Nous pouvons parfois prendre M. Sarkozy au mot


Chère Madame Christine Boutin, Ministre au Ministère du logement et de la ville.
Nous nous sommes vus à St Maurice en Suisse. Nous avons notamment partagé un repas et participé à des conférences sous l’égide d’Eucharistein.
Voici une solution rapide pour vos problèmes urgents.
Vous pouvez faire récupérer des milliards de dollars par le fisc français grâce notamment aux informations ci-dessous, en demandant la justice pour M. Joseph Ferrayé.
Nous devons prendre au mot M. Sarkozy et faire appliquer son discours à l’ONU tout-de-suite.

Les principaux fournisseurs d’accès internet en Suisse sont priés d’empêcher la lecture des propos d’Appel au Peuple, qui demande aussi la justice, par une lettre des “autorités” judiciaires vaudoises datée du 18 décembre 2007…. La censure continue, les juges suisses ne veulent pas que l’on sache la vérité de leurs abus et leurs corruptions… C’est pathétique… Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire. François de Siebenthal Annexes:
La justice pour l’affaire de M. Joseph Ferrayé, qui veut faire libérer ses fonds considérables et aider les plus pauvres. …Récapitulons brièvement les faits : 1. Joseph FERRAYE dépose ses brevets et veut les commercialiser immédiatement à la suite des incendies pétroliers au KOWEIT. … …3. Des associés et mandataires, en complicité avec le gouvernement français, sur l’initiative de Dominique STRAUSSKAHN, du Président et du Premier Ministre, mais d’autres Ministres responsables aussi, décident de spolier Joseph FERRAYE et non seulement de détourner les royalties de 100 milliards de dollars payés pour l’extinction des puits au KOWEIT, mais aussi de vendre ces procédés à leur propre profit, à tous les Pays pétroliers. 4. C’est ainsi que des sommes colossales ont été détournées sur des comptes en Europe et notamment en Suisse, comme l’a déclaré Me ST-HILAIRE lors de son audition au procès, selon page 11 du jugement. Dans son audition du 19 novembre 2002, il confirme même qu’il a présenté les comptes aux escrocs, en présence de MOTTU et BRUPPACHER. 5. Sur plainte du 29 janvier 1996 des avocats de FERRAYE, Marc BONNANT et Dominique WARLUZEL, l’ensemble des fonds ont été saisis et séquestrés et les 6 associés et mandataires de l’inventeur auraient dû être arrêtés et emprisonnés. 6. Tel n’a pas été le cas ! Mais pour rester libre, ils ont dû signer deux trains de conventions, par lesquels ils cédaient leurs comptes, sur lesquels ils avaient détourné l’argent de Joseph FERRAYE, au profit d’une Société offshore nommée WILDROSE censée rapatrier les fonds escroqués en faveur de l’Inventeur. Jean-Marie GHISLAIN était administrateur de WILDROSE et détenait tous les pouvoirs sur cette Société, sans que FERRAYE n’ait à intervenir. C’est ainsi qu’au travers de WILDROSE, tous les fonds repris aux 6 associés et mandataires, ont été partagés entre les membres du complot, MOTTU, BONNANT, WARLUZEL, Membres du Gouvernement français etc., contre le SILENCE DES ESCROCS ESCROQUES (Les 6 associés et mandataires). En cas de refus de leur part, ces 6 escrocs (associés et mandataires) auraient été immédiatement incarcérés et accusés d’escroquerie, poursuivis et jetés en prison. De toute manière, ils n’auraient jamais pu toucher à nouveau les fonds qui leur avaient été subtilisés. Tout comme l’arroseur arrosé, ils étaient devenus les Escrocs escroqués… 7. A ce jour, les 6 escrocs précités jouissent toujours de leur LIBERTE…

Ceci suffit à démontrer la complicité des « pouvoirs judiciaires » dans ce CRIME ! En fait les « pouvoirs judiciaires » sont une ORGANISATION du CRIME en soit, protégée par le pouvoir politique qui sait se faire rétribuer pour sa complicité par de nombreux mandats dans les Conseils d’administration des sociétés de blanchiment… !

Procès 2006 dit d’Appel-au-Peuple, censuré sur internet par les “autorités” suisses…
01.10.2007 Recours au Tribunal Fédéral
Violation Droits constitutionnels et CEDH

04.10.2007 Procureur vaudois Eric COTTIER
Requête de refus de l’octroi de l’effet suspensif

13.10.2007 Marc-Etienne Burdet
Détermination contre requête COTTIER du 04.10.2007

31.10.2007

Tribunal Fédéral
Octroi de l’effet suspensif contre la requête du Procureur





Procès 2007 sur plainte de Pierre MOTTU

Détournement et blanchiment des royalties FERRAYE
06.07.2007 Déclaration en audience du témoin Associé de MOTTU
Eric DE LA HAYE ST-HILAIRE – Notaire parisien


Recours tardif (1 jours après délai) de Me Daniel BRODT, avocat
Contre la condamnation de Marc-Etienne BURDET.

17.08.2007
12.10.2007 Marc-Etienne Burdet
Recours au Tribunal Fédéral – Trahison BRODT, avocat





Documents divers
06.07.2007 Logique qui prouve l’escroquerie des royalties FERRAYE et la complicité des pouvoirs judiciaires et politiques




06.07.2007 Réponse au député vaudois François BRELAZ
Machiavélisme version Pierre MOTTU
06.08.2007 Comment MOTTU manipule des individus pour les corrompre à sa cause. Le chantage opéré par MOTTU contre Pascal DUBUIS pour qu’il fasse de faux témoignages contre moi est représentatif du fonctionnement du “notaire” genevois Pierre MOTTU.

MADAGASCAR : a social credit experiment for the poorers

The Madagascar Experiment.




A true social credit experiment, using dividends and compensated
discounts in a small community seen as an island.
Please, see video with swiss wir bank and other videos how to create
your own money sytem and improve it with social credit.

http://youtube.com/watch?v=uQehEGGwy0Q

https://www.youtube.com/watch?v=3pH47531SbE&list=PLcbJw3cmEXuabhn-vGs_LVM13WROdDuEa&index=15

https://www.youtube.com/watch?v=NxDLZBo2SpE&list=PLcbJw3cmEXuabhn-vGs_LVM13WROdDuEa

Who is interested to join wir-international ( Wir means in german we together, us the living, as
the Robert Heinlein science fiction book describing such a system,
book to be destroyed on orders of the “masters”). The future society
has a Social Credit structure — something which may come as a
surprise to those who were not acquainted with Heinlein’s early
leftist leanings.
www.michaeljournal.org/appenA.htm
At a number of points in For Us, the Living , Heinlein describes an
environment in which individuals are able to choose whether or not to
accept a job. Passing references are made to the large number of
individuals who take up art or other careers that traditionally do not
pay well. The book also points out the short working hours and high
wages paid to employees. The book ascribes this flexible working
environment to the social credit system (the “Dividend”) adopted by
the USA.
http://en.wikipedia.org/wiki/For_Us%2C_The_Living:_A_Comedy_of_Customs
http://www.heinleinsociety.org/news/newsFUTL.html i.e. people who have
the technology to give more free time for the best ? Most of the work
can be done by robots, computers and so on… You need to organize as
Singapoor did, taking some ideas from the swiss. You can copy our
legal articles of ass.
Switzerland was the poorest country in the world.
Financial Crisis is when the public loses confidence in financial
institutions such as banks, and therefore want actual legal money from
them, rather than their promises to pay, which are normally accepted
as money. This takes us back to the many sorts of money that we can
use in our economy. One is legal tender money, coins and notes issued
by or on behalf of the state, which creditors are legally obliged to
accept in settlement of what is owed to them.
The second is bank created credit (at least 95% of the total money
supply), which is no more than a bank’s promise to deliver legal
tender money on demand, given in exchange for a borrower’s promise to
repay, usually over a period of time.
The others are all other means used as money ( coupons, tires, reka,
mana, etc…) 1) Money #1 cannot be destroyed, and therefore
circulates from producers to consumers and back again. M1 is public in
Switzerland but private in many countries, the US FED is owned by
private people and work for their pockets… 2) Money #2, 3, 4, n are
continually being created and destroyed by private banks for profits,
as loans are made and repaid. This leads therefore to “trade cycles”,
where inflation alternates with recession, as bank money is created
and withdrawn. A particular effect of financing business capital
through bank loans (a very common practice) is to create credit money
at a time when capital goods (factories, machinery, etc. etc) are
being produced, workers are receiving incomes, but nothing more is
going on the market for people to buy. When the factory is completed,
and workers are laid off, goods start reaching the market, businessmen
start wanting to repay their bank loans, but the laid off workers now
have no money either to buy the products, and the businessman
therefore finds it impossible to repay his bank financing. (This
explains the Douglas A+B theorem, where A is wages, and B is capital
costs). Therefore we have recessions. 3) Money “swiss wir” is our wir
system, a social system free and efficient.
4) Social credit creation, S3C, a better system based on C.H. Douglas
principles and applied locally in Madagascar .
http://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Social_Credit&oldid=73100008
http://www.pavie.ch/articles .php?lng=en&pg=711
http://www.complementarycurrency.org/ccvideo.html The Wirtschaftsring
in Switzerland, WIR. WIR Economic Circle Cooperative www.wir.ch in
german, french and italian, Please, see wir bank on google The
Wirtschaftsring in Switzerland, formed in 1934 is one of the oldest
complementary currency systems in existence. See our websites and our
work at www.complementarycurrency.org and www.network-economies.com a
very simple system to begin with…
http://www.pavie.ch/articles.php?lng=en&pg=263 If you want
computers… We are happy to announce that a new version of Cyclos has
been published on Source forge http://sourceforge.net/projects /cyclos
. Cyclos is published under the GPL license which means it can be used
at no costs and it will run on a variety of platforms like Linux,
Windows, Macintosh and Solaris. But, even more important, anybody is
free to download the source code and add new functions, make
improvements or modifications.

Report summarized of a small community of creditists.

To begin, the social crediters came from Canada and Switzerland
and provided 100 $ CDN of hens in 2004, plus the countable
notebooks, the large countable book, the pencils and two envoys on
the spot during a day, with the formation of one responsible local
person during a few hours and three visits of a local specialist
trained in Canada. 4 zebus (1000 $ ) were given in 2006. The saffron
bulbs were lost in the post office. The community is composed of
66 people in quasi autarkical situation, without electricity nor
telephone and 100 % ecologist.

There is 0 pollution.

Thanks to the system, no more usury at around 1’000 percent
interest. They more than doubled the production of rice and
vegetables. Despite several hurricanes, they could build or rebuild
all buildings themselves, including the Church, the presbytery and
improve all their houses of terra cotta bricks. They built in more of
the cattle sheds and the shelters for 7 zebus (from 4 to 7), for
1454 hens, a school and began to build a multifunction center. 148
chickens were eaten and 346 sold. They also made a system of
irrigation, with 5 permanent dams and several provisional dams to
improve. The roads all are remade thanks to the communal efforts.
The total value of the appreciations is higher than 5 million local
currency. The requirements of official money are met by the sale
for eggs and hens.

People: They engaged three teachers, a fourth arrives. A person became
the doctor of the area. The committee meets at least once per
week. The families pray three times per day, Lauds, complies and
vespers. They make recollections and retirements.
The accounts are audited by two elected persons, then by Dina. More
than 4 flowers (vocations of priests). Their motto is to prayers, work
and eat.

Projects: Community bank of local seeds. A system to alert thanks to a
goose herd to drive out the robbers. To test the saffran Medicinal
plants. To continue the afforestation (eucalyptus). Impression of
tickets of local currency to open the exchanges with the
neighbours expressed as a percentage freely negotiated governmental
currency, as the Mana system as www.wir.ch To organize visits,
come and see. We thank all those which who made it possible.

Signed: Rev. Father Alain Thiery Raharison, Cathedral of Antananarivo

http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/02/infinite-interest-rate.html

Quote of Michael Lane….February 2005

Since April 2002 I have been urging on the world social credit
community — in a letter to my fellow directors of the Social Credit
Secretariat, in issue after issue of Triumph of the Past , in Bill
Ryan’s social credit e-mail discussion group, in the concluding
chapter of my book on Charles Ferguson, in five talks in Australia and
New Zealand in October 2002, and on the Australian League of Rights
website — that we no longer wait but implement social credit
immediately at the local level, adapting Douglas’s ideas for that
purpose.
Last May two representatives of the Pilgrims of St. Michael –
full-time pilgrim Marcel Lefebvre and “our good friend of Switzerland,
Mr. Francois de Siebenthal consul general of the Philippines and an
economist” – visited Madagascar as guests of the Catholic Episcopal
Commission on Justice and Peace. The following is the account of this
visit published in the Pilgrims’ Michael journal for May-July 2004:

Then we went into the bush, driven by the secretary, in the pastor’s
“4 x 4” vehicle. We were invited by the Secretary General of the
Justice and Peace Commission, Mr. Jean Marie, a father of 8 children,
who is involved with church activities. He managed to gather all the
people of the village to meet us.
We began with the recitation of the Rosary, and then gave a talk on
the cause of their poverty, and the way out, by establishing a local
money system, like in Switzerland and in Argentine, where they call it
“social credits.” We told them about the possibility of creating their
own figures (money) to develop their area, without waiting for the
International Monetary Fund, the World Bank, and all the other
money-lenders who exploit them. We founded together the first Social
Credit bank, just as the five islanders did in ” The Money Myth
Exploded .” They brought all their belongings to create a fund to
start the new bank. It was really moving and impressive to see them
bring all they had. They are really good people. Bishop Raymond told
us that within a year, there will be 500 small banks like this one in
Madagascar.
So where we founded this first bank, we gave a Rosary to every family
that enlisted, and made them promise to say the family Rosary every
day for the success of this important undertaking. Before founding the
bank, Mr. de Siebenthal asked the priest who was accompanying us to
confess the Faithful. There will be no interest charged in this bank;
on the contrary, dividends will soon be given to every participant.
They will develop their own area in an impressive manner.

De Siebenthal gave a presentation about this at the Pilgrims’ Annual
Congress in September at their center in Rougemont, Quebec. From
October-December issue of Michael :

Mr. Francois de Siebenthal spoke to us of his apostolate with Mr.
Marcel Lefebvre in Madagascar last May. In a small county in the bush,
far from large cities, our two fervent Social Crediters established
Social Credit in a simple manner, a bit like the story in ” The Money
Myth .” “Madagascar,” Mr. de Siebenthal told us, “is the concrete
example of a talk given by Mr. Louis Even. I re-read all the early
writings by Louis Even in a small pamphlet. He spoke of Switzerland,
of methods, of referendums, and of local banks in Switzerland. We
simply applied this project from the 1930’s of Louis Even, applied it
in Madagascar.

Guest speaker Bill Daly of New Zealand summarized de Siebenthal’s
presentation as follows:

An experienced banker, now working for a Catholic TV station, he had
only a short while before heard of Social Credit. But being a man of
action he had earlier in 2004 spent several weeks at Rougemont
learning as much as possible and had then gone to Madagascar with a
colleague and started a small local credit scheme in one of the
remotest and poorest districts. While initially very simple it is
intended to introduce other aspects as the scheme develops, such as a
national dividend and the compensated price. The Cardinal of
Madagascar wants to see such schemes established in every one of his
more than 100 parishes.

This exciting idea became a main focal point of the Congress. Again
from Bill Daly:

What was evident at Rougemont was the new possibility of such
developments emerging within, but not exclusively, the third world.
More than one Bishop was present from Mexico and the Philippines and
there were a number of priests and lay professional people, some
associated with universities. . . . Certainly those attending from
Poland, Mexico, Ecuador, Benin and the Philippines only demonstrated
great enthusiasm and hope for genuine reform in their own diocese,
parishes, towns and countries.

Another speaker, Vic Bridger of Australia, put it this way:

It was stimulating because of the enthusiasm shown by all the
delegates from Poland, Mexico, Ecuador, and the Philippines in
particular. . . . Each of the Bishops and Monseigneurs [Monsignors]
declared that they would be furthering the cause through their
pulpits. . . . I left the Congress with the view that it may well be
the poorer countries who will give the lead because they have nothing
to lose but their poverty.

According to the same issue of Michael , “Fr. Jozef Jakubiec and
Doctor Jan Wilk want to found, at the Shrine of the Holy Family in
Krakow . . . a bank that lends interest-free money, working along the
Social Credit principles.” Finally, a recent Pilgrims flyer released
in advance of a series of public meetings in New Zealand says: “With
the help of local church and community leaders they initiated an
exciting complementary currency in an impoverished area of Madagascar.
Presently similar projects are planned in Poland, the Philippines and
elsewhere.”

Actually, the first interest of the Pilgrims in this concept can be
dated a little earlier, namely, a conference at Zakopane, Poland in
December 2003, hosted by that same Fr. Ja kubiec. In an e-mail to the
Social Credit Action Group, Diane Boucher, who represents the Pilgrims
and has a master’s degree in economics, states:

The subject of the conference in Zakopane was about practical ways to
implement social credit policies. People interested in social credit
in Poland do not want to use a top-down strategy but a bottom-up one.
That is to say they choose not to implement social credit at the
national level, but to create small communities using local monies. .
. . People in the Louis Even Institute [Pilgrims] think that the way
Poland chose is a good way to begin an implementation of a social
credit system.

It is now going on a year since the foundation of the “first Social
Credit bank.” But not only have we had no progress report, we don’t
even know what was done in the first place. The sketchy account above
is all that has been published. Diane Boucher has supplied a little
more information in two e-mails to the Social Credit Action Group:

September 3, 2004: What the villagers did with their belongings was to
put a monetary value on them. So the accountant of the Bank was able
to write these values to the account of each member of the Social
Credit Bank. The credit (positive side) transaction and debit
(negative side) transaction . . . are simply written in a small
accounting booklet for each member and in the great book of the
accountant during each sale. When somebody needs credits to make
products, the accountant writes the new credits in the producer’s
account. So the new credits are created with the new production.
Without any interest. The credits are cancelled when the products are
sold, that is to say they are cancelled with the consumption of the
products. Periodically, new credits are written to the accounts of
every member of the Social Credit Bank in the measure where there is
social progress. It is the (local) dividend. It is the same way of
functioning as in the story of the five islanders. The discount is not
implemented yet, because this economy is very simple. When it will
become enough complex to have producers of intermediate goods or
equipment goods, it will be necessary to implement the discount to
consumers with compensation to the producers.

October 5, 2004: Their belongings are their private properties: cows,
hens, tools, etc. they can use as producers, plus the communal
property: the school being built, for example. They brought these
properties together to give a value to the local assets. These assets
will grow with social progress and their monetary value will increase.
The local dividend will be calculated on the value of the local
assets. For example, the school will have a greater value when
finished and the dividend will be greater because of this increased
value. If a typhoon destroys the school, the monetary value of the
local assets will decrease and the next dividend will be lower.
I think that the villagers’ belongings are not a collateral: the new
credits are created to equal the value of the new products being made
by the local producers, not to equate the value of the local assets.
For example, the eggs from the hens are new products and have a market
value based on the producer’s cost: if a child takes care of the hens
and the hens feed themselves around, the value of the child labour is
the cost of the eggs. The eggs will be used as food and also in an old
roman recipe to make cement for building the school. The villagers
were unable to finish the building because they are too poor to buy
cement.
It is really a social credit experiment on a small scale. The credit
of this small community has a value as a productive capacity!

To this small cache of evidence we can add the passage alluded to from
” The Money Myth Exploded ,” by Louis Even, founder of the Pilgrims of
St. Michael. The pamphlet is an illustration of economics on a desert
isle, such as economists have been making for centuries. There are
five castaways: a carpenter, a farmer, an animal breeder, an arborist,
and a metallurgist. The relevant passage is in the words of Tom, the
metallurgist:

I open an account in the name of each of you. In the right hand column
are the credits which increase your account; to the left are the
debits which subtract from your account. Each wants $200 to begin
with. Very well. We write $200 to the credit of each. Each immediately
has $200. Frank buys some goods from Paul for $10. I deduct $10 from
Frank leaving him $190. I add $10 to Paul and he now has $210. Jim
buys from Paul to the amount of $8. I deduct from Jim $8 leaving him
$192. Paul now has $218. Paul buys wood from Frank for $15. I deduct
$15 from Paul leaving $203. I add $15 to Frank’s account and it goes
back to $205. And so we continue; from one account to another in the
same fashion as paper banknotes from one man’s pocket to another’s. If
someone needs money to expand production, we issue him the necessary
amount of new credit. Once he has sold his products he repays the sum
to the credit fund. The same with public works; paid for by new
credits. Likewise, each one’s account is periodically increased but
without taking credits from anyone, in order that all may benefit from
the progress society makes. That’s the national dividend. In this
fashion money becomes an instrument of service.

We have to make the best here of very scanty information. I submitted
it to Tom Greco, an expert in alternate currency systems, and he
concurred: “The details in that account are insufficient to make a
proper assessment.” We don’t know the name of the village. We know
nothing about its size, ethnicity, language, history, manners and
customs, social structure, or civic life. It appears to be a Catholic
village. We know nothing about its diet, clothing, shelter,
sanitation, health care, natural resources, distance from a road,
distance from a town. We don’t know what it produces besides milk and
eggs. We don’t know where it gets its tools. 1 We don’t know what
products it most needs from outside itself. We don’t know if is in
debt.
I think we can assume that money is so scarce there that it is
virtually a moneyless economy. The school building project was halted
because the village was too poor to buy cement. The people probably
made their own bricks by pouring mud into wooden forms and baking them
in the sun, but the mortar to hold them together would have to come
from outside. 2 They have plenty of eggs, so if they can make a
cement from eggs, they can be more self-sufficient.
Each member 3 was provided with a “small accounting booklet,” and the
“accountant of the Bank” keeps a “great book.” The villagers
physically brought their “cows, hens, tools, etc they can use as
producers” to one place, the accountant put a value on them in the new
unit (we aren’t told what it was called), and that became their
initial account balance both in their own booklets and in the great
book. This was not a loan but the representation, in figures, of what
they already owned. The village thus took a step forward from a
moneyless economy to a money economy. The villagers now had a simple
way to trade around their cows, hens, and tools according as each had
need and opportunity to make use of them. The assessment provided a
basis for prices: people knew what a hen was assessed for and would
not expect to pay more unless there were a reason.
In addition, anyone with a good plan could have his account written up
in advance on the strength of the goods he was likely to produce. This
would be a loan, signifying the village’s faith in him as a producer.
To use Boucher’s example, you could get an advance from the Social
Credit Bank to pay your next-door neighbor’s child to take care of
your laying hens. You could then sell those eggs to someone or to the
community to make cement for the school and repay your advance, all by
means of these ledgers.
“The same with public works; paid for by new credits,” says Tom. In
other words, the village council will also have its own account, which
will be credited with the budgeted amount for the school. This would
be expended on eggs to make the cement and perhaps also on labor if
the labor is not a share-and-share-alike undertaking. This money would
be recouped, I would guess, from parents’ paying new credits to send
their kids there. Is it anticipated that the school will serve
neighboring villages as well and, if so, how will they pay?
So far, this describes a change from a moneyless economy to a money
economy but without any specifically social credit features. Boucher
states, “These assets will grow with social progress and their
monetary value will increase. The local dividend will be calculated on
the value of the local assets.” She also implies that the initial
booklet entries included a share to each of the value of the partially
completed school building and that the completed building would
generate a monetary dividend in every member’s account booklet.
I fear this is not sound. There is no justification for writing up
people’s money accounts merely on the basis of increased local assets.
In fact, there is no justification for writing up people’s accounts
initially on the strength of their “private property: cows, hens,
tools, etc. they can use as producers, plus the communal property.”
Their accounts should only be written up for new goods and services
that they can buy. 4 And why are milk and eggs – more likely to be
sold than hens and cows – left out of the account?
There seems to be confusion as to whether the new credits issued to
the egg producer and the school represent the eggs and education it is
hoped they will produce or (as it should) an allocation of the things
they or their paid workers will buy with them immediately. It cannot
be both at the same time. And what will be the consequence of issuing
new money on the strength of goods yet to be produced without regard
to what exists to buy with it?
Dividends will be payable as the village economy succeeds in producing
the same sufficiency with less and less loan money. Less money/time
required for production means more money/time freed for consumption.
Both Bishop Raymond and the cardinal of Madagascar hope to found other
banks along the same lines. Will they all use the same unit, or will
each use its own? The Pilgrims hope to found other banks along the
same lines in other countries. What problems have arisen in the
operation of the village bank, how were they addressed, and with what
success? Has this experience enabled the Pilgrims to make any
improvements to their model?
I call on the Pilgrims of St. Michael to issue a thorough report on
the “first Social Credit bank” so that other communities can benefit
from the experience of this Madagascar village and create similar
institutions for themselves to help raise themselves out of poverty!

Notes

1. When I was in the Peace Corps in Sierra Leone, the village
blacksmith made tools out of scrap metal from Datsuns.
2. In Sierra Leone, the people in my village made bricks in exactly
this way for a school, but the U.S. government donated the cement and
also zinc pan for the roof.
3. Who is a member? Every person? Every adult? Every household?
4. Greco comments, “When credits are created [for the people] to pay
for capital projects, like building a school, those credits should not
be available for spending until the capital project begins to produce
goods or services, then those credits should be paid for the goods or
services.”

Unquote

Michael Lane

http://www.alor.org/Triumph%20of%20The%20Past/The%20Madagascar%20Experiment.htmttp://www.alor.org/Triumph%20of%20The%20Past/The%20Madagascar%20Experiment.htm

Organisations secrètes, infiltrations des forces obscures….

Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une “conspiration monolithique”..

Voici une vidéo très intéressante (mais en anglais) de John Fitzgerald Kennedy lors d’un discours public prononcé à New-York devant l’Association des Editeurs de Journaux, le 27 Avril 1961 alors qu’il était Président des Etats-Unis en exercice depuis plusieurs mois, à propos des sociétés secrètes et de leurs plans d’infiltration, de menaces, de conspirations, voire de domination mondiale.
JFK parle des sociétés secrètes (VO sous-titrée en français) et du NWO !
Il existe des complots d’initiés:
Exemples: Contre Kennedy, Ferrayé

Les vraies raisons du meurtre de JFK,
http://911nwo.info/2008/02/03/affaire-kennedy-quand-jfk-mettait-en-garde-contre-une-conspiration-monolithique/

causes des crises monétaires et du subprime (hypothécaires)

Mensonges du CO2 http://video.google.fr/videoplay?docid=-4123082535546754758


Photo Though http://en.wikipedia.org/wiki/Image:JFKmotorcade.jpg
Kennedy a été tué car il a promulgé le décret 11110 pour plus de justice monétaire, toujours en vigueur mais mis en sommeil par les sociétés secrètes.
Le président Johnson a détruit cette oeuvre et mis en sommeil ce décret dès qu’il a pris le pouvoir.
C’est le même qui a donné l’ordre de faire couler un navire de guerre US par les forces israéliennes pour avoir une raison d’ entrer en guerre contre notamment l’Egypte et la Syrie.
Les marins américains ont été sauvés dès que les russes sont arrivés comme témoins (sic).
http://www.youtube.com/watch?v=fRZSzdQuOqM&feature=related
Kennedy a dénoncé les sociétés secrètes
http://www.dailymotion.com/jamesandre/illuminati/video/x3bdoe_illuminati-1b
Détails:
Le 4 Juin, 1963, le President Kennedy a signé un document présidentiel nommé l’Ordre Exécutif 11110, lequel a modifié l’Ordre Exécutif 10289 de 19 Septembre 1961.
Le Président des États Unis a exercé le droit juridique de produire l’ argent pour faire marcher le pays.
Un argent sans intérêts et libre de dettes. Il avait déjàimprimé les billets des États Unis en ignorant complètement les billets de la Réserve Fédérale des banques privées (le FED est une organisation privée, sic.)
Les registres montrent que Kennedy avait imprimé § 4,292,893,825. Quelques mois après, en Novembre 1963, on l’a assassiné. Le President Kennedy avait de plus l’intention d’abroger l’Acte de la Fédéral Reserve de 1913 et de redonner au Congrés des États Unis le droit de créer son propre argent. Un jour après l’assassinat du Kennedy, on a retiré de la circulation tous les billets des États Unis imprimés par Kennedy, par suite d’un ordre exécutif du nouveau President Lyndon Johnson, le même qui a donné l’ordre de couler le USS Liberty…
http://www.youtube.com/watch?v=fRZSzdQuOqM&feature=related
“C’est l’officier de marine David E. Lewis qui raconte que c’est l’amiral Geis (chef de l’aviation embarquée de la VIème flotte) qui lui a dit en personne qu’il avait, à deux reprises, reçu l’ordre de rappel directement du secrétaire d’état à la défense de l’époque Mc Namara. Lorsque l’amiral Geis demanda une troisième fois confirmation, suite aux appels de détresse répétés du Liberty, il s’entendit confirmer qu’il s’agissait de l’ordre direct du président Lyndon Johnson”. [ 2].
documents déclassifiés de la CIA sur l’incident
(fr) L’attaque de l’USS Liberty
Mémorial Wall de la NSAVoici quelques extraits importants traduits en français de cette vidéo édifiante de John Fitzgerald Kennedy :Les médias se plaisent à railler les conspirationnistes qui s’intéressent de trop près aux conditions plus qu’étranges de sa mort et de la mort de son assassin présumé… et dans le même temps, ces médias omettent de rappeler que JFK s’intéressait tout particulièrement aux agissements néfastes des sociétés secrètes et aux conspirations de tous ordres menaçant son pouvoir et le pouvoir du Monde libre.Voici un extrait traduit de son discours :Notre mode de vie est attaqué. Ceux qui se font notre ennemi s’avancent autour du globe. La survie de nos amis est en danger. Et pourtant on n’a déclaré aucune guerre; aucune frontière n’a été traversée par des troupes en marche; aucun missile n’a été tiré. Si la Presse attend une déclaration de guerre avant qu’elle n’impose l’autodiscipline des conditions de combat, alors je peux seulement dire qu’aucune guerre n’a jamais posé une menace plus grande à notre sécurité. Si vous attendez une découverte de danger clair et présent, alors je peux seulement dire que le danger n’a jamais été plus clair et sa présence n’a jamais été plus imminente. Cela exige un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par chaque homme d’affaires, chaque leader de travail et par chaque journal. Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre arbitre. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Leurs ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. Elle conduit la guerre froide, en bref, avec une discipline de guerre qu’aucune démocratie n’espèrerait jamais vouloir égaler… C’est pourquoi le législateur athénien décréta comme criminel tout citoyen se désintéressant du débat… Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pour quoi il est né libre et indépendant.” Extraits du discours de John F. Kennedy du 27 Avril 1961 à New York
Ainsi, JFK a prononcé un discours exposant des machinations dans les coulisses qui ne sont jamais publiées, et son discours en 3 partie continue sur des révélations tout aussi étonnantes, comme on peut le lire en anglais sur le site internet du Musée JFK.Ce discours, déterminé, précis, prononcé devant un parterre extrêmement important de journalistes afin sans doute de lui donner la portée la plus large possible, n’est jamais repris par les médias alignés, et même wikipédia ne le mentionne pas dans sa fiche dédiée à JFK, alors qu’il constituerait un mobile évident pour un complot destiné à l’éliminer.Lorsqu’il est repris, il est ramené à la menace commuiste, alors que si on lit bien le texte, on voit qu’il ne peut pas s’agir de cette menace-là uniquement : dans son discours, JFK appelle à révéler la conspiration secrète monolithique d’une part en révélant les informations cachées, tout en prenant garde à ne pas exposer le pays à ses ennemis tels que le Communisme, et reconnait qu’il est difficile de concilier les deux.JFK précise que c’est cette “conspiration monolithique” conduit la guerre froide (pourtant bi-partisane)…Après le fiasco du débarquement de la Baie des Cochons à Cuba, manigancé par la CIA, JFK voulait sans doute rassurer le peuple et l’informer des nombreuses manipulations orchestrées dans les sociétés secrètes (services secrets, Franc-maçonnerie, associations estudiantines secrètes, cellules d’actions secrètes, conspiration monolithique secrète, etc… ?) et dont il était lui-même victime, car si dans un discours rendu public, il se déclare seul responsable du désastre, en privé, il déclare que la CIA lui a menti et l’a manipulé pour qu’il donne l’ordre de l’invasion totale de Cuba.Allen Welsh Dulles, directeur de la CIA, sera limogé par le Préseient pour sa participation à la préparation de l’audacieux document « Opération Northwoods » dont le but était d’utiliser la CIA dans des attaques réelles ou simulées et d’en accuser Cuba et le reste du mandat de Kennedy sera marqué par une certaine méfiance envers la communauté des services de renseignements (CIA et FBI).Et 2 ans plus tard, John Fitzgerald Kennedy était éliminé le 22 novembre 1963 par un complot pour certains, et par un homme seul selon la commission d’enquête officielle, la Commission Warren, qui rend Lee Oswald seul auteur et acteur de l’assassinat.Voici une vidéo juste avant ce tragique assassinat. On y voit le retrait des gardes du corps du Président, contre leur propre gré et contre le protocole pourtant très strict, alors que JFK est à découvert dans une décapotable et sans que lui-même semble à l’origine de cet ordre de retrait :

L’étrange retrait des gardes du corps de JFKMais les évènements troublants ne s’arrêtent pas à ce fait d’armes.A peine 2 jours plus tard, l’assassin présumé de JFK était lui-même assassiné, présumé car aucun procès, ni même le début d’une instruction judiciaire, n’a pu avoir lieu après qu’il a été abattu parJack Ruby moins de 48 heures après son arrestation.Jacky Ruby, en fait de son vrai nom Jacob Leon Rubenstein, était un immigré polonais d’origine juive qui gérait un club de strip-tease et fricotait passablement avec la mafia.Il déclara avoir assassiné Oswald sous l’emprise d’un coup de folie, mais beaucoup d’observateurs indépendants en doutent et pensent qu’il a agi sous l’ordre de la mafia ou d’autres prescriptueurs qui avaient intérêt à ce que Lee Oswald soit éliminé pour cacher un complot éventuelle.Et malgré la plaidoirie d’un célèbre pénaliste pour le faire acquitter et passer pour fou, la justice retint la préméditation puisque Ruby fut condamné à mort en première instance, avant de voir sa peine commuée grâce à ses avocats, le temps d’un nouveau procès.Durant sa détention, Ruby supplia de se faire transférerà Washington DC car il craignait pour sa vie, certains observateurs estimant que ses prescripteurs souhaitaient se débarrasser de lui.Il n’avait pas tout-à-fait tort, car il mourut quelques mois plus tard en prison, durant son appel, officiellement d’une embolie pulmonaire consécutive à un cancer à l’âge de 55 ans, certains observateurs estimant là aussi que cette mort était suspecte.Ainsi se rompait avec la mort de Ruby le dernier fil qui aurait pu conduire la justice aux véritables commanditaires de l’assassinat de JFK, si complot il y avait…Pour autant, si la justice n’a pas pu enquêter librement sur l’affaire JFK en 1963 comme elle n’a pas pu le faire sur les attaques du 11 Septembre en 2001, rien n’empêche les observateurs indépendants de se replonger dans les faits à la lumière des nombreux éléments regroupés depuis, notamment à la lumière des attentats du 11 Septembre et du Nouvel Ordre Mondial.Ainsi, lorsque l’on visionne de nouveau l’assassinat tragique de JFK (attention, les images sont choquantes), on aperçoit un étrange manège des la part des gardes du Corps du Président, qui se retirent opportunément de la voiture contre toutes les règles officielles, juste avant que la balle magique ne puisse atteindre sa cible :

Assassinat de JFK selon Alex Jones et Prisonplanet.com (en anglais)Il semble alors évident que l’Histoire officielle est entâchée de nombreuses invraisemblances… mais comme le disait Napoléon lui-même, ce sont les vainqueurs qui écrivent l’Histoire.Mais cependant, une enquête de 1976 par le Haut Comité sur les Assasinats (HSCA) aux Etats-Unis a conclu que la commission d’enquête Warren avait failli dans sa mission, puisque selon la HSCA, JFK fut bel et bien victime d’une conspiration : il ressort donc que cette Haute Autorité fait partie des conspirationnistes tant raillés dans les médias, qui décidément n’ont que peu de respect pour les institutions dès lors que cela va à l’encontre de leurs actionnaires…Le HSCA conclut son enquête en disant que le président avait vraisemblablement été tué des suites d’une conspiration au cours de laquelle quatre coups de feu ont été tirés: trois par Oswald, qui tuèrent le président, et un quatrième tir venant de face au président qui avait manqué son but.Il ajoute que ni le gouvernement soviétique, ni le gouvernement cubain, ni le Secret Service, ni leFBI ou la CIA ne sont impliqués dans l’assassinat. Il estime par ailleurs que ni le crime organisé ou les mouvements anti-castristes ne sont impliqués, mais que les preuves disponibles ne permettent pas d’exclure la participation individuelle de leurs membres dans la conspiration… en d’autres termes, des cellules secrètes impliquées dans ces organisations ne sont pas lavées de tout soupçon.Si chacun(e) est libre de croire comme les 2/3 des Etasuniens que JFK a été tué lors d’une vaste conspiration, couverte au plus haut niveau, et destinée à éliminer un président devenu gênant, son discours de mise en garde sur les Sociétés secrètes et les conspirations au plus haut niveau est, lui, bel et bien certain et avéré… Et résonne comme un avertissement plus que jamais d’actualité.Si cette mise en garde au plus haut niveau contre une conspiration invisible monolithique pouvait être retenue, JFK ne serait pas mort pour rien !

2 Commentaires »

COMMENTAIRE PAR WALLACE4 février 2008 @ 1:07A l’heure actuelle et après plus de 44 ans, il ne fait plus aucun doute sur l’assassinat organisé de JFK et orchestré par les véritables décideurs qui officient dans l’ombre et gèrent l’économie mondiale, ce qui passe obligatoirement par les décisions politiques, par la manipulation de la justice, le tout secondé par la manipulation globale des esprits par le biais des médias.La dernière véritable enquête journalistique effectuée par deux véritables journalistes au sein d’un média de renom fut l’affaire du “watergates”, il n’y en a eut aucune de sérieuse depuis et il n’y en aura plus jamais, de même que JFK fut le dernier véritable président des USA élu légitimement.La valse des pantins aura débuté dès l’exécution de celui qui aura été l’un des meilleurs présidents des USA (ce qui n’est pas un exploit au regard de ses prédécesseurs) malgré le court terme de sa présidence.Cette valse de marionnettes tourne à la “La valse à mille temps” que chantait si bien Jacques Brel, elle s’étend largement à tous les pays occidentaux de par son rythme endiablé à faire tourner la tête du pays des “droits de l’homme” qu’est le nôtre.Il n’est pas nécessaire d’être devin pour imaginer le futur, il suffit d’être pragmatique et de suivre la logique de l’actualité.La course en avant de l’occident impérialiste et ultra-capitaliste est inéxorable et finira irrémédiablement par le choc des civilisations tant voulue par le NWO.Ils misent “le tapis”, forts de détenir un bon jeu, mais ils ne doutent pas que le bluff peut parfois jouer des tours.

PINGBACK PAR 911NWO.INFO : OBSERVATOIRE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL » JFK : AUTOPSIE D’UN COMPLOT23 février 2008 @ 22:33[…] Dans un précédent article, nous avions présenté les positions courageuses de John Fitzgerald Ken…, puis son assassina, puis l’assassinat de son assassin, puis la mort suspecte de l’assassin de son assassin… […]

Art. 260quinquies – Financement du terrorisme
3. L’acte [de financer un acte de violence visant à intimider une population ou à contraindre un Etat ou une organisation internationale à accomplir ou à s’abstenir d’accomplir un acte quelconque (alinéa 1)] n’est pas considéré comme financement du terrorisme lorsqu’il vise à instaurer ou à rétablir un régime démocratique ou un Etat de droit, ou encore à permettre l’exercice des droits de l’homme ou la sauvegarde de ceux-ci.

Brevet pour turbines à charges variables..

Energies alternatives
Brevet pour turbines à charges variables (éoliennes, maré-motrices, houles-motrices…)
Tout dispositif récupérateur de force, par exemples les pales d’une éolienne ou bouée à houle, creuses et légères, démarrent à vide, puis, par une analyse informatique ingénieuse à distance des fluides à venir (vents dominants, flux, houle ou vagues …), s’orientent et se chargent ou se vident d’un corps par gravité, par pression de liquide ou d’air ou par énergie centrifuge, par exemple d’un liquide comme de l’eau, ce qui permet de profiter de l’effet d’inertie et d’optimaliser les énergies potentielles et cinétiques dans le temps des fluides utiles (vents…). Le même principe peut s’appliquer à tout type de turbines (Pelton, Francis…)
Une analyse à distance des fluides (vent…) avec un dispositif de charge progressive de l’intérieur des pales des turbines éoliennes ou hydrauliques permet d’accumuler l’énergie de manière optimale.
Les courbes mathématiques sont optimalisées par recherche opérationnelle en fonction des lieux et saisons, et même en temps réel par des stations automatiques autour et à diverses distances du site, en fonction des fluides dominants à venir.
Pour un investissement de départ identique, un système par exemple éolien peut produire au moins trois plus d’énergie qu’un système solaire avec la technologie actuelle. Notre brevet améliore encore plus ce rapport de manière très significative pour un coût très modeste. Un système éolien est fiable et sa durée de vie peut s’échelonner au moins entre 20 et 25 ans pour l’éolienne et entre 5 et 20 ans pour les batteries, à part les piles à combustible. L’avantage majeur de ce système est de compenser l’irrégularité des fluides. Pour les éoliennes, les matériaux utilisés sont de très bonne qualité ce qui leur assurent une durée de vie plus grande. Il est établi que la longue durée de vie d’une éolienne permet un retour sur l’impact qu’elle peut avoir sur l’environnement. C’est-à-dire que les économies d’énergie qu’elle entraîne compensent l’impact sur l’environnement qu’elle peut avoir dans sa phase de production.
Enfin, il agit au quotidien pour l’environnement en réduisant la quantité d’émission de Gaz à Effet de Serre émis lors du processus de production d’électricité. Le protocole de Kyoto est en vigueur. La communauté internationale peut être fière de souligner des années d’efforts concertés pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre planétaires (agenda 21). Après notre engagement de réduire nos émissions de GES de 6 % sous le niveau de 1990, elles n’ont cessé d’augmenter.
• Les émissions de GES ont augmenté de près de 27 % depuis 1990, l’année de référence du protocole de Kyoto;
• Il n’y a aucun plan sérieux de réduction des émissions de GES;
• Le financement des projets de lutte aux changements climatiques a été coupé en partie par le gouvernement fédéral US, l’un des principaux pollueurs;
• Une analyse à distance optimale des fluides (vent…) participe à la bourse de carbone.
• Les conséquences économiques de l’inaction sont désastreuses : l’inaction d’aujourd’hui coûtera des milliards dans quelques années;
• Le transport en commun est partout toujours chroniquement sous financé et sous-développé et son énergie pollue trop souvent; La Chine et l’Inde vont croître.
• Il n’y a que peu de restrictions légales imposées aux constructeurs automobiles pour améliorer l’efficacité énergétique des voitures, telles que les normes californiennes d’émissions pour les véhicules qui exigent aux constructeurs automobiles des réductions de 30 % de leurs émissions d’ici 2016.
• Un système de turbines à charges variables y contribuera vraiment.
Le gain est surtout obtenu par le démarrage à vide, puis par la charge d’eau dans les pales, qui se chargent d’énergie potentielle par inertie et qui peuvent être vidée à nouveau lors qu’il n’y a plus de fluide pour un nouveau cycle…
Le gain est dans chaque démarrage facilité, puis pendant la durée de l’inertie, puis par le vidage de l’eau en bout de pales car les molécules d’eau incompressibles sont sous de très fortes pressions et cherchent à s’échapper au moment calculé qui prolonge la rotation de la grande pale et qui alimentent des petites turbines à condensateur en bout de chaque pale, puis par la durée prolongée de rotation rendue plus facile par la légèreté retrouvée etc…à chaque cycle.
Le gain est fonction des vents et de la quantité d’eau dans chaque pale à dessiner et à calculer…par zone.

Résumé : hausse du rendement et baisse des coûts
Le principe de l’éolienne est assez simple : non seulement le vent est gratuit et non polluant, mais il est puissant. Ainsi, quand la vitesse du vent gagne 20%, la quantité d’énergie à vide que l’on peut en retirer grimpe de 60%. En outre, le vent est aussi efficace : le progrès technique permet aux turbines modernes de transformer en courant plus de 50% de l’énergie qu’il développe. Bien évidemment, le vent est irrégulier et donc en moyenne, le rendement énergétique moyen d’une éolienne est inférieur.

Une analyse à distance des fluides (vent…) avec un dispositif de charge progressive de l’intérieur des pales des turbines éoliennes ou hydrauliques permet d’accumuler l’énergie de manière plus optimale.
Les courbes mathématiques sont optimalisées par recherche opérationnelle en fonction des lieux et saisons, et même en temps réel par des stations automatiques autour et à diverses distances du site, en fonction des fluides dominants à venir.Le progrès technique joue énormément dans ce secteur naissant : actuellement, les éoliennes de 90 mètres produisent moins de 2 MW. Elles sont déjà beaucoup plus imposantes que celles de la génération précédentes. La prochaine génération sera plus haute encore, avec une puissance envisagée de 5 MW, sans compter les projets d’éoliennes implantées en mer… Ces progrès abaissent aussi le coût de revient : selon l’American Wind Energy Association (AWEA), le coût moyen par MW éolien a été divisé par cinq en 25 ans, vers les 55 $ / MW actuellement

Copyright François de Siebenthal, Lausanne.

http://www.legalis.net/cgi-iddn/certificat.cgi?IDDN.CH.010.0107682.000.R.P.2007.035.30700

TRIDEL, 800 millions de m3 d’air vicié par année. Quelques effets de l’incinération des déchets sur la santé

Tridel. Les effets de l’incinération des déchets sur la santé


Dans le cadre de la lutte contre l’incinérateur de Drogenbos (Bruxelles), un groupe de médecins a réalisé une étude intitulée : Les effets de l’incinération des déchets sur la santé. Les auteurs sont les Docteurs Martin Wissing, Pierre Dor, Aurel Pana, J.-P. Ralet et le professeur Pierre Piérart. Cet effrayant panorama des pathologies dues à l’activité des incinérateurs « publics » est disponible chez Jean-Michel Desplanques (069 / 548419).
Cette synthèse de six pages traite donc des effets des incinérateurs publics. …
Vous pouvez ici lire ou télécharger le synthèse en format PDF. (vous pouvez télécharger acrobat reader ICI.http://www.ccbr.be/effets.html

Et voici un monument de la propagande moderne.

Les incroyables résultats de l’usine d’incinération lausannoise Tridel – Une meilleure qualité de l’air grâce aux déchets!

Par Céline Monay, 28 février 2008
Mise en service il y a deux ans, l’usine d’incinération Tridel surveille de près ses émanations de gaz.

Les améliorations constantes en la matière ont des répercussions sur la qualité de l’air lausannois.

Malgré la pléthore d’usines d’incinération en Suisse, aucun risque de surcapacité pour Tridel qui tourne à plein régime.

monay@lausannecites.ch

«Depuis sa création, l’usine Tridel a contribué à améliorer la qualité de l’air de la ville de Lausanne». L’affirmation prête à sourire: une usine d’incinération qui brûle chaque année plus de 150’000 tonnes de déchets rend l’air de la capitale vaudoise plus respirable… Et pourtant. Les chiffres relevés régulièrement par la ville de Lausanne le prouvent: «La moyenne d’oxyde d’azote est en dessous des valeurs moyennes annuelles à Lausanne. Tridel joue un rôle important dans cette baisse, notamment grâce au développement du chauffage à distance. De nombreux privés ont renoncé à leur chauffage individuel au mazout pour se raccorder au service communal», souligne Olivier Français.

Pour le municipal lausannois, le bilan environnemental de l’usine Tridel est positif. «En imposant des normes strictes et une amélioration constante en matière d’émissions, Tridel est véritablement un plus pour la ville. Le raccordement au chauffage à distance des quartiers de la Sallaz et d’Isabelle-de-Montolieu d’ici les prochaines années, contribuera encore à améliorer la qualité de l’air à Lausanne».

Faibles émissions de gaz
Les raisons de cette amélioration sont encore à chercher du côté des efforts fournis pour diminuer les émissions de la cheminée. Les gaz rejetés par la cheminée à 140°C se doivent de respecter les exigences de l’ordonnance sur la protection de l’air (OPair). Un analyseur de fumée contrôle en permanence la qualité des émissions de gaz. «Nous nous sommes fixé comme objectif d’atteindre des valeurs de l’ordre de la moitié des normes imposées», souligne Stefan Nellen, président de Tridel.

L’année dernière, de gros investissements ont été faits pour améliorer ces valeurs. Avec succès. «Selon les mesures relevées à quelque 150 mètres de la cheminée, il est impossible de dire que l’on se trouve à proximité d’une usine d’incinération. L’air de La Sallaz est pratiquement plus pollué que celui qui sort de la cheminée», affirme Stefan Nellen. Pour appuyer ses dires, le directeur nous emmène dans les différents recoins de l’usine. Ce qui frappe d’emblée, ce sont les odeurs, ou plutôt l’absence d’odeurs. Car malgré les dizaines de tonnes de déchets qui arrivent chaque jour à Tridel, l’air est parfaitement respirable. «A part en été, les jours de grandes chaleurs, on ne sent absolument rien. Du reste, nous n’avons enregistré que trois réclamations l’année dernière», souligne le directeur.

A plein régime
La tendance ne semble pas près de s’inverser. Mise en service il y a deux ans, l’usine Tridel a rapidement trouvé son rythme de croisière. L’usine d’incinération a été réalisée dans l’optique de traiter 144’000 tonnes de déchets par an dans les deux fours d’une puissance totale de 80 MW. En 2007, elle en a traité 14 de plus, soit 158’000 tonnes. «Seuls 6’000 tonnes de déchets étrangers ont été traités, preuve que l’usine a vraiment sa raison d’être», souligne Stefan Nellen.

Du coup, la direction de l’usine lausannoise voit l’avenir avec sérénité, malgré les menaces qui planent sur l’incinération des déchets en Suisse. Avec ses 28 usines, soit plus d’une par canton, la Suisse fait figure de bonne élève en matière de gestion de ses déchets. Trop même. Selon Pierre Amman, président de l’association suisse des entreprises de traitement des déchets, d’ici à l’horizon 2015, trois à quatre usines seront de trop en Suisse. Tridel en fait-elle partie? D’ici cinq à six ans, l’Allemagne n’aura plus besoin d’exporter ses déchets, l’usine lausannoise risque-t-elle d’être sous-exploitée? Stefan Nellen balaie ces craintes d’un revers de main: «Dans la planification de la construction de Tridel, il était prévu que tous les déchets de la région nyonnaise, actuellement incinérés aux Cheneviers à Genève, soient brûlés, dès 2010, à Lausanne».

500 kilos d’ordures par an
Si le directeur reconnaît que la Suisse possède trop d’usines d’incinération, il estime que ce sont surtout les petites structures qui devront passer à la trappe. «Une régulation se fera naturellement. Tridel est l’usine la plus récente, la plus perfectionnée et la moins polluante, son avenir n’est pas menacé», conclut Stefan Nellen. Car même si les Suisses détiennent la palme en matière de recyclage avec 50% de déchets recyclés sur 100 kilos d’ordures, l’augmentation de la population va engendrer des déchets supplémentaires. Chaque Suisse produit quelque 500 kilos d’ordures par an. Quelle que soit la qualité de nos poubelles, quel que soit le redimensionnement des usines, l’amoncellement des déchets n’est pas près de diminuer.

– 54 employés

– 5 trains et 40 camions par jour

– 10 tonnes de déchets brûlés en une heure

– Sur une tonne de déchets, il y a 300 kilos d’imbrûlés, dont 45 kilos de fer.

– Tridel incinère les déchets urbains de 150 communes vaudoises.

– Production d’énergie en chauffage à distance de 60 MW ou en électricité de 20 MW pour l’équivalent de 23’000 ménages.

– Budget d’exploitation: 35 millions de francs.

Commentaires à chaud:
Une pollution qui touche toute l’ Europe depuis la Suisse.Lausanne Cités no 1389 du 27.02.2008 et le 24 heures du même jour, une pleine page sur les poissons au PCB dioxine interdits de pêche.Première page et page 3 Lausanne Cité ( les meilleures pages de ce journal tragi-comique).Les mensonges sont tellement gros qu’il en deviennent ridicules.Tridel, le poumon vert de Lausanne (sic), alors que Lausanne est la ville la plus polluée de Suisse, sans usines ni industries importantes…Les experts indépendants affirment qu’il faut se méfier comme de la peste de ces incinérateurs, surtout des molécules recomposées hautement toxiques au dernier moment dans la cheminée, dans les eaux de lavage et dans les cendres.Les mico-particules, PM10 et les dioxines viennent aussi de Tridel et des camions qui viennent apporter les 158’000 tonnes d’ordures qui provoquent 800 millions de m3 d’air vicié. Ils avaient promis 140’000 tonnes…et ils ont dé triés, ce que les citoyen(ne)s avaient scrupuleusement triés, pour avoir ce tonnage énorme et ce combustible (sic), DE-TRIDEG.On comprendra mieux pourquoi l’Europe envoie ses ordures en Suisse quand on saura que le nouveau règlement européen entré en vigueur le 23 février 2006 pose des normes beaucoup plus sévères en matière de dioxines et que la Suisse n’a aucune norme dans ce domaine (sic). Rappelons que la dioxine TCDD est le plus puissant poison connu – un million de fois plus toxique que le plus puissant poison naturel. Une étude de 2002, de l’Université Columbia de New York, révèle que 80 g de dioxine versés dans le service d’eau d’une ville peuvent tuer 8 000 000 de ses habitants.Et voilà que nos responsables mentent en affirmant qu’ils font mieux que les normes, car il n’y a pas de normes “dioxines”en Suisse.Ils manipulent en embrouillant les citoyens avec les mots dioxydes, dioxydes d’azote et autres fumées pour noyer les poissons poisons.Nos craintes:Les rejets des cheminées dans les agglomérations devraient être interdits comme en France, surtout à Genève et à Lausanne, dont les filtres ne traitent que 10 fois moins bien les rejets (SO2, dioxines et furanes…) que celles de Bienne et de Thoune par exemple ( source: l’initiative des Alpes) et dont le fonctionnement est très puant et bizarre selon les riverains. Ils osent dire usine ultramoderne alors que c’est déjà obsolète…Les fumées et panaches dont les émanations de dioxines sont fortement cancérigènes, au moins 30 tonnes de gaz à effet de serre, 3 tonnes d’acide, 9 tonnes de dioxydes de souffre, 18 tonnes d’oxydes d’azote au coeur de Lausanne et du CHUV selon l’ingénieur EPFL Claude Monod.Sans oublier le pire, soit les dioxines mortelles. Les cas de cancers décupleront certainement.Les rejets de plomb et de métaux lourds, surtout dans des cendres hautement toxiques.Les risques supplémentaires inhérents aux importations d’ordures contrôlées et polluées par la mafia…S’ajoutent à ces pollutions aériennes les pollutions au niveau des rejets d’eau, 5000 litres par heures rien que pour Tridel pour “laver” les fumées des dioxines… etvu cette pression supplémentaire, toutes les conduites à changer. Qui paye ? Elles vont où, ces dioxines, ces boues, ce mâchefer ?Rénovation de la STEP en 2008, on va brûler nos boues à Bâle…dans des fours spéciaux….Qu’en faisait-on jusqu’à maintenant ? Les poissons sont pleins de dioxines et de PCB et interdits de consommation dans tout le Rhône en France, dans la Sarine, le Doubs, La Birse dans le Jura…et pas chez nous ? Parmi les PCB, les “PCB de type dioxines nous intéressent particulièrement, surtout si la thèse de la recomposition dans les cheminées se confirme.Et les dioxines du Vallon/Sauvabelin/Lausanne depuis le 22 novembre 1958 jusqu’ au 29 décembre 2005 ?La cause de l’explosion des cancers ? Cf. Prof. Belpomme, Paris…Qui encaisse les profits ? Qui paie les dégâts ? Les primes LAMAL ?Il y a d’autres solutions, notamment la méthanisation des déchets ménagers contenant du sel.Vous y croyez, vous, aux versions officielles ? Seulement 35 morts à Tchernobyl ? Rien en France ?Notre association dénonce fermement, avec d’autres, les cumuls de pollutions auxquels les importations d’ordures participent grandement.Toutes ces pollutions ne peuvent qu’avoir des conséquences néfastes, pour la santé des riverains, d’ailleurs plusieurs médecins de la région, dénoncent leurs effets sur la santé ( 4 fois plus de cancers à Genève).Cheminée, voisinage et pollutions

Des tonnes/an de poussières

Plusieurs rapports américains s’inquiètent des émissions résiduelles recrachées par les cheminées. Elles sont d’autant plus dangereuses qu’elles s’additionnent aux pollutions de l’air dont souffrent déjà l’environnement avant même la construction d’une usine d’incinération.

Aussi basses soient-elles, les normes d’émission se traduisent par des tonnes de poussière et d’éléments toxiques rejetés sur la tête des gens. Les études démontrent à l’évidence que 80 % de la pollution vomie par les cheminées retombe dans un environnement proche

A-t-on, simulé, étudié, mesuré, de façon objective et contrôlable, le rayon de propagation de la cheminée de Tridel ?

Le rapport d’impact demeure muet sur certains polluants cancérigènes : ainsi la dioxine et les furannes sont des éléments chimiques de très haute nocivité. Quelles que soient les quantités rejetées et leurs teneurs résiduelles, ces éléments, difficilement maîtrisables, présentent une dangerosité rémanente. Dans certains Etats américains, le principe de l’incinération par four est abandonné au profit de des solutions moins dangereuses pour l’environnement.

En Allemagne et en Hollande, les retombées de telles émissions toxiques sont prises en considération, puisque les produits laitiers émanant de ces zones sont interdits pour l’alimentation des enfants.

Dans l’argumentation officielle distribuée par les services communaux lausannois, on peut lire :

“Pour percer la chape qui recouvre Lausanne à certaines périodes de l’année et disperser les quelques particules ayant échappé au lavage des fumées hors des zones habitées, la cheminée mesurera 75 m de hauteur”.

L’ASVF observe que le lavage des fumées par circulation d’eau charge celle-ci de métaux lourds, cette eau polluée, dont on ne veut pas pour la Venoge, n’étant que partiellement traitée en usine, le solde ira dans le Flon, puis dans la step de Vidy.

Et l’avocat de l’ASVF de relever ceci : “Ce projet n’est pas inoffensif, comme les éléments qui précèdent le démontrent, surtout en pleine ville et que, à défaut d’étude précise concernant ces substances toxiques, il n’est pas possible de dire aujourd’hui si elles sont admissibles et si, préventivement, il n’y a pas matière à les limiter face à une telle densité de population. Notre association demande au minimum:une étude épidémiologique sérieuse et indépendante, pour mesurer les effets de ces cumuls de pollution sur la santé.l’abaissement des normes de rejets des différents polluants.un rôle accru des services de l’état et notamment de sociétés neutres, notamment sur les contrôles et analyses. Nous demandons l’amélioration du réseau des capteurs et l’élargissement des toxiques analysés…L’air de la Sallaz serait plus pollué que celui qui sort de la cheminée ( sic)…selon des “responsables” qui trichaient leurs factures, leurs normes et affirmaient que l’on pourrait rouler en voiture dans leur tunnel…fait à double pour 85 millions, alors que les voies du M2 auraient très bien pu remplir ce rôle d’apporter les déchets de Sébeillon à Tridel aux heures creuses du jour et de la nuit…Les moutons tondus par les impôts sont étranglés et intoxiqués, pour enfin être euthanasiés ou suicidés…Imaginons que c’est vrai, alors cela signifie que l’air est déjà très pollué à près de 100 % et que la cheminée ajoute encore une pollution de seulement 99 %, soit un peu moins en effet. On interdit la fumée dans les cafés mais on en généralise une pire, mais peu visible, dans la ville la plus pollués de Suisse (sic).Agissons pour que la Suisse ne soit plus la poubelle de l’Europe.La pollution par microparticules et par dioxines de la part de toute usine d’incinération est donc prouvée scientifiquement.Par exemple à Lausanne, selon les normes Tridel, nous allons notamment recevoir plus de 740 millions de m3 chaque année d’air pollué avec en tout cas des dioxines cancérigènes par l’air, les eaux de lavage et les cendres qui provoqueront des milliers de cancers. Le rapport du Tüv est incomplet et nous en demandons la publication dans un journal à large diffusion.Le tri et la méthanisation des déchets salés ménagers reste la meilleure solution car sinon le Chlore du sel (Na Cl) pollue en dioxines chlorées, c’est aussi simple que çà.Les gaz de la méthanisation permettent de chauffer les familles lausannoises déjà branchées au systèmeOn peut aussi consommer avec moins de déchets polluants. Un enfant le comprend.

Tridel, micro-particules fines inférieures à dix microns, et même très fines inférieures à un micron ? – par Tridel le 22/02/2006 : 09:14 sur www.pavie.ch

NO-Télé : Quels sont les risques engendrés par l’émission de particules fines inférieures à dix microns, et même très fines inférieures à un micron ?
Neil Carman :Les particules vont retomber plus vite en fonction de leur taille et de la vitesse du vent, mais elles retomberont, plus rapidement si le vent est faible, comme des petits cailloux. Vous aurez de plus en plus de particules toxiques au niveau du sol ou quand vous respirerez; ces particules transportent de la dioxine et des métaux lourds. Les toutes fines particules de l’ordre de un micron seront lavées, précipitées durant les averses par les gouttes de pluie.Mais effectivement, elles auront tendance à rester en suspension durant une plus longue période que les microparticules plus grandes ,de dix microns ou plus, que l’on appelle les PM10.
Question: quid des plus petites particules?
Ces particules sont les plus toxiques, les plus nuisibles. Elles sont dommageables pour deux raisons: elles sont tellement microscopiques, fines, qu’elles peuvent facilement pénétrer en profondeur dans le poumon humain, dans les alvéoles pulmonaires, là où s’effectue l’échange gazeux . La seconde raison est une raison chimique, qui tient aux substances toxiques transportées par ces microparticules. Vous y trouvez des métaux lourds, des composés organiques volatils( COV) et d’autres matières. Et donc, en raison de leur petite taille et de leur toxicité, ces particules peuvent entrer directement dans les poumons et dans la circulation sanguine. C’est cela qui est le plus nuisible pour la santé. Vous pouvez comparez ces particules fines à des petites valises pour substances chimiques nuisibles. Certains personnes les comparent également à des éponges qui absorbent les métaux et les composés organiques à leur surface, tant et si bien que quand elles arrivent dans les poumons, ces substances toxiques sont libérées directement dans les alvéoles pulmonaires et dans la circulation sanguine. Ce sont les plus nuisibles. C’est un peu comme les fines particules qu’on trouve dans la fumée de cigarette. Elles sont très toxiques. …

Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
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Présent :
La femme est, comme toujours, l’avenir de l’homme…:-)
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