MAMMON CONCENTRATIONNAIRE


LE SUPER-MÉCANISME CONCENTRATIONNAIRE
                                        

Mais parmi tous les mécanismes concentrationnaires, il en est un plus subtil et plus puissant, dont l’ignorance était quasi totale il y a QUELQUES ANNéES…. Aussi suis-je bien obligé de l’exposer en détail. C’est le mécanisme bancaire qui multiplie les méfaits de l’usure et du crédit. En effet, d’un côté, par l’addition des intérêts il double, puis quadruple toute dette en quinze puis trente ans, d’un autre côté, par le subterfuge du crédit et de la monnaie scripturale, il vampirise toutes les richesses mobilières et surtout immobilières d’une nation, puis du monde.

   



L’usure a toujours été interdite par le Droit canon romain, puis par le Coran. Le catéchisme du concile de Trente est formel: “Tout ce qu’on prend au delà de ce qu’on a donné est usure… c’est pourquoi le prophète Ézéchiel (18-17) dit que Celui-là sera juste qui n’aura rien pris au-delà de ce qu’il aura prêté . Et Notre Seigneur nous ordonne, dans Saint-Luc (6-35), de prêter sans en rien espérer. Ce péché a toujours été considéré, même par les païens, comme un crime très grave et très odieux” et le concile ajoute, “c’est ce qui fait dire à Cicéron que prêter à usure ou tuer un homme c’est la même chose. Et en effet, ceux qui prêtent à usure vendent deux fois une même chose, ou ils vendent ce qui n’est point”.

Il faudrait bien peu connaître l’histoire des civilisations pour s’imaginer qu’il ne s’agit là que d’un principe de morale et non pas d’un principe fondamental de bonne organisation de la société civile… car il n’y a qu’une seule clé pour les Deux Royaumes (celui de la Terre et celui du Ciel).

La civilisation égyptienne a duré quelques cinq mille ans; elle ignorait la monnaie. Les diverses civilisations mésopotamiennes se sont effondrées les unes après les autres, au bout de quelques siècles, s’entre-déchirant, s’entre-détruisant. Elles connaissaient non seulement le trafic des lingots, mais l’usure, c’est-à-dire le “croît de l’argent” comme l’appelle le code d’Hammourabi. L’intérêt pouvait légalement atteindre 25% et montait jusqu’à 100 et 140%…

L’Encyclopaedia Britanica (article Money, édition de 1929) souligne que l’écroulement de la Grèce au VIème siècle comme l’effondrement de l’Empire romain sont également dus à l’usure. Ainsi que l’a montré G. Ferrero dans: la Grandeur et le déclin de Rome, Jules César fut brisé pour s’être montré incapable de résoudre “la gigantesque accumulation d’intérêts inaliénables qui avaient concentré toute la richesse en quelques mains, réduisant les petits propriétaires en esclavage”.

Vous commencez à soupçonner pourquoi Cicéron est plus dur dans ses jugements que les Pères de l’Église!

Précisons que le mot usure ne s’applique pas au taux pratiqué mais au caractère du prêt (Il n’en est pas de même du mot : usurier. Cependant les auteurs anglais qualifient d’usure le prêt à la production de l’argent qui n’existe pas, de l’argent négatif). Le prêt de consommation est seul qualifié d’usure dans les textes canoniques, le prêt à la production n’est pas un prêt, mais un apport de capital à une entreprise dont l’activité fournit des bénéfices. Ce prêt à la production n’est-il pas licite? Oui, dans certaines limites du taux de l’intérêt, mais non quand celui-ci atteint 50% à 60%, tel est cependant le taux réel des avances bancaires modernes.

Pour le comprendre, il faut étudier la constitution et le développement de la Banque d’Angleterre, type du système bancaire moderne, né en pays protestant où l’usure avait été autorisée par Elisabeth.

En 1694, Guillaume d’Orange, devenu Guillaume III d’Angleterre, n’avait plus d’argent pour payer son armée. Ce Hollandais, dont le succès avait été financé par les banquiers protestants de son pays, va — juste retour des choses — être pris dans l’engrenage des usuriers anglo-hollandais. Un syndicat d’usuriers, dirigé par William Paterson, lui proposa la combinaison suivante: a) Le syndicat privé avancera au gouvernement un prêt en or de 1 200 000 livres, au taux de 6%, le capital et l’intérêt étant garantis par l’État et payés en or; b) en récompense, le syndicat privé a le droit de s’appeler Banque d’Angleterre; c) comme le syndicat se démunissait ainsi de tout son capital pour financer le prêt, il avait en échange (?) le droit d’émettre et de négocier des billets à ordre jusqu’à la concurrence des 1 200 000 livres prêtées en or, à l’Etat.

Jusque-là, seul l’Etat avait le droit régalien de battre monnaie, c’est lui qui aurait pu et dû émettre ces billets gagés sur l’or qu’il avait emprunté. Le syndicat, abusant de son titre de Banque d’Angleterre, fit imprimer des billets reconnus valables à Londres, puis dans tout le pays, sous caution morale du roi et matérielle du prêt en or. C’était génial, le public avait confiance en des papiers que la Banque — n’ayant plus de capital — était incapable de rembourser. Ainsi est né le crédit moderne en argent-papier, véritable contrefaçon du Credo.

Par cet abus de confiance envers le peuple anglais, doublé de haute trahison envers le roi, dit Thomas Robertson (1), le clan des usuriers doubla d’un trait de plume sa fortune. Elle fit même plus que doubler, puisqu’il touchait non seulement l’intérêt sur son prêt en or, mais l’intérêt sur les billets en papier qu’il se mit à prêter — le 6% sur le capital initial devenant du 12%, en huit ans il doublait à nouveau (2).

Ainsi la Banque avait créé une double dette, l’une du gouvernement — lequel, après tout, empochait l’or — l’autre du peuple anglais. L’endettement simultané du gouvernement et du peuple ne fera que croître sans cesse, le gouvernement faisant évidemment tout retomber sur le peuple par le système des impôts. Telle est l’origine de la Dette nationale anglaise, nulle avant Guillaume III et qui atteignait, en 1948, 24 milliards de livres. Le mécanisme comporte trois stades: usure, dette, impôts, dont 60% servent à payer les intérêts de la dette.

Guillaume III continua à emprunter à la Banque jusqu’à concurrence de 16 millions de livres-or. Et celle-ci émit la même somme en billets. Bien plus, comme les billets avaient cours au même titre que l’or, même à l’étranger, la Banque avança désormais au gouvernement du papier… cautionné par lui, et non plus en or. Le tour était joué. Il est évident qu’à ce moment-là le gouvernement aurait pu reprendre son droit régalien et décider d’imprimer lui-même, les billets; il n’aurait ainsi jamais eu d’intérêts à verser ni de dette nationale en boule de neige.

Au début, la banque n’émit des billets que jusqu’à concurrence de l’or prêté, et conserva une réserve-or destinée à couvrir les demandes de remboursement. Petit à petit, elle s’aperçut que les gens préféraient manier des billets plus légers que l’or, et qu’on pouvait émettre des billets en se contentant de garder une réserve de 10%.

Mises en goût par une opération aussi fructueuse, les banques se multiplièrent comme des champignons. Entre 1694 et 1830, on trouve dans les îles Britanniques 684 banques privées, émettant chacune ses propres billets.

En dehors de toute considération morale le prêt à la production suffit à déséquilibrer toute économie qui n’est pas purement agricole ou pastorale, c’est à dire la seule économie où le “croît biologique”, don de Dieu, éternellement renouvelé, peur dépasser le “croît de l’argent” lorsque le taux est faible. L’industrie, elle, ne fait que transformer, et par l’extraction, épuiser

Tout d’abord, c’est l’inflation. Il y a dix fois plus de signes monétaire légaux en 1836 qu’en 1694. Or cette monnaie-papier n’est pas seulement prêtée mais dépensée directement par les banques, qui jouent ainsi le rôle de commerçants. Elles peuvent ainsi faire marcher leur commerce, avec seulement 10% du capital réel, tandis que les industriels qui veulent lancer une usine ou constituer un stock empruntent aux banques, au taux de 6%, des billets qui ne représentent quasi rien et hypothèquent leurs moyens réels de production pour du vent. Cela explique le peu de faillites des banques et la vampirisation des industries et du commerce par les “banques d’affaires”.

Toutefois, en 1836, le gouvernement britannique eut conscience du danger. Après une enquête secrète, le chancelier Robert Peel prit l’initiative du Bank Charter Act de 1844. Cette lois retira aux quelques 600 banques privées le droit d’émettre des billets en ne reconnaissant qu’à la -seule- Banque d’Angleterre, obligée cette fois d’avoir une couverture-or de 100% — ce qui dura jusqu’en 1914…— Aujourd’hui, la couverture n’est plus que symbolique.

Pauvre gouvernement! Les 600 banquiers se réunirent en un nouveau syndicat, le Joint Stock Banks- et -remplacèrent l’émission des billets interdits par l’émission de chèques facilitant l’avance bancaire, c’est à dire l’ouverture de crédit en compte courant. Ce n’était qu’une émission camouflée de billets, et d’autant plus avantageuse qu’elle allait servir principalement à enfler la production des gros emprunteurs et non à faciliter la consommation des petits, comme la monnaie légale.

C’était un nouveau coup de génie. Cette fois, ce n’est plus le roi qui cautionnera l’émission, ce sont les déposants, par suite d’une confusion habilement entretenue.

Le secret de la toute-puissance bancaire dans le monde entier, précise Robertson, réside dans le fait suivant: “Lorsqu’un individu dépose aujourd’hui 1 000 £ en espèces à la banque, celle-ci ne prête pas ces 1 000 £ à un autre client, mais les garde en réserve, et prête en avance bancaire, ou par chèque 9 000 £, c’est à dire neuf fois le montant du dépôt qu’elle a reçu”. C’est le premier client qui constitue la réserve de 10%… alors que le bon public croit que toute Banque n’est qu’un intermédiaire qui avance l’argent mis chez elle en dépôt, soit 1 000 £ pour 1 000 £. C’est d’ailleurs ce qui est déclaré dans tous les traités orthodoxes, et qui était officiellement inscrit dans l’ Encyclopaedia Britanica jusqu’en 1910; mais dans l’édition de 1929, vous lisez que “les banques prêtent en créant du crédit, elles créent leurs moyens de paiement ex nihilo” précise M. R. Hawtrey, secrétaire adjoint au Trésor.

En général, l’emprunteur a déposé des garanties. S’il ne peut rembourser son emprunt, la banque saisit les garanties et fait là un bénéfice absolu, pendant que l’emprunteur, lui, fait faillite. S’il rembourse, la banque touche 6% sur 9000 £, soit 54% sur les 1 000 £ qui lui avait été déposées jadis, joli bénéfice pour avoir fait un simple jeu d’écriture. L’opération est annulée, la somme inscrite est rentrée dans la colonne Avoir, elle annule le montant porté en sortie dans la colonne Doit. Les 9 000 £ se dissolvent dans le vent, d’où elles étaient venues!…

De là le pouvoir quasi magique des banques. Non seulement elles créent et détruisent de la monnaie, mais des affaires. Elles provoquent des booms, des crises artificielles, des périodes de suractivité ou de chômage, suivant que — comme une coquette — elles accordent ou non leurs faveurs, c’est-à-dire des crédits de compte courants. Elles sont maîtresses du “cycle du commerce”. Leur pouvoir est invincible, quel que soit le parti qui triomphe temporairement. Elles concentrent progressivement tout entre leurs mains, sur la ruine des nations.

Lorsqu’en 1919, Vincent C. Vickers — gouverneur de la Banque d’Angleterre depuis 1910 — s’apercevra de cette destruction irrémédiable, il démissionnera et commencera à dénoncer cet engrenage implacable (3). Il en résultera l’Official Governmental Report on Finance and Industry, dit MacMillan Report (4), au Parlement anglais de 1931, puis le Canadian Government Report of the Committee on Banking and Commerce, de 1939 (5), qui confirmèrent tous ces faits et révélèrent que le mot: dépôt bancaire est une escroquerie verbale, il fait croire à un actif alors qu’il représente au contraire un passif, une dette des emprunteurs. Il faut lui substituer l’expression “crédit financier” ou mieux “argent négatif”.

Avec ce système une banque peut tout acheter, tout faire passer entre ses mains, puisqu’elle peut doubler en deux ans non seulement son capital réel mais l’argent qu’on lui dépose. Elle réalise l’idéal concentrationnaire, n’ayant besoin ni de déplacer des hommes, ni de rassembler des machines, quelques traits de plume suffisent. C’est la reine des machines-en-papier! (ndlr, les ordinateurs)

Pas de concentration sans destruction

Le mécanisme moderne du Crédit, portant sur la production va conduire au même effondrement que la simple usure de l’antiquité, portant sur la consommation , car il ne possède plus d’autorégulation venant des signes monétaires légaux, de l’argent accumulé ou thésaurisé, de l’épargne.

Lorsque des consommateurs investissent leur épargne, tout d’abord, le taux d’intérêt réel reste limité, inférieur à 10% mais surtout, l’industrie qui emprunte ne peut se développer qu’en fonction de cette épargne, de ce surplus qui n’a pas été dépensé pour la consommation. À moins de fabriquer des objets superflus, cette industrie risque peu de surproduire, c’est-à-dire de produire au-delà des possibilités d’achat des consommateurs. Tandis que dans le cas du financement par les banques, qui émettent une monnaie scripturale anticipée , basée sur l’hypothèse de la vente des objets produits, les exploitations de la production s’enflent à une vitesse dépassant les pouvoirs d’achat réels qui sont désormais négligés et ignorés.

Il s’en suit une hystérie de la production qui offre l’alternative: chômage ou guerre pour la destruction des biens qui encombrent le marché.

Il y a donc deux financements possibles de caractères totalement opposés: l’un provenant de l’épargne, de l’argent en supplément et l’autre projeté par anticipation . Dans le premier cas, l’autorégulation doit venir de l’offre des capitaux existants, dans le second, de la demande en besoins primaires les plus certains.

Ainsi le financement bancaire — mis en lumière — est tout indiqué pour la construction et l’équipement immobilier profitant à l’ensemble du pays. Là où il n’y a point à craindre de surproduction, c’est vraiment la demande qui fixe l’émission. Ce sont les besoins en logements, en routes, en ponts, en hôpitaux, en écoles, en forêts, qui cette fois, deviennent les régulateurs de la monnaie scripturale anticipée, si dangereuse dans ses anticipations. Mais dans ce cas, seuls des offices régionaux — et non une banque de crédit centralisée (6) — permettraient d’avoir la confiance du public de la région et le contrôle effectif des besoins proches. Comme là, il s’agit de prêt de consommation et non plus de production, il ne peut plus être question d’intérêt. La Région ne peut être usurière. Le mécanisme bancaire, en tant que mécanisme , est utilisé sans compromission avec l’usure, il possède son autorégulation organique: la connaissance de la communauté dans ses besoins propres. C’est le seul cas où posant le Bien au départ, nous le récoltons à l’arrivée.

Lorsque s’ajoutent les méfaits de prêt à intérêt de taux scandaleux, de la monnaie scripturale non freinée par les besoins et de l’hystérie de la production, on dévale à roue libre vers la destruction obligatoire.

La ruine vient, d’une part de la Dette nationale et de ses intérêts reportés sur le peuple par l’impôt qui n’est plus “juste”, ne répondant pas à un service rendu. Aussi se pose la question: faut-il rendre à César ce qui est à Mammon?

La ruine est augmentée par l’inflation qui déprécie les biens du travail et qui est telle qu’en juillet 1945, les banques réunies des îles Britanniques possédaient en caisse 600 millions de £ et avaient accepté environ 5 400 millions de £, soit neuf fois plus, en reconnaissances de dettes, prêts, avances, investissements. Ces 5 400 millions n’ayant aucune existence réelle ont été créés par les banques, à partir de rien, depuis 1844, au taux de 1 million par semaine (7).

Le système est très exactement satanique. L’homme ne peut rien créer ex-nihilo. L’argent-négatif ou dette peut, et doit, être détruit par un jeu d’écritures sur le grand Livre: la colonne Avoir équilibrant la colonne Doit. Mais subsiste l’intérêt à payer, qui ne le peut être que grâce à une nouvelle création ex-nihilo d’argent-négatif et ainsi de suite… Il se produit une boule de neige de dettes, une marée d’argent-négatif, de néant, qui augmente sans cesse et entraîne à la destruction obligatoire des biens réels.

Le chaos économique qui conduit chaque pays à l’alternative: révolution ou guerre, provient d’une méconnaissance de vérités élémentaires, tant des marxistes d’ailleurs, que des économistes libéraux. Marx, en effet, n’a nullement soupçonné le mécanisme de l’argent-négatif, et a reporté ses attaques contre le profit et la propriété. Ces derniers ayant toujours été défendus — dans de justes limites — par l’Église, mère des Pauvres, la sagesse commandait de chercher une autre explication.

La voici. Pour qu’il n’y ait pas coexistence de surproduction et de sous-consommation, il faut que le revenu national puisse acheter la production nationale donc lui soit égal (8) — la soupape des exportations étant de plus en plus réduite dans un monde qui s’unifie (9).

Or tout prix comporte deux parts: l’une de travail, l’autre de capital, l’une a) de salaires personnels (directs ou indirects mais versés à des personnes pour leur consommation), l’autre b) de rémunération des capitaux engagés, qui sont des capitaux d’argent-négatif en majeure partie — la monnaie légale servant à peine à 5% des échanges (avoua lors de l’enquête précitée M. C. Towers, gouverneur de la Banque du Canada). Tel est le phénomène a + b découvert expérimentalement par le major Douglas en 1920 et au sujet duquel M. de Valera déclarait en 1942: “Malgré mes demandes réitérées, aucun économiste n’a pu me démontrer la fausseté de ce théorème”.

Si donc les producteurs touchent un total a, ils ne peuvent, en aucune façon, acheter un total a + b ; le revenu national reste toujours inférieur à la production nationale. Il y aura toujours des surplus et les consommateurs seront toujours en état de sous-consommation. Telle l’origine du phénomène surabondance-misère qu’aucun dirigisme ne peut réduire.

Faut-il souligner que plus la structure productrice est concentrée, plus les investissements dans d’énormes machines sont gigantesques, plus b croît aux dépens de a dans l’équation, moins les salarié peuvent acheter leur production, plus la misère augmente, ce qui se vérifie depuis un siècle, quelle que soit l’augmentation continue des salaires (10).

Le remède financier — dont nous avons déjà montré dans nos autres chapitres la valeur économique — consiste d’une part dans le micro-machinisme et la décentralisation diminuant b. Et d’autre part, dans le retour à l’Etat de son droit régalien de battre monnaie, enfin dans l’utilisation de crédit public retrouvé, sans intérêt , pour la construction des services publics nationaux, régionaux (routes et hôpitaux, écoles et forêts) où la part de salaires personnels est maxima et qui sont en dehors du circuit Production, dans lequel doit jouer seulement la monnaie légale (11).

Faut-il faire remarquer que, quelle que soit la Distribution: structure du commerce et répartition des biens parmi les citoyens, cela ne joue qu’à l’intérieur de a . Il peut y avoir des injustices, des bénéfices scandaleux ou un gaspillage dû à une cascade d’intermédiaires, mais les Salaires totaux, plus ou moins bien répartis, doivent d’abord permettre d’acheter la Production totale.

Le système bancaire actuel, autrement dit l’usure-à-l’argent-négatif ne peut rien créer de positif, il est très exactement inverti. Il prospère en temps de guerre, s’épanouit, apporte la prospérité matérielle aux ouvriers requis en usine, aux fournisseurs de l’État et aux fabricants de munitions, pendant que la fleur de la nation est tuée ou mutilée. Il languit en temps de paix, se contracte, apporte le rétrécissement du pouvoir d’achat, les faillites, banqueroutes, le chômage et toutes les misères à la clé. Pourquoi ce paradoxe?

Il y a toujours assez de pouvoir d’achat pour les buts de guerre PARCE QUE les biens créés sont détruits. Ainsi la sous-consommation peut être ordonnée au nom du patriotisme, tandis que la surproduction est liquidée.

Il ne s’agit point de mettre au pilori les banquiers actuellement inconscients, mais de considérer les faits. Les faits sont les suivants, ils crèvent les yeux: l’usure-à-l’argent négatif conduit à fournir toujours assez d’argent pour la guerre, la mort et la destruction et jamais assez pour la paix, la vie et la construction. Plus la guerre est terrible, dévastatrice, plus de pouvoirs d’achat sont créés, plus le flot d’argent-négatif s’enfle ainsi que les bénéfices des usuriers. Mais ce gonflement ne peut avoir lieu avec des biens qui encombreraient le marché, puisque les salaires sont toujours insuffisants pour les acheter, et ne peut avoir lieu que dans un seul cas, celui de la destruction délibérée des stocks. Le système ne fonctionne avec efficacité ( efficiency ) que si l’on détruit des biens réels (12). Il conduit implacablement à la guerre.

Jean Gaston BARDET (1950)

Extrait de: DEMAIN, C’EST L’AN 2000! de Jean-Gaston BARDET (éd. Jacques Petit, Angers, 1950)



Jean-Gaston BARDET (1907-1989) architecte et urbaniste, professeur international, il fut en poste dans de nombreux endroits du monde, Europe, Afrique, Moyen-Orient, les Amériques, en particulier l’Amérique Latine, dont le Mexique, où il travailla à six reprises.



LE SUPER MÉCANISME CONCENTRATIONNAIRE

Mais parmi tous les mécanismes concentrationnaires, il en est un plus subtil et plus puissant, dont l’ignorance était quasi totale il y a trente ans (NDLR, écrit en 1950, donc en 1920). Aussi suis-je bien obligé de l’exposer en détail. C’est le mécanisme bancaire qui multiplie les méfaits de l’usure et du crédit. En effet, d’un côté, par l’addition des intérêts il double, puis quadruple toute dette en quinze puis trente ans, d’un autre côté, par le subterfuge du crédit et de la monnaie scripturale, il vampirise toutes les richesses mobilières et surtout immobilières d’une nation, puis du monde.


(1) In -Human Ecology-, (Maclellan ed. 240 Hope Street, Glasgow), admirablement documenté mais dont nous n’acceptons pas le remède.

(2) Savoir doubler l’intérêt fait partie de la science bancaire… Ainsi en est-il de la vente à crédit -mensuel- à 8%, qui est en réalité à 16%, et qu’on tente de généraliser en Europe (en 1950)

(3) Economic Tribulations (Badley Heat, 1941).

(4) Publié par H. M. Stationary Office (Londres, 1931)

(5) Publié par Hing’s Printer (Ottawa, 1939)

(6) Dont les méfaits sont dénoncés par Robertson, -op. cit-, et le thomiste irlandais R. P. Denis Fahey in -Money manipulation and Social Order-, (Brown and Nolan. Dublin).

(7) Tel est le montant de l’impôt secret perçu sur toute la communauté de l’espace financier britanique, qui le paie non avec du vent mais avec son travail et ses propres biens réels. Et ce chiffre de 5 400 millions ne comporte pas toutes les acquisitions et investissements dans les affaires nationales ou internationales qui se montent au moins à 5 000 autres millions.

(8) Molotov, longtemps ministre des affaires étrangères de l’URSS, avoua que la seule chose qu’il craignait était que cette égalité soit réalisée en Occident…

(9) La recherche des grands espaces financiers, les accords financiers entre plusieurs nations n’ont, au fond (et peut-être inconsciemment), pour but que de trouver… chez les autres, de l’argent que l’on ne peut trouver chez soi; mais le théorème reste inéxorablement valable pour l’espace considéré!

(10) Le personnel de certaines usines s’appauvrit au fur et à mesure que s’accroît leur modernisation. Il pouvait acheter, en 1947, environ la moitié de la production, et deux ans après seulement le quart, car la modernisation entraîne un accroissement des charges du capital et une diminution des pouvoirs d’achat. Cf. l’article de Georges Levard, in “revue d’Action Populaire” de décembre 1950.

(11) L’abîme qui sans cesse augmente entre le “progrès” matériel et le progrès moral, vient de ce que la production matérielle n’est plus organique. Elle n’est plus financée par le croît naturel, par les propres réserves des industries, mais par anticipation, par dettes d’argent-négatif. Elle s’enfle à une vitesse qui dépasse toute maturation possible des individus. Cela est fondamental pour comprendre l’hystérie de la production.

(12) Aussi les faillites des industries sont-elles acceptées avec complaisance par les banques, c’est une des soupapes de sûreté qui empêchent la chaudière d’éclater. Par contre, les bons “Serra” émis sans intérêt au Kenya, vers 1921, ou les “billets coopératifs” sans intérêt, J.A.K., au Danemark en 1931, furent stoppés par les banques nationales, car les professeurs d’économie démontrèrent (!!) “que c’était un gros -désavantage- pour tout le monde (!) d’emprunter sans intérêt”. Qu’en pensent les constructeurs de petites maisons familiales… qui paient deux fois leur maison ?

https://issuu.com/rmounet/docs/demain_c_est_l_an_2000

Argent du néant, ex nihilo, une usure vorace, cause des crises.

desiebenthal.blogspot.com/2016/03/argent-du-neant-ex-nihilo-une-usure.html

24 mars 2016 – Ça s’appelle ex nihilo en technique bancaire. Ça ne vient de nulle part, ça ne vient pas des réserves du banquier, ça ne vient pas de la …

François de Siebenthal: Argent du néant, ex nihilo … – Nicoletta Forcheri

https://nicolettaforcheri.wordpress.com/…/francois-de-siebenthal-argent-du-neant-ex-...

24 mars 2016 – Sorgente: François de Siebenthal: Argent du néant, ex nihilo, une usure vorace, cause des crises. Argent du néant, ex nihilo, une usure vorace, …

françois de siebenthal | ANTIBANQUE

https://susauxbanques.wordpress.com/tag/francois-de-siebenthal/

3 mai 2017 – Articles traitant de françois de siebenthal écrits par Ced … Banquier et économiste HEC, il explique l’arnaque de la création monétaire ex-nihilo.

tout – YouTube

▶ 3:21

https://www.youtube.com/watch?v=iw_uVLHGWzs

2 juin 2015 – Ajouté par Gérard FoucherÇa s’appelle ex nihilo en technique bancaire. … Témoignage de François deSiebenthal, banquier suisse …

Le sujet est primordial pour le salut… – François de Siebenthal …

https://www.facebook.com/desiebenthal/posts/10207186562957100

To see more from François de Siebenthal on Facebook, log in or create an account. … Arnaque de la création monétaire du néant, ex nihilo… Grâce à …

7 manières de “créer” des “substituts” monétaires ex nihilo, du néant …

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/A3XmTSj8sAR

François de Siebenthal4 déc. 2016 – Dilutions monétaires par les crédits, dettes à intérêts ex nihilo, du néant, des vols systématiques et continus “légalisés” par des astuces et tricheries notamment …

François de Siebenthal: Les banques créent de la monnaie du néant …

https://www.pinterest.com/pin/207939707774464046/

François de Siebenthal: Les banques créent de la monnaie du néant, ex nihilo, de novo.

Création monétaire bancaire du néant, Ex nihilo et swaps Les …

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/G6cEGvD4fuG

9 janv. 2016 – Création monétaire bancaire du néant, Ex nihilo et swaps Les banques commerciales, à ma connaissance … François de Siebenthal – Google+.

Argent du néant, ex nihilo, une usure vorace, cause des crises. “Je …

https://plus.google.com/117421548238726599207/posts/L93UP6j1e58

François de Siebenthal24 mars 2016 – Transcription intégrale : François de Siebenthal : – Le vrai secret bancaire, en fait, ce que Ma… François de Siebenthal: Argent du néant, ex nihilo, une usure …

2 3 4 5 6 7 8 9 10 Suivant

FRANçOIS DE SIEBENTHAL, LAUSANNE

Agir ensemble, sur une convergence de volonté n’est en fait, rien d’autre que notre devise suisse, inscrite dans nos gènes, notre constitution et gravée sous la coupole fédérale à quelques centaines de mètres d’ici :

« Un pour Tous, Tous pour Un ».

Je vous remercie de votre attention et de votre écoute.

BANQUIER SUISSE GILET JAUNE

DU JOURNAL LE MATIN DE CE JOUR PHÉNOMÈNE UN «BANQUIER SUISSE GILET JAUNE» CARTONNE EN FRANCE

Tourné à Genève, le plaidoyer d’un politicien vaudois est devenu viral sur les réseaux sociaux. Mais il aimerait aussi être entendu en Suisse.

Les arguments de François de Siebenthal pour une microtaxe ont été entendus par des centaines de milliers de Français.

SIGNALER UNE ERREUR

Vous voulez communiquer un renseignement ou vous avez repéré une erreur ?
Orthographe
Ponctuation
Grammaire
Erreur factuelle
Technique
Votre adresse email*
Description de l’erreur*

La caméra s’approche de l’homme et demande: «Vous êtes Suisse?». «Oui mais je me soigne», rétorque-t-il. Le décor est planté, cette personne a du bagout et est plutôt haute en couleur. Cette scène ouvre une séquence de 2 minutes 30 tournée la semaine dernière à Genève lors de la venue des gilets jaunes. Depuis, le plaidoyer de celui qui est présenté comme un «banquier suisse gilet jaune» est devenu viral et a été vu par des centaines de milliers de Français.
L’interviewé commence par dire tout son soutien au mouvement français. Et ne mâche pas ses mots: «On n’aime pas les violences policières qui vous massacrent. C’est une horreur hein, une horreur. Il y a des gens qui meurent, des mâchoires fracassées, des yeux percés, des mains arrachées. C’est un état de guerre civile.»
Une minorité qui contrôle le monde
Puis il se lance dans sa démonstration, décrivant un monde «en surabondance de tout». Mais, enchaîne-t-il, «il y a une infime minorité qui planifie la rareté, qui par méchanceté, par bêtise, ou par excès de pouvoir, organise le manque pour contrôler le monde. Alors qu’on pourrait tous très bien vivre.»
Le banquier suisse termine par donner son remède. «En prenant une microtaxe, une nanotaxe, une miette sur toutes les créations monétaires et les flux financiers, on pourrait se passer de toutes les déclarations fiscales. (…) Le monde entier pourrait vivre en prenant cette miette.»
Commentaires très positifs
Chacun pensera ce qu’il veut de cet argumentaire. Mais ce discours séduit manifestement beaucoup parmi les gilets jaunes en France. La vidéo a été partagée par différents comptes, surtout sur Facebook. Comme celui de JOJO le Gilet Jaune: près de 45 000 vues ce jeudi matin. Celui de CitoyenTv: 120 000 vues. Ou d’Info gilet jaune: 290 000 visionnages! Et les commentaires sont massivement positifs.
Mais qui est ce Suisse qui n’est pas identifié sur la vidéo? Vu d’ici, ce n’est pas très difficile à trouver. Il s’agit de l’économiste et politicien indépendant vaudois François de Siebenthal, qui a été l’une des personnes à l’origine de l’initiative «Monnaie pleine» ou un fervent défenseur du RBI, le Revenu de base inconditionnel. Or il plaide en fait aussi pour sa paroisse puisqu’il est également membre d’un comité qui veut lancer en Suisse une initiative sur cette «microtaxe».
De la solitude au succès
Née à Zurich, l’idée de taxer toutes les transactions financières a été repérée et récupérée par le mouvement contestataire français, comme l’avait relaté «Le Temps» en décembre dernier. Le succès de cette vidéo le démontre à nouveau.
François de Siebenthal, lui, avait dû ressentir un vague sentiment de solitude le 29 décembre, lors d’une action de soutiens aux gilets jaunes à Lausanne. Elle avait réuni… trois personnes. Cette fois il se dit ravi mais pas vraiment surpris par le succès de «sa» vidéo. «Les Français sont victimes de cette infime minorité qui profite honteusement, beaucoup tirent la langue dès le milieu du mois. Donc, oui, je comprends que ces paroles leur parlent, ils ont compris le truc», nous explique-t-il.
Initiative lancée en mai
Ses arguments ont donc été entendus. Mais pas de notre côté de la frontière. Il semble que l’idée de microtaxe intéresse davantage les Français que les Suisses… François de Siebenthal l’admet volontiers: «Oui, c’est vrai. Simplement, je pense, car en Suisse nous sommes sur la même pente mais restons quand même mieux lotis que nos voisins.»
Mais le constat ne semble pas le décourager. «Nous devrions commencer la récolte de signature pour l’initiative pour une microtaxe en mai», note-t-il. (Le Matin)
Créé: 28.02.2019, 10h48

BANQUIER SUISSE GILET JAUNE

DU JOURNAL LE MATIN DE CE JOUR PHÉNOMÈNE UN «BANQUIER SUISSE GILET JAUNE» CARTONNE EN FRANCE

Tourné à Genève, le plaidoyer d’un politicien vaudois est devenu viral sur les réseaux sociaux. Mais il aimerait aussi être entendu en Suisse.

Les arguments de François de Siebenthal pour une microtaxe ont été entendus par des centaines de milliers de Français.

SIGNALER UNE ERREUR

Vous voulez communiquer un renseignement ou vous avez repéré une erreur ?
Orthographe
Ponctuation
Grammaire
Erreur factuelle
Technique
Votre adresse email*
Description de l’erreur*

La caméra s’approche de l’homme et demande: «Vous êtes Suisse?». «Oui mais je me soigne», rétorque-t-il. Le décor est planté, cette personne a du bagout et est plutôt haute en couleur. Cette scène ouvre une séquence de 2 minutes 30 tournée la semaine dernière à Genève lors de la venue des gilets jaunes. Depuis, le plaidoyer de celui qui est présenté comme un «banquier suisse gilet jaune» est devenu viral et a été vu par des centaines de milliers de Français.
L’interviewé commence par dire tout son soutien au mouvement français. Et ne mâche pas ses mots: «On n’aime pas les violences policières qui vous massacrent. C’est une horreur hein, une horreur. Il y a des gens qui meurent, des mâchoires fracassées, des yeux percés, des mains arrachées. C’est un état de guerre civile.»
Une minorité qui contrôle le monde
Puis il se lance dans sa démonstration, décrivant un monde «en surabondance de tout». Mais, enchaîne-t-il, «il y a une infime minorité qui planifie la rareté, qui par méchanceté, par bêtise, ou par excès de pouvoir, organise le manque pour contrôler le monde. Alors qu’on pourrait tous très bien vivre.»
Le banquier suisse termine par donner son remède. «En prenant une microtaxe, une nanotaxe, une miette sur toutes les créations monétaires et les flux financiers, on pourrait se passer de toutes les déclarations fiscales. (…) Le monde entier pourrait vivre en prenant cette miette.»
Commentaires très positifs
Chacun pensera ce qu’il veut de cet argumentaire. Mais ce discours séduit manifestement beaucoup parmi les gilets jaunes en France. La vidéo a été partagée par différents comptes, surtout sur Facebook. Comme celui de JOJO le Gilet Jaune: près de 45 000 vues ce jeudi matin. Celui de CitoyenTv: 120 000 vues. Ou d’Info gilet jaune: 290 000 visionnages! Et les commentaires sont massivement positifs.
Mais qui est ce Suisse qui n’est pas identifié sur la vidéo? Vu d’ici, ce n’est pas très difficile à trouver. Il s’agit de l’économiste et politicien indépendant vaudois François de Siebenthal, qui a été l’une des personnes à l’origine de l’initiative «Monnaie pleine» ou un fervent défenseur du RBI, le Revenu de base inconditionnel. Or il plaide en fait aussi pour sa paroisse puisqu’il est également membre d’un comité qui veut lancer en Suisse une initiative sur cette «microtaxe».
De la solitude au succès
Née à Zurich, l’idée de taxer toutes les transactions financières a été repérée et récupérée par le mouvement contestataire français, comme l’avait relaté «Le Temps» en décembre dernier. Le succès de cette vidéo le démontre à nouveau.
François de Siebenthal, lui, avait dû ressentir un vague sentiment de solitude le 29 décembre, lors d’une action de soutiens aux gilets jaunes à Lausanne. Elle avait réuni… trois personnes. Cette fois il se dit ravi mais pas vraiment surpris par le succès de «sa» vidéo. «Les Français sont victimes de cette infime minorité qui profite honteusement, beaucoup tirent la langue dès le milieu du mois. Donc, oui, je comprends que ces paroles leur parlent, ils ont compris le truc», nous explique-t-il.
Initiative lancée en mai
Ses arguments ont donc été entendus. Mais pas de notre côté de la frontière. Il semble que l’idée de microtaxe intéresse davantage les Français que les Suisses… François de Siebenthal l’admet volontiers: «Oui, c’est vrai. Simplement, je pense, car en Suisse nous sommes sur la même pente mais restons quand même mieux lotis que nos voisins.»
Mais le constat ne semble pas le décourager. «Nous devrions commencer la récolte de signature pour l’initiative pour une microtaxe en mai», note-t-il. (Le Matin)
Créé: 28.02.2019, 10h48

Démasquer les imposteurs

Très chers amis au service de la vérité, des principes éthiques[1] que sont l’autonomie, la bienfaisance, la non-malfaisance et la justice, ainsi que les compétences morales[2] que sont la fiabilité, la fidélité, l’authenticité et l’honnêteté, 


Le Système est basé sur le mensonge systématique et les tromperies d’État.
Afin d’assurer notre avenir et celui des prochaines générations pour l’Éternité, il est vital de contribuer à éveiller en masse les consciences des « moutons endormis ».
Voici une excellente vidéo diffusée par Micka, à consulter sous :
ÉRIC DROUET LA SORTIE C’EST PAR ICI! GAME OVER FAUX GILETS JAUNES. Micka Vlog du Quotidien [en ligne]. Ajoutée le 27 février 2019. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=rpzYWKXxlNs
Mon commentaire est le suivant :
« Excellent votre vidéo Micka!
C’est simple, il est temps de “tourner la roue” puisque tous les postes-clés sont occupés par des individus non-intègres, à remplacer par des individus intègres,c’est-à-dire issus du vivier des vrais gilets jaunes, défendant les valeurs, les principes et les concepts de l’État de droit. C’est un bonheur de collaborer avec vous, merci du fond du cœur pour votre puissante contribution à éveiller en masse les consciences ! »
Marc Rylewski de la chaîne Isadora Ducan fait également un excellent travail afin de dévoiler la face sombre des « élites » et des « stars » du show business français, à consulter sous :
Benjamin Castaldi veut m’aider à trouver Etienne Chouard. Isadora Ducan [en ligne]. Ajoutée le 25 février 2019. Disponible à l’adresse :https://www.youtube.com/watch?v=It0hERdS7fA
Zemmour, un peu soupe au lait…. Isadora Ducan [en ligne]. Ajoutée le 21 février 2019. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=mWxgb3V4FpU
Ruquier 1. Isadora Ducan [en ligne]. Ajoutée le 18 février 2019. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=WHr0_0qNaR0
Ruquier 2. Isadora Ducan [en ligne]. Ajoutée le 18 février 2019. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=vznZBdUpkPI
Marc Lavoine: Un vrai artiste s’engage… pas. Isadora Ducan [en ligne]. Ajoutée le 21 février 2019. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=D6An76NuzAY
Kassovitz: sûr de lui sûr de rien. Isadora Ducan [en ligne]. Ajoutée le 15 février 2019. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=P05G9_XeB3A
Et tous les autres… !
La Bible en français courant :
Matthieu 13 : 13-17
C’est pourquoi j’utilise des paraboles pour leur parler : parce qu’ils regardent sans voir et qu’ils écoutent sans entendre et sans comprendre. Ainsi s’accomplit pour eux la prophétie exprimée par Esaïe en ces termes :
« Vous entendrez bien, mais vous ne comprendrez pas ; vous regarderez bien, mais vous ne verrez pas.
Car ce peuple est devenu insensible ; ils se sont bouchés les oreilles, ils ont fermé les yeux, afin que leurs yeux ne voient pas, que leurs oreilles n’entendent pas, que leur intelligence ne comprenne pas et qu’ils ne se tournent pas vers moi pour que je les guérisse, dit Dieu. »
Quant à vous, heureux êtes-vous : vos yeux voient et vos oreilles entendent !
Je vous le déclare, c’est la vérité : beaucoup de prophètes et de membres du peuple de Dieu ont désiré voir ce que vous voyez, mais ne l’ont pas vu, et entendre ce que vous entendez, mais ne l’ont pas entendu.
En tant que Nathalie, être humain de chair et sang[3], créature de Dieu en lien avec le rôle autonome de ma profession d’infirmière ES, médiologue de santé, je suis solidaire aux suggestions d’Ernesto concernant le boycott du « Tour de France », du Festival de Cannes, de Roland Garros, etc.
Des gilets jaunes sur le tapis rouge. Ernesto Deupoinzero [en ligne]. Ajoutée le 21 février 2019. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=Ejbzliy3hbI&t=173s
Cordialement
Nathalie Scheidegger, infirmière ES
Tous droits réservés, sans préjudice.

[1] Association suisse des infirmières. Les principes éthiques : guide pour une prise de décision et une pratique moralement responsable. In : L’éthique dans la pratique des soins. [Brochure]. Berne, 2003. p. 9-22
[2] Association suisse des infirmières. Les compétences morales : l’attitude derrière l’action. In : L’éthique dans la pratique des soins. [Brochure]. Berne, 2003. p.p. 23-25.
[3] Interbible. Les écritures. Chair/corps. Interbible.org. Chronique du 21 septembre 2001. Disponible à l’adresse : http://www.interbible.org/interBible/ecritures/mots/2001/mots_010921.htm

Banque nationale suisse & énergies fossiles

Les investissements de la BNS dans l’industrie des énergies fossiles sont contraires aux intérêts de la Suisse

Mardi 24 avril 2018, les Artisans de la transition publient une nouvelle étude sur les placements de la Banque nationale suisse dans l’industrie des énergies fossiles aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Alors que cette institution gère l’une des plus importantes fortunes au monde, elle n’a toujours pas de politique climatique. Ce faisant, la BNS est en retard sur l’évolution de la finance internationale, en contradiction avec les politiques climatiques fédérales et nuit aux intérêts de la Suisse.
Rapport 1
Les investissements de la BNS dans l’industrie fossile aux Etats-Unis : une catastrophe financière et pour le climat
Jeudi 16 décembre, les Artisans de la transition publient un rapport sur les placements de la Banque nationale suisse aux Etats-Unis. Pour les Artisans de la transition, South Pole Group a passé en revue les 2535 titres que la BNS possède aux Etats-Unis, évalué les émissions de CO2dont ils sont responsables et l’évolution de leur valeur du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2015, date du dernier exercice pour lequel les émissions de CO2 des entreprises sont connues.
Les résultats sont éloquants : avec moins de 10 % de sa fortune placés à la Bourse des Etats-Unis, soit 61,5 milliards de dollars/francs (les deux monnaies sont à parité), la Banque nationale suisse (BNS) émet autant de CO2 que la Suisse entière et contribue à placer le monde sur une trajectoire de +4°C à +6°C de hausse de la température. Très loin, donc, de l’objectif de l’accord de Paris qui vise à limiter cette hausse bien en dessous de 2°C. Et au lieu d’obtenir de solides rendements financiers, la BNS a perdu, avec ses placements dans l’industrie fossile aux Etats-Unis, 4 milliards de dollars/francs en trois ans.
Cette étude ne vise pas à stigmatiser la BNS, mais à attirer l’attention de tous les investisseurs, c’est-à-dire de tout le monde, sur le fait que la place financière helvétique ignore la bulle carbone et que cela nuit tant au climat qu’à ses rendements financiers. En conséquence, les Artisans de la transition interpellent le Conseil fédéral et le Parlement fédéral pour qu’ils demandent à la BNS de modifier sa politique de placements qui, sur le chapitre du climat, ne respecte à l’évidence pas l’intérêt général du pays comme le demande la loi sur la BNS. Cette politique est, de plus, en totale contradiction avec l’objectif du Conseil fédéral de réduire de 20 % les émissions de CO2de la Suisse par des projets à l’étranger.
Les Artisans de la transition interpellent en outre tous les gestionnaires d’actifs, en particulier les responsables des placements des caisses de prévoyance, pour qu’ils évaluent leur exposition à l’industrie fossile et les pertes que cette exposition engendre. L’exemple de la BNS montre que ces pertes sont déjà très importantes. La priorité est de désinvestir des 200 entreprises les plus lourdement impliquées dans l’industrie fossile, le CU200, avec pas ou peu de chances de se reconvertir. Et de se tourner vers des services financiers qui analysent les portefeuilles d’actifs pour les rendre compatibles avec le respect de l’accord de Paris.

Banque nationale suisse & énergies fossiles

Les investissements de la BNS dans l’industrie des énergies fossiles sont contraires aux intérêts de la Suisse

Mardi 24 avril 2018, les Artisans de la transition publient une nouvelle étude sur les placements de la Banque nationale suisse dans l’industrie des énergies fossiles aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Alors que cette institution gère l’une des plus importantes fortunes au monde, elle n’a toujours pas de politique climatique. Ce faisant, la BNS est en retard sur l’évolution de la finance internationale, en contradiction avec les politiques climatiques fédérales et nuit aux intérêts de la Suisse.
Rapport 1
Les investissements de la BNS dans l’industrie fossile aux Etats-Unis : une catastrophe financière et pour le climat
Jeudi 16 décembre, les Artisans de la transition publient un rapport sur les placements de la Banque nationale suisse aux Etats-Unis. Pour les Artisans de la transition, South Pole Group a passé en revue les 2535 titres que la BNS possède aux Etats-Unis, évalué les émissions de CO2dont ils sont responsables et l’évolution de leur valeur du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2015, date du dernier exercice pour lequel les émissions de CO2 des entreprises sont connues.
Les résultats sont éloquants : avec moins de 10 % de sa fortune placés à la Bourse des Etats-Unis, soit 61,5 milliards de dollars/francs (les deux monnaies sont à parité), la Banque nationale suisse (BNS) émet autant de CO2 que la Suisse entière et contribue à placer le monde sur une trajectoire de +4°C à +6°C de hausse de la température. Très loin, donc, de l’objectif de l’accord de Paris qui vise à limiter cette hausse bien en dessous de 2°C. Et au lieu d’obtenir de solides rendements financiers, la BNS a perdu, avec ses placements dans l’industrie fossile aux Etats-Unis, 4 milliards de dollars/francs en trois ans.
Cette étude ne vise pas à stigmatiser la BNS, mais à attirer l’attention de tous les investisseurs, c’est-à-dire de tout le monde, sur le fait que la place financière helvétique ignore la bulle carbone et que cela nuit tant au climat qu’à ses rendements financiers. En conséquence, les Artisans de la transition interpellent le Conseil fédéral et le Parlement fédéral pour qu’ils demandent à la BNS de modifier sa politique de placements qui, sur le chapitre du climat, ne respecte à l’évidence pas l’intérêt général du pays comme le demande la loi sur la BNS. Cette politique est, de plus, en totale contradiction avec l’objectif du Conseil fédéral de réduire de 20 % les émissions de CO2de la Suisse par des projets à l’étranger.
Les Artisans de la transition interpellent en outre tous les gestionnaires d’actifs, en particulier les responsables des placements des caisses de prévoyance, pour qu’ils évaluent leur exposition à l’industrie fossile et les pertes que cette exposition engendre. L’exemple de la BNS montre que ces pertes sont déjà très importantes. La priorité est de désinvestir des 200 entreprises les plus lourdement impliquées dans l’industrie fossile, le CU200, avec pas ou peu de chances de se reconvertir. Et de se tourner vers des services financiers qui analysent les portefeuilles d’actifs pour les rendre compatibles avec le respect de l’accord de Paris.

Franc-maçon converti

Fraudes, Valais & Franc-Maçonnerie…

27 mars 2017 – Toutefois, la motion UDC, loin de faire la fixation que d’aucuns lui prêtent sur la francmaçonnerie, a voulu appréhender des problématiques …
18 avr. 2017 – En 2017 les francsmaçons ont organisé des conférence publiques à Lausanne et à Genève et c’est nouveau. Un musée concernant la …
9 mars 2010 – Tout est dédié à la gloire de cette secte secrète qu’ est la Francmaçonnerie : Dès l’entrée extérieure, les initiés y voient leurs symboles, deux …

Invitations importantes, samedi 2 mars

Très chers amis au service de la vérité, des principes éthiques[1] que sont l’autonomie, la bienfaisance, la non-malfaisance et la justice, ainsi que les compétences morales[2] que sont la fiabilité, la fidélité, l’authenticité et l’honnêteté,
La Bible en français courant :
Éphésiens 4 : 25
C’est pourquoi rejetez le mensonge ! Que chacun dise la vérité à son prochain, car nous sommes tous ensemble membres d’un même corps. Si vous vous mettez en colère, prenez garde de ne pas tomber dans le péché ; que votre colère ne dure pas jusqu’au soir. Ne donnez pas au diable l’occasion de vous dominer. Que celui qui volait cesse de voler ; qu’il se mette à travailler pour gagner lui-même sa vie de façon honnête et avoir ainsi que quoi aider les pauvres.
Ne prononcez aucune parole mauvaise ; dites seulement des paroles utiles, qui aident les autres à progresser dans la foi et répondent à un besoin, pour faire ainsi du bien, à ceux qui vous entendent. N’attristez pas le Saint-Esprit, de Dieu ; l’Esprit est en effet la marque de Dieu appliquée sur vous, il est la garantie que le jour viendra où Dieu vous délivrera complètement du mal. Chassez loin de vous tout sentiment amer, toute irritation, toute colère. Éliminez les cris et les insultes. Abstenez-vous de toute forme de méchanceté. Soyez au contraire bons et pleins d’affection les uns pour les autres ; pardonnez-vous réciproquement, comme Dieu a pardonné dans le Christ !
Afin de contribuer à l’effort collectif de changement de paradigme à l’échelle mondiale, voici ce que j’ai écrit à Karim de la chaîne “ChutJeDors”:
Karim, S’il vous plaît veuillez diffuser des informations fiables et cessez le 2ème degré. La situation est grave. La priorité pour l’Humanité toute entière est de mettre fin au scénario machiavélique des sionistes et des wahhabites reliés à l’Intelligence artificielle et au projet NEOM, à lire sous : François de Siebenthal, Nathalie Scheidegger. Paix à l’échelle de la planète. Abus-suisses.blogspot.com [en ligne]. 26 février 2019. Disponible à l’adresse : http://abus-suisses.blogspot.com/2019/02/paix-lechelle-de-la-planete.html Tous ensemble nous arriverons à mettre un terme à ce scénario machiavélique. Vive la France libre!
J’ai rédigé mon message à partir de la vidéo suivante :
Comment je suis devenu millionnaire. ChutJeDors [en ligne]. Ajoutée le 26 février 2019. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=sMqmvldupjw

A comprendre et à prendre conscience :
En 2019, la priorité est d’éveiller les consciences et de contribuer à augmenter l’intelligence et la sagesse collective. Le 2ème degré à outrance empêche d’entrer dans cette dynamique vertueuse.
Découvrez les trois passoires de Socrate à partir du lien suivant :
François de Siebenthal, Nathalie Scheidegger. Construire ou détruire le monde. Abus-suisses.blogpsot.com[en ligne]. Ajoutée le 1 er février 2019. Disponible à l’adresse : http://abus-suisses.blogspot.com/2019/02/construire-ou-detruire-le-monde.html
Afin de cocréer un monde meilleur pour assurer notre avenir et celle des prochaines générations pour l’Éternité, rejoignez un atelier « gilets jaunes » constituants :
Voici l’invitation à un 1er Atelier constituant géant de la région Rhône-Alpes qui aura lieu le samedi 2 mars, de 13 h à 20h.
Venez constituer avec nous samedi ! Et venez écrire vos lois.
C’est l’association Green Harmony et plusieurs équipes de militantes et militants savoisiens, savoisiennes qui ont œuvré comme des fourmis merveilleuses pour organiser cet évènement.
Lieu :  La bulle de Douvaine – Avenue du Stade (1200 places assises)
Horaire :  13h à 20h (début de l’ATELIER-conférence à 14h)
Intervenants :
  • Etienne Chouard, précurseur du Référendum d’Initiative Citoyenne (RIC).
  • François de Siebenthal, économiste HEC et juriste.
  • Ana Sailland, Chloé Frammery, Sylvain Baron, citoyens engagés
Ils viendront à la rencontre des Gilets Jaunes et des citoyens soucieux d’un avenir meilleur. On vous invite nombreux à cette après-midi de démocratie participative pour s’informer, débattre et apporter vos suggestions concernant le Référendum d’Initiative Citoyenne
Entrée gratuite.
Participation sur cagnotte en ligne ci-contre: www.lepotcommun.fr/pot/x3g8qgyy
Pour ceux qui ne peuvent le faire via le web, un chapeau sera mis à disposition à l’entrée. Votre participation est la bienvenue pour rendre possible cette rencontre et celles qui pourraient suivre après … 😉
La conférence sera traduite en langue des signes.
Déroulement :
13h00 – 14h00 : Accueil du public.
14h00 – 14h15 : Présentation des intervenants.
14h15 – 16h00 : Une mise en scène avec les intervenants pour présenter le référendum d’initiative citoyenne, donner des pistes pour l’obtenir et montrer ce qu’est un atelier constituant.
16h00 – 17h00 : Atelier constituant géant (formation de groupes de travail). Tous les travaux seront affichés à la fin.
17h00 – 17h30 : Pause (tout le monde pourra déposer ses questions sur papier qui seront lues plus tard).
17h30 – 18h30 : Compte-rendu de l’atelier (les groupes qui veulent montrer leur travail mettent leur numéro dans un chapeau et les intervenants piochent 3 ou 4 numéros puis expliquent et répondent aux questions pendant une dizaine de minutes par groupe).
18h30 – 20h00 : Comment obtenir le R.I.C. + Questions – Réponses
Sylvain Baron prendra la parole pendant 30 minutes, pour parler des possibilités d’obtenir le RIC.
Plusieurs approches légales seront abordées.
Buvette sur place
Prévoyez de quoi écrire et si possible la constitution française (environ 4,50 euros en librairie).
Pour plus d’informations sur la cagnotte :
Pour plus d’informations organisation :
Au plaisir de vous voir ! 
Chloé  
Ne doutez jamais qu’un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. C’est d’ailleurs toujours comme cela que ça s’est passé ! Margaret Mead (1901-1978) – anthropologue
et. dans le même esprit :
Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. Marc Twain, alias Samuel Langhorne Clemens (1835-1910) – essayiste
A comprendre et à prendre conscience :
C’est par l’union d’individus intègres et des groupes d’individus intègres que nous mettrons fin à la domination de l’Homme par l’Homme, au sens de l’être humain, puisque cette perversion concerne également les femmes.
Les priorités sont les suivantes (liste non exhaustive) :
  • Que les agriculteurs puissent vivre dignement de leur force de travail et des aliments qu’ils produisent, que les sols redeviennent fertiles de manière naturelle (note : j’ai écrit cette phrase selon les mots qui me venaient en tête. Je ne me suis pas référée à une référence spécialisée. Au sujet de l’agriculture, il est impératif de prendre en compte la parole des agriculteurs puisqu’ils détiennent le savoir-être, le savoir-faire et le savoir-agir en lien avec leur champ professionnel, au sens propre comme au sens figuré !)
  • Que les enseignantes, les enseignantes aient les moyens nécessaires à disposition afin d’être en mesure d’accompagner et de soutenir la croissance individuelle de chaque enfant, dans un cadre bienveillant et sécuritaire, tout en maintenant leur état de santé mental et physique.
  • Que les institutions répondent aux véritables besoins et attentes spécifiques des individus et des collectivités humaines, ceci de manière cohérente, concertée, adaptée, individualisée, efficace, efficiente et sécuritaire.
  • Que les prestations des journalistes soient au service de la vérité et de la justice et cessent d’être au seul service des mensonges et des tromperies d’État.
  • Que les corps de police effectuent la transition entre leur statut de forces de répression à celui de « gardien de la paix ».
  • Que les prestations des professionnels de santé intègres retrouvent leur souveraineté au sein de tout système de santé, que ce soit en France, en Suisse et à l’échelle de la planète afin que les milieux socio-sanitaires fonctionnent de manière saine et pérenne, tout en répondant aux véritables besoins et attentes spécifiques des individus et des populations.
Auxquelles s’ajoutent toutes les doléances légitimes d’individus intègres et de groupes d’individusintègres étant confronté à des dysfonctionnements chroniques et à des injustices.
Cordialement
Nathalie Scheidegger, infirmière ES
Tous droits réservés, sans préjudice

[1] Association suisse des infirmières. Les principes éthiques : guide pour une prise de décision et une pratique moralement responsable. In : L’éthique dans la pratique des soins. [Brochure]. Berne, 2003. p. 9-22
[2] Association suisse des infirmières. Les compétences morales : l’attitude derrière l’action. In : L’éthique dans la pratique des soins. [Brochure]. Berne, 2003. p.p. 23-25.

Intelligence artificielle & NEOM

Très chers amis,

La réalité dépasse la fiction! Je reste à l’aise dans mon “polar professionnel” pour autant que vous suiviez mes “eurêka” en faveur de mon prochain et de l’intérêt général.

J’ai fait l’expérience, à plusieurs reprises, que tout citoyen insuffisamment informé n’a pas la capacité de recevoir ce type d’informations. Le scénario des sionistes et des wahhabites est tellement monstrueux qu’il n’est pas forcément aisé à appréhender. 

Mon message du jour à pour sujet l’intelligence artificielle reliée au projet NEOM, à lire sous: 


François de Siebenthal, Nathalie Scheidegger. Paix à l’échelle de la planète. Abus-suisses.blogspot.com [en ligne]. 26 février 2019. Disponible à l’adresse : http://abus-suisses.blogspot.com/2019/02/paix-lechelle-de-la-planete.html
J’émets l’hypothèse que Jan von Overbeck, ancien médecin cantonal bernois soit un vecteur de l’intelligence artificielle en Suisse. J’avais en ma possession un document très éclairant à ce sujet, mais je ne le retrouve pas. En fichier-joint j’ai inséré un document en lien avec les activités de “Télémédecine” de Jan von Overbeck.

Le journal “24 heures” en ligne nous apprends, en décembre 2018,  que Jan von Overbeck est candidat à l’Exécutif de St-Prex  à lire sous: 
Sarah Rempe / Madeleine Schürch. De nombreux candidats à l’assaut des municipalités. 24 heures.ch [en ligne]. 18 décembre 2018. Disponible à l’adresse :https://www.24heures.ch/vaud-regions/la-cote/nombreux-candidats-assaut-municipalites/story/16760039

Article dans lequel est écrit:

“À Saint-Prex tout d’abord, où deux sièges devront être repourvus pour combler les départs de Barbara Regamey et de Roger Burri. Pas moins de six candidats sont sortis du bois lundi, lors du dépôt des listes. Véronique Savioz, 52 anscadre au CHUV, conseillère communale et membre de la commission de gestion depuis trois ans. Également élu de l’organe délibérant, Pierre Enderlin, 60 ans, indépendant dans le marketing et la communication, actif au comité de Saint-Prex sur les quais et président de l’Amicale de voile du Coulet. David La Framboise, Américano-Suisse de 55 ans, ergothérapeute de formation, actuellement en charge du recrutement chez Swisselect AG et membre du Conseil depuis 2016. Anthony Hennard, 45 ansingénieur en micro-technique et siégeant à l’organe délibérant depuis 2011.”
  
“Ancien du Conseil, où il a passé huit années, Daniel Oberson, 62 ans, est lui aussi candidat. Enfant de Saint-Prex, il a géré le Café de la Gare et est très impliqué dans les sociétés locales. Le dernier candidat, seul à n’avoir pas siégé au Conseil communal, se nomme Jan von Overbeck. Âgé de 64 ans, cet ancien médecin cantonal à Berne a pris sa retraite cette année et a fondé sa firme de conseil médical.”

Remarque: 
Je crains que ces individus soient “à des années lumières des saveurs du terroir” et qu’ils participent à renforcer l’enfer sur terre, liée au Marché de la santé et à la promotion de l’intelligence artificielle.  A vérifier bien sûr. 
C’est avec une profonde gratitude que je remercie M. d’effectuer cette vérification. Je sais que je me répète, je suis vraiment ravie et soulagée que cette possibilité existe car dans un avenir proche, il est vital que les professionnels de santé intègres redeviennent souverains quant à leur profession respective sous peine de renforcer la dégradation des prestations de soins. 

Les “cols blancs” et autres individus ayant perdu le sens de la réalité de la relation soignant-soigné liés aux expériences de terrain, n’ayant aucune connexion “coeur-âme-cerveau” détruisent les services publics et ont engendré un gigantesque chaos au sein des milieux socio-sanitaires. 

Attirer l’attention sur ce problème de santé public majeur, expose tout professionnel de santé intègre à la mise à l’écart de la vie professionnelle  De nombreux professionnels de santé intègres sont dans cette situation. 


Cordialement
Traduction »