveau-nés. Autre anomalie : les dioxines que nous respirons sont passées à l'as, l'Afssa n'ayant comptabilisé que celles que nous avalons. Logique de la part d'une agence de sécurité des aliments. Sauf que nos poumons attrapent, selon les estimations, jusqu'à 10 % des dioxines qui nous menacent… Cerise sur le gâteau, l'Afssa n'a pas pris en compte les nouvelles normes de toxicité des dioxines fixées par l'OMS en 1997. Et pour cause, les 450 niveaux de contamination des aliments dont elle dispose ont été calculés deux ans plus tôt par le ministère de l'Agriculture et la Répression des fraudes. Dommage, parce que lesdites normes révisent à la hausse la toxicité des dioxines de 10 % ! les raisons d'un enterrement Bref, le CNIID a beau jeu de faire remarquer que l'exposition des Français est près de quatre fois supérieure à celle affichée dans le rapport de l'Afssa. Ce qui nous fait franchir la ligne rouge de 4 picogrammes par kilogramme de poids corporel par jour (pg/kg/jour), instituée par l'OMS. Sachant que la dose journalière admissible à partir de laquelle débutent les risques cancérogènes et neurologiques est de 1 pg/kg/jour… En fait, comme le reconnaît le professeur Jean-François Narbonne, qui milite depuis des années pour une réduction des rejets de dioxines et qui préside le groupe de travail Contaminants et phytosanitaires à l'Afssa : « Le chiffre de 1,3 pg que nous avançons dans le rapport est une estimation très relative. » Et de préciser : « Compte tenu de la marge d'erreur qui pèse sur ce type de calculs, l'exposition moyenne des Français se situe quelque part entre 2 et 5 picogrammes. » Sauf que, lors de la sortie du rapport, les pouvoirs publics ont présenté aux médias le chiffre de 1,3 pg/kg/jour comme preuve irréfutable de la faible exposition de la population aux dioxines. Idem pour les 5 % de Français les plus contaminés, qui affichent, selon l'Afssa, 2,52 pg/kg/jour, mais se retrouvent à 9,4 pg/kg/jour après que le CNIID eut refait les calculs ! Soit trois millions de personnes potentiellement exposées à deux fois le taux limite fixé par l'OMS… En fait, comme l'indique Martin Hirsch, l'actuel directeur de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments, « la dioxine est un sujet sensible ». Pour preuve, l'enterrement de première classe qui fut réservé en 1991 au rapport du Conseil supérieur d'hygiène publique de France, commandé par le ministère de la Santé, qui proposait de diviser par deux la dose journalière admissible. « La norme de l'OMS était à l'époque de 10 picogrammes, mais elle ne prenait pas en compte les effets immunitaires, endocriniens et neurologiques de la dioxine. Or des études sur des macaques publiées en 1989 aux Etats-Unis montraient qu'une exposition importante à la dioxine pouvait générer des retards mentaux », explique André Picot, directeur de l'unité de recherche CNRS sur la prévention du risque chimique. Il faut dire que le rapport tombait au moment où nombre d'incinérateurs étaient en projet un peu partout en France. Trois ans plus tard, l'Académie des sciences publiait à son tour une étude qui minimisait la toxicité des dioxines et concluait que ces dernières ne constituaient pas un risque majeur pour la santé publique. « Alors que j'avais été chargé d'évaluer l'aspect immunotoxique des dioxines, mes contributions ont été refusées et mon nom a été retiré de la liste des experts… » indique le professeur Picot. Aujourd'hui, c'est le professeur Jean-François Viel, épidémiologiste à la faculté de médecine de Besançon et auteur de l'enquête retentissante sur les cancers de l'usine nucléaire de la Hague, qui se retrouve sur la sellette pour un article publié en juin dernier dans l'American Journal of Epidemiology, première revue mondiale d'épidémiologie. « En épluchant le registre des cancers du Doubs, nous avons observé, à proximité de l'incinérateur des déchets ménagers de Besançon, des concentrations de cancers des ganglions lymphatiques et des tumeurs cancéreuses dans les muscles », explique Jean-François Viel, qui, prudent, refuse pour le moment d'établir une relation de cause à effet. « Pour en avoir le coeur net, il faudrait regarder le taux de dioxines dans le sang des personnes qui ont développé un cancer suspect. Le problème est que, pour une seule analyse de ce type, il faut débourser de 6 000 à 7 000 francs. Nous cherchons actuellement les fonds. » Dans un rapport rendu public le mois dernier, intitulé « Dioxines dans l'environnement, quels risques pour la santé ? », l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) recommandait d'ailleurs aux pouvoirs publics d'effectuer à l'échelon national des dosages sanguins afin de connaître l'imprégnation exacte de la population française par les dioxines… Contre-attaque très orientée Mais, sans attendre, les exploitants d'incinérateurs ont cloué l'étude du professeur Viel au pilori. L'un des poids lourds du secteur, la société Onyx, filiale de Vivendi, a ainsi demandé à ses chercheurs « maison » de dénicher les éventuelles erreurs commises par l'épidémiologiste. Résultat : une note confidentielle qui dénonce sans rire un « biais socio- économique ». Et d'expliquer : « Au voisinage des usines, on rencontre des gens plutôt défavorisés qui ne constituent pas un échantillon représentatif de la population »… Jean-François Viel se retrouve également épinglé dans le dernier numéro de la revue Info Santé-Déchets. Sauf que ladite revue est éditée par le réseau Santé-Déchets, une association loi 1901 financée en partie par les industriels du secteur. C'est d'ailleurs cette même association qui avait « cornaqué » en 1999 un rapport de la Société française de santé publique (SFSP), dédramatisant l'impact sanitaire des dioxines. Coïncidence : le comité de rédaction comptait alors parmi ses membres l'actuel bras droit du directeur général de la santé, or la direction générale de la santé vient justement de demander à ses services de vérifier le travail du professeur Viel… A l'époque, le rapport de la SFSP tombait à pic pour désamorcer la bombe lancée l'année d'avant par le Conseil supérieur d'hygiène publique de France. Celui-ci avait en effet calculé que l'exposition de la population française à une dose de 1 pg/kg/jour de dioxine entraînait une surmortalité par cancer de 1 800 à 2 900 cas par an ! 1. « Dioxines : données de contamination et d'exposition de la population française », juin 2000.

Le « sida chimique »

Sur les 200 molécules que compte la famille Dioxine, 17 sont officiellement reconnues toxiques pour l'homme. La plus redoutable de ces substances chimiques constituées en partie de chlore est la « dioxine de Seveso », du nom de la ville italienne touchée le 10 juillet 1976 par un nuage de dioxines échappé d'une usine de pesticides. Une fois dans l'organisme, la dioxine s'accumule dans les tissus adipeux. Plus de vingt ans après, on constate à Seveso une augmentation des leucémies et des cancers gastro-intestinaux. La dioxine entraîne également des dérèglements hormonaux et du système nerveux. Les enfants sont en première ligne, ils peuvent être contaminés par le lait maternel mais aussi avant la naissance, ce qui risque alors de provoquer des malformations congénitales.http://www.lepoint.fr/actualites-societe/le-rapport-qui-ne-dit-pas-tout/920/0/66299

Video: 3000 médecins contre les incinérateurs et dioxine dans le lait en Bretagne

Plus de 2'000 molécules dangereuses à analyser à la sortie des incinérateurs d'ordures, dont les PCB dioxines cancérigènes. On joue avec le feu, de trop nombreuses inconnues toxiques en plus des dioxines, des PCB, du plomb, des métaux lourds et de ceux qu'on nomme les douze salopards, les POP. Trop, c'est trop. A Lausanne, on a en plus les déchets des hôpitaux incinérés…En France, il y a plus de 3000 médecins courageux contre les incinérateurs…

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Monsanto veut faire censurer les informations et video, par exemple sur AOL video.

Monsanto veut faire censurer les informations et video, par exemple sur sur AOL video.

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Les responsables du groupe Monsanto n'ont pas accepté de témoigner en personne. Mais pendant trois ans, les enquêteurs qui ont réalisé le film "Le Monde selon Monsanto" (également disponible en livre) ont récolté partout où ils pouvaient des informations pour dresser au final un portrait très sombre de la firme connue entre autres pour produire des OGM. C'est précisément deux jours avant l'examen à l'Assemblée nationale du projet de loi sur les organismes génétiquement modifiés que cette enquête inédite a été diffusée, le 31 mars, à tous les députés français. Gage de sérieux et caution presque officielle : le document est préfacé par Nicolas Hulot. Archives inédites, témoignages de victimes, de scientifiques, d'hommes politiques, retour sur les procès perdus par Monsanto, rappel d'études plus anciennes falsifiées ou incomplètes : cette enquête revient sur le passé de Monsanto pour mieux comprendre sa situation aujourd'hui sur les OGM et les dioxines PCB. Car la firme s'est déjà illustrée dans d'autres dossiers qui ont débouché sur des scandales sanitaires notamment les PCB, accusés de pollution dans le Rhône, ou l'agent Orange, utilisé dans la guerre du Vietnam. La dioxine, les hormones de croissance bovine, le Round Up sont aussi des produits Monsanto. Sur le cas précis des OGM, l'enquête revient sur l'autorisation de commercialisation des OGM aux Etats-Unis, un précédent qui n'aurait pas de fondement scientifique mais résulterait d'une décision politique. Or le film pointe également du doigt la capacité de Monsanto à placer des hommes au bon moment au bon endroit pour rédiger une réglementation favorable. La firme fabrique aujourd'hui 90% des semences OGM plantées dans le monde.

monsanto L' AGENT ORANGE DIOXINE 3 – AOL Video
monsanto L' AGENT ORANGE DIOXINE FIN.. 19 avril 2008 Dioxine et l'agent orange Avec Jacques Maître , directeur de recherche au CNRS.3 Videos

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Déchets à Naples.

Répercussions sur la santé publique à l’étude.

ROME – Une enquête est actuellement menée en Campanie (région de Naples, sud de l’Italie) sur 900 personnes “test” afin de détecter d’éventuelles répercussions de la crise des ordures et de l’enfouissement illégal de déchets toxiques sur la santé publique, a annoncé l’agence Ansa.Le sang et le lait maternel de ces personnes – réparties sur 16 communes de la Campanie – font actuellement l’objet d’analyses menées par le Conseil national de la recherche (CNR) qui publiera les résultats d’ici fin 2008, a indiqué jeudi à l’Ansa un responsable du CNR en marge d’un congrès.Sont notamment contrôlés les niveaux de dioxine – qui se fixe dans les graisses comme celles du lait maternel – de métaux lourds et de dérivés d’hydrocarbures qui se retrouvent dans l’eau, la terre et les cultures en cas d’enfouissement de grandes quantités de déchets toxiques.Naples et sa région sont placées depuis 14 ans par le gouvernement en “situation d’urgence” concernant la gestion des déchets, un marché juteux dans lequel la mafia locale, la Camorra, s’est largement infiltrée.Les associations anti-mafia estiment que si on rassemblait l’ensemble des déchets passés entre les mains de la Camorra, on obtiendrait une montagne de 14.000 mètres de haut.Plusieurs médecins de Campanie, toxicologues et cancérologues, ont récemment dénoncé les conséquences désastreuses sur la santé de l’enfouissement clandestin de déchets industriels.La revue scientifique The Lancet avait publié en 2004 les registres des décès de la sécurité sociale montrant un taux de mortalité en hausse pour certains cancers et malformations, dans une région au nord de Naples qu’elle avait baptisée le “triangle de la mort”.Des analyses publiées en mars par l’Agence régionale pour la protection de l’environnement en Campanie à l’occasion d’une étude de terrain pour l’installation d’un incinérateur, a également montré des taux de plomb, de dioxine et de dérivés d’hydrocarbures largement supérieurs aux normes tolérées dans plusieurs parcelles de communes situées dans cette zone.A partir du 15 mai et jusqu’au 30 octobre, 250 médecins “sentinelle”, généralistes et pédiatres, seront également envoyés en Campanie pour “signaler d’éventuelles pathologies liées à la crise des déchets”, a indiqué l’Ansa. (©AFP / 24 avril 2008 20h05)

Déchets à Naples: éventuelles répercussions sur la santé publique à
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Sont notamment contrôlés les niveaux de dioxine – qui se fixe dans les graisses comme celles du lait maternel – de métaux lourds et de dérivés

La mozzarella italienne vendue en Belgique
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La mozzarella contaminée à la dioxine mise sur le marché en Italie n’a pas été importée en Belgique, selon les conclusions de l’Agence fédérale de sécurité

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Dioxines et PCB, pollutions diffuses aériennes depuis les incinérateurs… Liens pour voir les débats Tridel à TVRL et à la TSR

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Remarques: Les "vérités" officielles, de la pure manipulation.Un anniversaire pour des nouveaux Tchernobyl…le 26 avril 1986…. La "vérité" officielle, quelques morts, les faits vrais, des centaine de milliers de morts dans d'atroces souffrances…
La vérité des incinérateurs, les dioxines, PCB et les nano-particules sont invisibles mais pires que Tchernobyl et que l'amiante. Les PCB sont une des molécules les plus problématiques diffusées par les incinérateurs. Pour certains spécialistes, et même ceux qui défendent l'incinération, c'est d'ailleurs la molécule (parmi celles connues) la plus problématique désormais. Le taux de PCB dans nos incinérateurs modernes ne faisant que croître dangereusement…aussi, il serait judicieux de faire des analyses de PCB….pour les incinérateurs, et aussi un peu partout; les mâchefers qu'on continue à disséminer sous les routes,les résidus de fumées enfouis (avant qu'on les séparent) et les fumées ont déversées leurs cargaison de molécules dangereuses ..et continuent.. ce n'est certes pas la seule cause de propagation des PCB mais l'occulter serait une grave erreur.Les dioxines provoquent notamment le cancer, des problèmes d'estomac, de cœur, du pancréas, de foie et d'intestins ou encore le diabète. Les particules très fines associées, les nano-particules (PM1) provoquent aussi l'Alzheimer, d'où une explosion des cas graves de toutes ces maladies…Chantal Sebire était très probablement attaqué par la dioxine. La petite vietnamienne, Lai Thi Dao,  opérée la semaine prochaine à Miami d'une tumeur de 7 Kg qui menace de l'étouffer, est aussi la victime innocente des dioxines.
De nombreux foetus sont aussi victimes d'anomalies.
Il a été démontré que la classe des dioxines ( plus de 250 sortes, furanes, pcb) affectent notre patrimoine génétique (ADN) et provoquent des réactions irréversibles, cancérigènes et mutagènes. On en trouve même dans les lacs alpestres en haute altitude et leurs poissons de nos rivières, sous forme notamment de PCB dioxines.
La reproduction humaine dans les 10 années à venir est considérablement compromise si les mesures ne sont pas adoptées immédiatement. En plus, l'affaiblissement de notre immuno- et viro-résistance se déduit de l'action pathologique des dioxines furanes et nanoparticules des incinérateurs. Les incinérateurs des déchets urbains produisent des quantités importantes de dioxines furanes etc. souvent de manière incontrôlée et ne respectent pas les normes en vigueur, soit 1-4 ng de dioxines / m3. Dans certains cas, en Europe, on dépasse même de 50 fois ces normes. Aux USA, vu la guerre du Vietnam et leurs expériences, les normes sont encore plus sévères.

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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La femme est, comme toujours, l'avenir de l'homme, et réciproquement. Si qua fata sinant…:-)
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Les PCB sont une des molécules les plus problématiques diffusées par les incinérateurs.

Commentaires relatifs à l'article :
«Des poissons contaminés aux PCB dans trois lacs alpins»

07 avril 2008 – 14:36
gilles micheneau
gilles micheneau Les PCB sont une des molécules les plus problématiques diffusées par les incinérateurs. Pour certains spécialistes, et même ceux qui défendent l'incinération, c'est d'ailleurs la molécule(parmi celles connues)la plus problématique désormais. Le taux de PCB dans nos incinérateurs modernes ne faisant que croître dangereusement…aussi, il serait judicieux de faire des analyses de PCB….pour les incinérateurs, et aussi un peu partout; les mâchefers qu'on continue à disséminer sous les routes,les résidus de fumées enfouis (avant qu'on les séparent) et les fumées ont déversées leurs cargaison de molécules dangereuses ..et continuent.. ce n'est certes pas la seule cause de propagation des PCB mais l'occulter serait une grave erreur.
05 avril 2008 – 11:50
duport claude
Lacs alpins PCB et autres POP Comment des PCB ont ils pu se retrouver dans les sédiments de lacs alpins? Peut être faut il chercher du coté du mode d'élimination des produits en contenant: transfo et autres. Les PCB sont combustibles , peu être que cette propriété a été un peu trop utilisée pour s'en débarrasser. Le mythe du feu purificateur ayant toujours beaucoup d'adepte. On retrouve comme pour les dioxines une pollution diffuse généralisée qui mettra, vu la stabilité dans le temps de ce genre de molécule' des décennies pour se réduire. La courbe de croissance des cancers n'est pas prête à s'infléchir. Mais au fait y aurait-il aussi des dioxines dans ces sédiments?
04 avril 2008 – 16:59
alain Drouville
des poissons contaminés … mais c'est bien sur… Bisard que ceux qui interdisent la consommation des poissons sont les mêmes qui ne trouvent rien a redire quand pour d'autres molécules les associations crient haut et forts quelles sont dangereuses ! exemples ? l'amiante , le pyralene , la dioxine etc hier autorisé aujourd'hui les pesticides les herbicides aujourd'hui autorisé malgré les réclamations et surement demain interdits mais avec les conséquences des ci dessus étonnant non?
04 avril 2008 – 14:10
CHARLES AMBLARD
PCB ailleurs La rivière d'Ain est barrée depuis près d'un siècle. C'est un escalier. Le dernier en date étant la retenue de Vouglans. Des fonds de rivière ont accumulé plusieurs mètres de sédiment. Pas de PCB ??? Les poissons ne se reproduisent plus dans de nombreuses retenues. Les quelques poissons qui restent (grâce aux sociétés de pêche qui repeuplent) sont pêchés et mangés… Souvent gonflés, évidemment malades. Des dizaines de variétés et espèces ont définitivement disparu. Personne n'en parle. Tout va bien donc pour la rivière d'Ain. Les analyses sont-elles faites ? Il vaut mieux pas… Que faire ? On va vers des lendemains qui chantent, c'est sûr…On a déjà entamé le premier couplet.
04 avril 2008 – 11:18
DUMOULIN Nicolas
Pyralènes ? J'ai lu dans un journal national, à propos des OGM, que c'était Mosanto qui, une fois encore, avait produit et commercialisé les pyralènes qui sont incriminés dans ces pollutions des lacs de Savoie, mais aussi de la Seine, du Rhône et de la Somme ! Sont-ils les seuls à avoir produit ces pyralènes ?
04 avril 2008 – 11:14
patrice pecheux
PCB PCB … dioxines…Pyralène utilisé comme isolant dans les transformateur refroidis ne serait-ce pas un produit Monsanto ?… Je crois que oui !
03 avril 2008 – 17:18
FAUVET MARIE-LAURE
PCB Les PCB n'ont rien à voir avec les pesticides, il s'agit d'une classe chimique complètement différente. ILs sont de la classe des Dioxines. Les PCB étaient utilisées comme lubrifiants dans les condensateurs électriques de façon systématique et sont interdit depuis les années 1990. Pas chères , aux propriétés lubrifiantes performantes, ces molécules sont proches des DIOXINES. Visqueuses, résineuses,insolubles dans l'eau , elles s'accumulent dans les sédiments, et sont graduellement absorbées, par les petits puis plus grands poissons par bioaccumulation. Il coûterait une fortune de drainer l'ensemble des courts d'eau, des lacs, et même de la Méditerrannée- des test ont mis en évidences des traces en Camargue, zone protégée, par le rejet cumulé des eaux du Rhône-, et de traiter- séparer – ces sédiments . Nathalie KoscuisKo Morizet , qui s'est emparé du problème a du renoncer devant les devis pharamineux. La France est loin d'être la seule touchée, puisque ces produits ont été largement utilisés en Allemagne, Italie, USA – avec Catastrophes environnementales à la clef-. Ce sont des substances "Produits Organiques Persistants" -POP- quasi impossibles à détruire et s'accumulant dans l'écosystème PLANETAIRE: Des traces de PCB ont été retrouvées sur les glaces en Antartique. Ils font partie de la liste des "12 salopards" , POP , dont le DDT – pesticide pour le coup- est même retrouvé dans le lait des femmes Guatalmatèques …
03 avril 2008 – 16:59
Josselin de Lespinay
Consultation du public Du 15 avril au 15 octobre, le public va être consulté pour la révision des SDAGE (Schémas directeurs d'aménagement et de gestion des eaux), dans les 6 bassins français. Ce sera le moment de faire savoir ce que nous pensons de la gestion passée et en cours, des pesticides, et de la répartition des membres à l'intérieur des Comités de bassin (sortes de ''parlement'' des Agences d l'Eau). Intervenez et faites intervenir. Renseignements sur le site du réseau Eau de FNE.
03 avril 2008 – 15:45
WURTZ François
conséquence logique Comment s'étonner de cette découverte. On ne peut pas être le second (troisième cette année) consommateur mondial de pesticide depuis trente ans et possédé une ressource aquatique et halieutique exemplaire.
03 avril 2008 – 15:00
SOUGY Andrée
des poissons contaminés aux PCB dans trois lacs alpins Après la Somme, le Rhône, et maintenant 3 lacs alpins.. ..et la liste n'est pas prête d'être close : cela fait plus de 30 ans quer l'on connait la nocivité des PCB. A quand des actes ? c'est ce que l'on attendait du grenelle de l'environnement. Certes on ne change pas les habitudes du jour au lendemain, mais il y a des priorités qu'il faut oser appliquer quelqu'en soient les conséquences sur les auteurs de ces pollutions. Andrée Sougy, présidente , biologiste, de l'ass. Jardiniers de la mer à Hyères


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Les journaux suisses ont fait état de la baisse de fertilité des suisses et de cancers en forte croissances. Responsables ? Les dioxines et PCB dioxines.

Selon « Le monde selon Monsanto »[9] Monsanto aurait eu connaissance de la toxicité des PCB au moins dès 1937.
Contaminations de long-terme : La toxicité des polychlorobiphényles et celle de ses produits de dégradation en molécules hautement toxiques et particulièrement stables (des furanes principalement), notamment sous l'effet de hautes températures, lors de leur incinération ou d'incendies est une information qui ne semble avoir été que tardivement partagée et diffusée dans le public. Les scientifiques avaient cependant montré ou constaté que ces molécules étant très peu biodégradables, et très solubles dans les huiles et graisses végétales ou animales. Il s'est avéré que leur rejet diffus dans l'environnement a été massif, et qu'il a entraîné des phénomènes de bioaccumulation préoccupants pour la faune sauvage, d'élevage et pour la santé humaine. Depuis les années 1990, les PCB comptent parmi les polluants organiques persistants, dont la production est interdite dans la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants. La spermatogenèse ( la fabrication des spermatozoïdes) a considérablement diminué lors de ces dernières années, plus de 30% de diminution pour l’homme.Les dioxines provoquent notamment le cancer, des problèmes d'estomac, de cœur, du pancréas, de foie et d'intestins ou encore le diabète. Les particules très fines associées, les nano-particules (PM1) provoquent aussi l'Alzheimer, d'où une explosion des cas graves de toutes ces maladies…Chantal Sebire était très probablement attaqué par la dioxine. La petite vietnamienne, Lai Thi Dao,  opérée la semaine prochaine à Miami d'une tumeur de 7 Kg qui menace de l'étouffer, est aussi la victime innocente des dioxines.
De nombreux foetus sont aussi victimes d'anomalies.
Il a été démontré que la classe des dioxines ( plus de 250 sortes, furanes, pcb) affectent notre patrimoine génétique (ADN) et provoquent des réactions irréversibles, cancérigènes et mutagènes. On en trouve même dans les lacs alpestres en haute altitude et leurs poissons de nos rivières, sous forme notamment de PCB dioxines.
La reproduction humaine dans les 10 années à venir est considérablement compromise si les mesures ne sont pas adoptées immédiatement. En plus, l’affaiblissement de notre immuno- et viro-résistance se déduit de l’action pathologique des dioxines furanes et nanoparticules des incinérateurs. Les incinérateurs des déchets urbains produisent des quantités importantes de dioxines furanes etc. souvent de manière incontrôlée et ne respectent pas les normes en vigueur, soit 1-4 ng de dioxines / m3. Dans certains cas, en Europe, on dépasse même de 50 fois ces normes. Aux USA, vu la guerre du Vietnam et leurs expériences, les normes sont encore plus sévères.
Les chiffres réels d’émission des dioxines des incinérateurs sont mal connus, car les appareillages de détection sont très chers (environ 450 à 550'000 Fr). La plupart des incinérateurs municipaux ne peuvent pas contrôler les émissions des dioxines. De plus, ces incinérateurs sont souvent assez proches des zones habitées, et les mouvements d’air déplacent à plusieurs dizaines de km les fumées et donc les dioxines produites, et ainsi affectent en silence les populations en leur faisant prendre des risques sanitaires considérables. Bien que ces risques soient au départ incontrôlables et indétectables, à court et moyen terme ils sont biologiquement et symptomatiquement vérifiables : cancers, allergies, malformations fœtales, pneumopathies, troubles du sommeil et du comportement neurologique ainsi que diminution du périmètre de marche, et lésion de l’activité réflexe et mémorielle ( Alzheimer). En effet, les incinérateurs thermiques actuels ne sont pas performants au plan de leur gradient de température en 700°C et 880 °C. Ainsi, les molécules formées (dioxines) à basse température ne peuvent être détruites définitivement qu’à des températures supérieures comprises entre 1250 °C et 1800 °C.  – même si ces températures élevées sont théoriquement suffisantes, il existe au moins 10 % de dioxines et autres molécules dangereuses qui ne sont pas traitées par le brûleur (refroidissement pariétal). Un autre problème représente le fait que les molécules formées en se refroidissant de manière pariétale deviennent très stables et produisent des molécules résiduelles que appelées ‘promoteurs de dioxines’. Il apparaît que ces promoteurs sont encore plus dangereux que les dioxines de base produites dans les incinérateurs.
http://www.youtube.com/watch?v=ArPmHmm2_50&NR=1

Exemple de sa formation

http://youtube.com/watch?v=sny3znAWiVk

More Video

http://youtube.com/profile_videos?user=StaffGrillo

Nos solutions pour leur faire prendre conscience de leurs responsabilités…

La meilleure solution est la méthanisation des déchets ménagers salés ( le chlore du NaCl provoque notamment les dioxines), le tri et le recylage puis le stockage sans combustion des restes vraiment incompressibles.

Les incinérateurs d'ordures sont de gigantesques usines diffusant de graves maladies par loterie généralisée au gré des vents pour le profit de quelques uns…Les meilleures installations laissent passer des tonnes de poussières chaque année et des millions de m3 d'air vicié. Elles polluent très gravement les 4 éléments.

La Liberté sans Responsabilité est devenue folle ( Crises financières, guerres, assassinats, drogues, divorces, dépressions, psy…)

Appel d'offre et lancement de la souscription pour une statue de la Responsabilité offerte aux USA  et à ériger si possible au ground 0 ( 9-11) ou en Californie, voir www.pavie.ch .

Les dioxines et furannes sont aujourd'hui sujettes à de nombreux débats.
Principalement produites dans les incinérateurs des usines de retraitement de déchets, cancérigènes soit par accumulation, soit par interaction avec le matériel génétique, les dioxines et furannes sont donc à l'origine de nombreuses recherches toxicologiques.

Udo Pollmer, chimiste alimentaire, maître de conférences et journaliste scientifique, en fournit la preuve dans son livre Iss und stirb. Chemie in unserer Nahrung4 (Mange et meurt. De la chimie dans notre assiette) où il expose le cas du PCB, hautement toxique: «Au moment du passage du sol à la plante, la concentration du PCB est multipliée par cinquante. Ensuite, dans le lait maternel et dans la moelle (osseuse), on mesure un taux 25 000 fois supérieur à celui contenu, au départ, dans le sol. Selon les calculs de l’institut fédéral de Kiel pour la recherche sur le lait (Kieler Bundesanstalt für Milchforschung), on estime que la population allemande absorbe chaque année plus de cent kilos de PCB, uniquement par la consommation de lait et de produits laitiers.»

Le terme de "dioxines" désigne une famille d'hydrocarbures polyaromatiques portant de 1 à 8 atomes de chlore. La dioxine est un composé organochloré, formé par oxydation lors de la combustion incomplète de divers dérivés aromatiques chlorés, ou encore dans des réactions secondaires qui apparaissent lors de la synthèse de chlorophénols. Selon le nombre et la position des atomes de chlore, ainsi que la disposition relative des cycles aromatiques, on distingue 75 poly-chlorodibenzo-dioxines (PCDD) et 135 poly-chlorodibenzo-furannes (PCDF).

Les dioxines et les furannes sont des composés organiques, caractérisés par une grande stabilité jusqu'à des températures élevées, fortement lipophiles (solubles dans les solvants et les graisses) et peu biodégradables.

Ils ont une durée de demi-vie de plusieurs années. Ils possèdent un grand pouvoir de bioaccumulation dans la chaîne alimentaire et donc finalement chez l'homme.
Du fait de leur "lipophilie", ils se concentrent essentiellement dans les tissus adipeux, le foie, et le lait maternel.

DIFFERENCE ENTRE DIOXINES ET FURANNES

Il existe au moins 210 formes de dioxines et de furannes sans compter une centaine de promoteurs de ces mêmes molécules qui sont très instables et dangereux.
Comme l'indique son titre chimique, les dioxines sont composés de cycles benzéniques (cycles aromatiques) associés à au moins deux atomes d'oxygène.
Les furannes, comme leur nom chimique l'indique, sont composés de cycles benzéniques et de structures furannes associées.
Dans certaines formes de dioxines et de furannes, on compte quelquefois des formes chimiques aromatiques associées à des formes chimiques aliphatiques (chaînes droites de carbone).

SOURCES DES DIOXINES ET FURANNES (PCDD & PCDF)

Incinérations de déchets ménagers – C'est la principale source de dioxines dans l'air, contribuant selon les données actuelles pour environ 30 % aux dioxines totales

Industrie sidérurgique – La production d'agglomérats de minerai de fer (85 à 90%) et les fours à acier électrique sont les principales sources d'émissions de dioxines

Ces deux dernières sources sont à l'origine d'au moins 50 % des émissions

Incinération des déchets hospitaliers
Industrie des métaux non ferreux
– le traitement secondaire ou l'extraction du cuivre est la principale source dans ce secteur

Incinération des déchets industriels et des boues, brûlage des gaz de décharge

Transport routier, diesel et essence – l'essence plombée produit 20 fois plus de dioxines que l'essence sans plomb

Combustion de charbon de bois – barbecue, par exemple

Combustion des cigarettes – jusqu'à 2 pg de TCDD par cigarette

Combustions accidentelles des biphényl polychlorés des transformateurs

La production de pâte à papier

Autres industries – production de chlore, de polychlorure de vinyle (PVC), l'incinération des déchets ménagers (lavage des gaz)

Ces produits sont formés au cours de la combustion incomplète de molécules industrielles (résidus et sous-produits de la synthèse chimique et pétro-chimique).
Ces molécules dangereuses sont également produites au cours de l'incinération des résidus et déchets de l'activité humaine.

Les incinérateurs conventionnels travaillent avec des gradients de température insuffisants et ne peuvent détruire complètement les molécules dangereuses que ces mêmes incinérateurs produisent à basse température (refroidissement pariétal du brûleur (350° C à 450° C ).
Au moment de ce refroidissement, de nombreux promoteurs de congénères se forment, dont les structures sont instables. La durée de vie de ces molécules est de quelques mois, mais elles sont souvent beaucoup plus dangereuses que les molécules initiales formées (dioxines et furannes).  

TOXICITE DES DIOXINES ET FURANNES CHEZ L'HOMME

La toxicité est inversement proportionelle au nombre d'atomes de chlore contenus dans les molécules : plus le nombre d'atomes de chlore est élevé, plus la toxicité diminue, sauf dans le cas des promoteurs des congénères, où le degré de toxicité est variable d'une molécule à l'autre à cause de leur instabilité relative.

La toxicité est exprimée au plan international en nanogrammes par mètre cube (ng/m3), 1 ng = 10-9 gr. Elle se nomme I-TEQ = EQuivalent Toxique International permettant de caractériser le potentiel toxique d'un milieu déterminé contenant des dioxines et des composés apparentés. (Cela constitue la somme des concentrations des différents congénères contenus dans ce milieu)

Tableau des 17 congénères toxiques
DIOXINES I-TEQ
OTAN
(1988)
I-TE
OMS
(1997)
FURANNES I-TEQ
OTAN
(1998)
I-TE
OMS
(1997)
2,3,7,8-TCDD 1 1 2,3,7,8-TCDF 0,1 0,1
      2,3,4,7,8-PeCDF 0,5 0,5
1,2,3,7,8-PeCDD 0,5 1 1,2,3,7,8-PeCDF 0,05 0,05
1,2,3,4,7,8-HxCDD 0,1 0,1 1,2,3,4,7,8-HxCDF 0,1 0,1
1,2,36,7,8-HxCDD 0,1 0,1 1,2,3,6,7,8-HxCDF 0,1 0,1
1,2,37,8,9-HxCDD 0,1 0,1 1,2,3,7,8,9-HxCDF 0,1 0,1
      2,3,4,6,7,8-HxCDF 0,1 0,1
1,2,3,4,6,7,8-HpCDD 0,01 0,01 1,2,3,4,7,8,9-HpCDF 0,01 0,01
      1,2,3,4,7,8,9-HpCDF 0,01 0,01
OCDD 0,001 0,0001 0CDF 0,001 0,0001

LIMITES TOXIQUES INGERABLES ET RESPIRABLES PAR L'HOMME

Ces limites sont exprimées en picogrammes (pg) : 1 pg=10-12gr par jour et par kilo (pg/kg/j).
Pour l'homme cette limite représente 2,3 pg/kg/j.

EFFETS DES DIOXINES ET FURANNES SUR NOTRE BIOLOGIE

Les dioxines et les furannes portent atteinte à notre intégrité biologique car elles agissent avec notre matériel cellulaire génétique et enzymatique.

Ces molécules sont stables et lipophiles. Elles augmentent le stress oxydatif, provoquent l'altération de notre synthèse protéique et dénaturent notre ADN et ARN (modification de sa transcription).

Ces molécules constituent des xénobiotiques puissants et provoquent chez l'homme des altérations biologiques durables, voire irréversibles, telles que cancérogénèse, tératogénèse, diminution importante de la spermatogénèse à moyen et long terme (10 à 30 années), ainsi que des troubles importants de néonatalité. En outre, on observe des effets nocifs allant de l'hépatotoxicité aux perturbations endocrines en passant par l'immuno-suppression.

Les dioxines et furannes sont mondialement produites et en raison de l'existence de notre atmosphère, elles sont dispersées quelque soit le lieu de production. L'Homme est atteint par ces molécules quelque soit le lieu où il vit sur la planète.

http://fr.ekopedia.org/Dioxine 

reprend notre projet tel quel, merci.

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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RAPPEL POUR CE SOIR: TV suisse, émission sur les dioxines à la TSR 1, Mardi 22 avril A Bon Entendeur 20h10 TSR la première, à ne pas rater. Merci

Mardi 22 avril
A Bon Entendeur, sur les dioxines
20h10 TSR la première,
photo ET DOSSIER PDF sur demande et sur le site www.dioxines.org encore dévié vu les graves attaques subies.

Résumé important:

Nous sommes en démocratie et nous avons le droit de remettre en question quelques "vérités" officielles.

De petites doses de dioxines, même très petites, peuvent notamment provoquer le cancer, des problèmes d'estomac, de cœur, du pancréas, de foie et d'intestins ou encore le diabète. Les particules fines associées (PM1) provoquent aussi l'Alzheimer, d'où une explosion des cas graves de toutes ces maladies…

Les premières victimes sont les embryons, puis les couples qui deviennent stériles…

La pire solution est l'incinération des ordures qui multiplie les pollutions graves de manière invisible et pernicieuse. La meilleure solution est la méthanisation des déchets ménagers salés ( le chlore du NaCl provoque notamment les dioxines), le tri et le recylage puis le stockage sans combustion des restes vraiment incompressibles.

http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=311200

Nos décharges et dépôts fuient ( Bonfol, etc ), nos incinérateurs polluent avec des dioxines et des PM1 notamment, nos filtres sont de vieille génération, 10 fois moins efficaces en Suisse romande qu'en Suisse allemande…les dioxines ont déjà envahi nos lacs et nos rivières. La pêche est interdite dans plusieurs cours d'eau et lacs côté français.

ABE a fait analyser des poissons et enquêté jusque dans le delta du Rhône pour mesurer l'étendue des dégâts.

Les incinérateurs d'ordures sont de gigantesques usines diffusant de graves maladies par loterie généralisée au gré des vents pour le profit de quelques uns…

Les meilleures installations laissent passer des tonnes de poussières chaque année et des millions de m3 d'air vicié.

Elles polluent très gravement les 4 éléments de l'initiation des francs-maçons, membres de certaines sociétés "secrètes" qui s'emboîtent les unes dans les autres comme des poupées russes et qui ne respectent plus du tout leurs propres " valeurs".

Leur amour de l'argent est la racine de tous les maux…y compris de maladies mortelles devenues trop fréquentes….

La plupart de ceux-ci ne respectent plus ni l'Homme, ni la nature. Ils n' adorent que l'argent et le pouvoir.

Nous devons leur en interdire  le contrôle vu leurs abus chroniques et dire NON à ces enfants gâtés pourris par leur propre système avant qu'ils ne polluent gravement la planète entière.

Les différentes associations des riverains des usines d'incinération, en Suisse, en Suisse Romande pour commencer devraient se fédérer en association de consommateurs contre les dioxines anti-bébés.

Comme par exemple en France  (cniid) pour peser dans les décisions à venir. Qu'en pensez-vous? Arguments de Paul Connette, Prof. et chimiste US, en anglais sur le site de Beppe Grillo

http://youtube.com/watch?v=BwfcxWVaKNI&feature=related

dioxines d'incinérateurs dangereuses, plus du double d' handicapés…

http://youtube.com/watch?v=9QqxUgEPjXg

http://www.youtube.com/watch?v=Gju5B3PHbUg&NR=1

Attaquent les embryons, en italien

http://www.youtube.com/watch?v=UMCtordRcgQ&NR=1

Victimes aux Vietnam, une des malformations, le sexe au milieu du visage…plus de 4 millions sans anus, sur la 3ème génération…

http://youtube.com/watch?v=Vyqm-aQqUjw&feature=related

http://youtube.com/watch?v=JDdzr7KTZ8Y&feature=related

Victimes en Asie, notamment des dioxines et explosions atomiques, Japon, Bikini, obus à l'urnium 238, Irak…Musée des Philippines

http://www.youtube.com/watch?v=u3yfiptsZSg&feature=related

http://www.youtube.com/watch?v=-Qtx0tNREio&feature=related

Les très riches qui profitent des ces horreurs refusent de payer pour leurs crimes,
Les dioxines provoquent notamment le cancer, des problèmes d'estomac, de cœur, du pancréas, de foie et d'intestins ou encore le diabète. Les particules fines associées (PM1) provoquent aussi l'Alzheimer, d'où une explosion des cas graves de toutes ces maladies…Chantal Sebire était très probablement attaqué par la dioxine

http://www.youtube.com/watch?v=ArPmHmm2_50&NR=1

Exemple de sa formation

http://youtube.com/watch?v=sny3znAWiVk

More Video

http://youtube.com/profile_videos?user=StaffGrillo

Nos solutions pour leur faire prendre conscience de leurs responsabilités…

La meilleure solution est la méthanisation des déchets ménagers salés ( le chlore du NaCl provoque notamment les dioxines), le tri et le recylage puis le stockage sans combustion des restes vraiment incompressibles.

Les incinérateurs d'ordures sont de gigantesques usines diffusant de graves maladies par loterie généralisée au gré des vents pour le profit de quelques uns…Les meilleures installations laissent passer des tonnes de poussières chaque année et des millions de m3 d'air vicié. Elles polluent très gravement les 4 éléments.

La Liberté sans Responsabilité est devenue folle ( Crises financières, guerres, assassinats, drogues, divorces, dépressions, psy…)

Appel d'offre et lancement de la souscription pour une statue de la Responsabilité offerte aux USA  et à ériger si possible au ground 0 ( 9-11) ou en Californie, voir www.pavie.ch .

Annexe: doc iin

  
OMERTA MÉDIATIQUE
ET PROFITS PASTÈQUES

Cancers
et
Dioxines
dans «l'air du temps»
(mais *aussi dans l'eau !)

EN L'ABSENCE DE TOUTES *NORMES FÉDÉRALES
QUELQUES PREMIÈRES PISTES DE RÉFLEXIONS SUR LA POLLUTION DES RIVIÈRES ET DES LACS SUISSES PAR LES DIOXINES, PRODUITES LORS DE L'INCINÉRATION DES ORDURES ET DÉCHETS. 
… OU DE L'IRRESPONSABILITÉ DE CERTAINES AUTORITÉS CANTONALES ET DES MUNICIPALITÉS DE GRANDES VILLES DITES «ROSES-VERTES».
UN CAS DE FIGURE, LA SATOM A MONTHEY, UNE JOINT-VENTURE IMPLIQUANT AUSSI LE CANTON DE VAUD, OU L'USINE DU VALLON (LAUSANNE) ET TRIDEL PRATIQUENT PRESQUE A L'IDENTIQUE.
A QUAND UN SURSAUT «POLITIQUE» CONCRET ?
CADRE BUCOLIQUE ET LÉTALES DIOXINES DANS L'AIR, MAIS QUID DU LAC LEMAN ?

 

 

 LES CLICHES DE CE DOSSIER ONT ÉTÉ PRIS ENTRE 14:05 ET 14:20  (12 MARS 2008)
VALAIS ET VAUD LIVRENT PAR CAMIONS, MAIS LA SATOM IMPORTE AUSSI D'ITALIE !

 

 

  LAVÉESPAR LA PLUIE, LES DIOXINES DES FUMÉES ABOUTISSENT DANS LE RHÔNE.
N.B. COPYRIGHT DES PAGE -3- et -4- >  Bureaux d'ingénieurs :  B&G , TBF , Suisse

Réalisation
Usine d'incinération SATOM à Monthey (VS)
2 lignes de traitement des eaux
 
Installation :     Usine d'incinération des ordures ménagères.
Emplacement :     Monthey, Suisse
Client :     Société Anonyme du Traitement des Ordures Ménagères
Bureaux d'ingénieurs :       B&G , TBF , Suisse
Capacité totale :     56 m 3 /h
Mise en service :     1991
Type de prestations :     Conception, réalisation et mise en service.
  étenduede la fourniture :     Transport des cendres, Réacteurs, Filtres à bandes sous vides, Malaxeur, Silo, Tuyauterie, Charpentes métalliques, Pompes, Instrumentation, électricité, Contrôle-Commande.

Y A-T-IL D'AUTRES REJETS PAR LA SATOM DE DIOXINES AU RHONE…PUIS LEMAN ?
LE SITE DE LA SATOM N'EST PAS DU TOUT EXPLICITE, MAIS EN LISANT :  B&G , TBF 
Les purges des laveurs, les eaux de lavage des cendres, les eaux des mâchefers et des eaux diverses sont traitées comme suit :
– Un bac de répartition.
– Deux bacs de basification à la chaux par ligne pour précipiter les métaux.
– Un bac de coagulation et un bac de floculation par ligne.
– Trois décanteurs lamellaires séparant les boues formées.
– Un bac de recyclage d'où retournent les eaux clarifiées au lavage des  cendres et aux laveurs.
– Deux bacs de neutralisation à l'acide pour ramener le pH des eaux clarifiées à une valeur de 7.
– Deux échangeurs de chaleur pour refroidir les eaux.
– Deux filtres à sable chargés de retenir les particules non décantées.
– Un bac de contrôle et de correction de pH avant le * rejet dans le Rhône
 
Autres fournitures TECHFINA pour la même installation :
Traitement des rejets gazeux   Traitement des cendres
A QUAND DES ANALYSES DES SÉDIMENTS DANS LE RHÔNE ET DU FOND DU LAC ?
… CAR L'EAU CE N'EST PAS JUSTE POUR FAIRE JOLI ET ATTIRER LES TOURISTES !

 

 

COMBIEN DE RIVERAINS BOIVENT L'EAU
   

ET MANGENT DES PERCHES DU LEMAN ?

LES DIOXINES DE LA SATOM, DE TRIDEL, ETC. VOUS TUENT SOURNOISEMENT !
LA RESPONSABILITÉ DE LA SUISSE POURRAIT AUSSI ÊTRE ENGAGÉE EN FRANCE…
Dioxines et PCB dans le Rhône 

Le Rhône pollué par les PCB : un Tchernobyl français ? (et Suisse en amont ?)
par Marc Laimé
En l'espace de quelques mois la consommation humaine de toutes les espèces de poissons pêchées dans le Rhône a été interdite sur 300 kilomètres du fleuve, de l'amont de Lyon à son embouchure en Camargue. Des analyses ont révélé que différentes espèces de poissons contenaient des quantités de polychlorobiphényles (PCB), jusqu'à 40 fois supérieures aux normes admises pour une consommation quotidienne par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les autorités sanitaires européennes et françaises. S'ils sont ingérés …, les PCB peuvent provoquer des cancers ou des problèmes de fertilité.
…les résultats des analyses menées en aval de la confluence Rhône-Saône confirmaient que les poissons de ce secteur étaient également contaminés en PCB et dioxines. En effet, l'Union européenne avait adopté le 3 février 2006 la norme recommandée par l'OMS de 8pg/g de matière brute (8 picogrammes/gramme), représentant la concentration admissible en dioxine et PCB type dioxine dans les aliments destinés à la consommation humaine. Or les résultats enregistrés sur les poissons pêchés à la hauteur de Vernaison et de Pierre-Bénite indiquaient des taux allant de 1,71 à 32,28 pg/g en moyenne selon les espèces. … »

QUAND DES ANALYSES INDÉPENDANTES ET FIABLES RÉVÉLERONT CE SCANDALE !
© iin – 12.03.2008 : Dioxines dans l'air et dans le Rhône, dès le Valais.

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal

http://www.non-tridel-dioxines.com/
http://www.m-c-s.ch/   et
www.pavie.ch/mobile
www.pavie.ch

Traduction »