Serment: à proférer si possible par coeur ou affirmer ” je le jure” après lecture par un responsable, en levant une main, la droite ou la gauche, avec 3 doigts levés dont le pouce et les deux autres doigts pliés.

” Je jure solennellement que, pour faire le bonheur des autres et distribuer la surabondance évidente,  je soutiendrai et défendrai toute la vraie Constitution, y compris tout son préambule,  contre tous les ennemis, étrangers et nationaux ; que j’aurai une foi et une allégeance véritables à celle-ci ; que j’assumerai cette obligation librement, sans aucune réserve mentale ni réticence ; et que je remplirai bien et fidèlement les devoirs de la charge dans laquelle je vais entrer. Je suis conscient que la Constitution actuelle n’est pas respectée, qu’elle a été de plus obtenue par des fraudes démocratiques et que la seule valable est celle d’avant toutes ces fraudes. Dés lors, je signe la déclaration de transparence et veux collaborer à une révision de cette constitution pour la rétablir dans l’esprit fondateur du serment de 1291 : Que Dieu me vienne en aide. 
Un pour tous, tous pour un.”
Unus pro omnibus, omnes pro uno
WWG1WGA  = where we go one, we go all  

https://docs.google.com/document/d/1dIumHJGeHjn3NY0Lc86q1-hMr6cH4GxzZxNfw3Wb8q4/edit?usp=sharing

Rencontres les 1 et 2 août , 12h00, départ à pied du parking de la station haute du funiculaire à Seeligsberg ( une heure ), . Entrée libre…
Le Grütli (le Rütli en Suisse alémanique) est une petite clairière au bord du Lac des Quatre-cantons ( lac des 4 cantons, partie d’Uri) sur la commune de Seelisberg. 

Berceau de la Confédération, ce lieu secret de rassemblement des anciens confédérés figure pour la première fois dans le Livre Blanc de Sarnen (1470) où les premiers Confédérés se sont réunis lors de leurs conjurations contre les baillis autrichiens pour y prêter les Serments du Grütli. 

Dans l’histoire contemporaine, le Grutli est un lieu fortement lié à notre identité nationale ; on peut notamment citer en juillet 1940 lorsque le général Guisan avait réuni environ 500 officiers supérieurs pour leur exposer son projet d’un réduit national et proclamer à la face du monde la volonté inébranlable de résistance du peuple suisse face aux forces de l’axe. 

On accède au Grutli par bateau depuis Lucerne, Flüelen ou Brunnen jusqu’au débarcadère du Grutli ou à pied depuis Seelisberg (1 heure env. ou 30 minutes dans le 2ème chemin très raide, avec de très bonnes chaussures). 

Le site est complété sur la partie sud de la prairie par le drapeau suisse, la place du serment avec ses 3 sources entourées d’ifs ( Schwur Platz, la place sur laquelle Arnold de Melchtal, Walter Fürst et Werner Stauffacher ont prêté serment. )  ainsi que par le Steingruppe (enclos de pierres) et par le restaurant Rütlihaus légèrement au-dessus. 

Accès libre.

Pour le collectif www.1291.one 

Amis “gilets jaunes” Français, Votre éveil des consciences se propage au sein des nations avec puissance ouvrant la voie à un changement de paradigme quant à la gestion des collectivités humaines. Informations utiles: https://www.orwell-news.ch/

https://micro-taxe.blogspot.com/2020/07/conference-de-presse-geneve-40-personnes.html?m=1

http://1291.one/  

https://www.dissept.com/

 https://microtaxe.ch/le-serment-base-de-la-vraie-suisse/ 

 Vive la victoire des peuples et des populations face aux prédateurs au pouvoir et à leurs alliés membres de sociétés secrètes! Vive la France libre phare de l’humanité ! En référence au fait que la France est “La fille aînée de l’Eglise” par le mariage de la princesse burgonde Clotilde et du roi Clovis. Blogspot ( http://micro-taxe.blogspot.com/2020/07/conference-de-presse-geneve-40-personnes.html?m=1 ) 

Résumé du texte latin

Les règles suivantes ont été établies dans l’intérêt de garantir la paix et de veiller au bien commun :
  1. Au vu des temps difficiles, les gens et les communautés d’Uri, de Schwyz et de Nidwald s’engagent à se prêter mutuellement un soutien sans borne contre tous ceux qui, dans leurs vallées et au dehors, les attaqueraient ou leur causeraient du tort.
  2. Les communautés s’apportent conseil et soutien à leurs propres frais en cas d’attaques contres leurs membres ou leur biens dans leurs vallées et au dehors, et s’y engagent par serment en confirmant et renouvelant l’ancien pacte.
  3. Chacun, selon sa condition, reste dévoué à son seigneur. ( cette partie notamment a été rajoutée par un faussaire au service de seigneurs allemands … , voir des explications au musée qui abrite le texte “original” trafiqué, mais il est certain qu’il y eu plusieurs serments successifs et analogues, de la même inspiration qui dure encore…
    https://martouf.ch/2018/08/le-pacte-du-1er-aout-1291-est-un-faux/ )
  4. La fonction de juge dans les vallées ne peut être achetée. Elle ne peut en outre être exercée que par des confédérés.
  5. Les conflits entre confédérés doivent être apaisés par les plus sages. Leurs décisions doivent être défendues de tous.
  6. La personne coupable d’un meurtre est punie de la peine de mort. Si elle parvient à s’enfuir, il lui est à jamais interdit de revenir. Quiconque apporte son aide à un meurtrier sera expulsé jusqu’à ce que les confédérés autorisent son retour.
  7. La personne responsable d’un incendie perd le statut de confédéré. Quiconque aide ou protège un incendiaire répond du dommage causé.
  8. Quiconque dépouille un confédéré ou lui cause un dommage verra ses biens confisqués en vue de réparer la victime.
  9. Les biens d’un débiteur ou d’un garant ne peuvent être saisis qu’avec l’autorisation d’un juge.
  10. Chacun est tenu d’obéir à son juge et, si besoin est, doit indiquer le juge sous l’autorité duquel il est placé dans la vallée.
  11. Celui qui ne se soumet pas à la décision d’un juge et, de ce fait, porte préjudice à un confédéré sera contraint par tous les autres à réparation.
  12. Si une lutte ou un conflit entre confédérés est réglé par le juge et que l’une des parties ne se plie pas à la décision ou à son devoir de réparation, les confédérés prennent la défense de l’autre partie.
  13. Ces règles, établies dans l’intérêt du bien commun, sont à observer à jamais.
Pourvu des sceaux des trois communautés et vallées susdites, ce pacte a été conclu au début du mois d’août de l’an 1291.

https://microtaxe.ch/fraudes-electorales-consequentes-en/


Le Pacte de Brunnen (1315)

Dans la lutte pour le titre impérial, en 1314, les Waldstätten prennent parti pour Louis de Bavière contre Frédéric le Beau d’Habsbourg-Autriche. De plus, profitant de ce temps troublé, ils attaquent l’abbaye d’Einsiedeln le 6 janvier 1314 pour une vieille lutte pour la possession d’alpages. Mais, à cause du pillage de l’abbaye, les Waldstätten sont mis au ban de l’empire et Léopold, duc d’Autriche, les attaque. C’est la bataille de Morgarten, le 15 novembre 1315, et la victoire écrasante des Confédérés qui surprennent et désorganisent l’ennemi par une avalanche préparée de rocs et troncs d’arbres. Cette victoire de montagnards sur des chevaliers (1500 tués environ, la noblesse du plateau suisse est décimée) a un grand retentissement dans tout l’Empire. Le 9 décembre 1315, les Confédérés (« Eidgenossen » :le terme apparaît pour la première fois dans ce pacte) se réunissent à Brunnen pour renouveler et compléter leur ancienne alliance. Le texte original est en allemand.
« Au nom de Dieu, Amen ! Comme la nature est faible et fragile, il arrive que ce qui devrait être durable et perpétuel est bientôt facilement livré à l’oubli; c’est pourquoi il est utile et nécessaire que les choses qui sont établies pour la paix, la tranquillité, l’avantage et l’honneur des hommes, soient mises par écrit et rendues publiques par des actes authentiques.
Ainsi donc, nous d’Uri, de Schwytz et d’Unterwald faisons savoir à tous ceux qui liront ou entendront ces présentes lettres, que prévoyant et appréhendant des temps fâcheux et difficiles, et afin de pouvoir mieux jouir de la paix et du repos, défendre et conserver nos corps et nos biens, nous nous sommes mutuellement promis de bonne foi et par serment, de nous assister réciproquement de conseils, de secours, de corps et de biens, et à nos frais, contre tous ceux qui feront ou voudront faire injure ou violence à nous et aux nôtres, à nos personnes ou à nos fortunes, de manière que si quelque dommage est porté à la personne ou aux biens de l’un d’entre nous, nous le soutiendrons, pour qu’à l’amiable ou par justice, restitution ou réparation lui soit faite.
De plus, nous promettons par le même serment qu’aucun des trois Pays et nul d’entre nous ne reconnaîtra qui que ce soit pour son seigneur, sans le consentement et la volonté des autres. Du reste chacun de nous, homme ou femme, doit obéir à son seigneur légitime et à la puissance légitime en tout ce qui est juste et équitable, sauf aux seigneurs qui useront de violence envers l’un des Pays, ou qui voudront dominer injustement sur nous, car à tels aucune obéissance n’est due jusqu’à ce qu’ils se soient accordés avec les Pays. Nous convenons aussi entre nous que nul des Pays, ni des Confédérés ne prêtera serment et ne rendra hommage à aucun étranger sans le consentement des autres Pays et Confédérés; qu’aucun Confédéré n’entrera en négociation avec quelque étranger que ce soit sans la permission des autres Confédérés, aussi longtemps que les Pays seront sans seigneur. Que si quelqu’un de nos Pays trahit leurs intérêts, viole ou transgresse un des articles arrêtés et contenus dans le présent acte, il sera déclaré perfide et parjure, et son corps et ses biens seront confisqués au profit des Pays.
Outre cela nous avons aussi convenu de ne recevoir et de n’admettre pour juge aucun homme qui aurait acheté sa charge à prix d’argent ou de quelque autre manière, ou qui ne serait pas notre compatriote. S’il naît ou s’élève quelque différend ou guerre entre les Confédérés, les hommes les plus intègres et les plus prudents se réuniront pour pacifier ce différend ou terminer cette guerre soit à l’amiable, soit par la justice; si l’une des parties s’y refuse, les Confédérés assisteront l’autre pour qu’à l’amiable ou par justice, la dispute soit terminée aux dépens de celle qui aura refusé les moyens de conciliation. Si entre deux Pays survient une querelle ou guerre, et que l’un d’eux ne veuille pas y mettre fin à l’amiable ou par justice, le troisième Pays soutiendra celui qui consentait à un arrangement et lui donnera secours pour que l’affaire se termine de gré ou de force.
Si un des Confédérés en tue un autre, il sera puni de mort, à moins qu’il ne puisse prouver et que les juges ne déclarent qu’il l’a fait par nécessité, pour défendre sa vie. Si le meurtrier s’enfuit, quiconque de notre pays le recevra, lui donnera refuge dans sa maison et le défendra, sera exilé et ne rentrera pas dans sa patrie s’il n’y est rappelé du consentement des Confédérés.
Si un des Confédérés met ouvertement ou en secret et à dessein le feu à la maison d’un autre, il sera banni à perpétuité de notre territoire, et quiconque le recevra dans sa maison, lui donnera asile et protection, sera tenu de réparer le dommage causé par l’incendiaire.
Nul ne pourra prendre des gages que de son débiteur ou de sa caution, et il ne le fera point sans l’autorité du juge. Chacun obéira à son juge et indiquera le juge dans notre pays devant lequel il veut comparaître.
Si quelqu’un refuse de se soumettre à la sentence et que sa désobéissance porte dommage à l’un des Confédérés, ceux-ci le contraindront à l’indemniser.
Et afin que les assurances et les conditions susdites demeurent stables et perpétuelles, nous, ci-dessus nommés, citoyens et Confédérés d’Uri, de Schwytz et d’Unterwald, avons apposé nos sceaux au présent acte fait à Brunnen, l’an 1315 de la naissance de notre Seigneur Jésus-Christ, le premier mardi après le jour de Saint-Nicolas [9 décembre] . »
Antoine Castell, Les chartes fédérales de Schwyz, Einsiedeln, 1938, pp. 44-47.
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