600 milliards cachés dans la comptabilité de la BNS !

Assemblée générale 2016 de la banque nationale suisse…



Viol de notre neutralité. La banque nationale suisse, nos fonds de pension, notre AVS financent massivement les bombes nucléaires et les sous-munitions US dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires, les OGM de Monsanto, le gaz de schiste … Scandaleux !

M. Hildebrand, BlackRock vous permet de gérer de grands clients institutionnels. Sont-ils principalement des institutions d’ Etat ?
Hildebrand: Ce sont tous types d’investisseurs. La plupart de nos grands clients institutionnels comprennent des compagnies d’assurance, fonds de pension et des fonds souverains. Bien sûr, les banques centrales  sont aussi de la partie – par exemple, elles peuvent gérer les réserves de change par des mandats externes.

http://www.nzz.ch/blackrock-will-seine-praesenz-in-der-schweiz-vergroessern-1.18098030

Le peuple suisse a décidé en 1891, par un vote populaire, d’attribuer la création de notre argent (« billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire ») uniquement à la Banque nationale.( art. tout en bas ).

Cette volonté populaire claire a été violée honteusement, avec l’accord tacite de certaines de nos “élites”…

Les conséquences sont notamment des charges et des dettes à intérêts composés toujours plus lourdes sur les épaules de tous les suisses et des avantages honteux pour une toute petite minorité qui abuse de notre naïveté !

Nous sommes tous volés, et de beaucoup ! Votez oui au RBI pour en récupérer au moins une partie !

Délits d’initiés ? Perte de 90 % de la valeur Valeant, à notre détriment, au profit de qui ?
Marco Saba




Me Patrick Dimier à gauche. A droite, les deux scrutateurs élus qui n’ont pas fait leur travail !


“Notre collectif a invité le polit-buro à s’expliquer sur sa politique d’investissement manifestement conduite en dehors des règles que notre chère BNS s’est elle même fixées. Malheureusement rattrapés par les vieux démons qui ont agité la pensée du camarade Lénine, les membres du polit-buro ne savent plus entendre la voix des camarades de la base. Pire, ils l’ignorent! C’est à croire que, comme le camarade Josef, ils ont des choses importantes à nous cacher. Notamment ceci: “Assemblée générale de la BNS. Personne n’a remarqué la réponse de la direction à la question: “Pouvez-vous expliquer pourquoi la BNS a investi massivement dans le secteur militaire et pétrolier américain y compris gaz de schiste?”. “Je ne sais pas car le mandat de gérer ces fonds a été donné à Blackrock”. Wouaw extraordinaire le plus grand gérant de fonds américain que co-dirige notre ex-président de la BNS Monsieur Hildelbrand.” Merci à xxx de nous relayer cette information qui vaut son pesant de délit d’initié! Ceux qui, notamment parmi les Conseillers d’Etat, persistent à croire qu’il n’y a aucun conflit d’intérêt, doivent réviser leur jugement manifestement erroné. Quant à nous, citoyens actifs et positifs, continuons à poser nos questions. La BNS est certes indépendante, cela ne signifie pas qu’elle peut ignorer les règles éthiques qu’elle s’est elle-même fixées ni qu’elle peut ignorer qu’elle appartient au peuple et aux cantons et qu’à ce titre elle nous doit respect et transparence. Actuellement ceux qui méritent la quotation AAA+, c’est nous, pas eux! REVEILLONS-NOUS!” 
Patrick Dimier 
www.aaapositifs.ch http://www.rts.ch/info/economie/7686050-le-president-de-la-bns-jean-studer-critique-les-propositions-de-reformes.html



“Un émetteur de titres publiquement cotés a l’obligation légale de publier toutes ses créations d’actions. Or, les créateurs d’unités monétaires, de titres monétaires, sont les seuls à n’avoir aucune obligation de publication.”
M. Bernard Dugas


Assemblée générale 2016 de la banque nationale suisse en vidéo…


Heure, min
01:21:54
01:23:15
01:21
François de Siebenthal: Vote électronique douteux et non secret, votons pour le refuser !
Le Président de la BNS Jean Studer l’avoue en direct: les scrutateurs notamment ont la possibilité de vérifier les votes un par un (sic) donc le vote secret n’est pas secret !


Les graves tricheries dans les votations électroniques sont donc prouvées, notamment à 1 heure et 27 minutes et suivantes, confirmées par Me Patrick Dimier plus tard dans la même vidéo qui vaut procès-verbal en 3 langues !

L’assemblée n’a jamais accepté le vote électronique qui lui a été imposé unilatéralement.

Le vote déclaré secret n’est pas secret, même le Président l’a reconnu publiquement.

Les scrutateurs élus n’ont pas fait leur travail.


Neuf des dix demandes déposées légalement bien à l’avance n’ ont même pas été mises à l’ordre du jour. Le Président de la Banque Jean Studer a déclaré que le conseil d’administration a trouvé , «que … la loi, art. 36 a à e, ne s’ applique pas !” (Dans l’enregistrement vidéo à 02h48 …).

Le paragraphe f ci-dessous, n’est bien sûr pas mentionné, très probablement intentionnellement, par M. Jean Studer, ce qui est une forfaiture malencontreuse et très dommageable contre la démocratie directe voulue par le législateur et les traditions suisses …


« … elle ( l’Assemblée Générale ) peut soumettre au Conseil fédéral, à l’intention de l’Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.” 


Ceci est exactement ce à quoi étaient destinées les dix demandes., à savoir un changement dans la Loi sur la Banque Nationale…



  Art. 36 Attributions
L’assemblée générale a les attributions suivantes:

a.
elle élit cinq membres du conseil de banque;
b.
elle élit l’organe de révision;
c.
elle approuve le rapport annuel et les comptes annuels;
d.
elle décide de l’affectation du bénéfice porté au bilan;
e.
elle donne décharge au conseil de banque;
f.
elle peut soumettre au Conseil fédéral, à l’intention de l’Assemblée fédérale, des propositions de révision de la présente loi ou de liquidation de la Banque nationale.


De plus, nous pouvons établir par témoignages et enregistrements que chacun des votes de l’assemblée générale ont été modifiés par des actes extérieurs au cercle des actionnaires…

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/video-de-l-ag-en-3-langues.html

Les médias sont très mal informés: la preuve, écoutez l’ interview radio sur Forum par Mehmet Gultas de M. Blaise Rossellat…

La BNS investit dans les armes nucléaires

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.



Aux autorités compétentes fédérales, cantonales, communales.
Aux citoyen(e)s


Office fédéral de la police
Bureau de communication en matière de blanchiment d’argent (MROS)
Nussbaumstrasse 29
CH-3003 Berne

T
+41 58 463 40 40
Fax
+41 58 463 39 39


Mesdames, Messieurs,
Concerne: Violations graves et répétées de lois suisses importantes, not. le CPS, la neutralité, le respect de l’environnement, la charte de la BNS, la constitution suisse, les règlements de la BNS, les conventions signées et de nombreux accords internationaux. Découverte de milliards cachés notamment dans la comptabilité de la BNS, propriété des citoyen(e)s suisses et dans les banques commerciales !

Nous vous prions de bien vouloir instruire les faits et aveux publics suivants:


Détournements de l’argent public, délits d’initiés (- 90 % sur certaines valeurs), abus de confiance, encouragement à l’ abus de la marque francs suisses et des armoiries suisses, not. l’article 7 alinéa 2a de la Loi fédérale pour la protection des armoiries publiques et autres signes publics du 5 juin 1931, collaboration à la violation de la constitution suisse et de la loi sur la monnaie, not. la Loi fédérale sur l’unité monétaire et les moyens de paiement (LUMMP) du 22 décembre 1999, fausses comptabilités frauduleuses, vols en bandes organisées, not. Art. 100quater, 157, Art. 157 1. Infractions contre le patrimoine. / Usure, 158, 160, 161 etc, 164, 165, 251 et ss, 266 et ss, 283, 305 et ss, 322 et ss du CPS, complots, concussions probables, fraudes fiscales aggravées, violations de règlements, not. de la BNS, de lois fédérales, de conventions et traités internationaux, not. OCDE, conflits d’intérêts, BNS sous influence et loin … très loin d’ être indépendante, notamment Blackrock , USA ( KPMG…) économiesuisse à tous les niveaux, et tricheries dans les votations électroniques prouvées, notamment à 1 heure et 27 minutes et suivantes, confirmées par Me Patrick Dimier plus tard dans la même vidéo qui vaut procès-verbal en 3 langues !

L’assemblée n’a jamais accepté le vote électronique qui lui a été imposé unilatéralement.

Le vote déclaré secret n’est pas secret, même le Président l’a reconnu publiquement.

Les scrutateurs élus n’ont pas fait leur travail.


L’article 38, alinéa 2 de
la Loi sur la Banque nationale stipule que « les votes et les élections ont lieu à main levée. Ils ont lieu au scrutin secret sur
décision du président

ou sur demande de 20 actionnaires présents
. La loi est claire, le
vote électronique n’est ni un vote à main levée, ni un scrutin secret. Je
propose donc que l’on respecte la loi en procédant à un vote à main
levée ».



Les machines à voter donnait le nom de celui qui votait, le Président Studer l’a reconnu publiquement sur la vidéo. Le vote n’était pas secret, contrairement à ce qui avait été affirmé et à ce qui est exigé par l’article 38 ci-dessus.


Schéma de Ponzi aggravé par chute volontaire de la démographie (jeu de l’avion), mauvaise gestion des fonds de pension, abus de faiblesse.


Graves délits pour la plupart poursuivis d’office ! 


Pour le surplus, jura novit curia…


https://de.wikipedia.org/wiki/Da_mihi_factum,_dabo_tibi_ius


La création monétaire du néant, ex nihilo est une simple écriture de dette en centaines de milliards de francs, un achat non payé et non déclaré fiscalement, une usure vorace vu les intérêts pris sur des sommes en milliards venues du néant, donc en fait un taux proche de l’ infini (sic), qui sont investis dans plus de 14 industries militaires nucléaires surtout américaines ( rien en Suisse, sic ! ) qui violent toutes les règles suisses, la neutralité, le respect de l’environnement, la charte de la BNS, la constitution suisse, les règlements de la BNS, les conventions signées et de nombreux accords internationaux et qui sont des abus de la faiblesse du public qui ne comprend pas ces vols systématiques, permanents et continus depuis des années  !

Autres investissements grotesques dans le gaz de schiste super-polluant aussi aux USA , resic, dans les OGM de Monsanto ou dans Apple, concurrent de notre horlogerie…
Le mécanisme monétaire est l’achat d’actifs pourris notamment à Blackrock et à l’UBS …


C’est ce que l’on appelle du détournement de monnaie scripturale bancaire avec la complicité active de la BNS qui appartient à tous les citoyens suisses!”!

“Assemblée générale de la BNS. Personne n’a remarqué la réponse de la direction à la question: “Pouvez-vous expliquer pourquoi la BNS a investi massivement dans le secteur militaire et pétrolier américain y compris gaz de schiste?”. 

Réponse de M. Thomas Jordan: à 3 heures 49 minutes et suivantes de l’ AG en vidéo:


Assemblée générale 2016

29 avril 2016, à 10 heures
“Je ne sais pas car le mandat de gérer ces fonds a été donné à un tiers”. 

M. Hildebrand, BlackRock vous permet de gérer de grands clients institutionnels. Sont-ils principalement des institutions d’ Etat ?
Hildebrand: Ce sont tous types d’investisseurs. La plupart de nos grands clients institutionnels comprennent des compagnies d’assurance, fonds de pension et des fonds souverains. Bien sûr, les banques centrales  sont aussi de la partie – par exemple, elles peuvent gérer les réserves de change par des mandats externes.

Herr Hildebrand, Sie betreuen bei Blackrock grosse institutionelle Kunden. Sind das vor allem staatliche Institutionen?
Hildebrand: Das sind alle Arten von Investoren. Die meisten unserer grossen institutionellen Kunden sind Versicherungen, Pensionsfonds und Staatsfonds. Natürlich gehören auch Zentralbanken dazu – beispielsweise, wenn sie Devisenreserven mittels externer Mandate verwalten lassen.


Wouaw extraordinaire le plus grand gérant de fonds américain que co-dirige notre ex-président de la BNS Monsieur Philipp Hildebrand. Non, aucun conflit d’intérêt. Oui, continuons à ne poser aucune question. La BNS est indépendante ce qui signifie que même si elle appartient au peuple et aux cantons leur avis ne compte pas.”

F, xxxxx, Président de zzzz.

Affaire qui implique l’ex directeur de la Banque nationale suisse Philipp Hildebrand



http://www.letemps.ch/economie/2013/09/30/pouvoir-blackrock


https://fr.wikipedia.org/wiki/Group_of_Thirty

Current Members

Photo

Paul A. Volcker

Chairman Emeritus, Group of Thirty
Former Chairman, Federal Reserve System
Photo

Jacob A. Frenkel

Chairman of the Board of Trustees, Group of Thirty
Chairman, JPMorgan Chase International
Photo

Jean-Claude Trichet

Chairman, Group of Thirty
Former President, European Central Bank
Photo

Guillermo Ortiz

Treasurer, Group of Thirty
Chairman, BTG Pactual Mexico
Photo

Leszek Balcerowicz

Professor, Warsaw School of Economics
Former Governor, National Bank of Poland
Photo

Mark Carney

Governor, Bank of England
Chairman, Financial Stability Board
Photo

Jaime Caruana

General Manager, Bank for International Settlements
Former Governor, Banco de Espana
Photo

Domingo Cavallo

Chairman and CEO, DFC Associates, LLC
Former Minister of Economy, Argentina
Photo

Mario Draghi

President, European Central Bank
Former Governor, Banca d’Italia
Photo

William C. Dudley

President, Federal Reserve Bank of New York
Former Partner and Managing Director, Goldman Sachs
Photo

Roger W. Ferguson, Jr.

President and CEO, TIAA
Former Chairman, Swiss Re America Holding Corporation
Photo

Arminio Fraga

Founding Partner, Gavea Investimentos
Former Governor, Banco Central do Brasil
Photo

Timothy Geithner

President, Warburg Pincus
Former US Treasury Secretary
Photo

Gerd Häusler

Chairman of the Supervisory Board, Bayerische Landesbank
Former CEO, Bayerisch Landesbank
Photo

Philipp Hildebrand

Vice Chairman, BlackRock
Former Chairman of the Governing Board, SNB
Photo

Gail Kelly

Global Board of Advisors, US Council on Foreign Relations
Member, McKinsey Advisory Council
Photo

Mervyn King

Member, House of Lords
Former Governor, Bank of England
Photo

Paul Krugman

Distinguished Professor, Graduate Center, CUNY
Former Member, Council of Economic Advisors
Photo

Haruhiko Kuroda

Governor, Bank of Japan
Former President, Asian Development Bank
Photo

Christian Noyer

Honorary Governor, Banque de France
Former Chairman, Bank for International Settlements
Photo

Raghuram G. Rajan

Governor, Reserve Bank of India
Professor of Economics, Chicago Booth School of Business
Photo

Kenneth Rogoff

Professor of Public Policy and Economics, Harvard University
Former Chief Economist, International Monetary Fund
Photo

Tharman Shanmugaratnam

Deputy Prime Minister and Coordinating Minister for Economic and Social Policies, Singapore
Chairman, Monetary Authority of Singapore
Photo

Masaaki Shirakawa

Special Professor of International Politics, Economics, & Communication, Aoyama-Gakuin University
Former Governor, Bank of Japan
Photo

Lawrence Summers

Charles W. Eliot University Professor at Harvard University
Former US Treasury Secretary
Photo

Tidjane Thiam

CEO, Credit Suisse
Former CEO, Prudential plc
Photo

Adair Turner

Chairman of the Governing Board, Institute for New Economic Thinking
Former Chairman, Financial Services Authority
Photo

Kevin Warsh

Distinguished Visiting Fellow, Hoover Institution, Stanford University
Lecturer, Stanford University Graduate School of Business
Photo

Axel Weber

Chairman, UBS
Former Visiting Professor of Economics, Chicago Booth School of Business
Photo

Ernesto Zedillo

Director, Yale Center for the Study of Globalization, Yale University
Former President of Mexico
Photo

Zhou Xiaochuan

Governor, People’s Bank of China
Former President, Chinese Construction Bank

Le Group of Thirty a été fondé en 1978 à l’initiative de la fondation Rockefeller1 qui a également fourni les premiers fonds. Son premier président a été Johannes Witteveen, un ancien directeur du Fonds monétaire international. Son président actuel est Paul Volcker.

Le Bellagio Group, formé par l’économiste de l’école autrichienne Fritz Machlup, a été le prédécesseur immédiat du Group of Thirty2. La première rencontre s’est tenue en 1963 pour examiner les problèmes monétaires internationaux, particulièrement les problèmes de balance de paiements qui affectaient alors les États-Unis

Membres3[modifier | modifier le code]

Qui sont les propriétaires de la fausse monnaie bancaire et surtout des biens obtenus par elle ?

Historiquement, ils ont fait croire ( et ils le font encore ) qu’il y avait plus de lingots de métaux précieux qu’en vérité ( mensonges), puis on fait des reçus sur ce néant ( Faux dans les titres, puis fausse comptabilité ), puis se sont associés ( vols en bandes organisées ), puis ont pris de forts intérêts ( péché mortel selon Vix pervenit sur ce néant ( donc des taux infinis ), vols par astuce, puis on exigé des faillites par cupidité maladive, ce qui  affaiblit et tue les plus faibles.

Tout ce qui est possible, apparemment légal n’est pas nécessairement bon pour le peuple et moral.
Ces créations monétaires du néant par les banques commerciales, “ex nihilo” en technique bancaire, violent la bonne foi et la réalité économique par un grave abus de la marque suisse, au contraire des francs wir, http://www.wir.ch/fr/ , qui reconnaissant honnêtement leur caractère privé. Les gens croient que ce sont des francs suisses mais c’est un pur mensonge et un viol de leur confiance. Ce sont de “faux” francs “suisses”, un abus de langage et de titres. Le conseil fédéral écrit diplomatiquement “des substituts monétaires”… comme les points cumulus, les miles des compagnies aériennes, au risque des clients…

Le Conseil Fédéral suisse admet le …

desiebenthal.blogspot.com/2014/…/le-conseil-federal-suisse-admet-le.ht…

13 déc. 2014 – 12.3305 – Interpellation. Création de monnaie en Suisse (1). Déposé par. Müller Geri. Date de dépôt: 16.03.2012; Déposé au: Conseil national …


En récapitulation, on est face à des abus de confiance, de fausses représentations économiques, des comptabilités frauduleuses, des substituts astucieux de monnaie, donc de la fausse monnaie comme le reconnaît un prix Nobel, Maurice Allais, des complots financiers par astuce en bande, de la concussion et la corruption, des abus de biens sociaux…
Ces contrats sont iniques, odieux et impossibles à honorer, comme en Grèce, vu les exponentielles d’intérêts devenues verticales ( 1+ i puissance le nombre des années ) donc nuls pour la plupart ( il faut distinguer ces créations folles de la vraie épargne )

En une seconde, lors de cette création “magique”, ils assument un maximum de graves fautes qui nous volent tous, sauf eux qui se paient la part du lion, ce sont des contrats léonins, et de plus en plus vu les exponentielles dans le temps…


Nous incluons dans les faits à instruire les éléments suivants:


Pour que la BNS protège efficacement l’appellation «franc suisse» (CHF)!
Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse»(CHF).
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande puisse disposer d’un compte de virement à la BNS, comme les employés de la BNS.
Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.
Pour que la BNS explicite, formalise et publie la méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale «franc suisse» (CHF) par rapport aux devises internationales.
Pour que la BNS sépare sa comptabilité interne de la comptabilité de la monnaie légale suisse, comme pour des «actifs sous gestion».
Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre des actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’un compte de financement souverain de l’économie réelle suisse.
Textes détaillés et explicatifs dans le lien ci-dessous, avec références aux lois, ordonnances et règlements invoqués dans le pdf, partie intégrante du texte. 

http://aaapositifs.ch/wp-content/uploads/2016/04/PropositionsBNS-3A2016-FR.pdf

Marco Saba, résumé, texte complet tout en bas de cette page.
Intervention à propos de la
comptabilité, en particulier sur la suppression du tableau des flux de
trésorerie dans lequel il fallait enregistrer les flux de création de
l’argent.
[voir: Cash Flow
Accounting in Banks— A study of practice, Ásgeir B. Torfason, University of
Gothenburg, 2014 ; source :
https://gupea.ub.gu.se/handle/2077/35272 et par Positive Money : New Report: Why State-Issued Money is Not Debt ; source : http://positivemoney.org/2016/04/new-report-why-state-issued-money-is-not-debt/]

« Je critiquerais aussi l’approbation du bilan de KPMG qui n’a pas tenu en compte la
violation par la banque des règles comptables, c’est à dire que le bilan n’est
pas en adéquation avec le “Swiss Gaap FER 4” en rapport à la création d’argent du néant.

Je voudrais vous rappeler que dans sa réponse le directeur général M. Studer a dit que ils ont suivi les règles comptables Swiss GAAP tandis que pendant ma deuxième intervention je lui ai démontré que c’est pas vrai en me référant aux notes au bilan de la banque elle-même !

En particulier, voir:

108° Rapport de gestion, page 158:
“Ainsi, en dérogation aux Swiss GAAP RPC, la Banque nationale n’a pas dressé de tableau des flux de trésorerie. ….La suppression du tableau des flux de trésorerie est l’unique modification par
rapport à l’exercice 2014.” – violation des SWISS GAAP 4.

Dans la même page:
“Selon la Swiss GAAP RPC 31, les conditions afférentes aux dettes financières
doivent être indiquées dans l’annexe. Compte tenu du statut particulier d’une
banque centrale, la pertinence d’une telle publication reste toutefois limitée. La
majeure partie des passifs de la Banque nationale reflète directement la mise
en œuvre de la politique monétaire, à savoir l’injection ou la résorption de
liquidités sur le marché monétaire. Les dettes en francs ne font courir aucun
risque de liquidité ni de refinancement à la BNS puisque celle-ci dispose du
monopole d’émission des billets de banque. Elle peut en tout temps faire face
à ses obligations, dans la mesure où elle peut créer elle-même les liquidités
dont elle a besoin et déterminer le niveau ainsi que la structure de son
financement. Dans ces circonstances, on a renoncé à une mention détaillée
des conditions afférentes aux dettes financières.”

Donc la non conformité au SWISS GAAP est dénoncé dans leur document !

Peut-être que M. Studer n’a pas lu le bilan, ou bien si il l’a lu il ne l’a pas compris.

Marco Saba

La Banque nationale suisse (BNS) suspendue de cotation pour la 1ère fois de l’histoire

Le titre de la BNS a été suspendu de cotation à la Bourse suisse peu avant l’annonce, pour la 1ère fois de l’histoire 

La BNS confirme une perte de 23,3 mrd CHF en 2015

La BNS investit notamment dans les armes nucléaires aux USA, sic, et dans le gaz de schiste super-polluant aussi aux USA , resic, dans Monsanto 🙁 ou dans Apple, concurrent de notre horlogerie… )
Quelques investissements récents à analyser.
https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzTk5ER1ZFUFdvZ09IbklOam40T0w1aTZFbnlF/view?usp=sharing
https://lilianeheldkhawam.wordpress.com/2016/01/27/les-investissements-de-la-bns-dans-larmement-nucleaire-sont-indignes-liliane-held-khawam/
Mais le pire est de laisser faire la création monétaire par les banques commerciales et pour leur grand profit contre les citoyens, communes, cantons suisses, par centaines ( et même milliers) de milliards, tout en taxant notamment nos fonds de pension suisses d’intérêts négatifs ( une forme de vol )… en violation des principes écrits de ses propres statuts, de ceux du Conseil fédéral et de notre constitution… mais en respectant des règles venues de l’étranger… (reresic…), édictées par d’obscures officines d’initiés intéressés et exploiteurs de nos citoyens et de nos “élites” ( naïves ou corrompues…? ) qui ont pourtant prêté serment de respecter notre constitution et les suisses, avec  trois doigts levés et deux repliés…
http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/06/le-serment-base-de-la-vraie-suisse.html
Nous pouvons changer ces politiques hasardeuses…

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/09/proprietaires-de-la-fausse-monnaie.html


http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/video-de-l-ag-en-3-langues.html

Autres pièces importantes:


Monsieur Jean Studer
Président du Conseil de banque
Banque nationale suisse
Place fédérale 1
CH-3003 Berne
LAUSANNE, le 21 avril 2016
Concerne : Disparition de presque toutes les propositions légalement déposées, violations graves du statut de la BNS,  modifications unilatérales des titres et des textes devant être portés légalement à  l’ordre du jour.
Monsieur le Président,
En premier lieu, nous vous tenons à  vous remercier d’être entré en matière et d’avoir accepté notre demande préalable, issue du groupe informel AAA+, en organisant cette année, pour la première fois, une traduction simultanée pour notre Assemblée Générale  des actionnaires.
Concernant la proposition de décision 3A2016-08 nous sommes très surpris de ne pas la retrouver à l’identique, ce qui heurte la bonne foi, mais surtout nous nous étonnons de la disparition de toutes les autres neufs propositions que vous avez reçues dans les délais et dûment signées par le quorum d’actionnaires réglementaires, qui sont toutes importantes pour le bien commun de notre pays.
Pour mémoire la proposition modifiée unilatéralement qui vous a été soumise (attachée) est rédigée comme suit:
…” Que le procès-verbal de l’Assemblée générale soit effectivement diffusé, sur leur demande, aux actionnaires de la BNS y compris la liste de participation à l’Assemblée générale et les prises de positions des actionnaires de droit public et que le registre des actionnaires soit consultable par tout actionnaire qui le demande pour l’exercice de ses droits et devoirs explicites d’actionnaire. Dans la mesure où cette décision de l’Assemblée Générale est compatible avec la Loi fédérale sur la Banque nationale suisse (LBN), le Conseil de Banque et la Direction Générale peuvent l’appliquer en l’état. S’il s’avérait que cette décision n’était pas compatible avec la LBN ou avec une autre loi fédérale, alors cette décision constitue une proposition de révision de la LBN à l’intention de l’Assemblée fédérale, soumise au Conseil Fédéral, conformément à l’article 36 lit.f de ladite LBN. »
Or dans la proposition qui figure à l’ordre du jour, la phrase soulignée ci-dessus a disparu.
Il s’ensuit que le texte soumis à l’AG n’est pas celui que nous avons signé. C’est une autre proposition, faite par le Conseil de Banque.
Si le Conseil de Banque entend soumettre une proposition concurrente, libre à lui puisque la LBN le lui permet.
En revanche le Conseil de Banque ne peut pas se substituer aux auteurs d’une proposition et maintenir leurs signatures. Cela fait accroire qu’ils sont d’accord avec ce nouveau libellé.
Nous avions été prévenus d’un changement du titre de la proposition, ce qui est déjà un étrange procédé. Il en va tout autrement de la modification unilatérale du contenu même du texte à voter, sans contact et sans l’accord des cosignataires, c’est très gravement contraire à l’éthique.
La suppression des arguments explicatifs ajoute à la problématique puisqu’elle ne va pas dans le sens de l’amélioration de la compréhension des autres actionnaires. Tout au contraire.
Quant au refus pur et simple de porter à l’ordre du jour les 9 autres propositions qui respectaient pourtant toutes les conditions matérielles indiquées sur votre site web et dans l’alinéa 2 de l’article 35 de la LBN, nous vous informons réserver l’ensemble de nos droits à l’encontre de cette décision si vous refusez toujours les règles de la bonne foi et du droit suisse et de rendre la chose publique.
En conséquence, nous vous demandons de rectifier en urgence ces erreurs, en remettant à tous les actionnaires toutes les propositions et notamment la proposition 3A2016-08 originale, telle qu’elle a été co-signée par 25 actionnaires afin qu’elles soient, précisément, “portées à l’ordre du jour” selon les termes exacts de l’alinéa 2 de l’article 35 de la LBN. À cette fin je vous impartis un délai plausible pour vous conformer avant l’assemblée générale à cette simple demande normale pour défendre le bien commun de la Suisse, surtout en ces temps troublés qui ont même provoqués la suspension de la cotation de l’action de la BNS..
Nous vous remettons en mémoire que l’année dernière déjà, votre département juridique n’a pas tenu sa parole donnée par téléphone et a fait preuve de formalisme excessif en refusant nos propositions pour des raisons futiles qui violaient la parole donnée et la bonne foi. Nous n’avions pas fait recours vu cette mauvaise foi déjà patente à l’époque.
Cette lettre n’est pas envoyée contre signature mais rendue publique car nous sommes maintenant certain que çà n’en vaut pas la peine, les autorités actuelles ne respectent pas l’Etat de droit et l’ont déjà prouvées à plusieurs reprises. 
La BNS investit notamment dans les armes nucléaires aux USA, sic, et dans le gaz de schiste super-polluant aussi aux USA , resic, dans Monsanto 🙁 ou dans Apple, concurrent de notre horlogerie… )
Quelques investissements récents à analyser.
https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzTk5ER1ZFUFdvZ09IbklOam40T0w1aTZFbnlF/view?usp=sharing
https://lilianeheldkhawam.wordpress.com/2016/01/27/les-investissements-de-la-bns-dans-larmement-nucleaire-sont-indignes-liliane-held-khawam/
Mais le pire est de laisser faire la création monétaire par les banques commerciales et pour leur grand profit contre les citoyens, communes, cantons suisses, par centaines ( et même milliers) de milliards, tout en taxant notamment nos fonds de pension suisses d’intérêts négatifs ( une forme de vol )… en violation des principes écrits de ses propres statuts, de ceux du Conseil fédéral et de notre constitution… mais en respectant des règles venues de l’étranger… (reresic…), édictées par d’obscures officines d’initiés intéressés et exploiteurs de nos citoyens et de nos “élites” ( naïves ou corrompues…? ) qui ont pourtant prêté serment de respecter notre constitution et les suisses, avec  trois doigts levés et deux repliés…
http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/06/le-serment-base-de-la-vraie-suisse.html
Nous allons tout droit vers une dictature financière impitoyable qui écrase ceux qui vous ont élus.
.
Vous en remerciant par avance d’une miséricorde toujours possible, vu que nous sommes en 2016, nous vous prions de croire, Monsieur le Président, à l’assurance de notre meilleure considération et respect pour vos lourdes charges et responsabilités, surtout dans les temps troublés actuels.

F. von Siebenthal, membre du collectif AAA+

Annexes:

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/banques-centrales-commerciales-un.html 

http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/02/banquiers-renards-ruses-aux-salaires.ht

BNS: Une perte prévisible de plus! Liliane Held-Khawam + Dossier Valeant

BNS logo

BNS, un Hedge Fund mal inspiré, mal informé ou mal conseillé? Dans tous les cas mal géré…
Valeant Pharmaceuticals Intl Inc. est en chute libre! L’action vient de perdre 45%. Et ce n’est pas fini!
Ce titre nous intéresse  parce que le directoire de la BNS en est fan!
Valeant est la bête noire de l’industrie pharmaceutique des États-Unisla société que tout le monde aime actuellement haïr, après l’avoir longtemps aimée est une experte en effet de levier! Comprenez en spéculation grâce à l’endettement! Les taux d’intérêt négatifs sont si attractifs pour des gens qui veulent grossir par endettement au-delà de leurs réelles capacités.
L’effondrement boursier de ce titre Valeant était prévisible depuis belle lurette. Les pertes annuelles affichées auraient fait fuir n’importe quel investisseur! Mais pas le directoire de la BNS!
Fin septembre, Valeant est dans les 20 premiers investissements du directoire de la BNS. On peut estimer sur la base de cet histogramme à 250 millions de dollars le volume de titres Valeant (valeur fin septembre).
Voilà l’évolution parfaitement prévisible du titre honni par les marchés…
Valeant
Perte de près de 90% depuis fin août!    Des centaines de millions de la BNS partis en fumée!      
Dans un article que nous avons traduit ici, Zerohedge titrait récemment « Le Hege Fund connu sous le nom de BNS ». Un peu plus loin, il ajoute qu’elle est le plus grand fond de couverture dans le monde avec 584 milliards de dollars d’actifs, soit environ l’équivalent du PIB de la Suisse.
Dans cet article Zerohedge revient sur le fait qu’en début 2015, le directoire de la BNS était devenu le plus gros acheteur de titres Apple, juste avant que celui-ci n’entre dans une tendance baissière.
L’article rappelle aussi que le directoire de la BNS a emmené l’établissement vers une exposition dans le secteur du gaz de schiste et des énergies mais pas n’importe lequel, l’américain exclusivement.  Le secteur qui est laminé et qui affiche pertes et faillites.
Les mauvaises nouvelles dont celle des pertes de 23 Milliards de dollars s’accumulent au-dessus de la tête du directoire et du Conseil de banque de la BNS. Le problème est qu’elles ne peuvent que s’aggraver tant la politique de gestion de l’établissement est calamiteuse et semble soumise à des tiers puissants dont les intérêts divergent avec les besoins intérieur de la Suisse.
Ceci étant, nous vous renvoyons à la question « Qui finance ce désastre? ». La réponse sur ce site jusqu’à preuve du contraire par un auditeur indépendant payé par les contribuables et non par le Casino: C’EST VOUS!
La preuve de la gravité de la situation est que la cotation du titre de la BNS avait été suspendue il y a quelques jours. Ceux qui prétendent que les pertes de la BNS ne sont pas graves devraient expliquer l’impact de ces mêmes pertes sur la bourse.
Plusieurs questions se  bousculent à ce stade. Jusqu’à quand allons-nous laisser faire ce jeu de massacre dont nous sommes les héros? A partir de quand estime-t-on que les bornes ont été dépassées pour imposer un audit vraiment indépendant et non payé par les personnes concernées? Quel rôle tient Six group à qui est délégué le trafic de paiement, la bourse, les repos, etc?
Pour l’instant, l’opacité est de mise. Mais se taire et accepter l’opacité alors même que l’on voit les dégâts font de nous au mieux des victimes consentantes et au pire des complices.
On peut comprendre la peur de s’attaquer à Goliath et son Système plus que puissant. Mais David a vaincu Goliath.
Liliane Held-Khawam

M. Hildebrand, BlackRock vous permet de gérer de grands clients institutionnels. Sont-ils principalement des institutions d’ Etat ?
Hildebrand: Ce sont tous types d’investisseurs. La plupart de nos grands clients institutionnels comprennent des compagnies d’assurance, fonds de pension et des fonds souverains. Bien sûr, les banques centrales  sont aussi de la partie – par exemple, elles peuvent gérer les réserves de change par des mandats externes.
marco saba ; marcosabait@gmail.com ;
ATTN. Commandant Stefan Blättler – Notification
ex CCS art.720 (de RS210)
Avril 28, 2016
08h34
A: beschwerdestelle@police.be.ch , Riccardo Piconcelli
< Avv.piconcelli@libero.it >, Marco Della Luna
< Marcodellaluna@gmail.com >, Nadia Bank
< Nadialsun@gmail.com >


ATTN. Commandant Stefan Blättler –  notification selon art.720 CCS
(RS210)
Police cantonale b
ernoise 
Au commandant
Waisenhausplatz 32
3001 Berne
Tél. +41 31 634 41 11
Fax +41 31 331 30 33
beschwerdestelle@police.be.ch
Notification conformément à l’art. 720 paragraphe 2 et suivants du Code civil
Suisse 1 Janvier 2016 (SR 210) http://www.lexfind.ch/dtah/
131797/4 /
Berne, le 28 Avril 2016
Gmail – ATTN. Commandant St … https://mail.google.com/mail/u/. ..
1 sur 2 28/04/2016 09:29


Cher Commandant Blättler,
le soussigné Marco Saba né à Florence le xxxxxx
et  avec comme adresse en Italie 

La Banca, via 9 Gennaio 1950, 106, 41122 Modena, 

cellulaire. xxxxxxx , Passeport
n italien. xxxxxx, a trouvé 600 milliards
francs suisses par le biais d’un audit
indépendant réalisé sur le budget 2015 de la Banque Nationale
Suisse dont il est actionnaire.
Je demande, à titre de juste récompense – qui pourra se produire après l’ a
justement du bilan fait par la direction générale de la BNS, indiquant le montant de l’argent récupéré.
La création monétaire ex nihilo en latin, du néant en français, après avoir été créé par la banque, doit être
enregistré dans les entrées de crédit dans le flux de trésorerie avant de pouvoir être utilisé notamment dans le commerce des devises, puis plus tard dans le budget.

Ce préavis précédant l’avis à la banque déposé valablement hier auprès du Secrétaire général de la BNS et exposé par oral et traduit dans les deux autres langues nationales dans le lien vidéo ci-dessous qui fait partie de cette procédure et qui vaut procès-verbal selon le Président de la dite BNS.

A votre disposition pour de plus amples précisions et
en vous remerciant de votre attention,
dans la bonne foi,
Marco Saba


Assemblée générale 2016 de la banque nationale suisse…



http://www.snb.ch/fr/ifor/media/webtv/id/webtv_archive

Minutages des interventions: https://drive.google.com/file/d/0B-p0lmjLtiXzY1ZiMHRONi1QZERYdnJwU3NXdldneTJSUnVr/view?usp=sharing



Graves tricheries dans les votations électroniques prouvées, notamment à 1 heure et 27 minutes et suivantes, confirmées par Me Patrick Dimier plus tard dans la même vidéo qui vaut procès-verbal en 3 langues !

L’assemblée n’a jamais accepté le vote électronique qui lui a été imposé unilatéralement.

Le vote déclaré secret n’est pas secret, même le Président l’a reconnu publiquement.

Les scrutateurs élus n’ont pas fait leur travail.


http://desiebenthal.blogspot.ch/2016/04/video-de-l-ag-en-3-langues.html

La BNS investit dans les armes nucléaires

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.

François de Siebenthal: La Banque nationale suisse (BNS …

desiebenthal.blogspot.com/2016/03/la-banque-nationale-suisse-bns.html

7 mars 2016 – Le titre de la BNS a été suspendu de cotation à la Bourse suisse peu … La BNS investit notamment dans les armes nucléaires aux USA, sic, ..

Banques: La BNS investit dans les armes nucléaires …

www.24heures.ch/economie/bns-investit-armesnucleaires/…/10278802

27 janv. 2016 – La banque centrale a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires.

La BNS épinglée pour des investissements liés aux armes …

www.bilan.ch/…/bns-epinglee-investissements-lies-aux-armesnucleaires

27 janv. 2016 – La BNS aurait investi l’an passé 607,52 millions de dollars (616,8 millions … des entreprises impliquées dans la production d’armes nucléaires, …

La BNS épinglée pour ses investissements – Le Temps

www.letemps.ch/economie/2016/01/27/bns-epinglee-investissements

27 janv. 2016 – p>La BNS aurait investi l’an passé 607,52 millions de dollars (616,8) … les armes nucléaires reprochent dans un communiqué à la BNS de ne …

La BNS investit toujours plus dans des sociétés d’armement …

www.rts.ch/…/7448380-la-bns-investit-toujours-plus-dans-des-societes-d…

27 janv. 2016 – La BNS a investit des actions dans des sociétés américaines, tel que Raytheon, qui produit notamment des armes nucléaires. [David Loh …

Pas d’argent suisse investi dans les conflits autour du monde

kriegsmaterial.ch/fr/2a/

… armes interdites par le droit international telles que des armes nucléaires ou … Bien sûr, certaines banques, dont la Banque nationale suisse (BNS), ont un …

La BNS investit dans les armes nucléaires – Nos Villes en …

nosvilles.ch › Brèves › Economie & Emploi

27 janv. 2016 – La BNS investit dans les armes nucléaires … a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires.

relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque …

martouf.ch/…/435-relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque-n…

BNS Banque Nationale Suisse- Schweizerische Nationalbank. ….. les armes nucléaires américaines… alors que la BNS s’applique a avoir une charte éthique et …

La BNS investit dans les armes nucléaires – COMBourse

www.combourse.com/…/La_BNS_investit_dans_les_armes_nucleaires__19…

27 janv. 2016 – La banque centrale a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires. Les promesses incertaines du …

Suisse: la bns investit dans les armes nucléaires …

www.scoopnest.com/fr/user/20minutesOnline/692279493436776448

La BNS investit dans les armes nucléaires https://t.co/UuqCUHq2bN #Economie … Suisse: L’armée a refusé 25 végétaliens l’an dernier https://t.co/ztVBBKQr7F.

Jean antoine FQSP© on Twitter: “La BNS investit dans les …

https://twitter.com/…/status/692339063228141568

Traduire cette page

La BNS investit dans les armes nucléaires http://ln.is/www.tdg.ch/economie/uKMxI … via @tdgch. 5:31 AM – 27 Jan 2016. 0 retweets 0 likes. Reply. Retweet.

PS:

J’attire votre attention sur le fait que je ne suis pas avocat et que si la teneur de cette demande n’est pas conforme aux procédures judiciaires, il y a lieu de tenir compte de la jurisprudence suisse en la matière. Le destinataire d’un acte doit interpréter la portée de celui-ci d’après le sens qu’il «pouvait raisonnablement lui attribuer en le considérant comme réellement voulu, sur la base de l’attitude antérieure du déclarant et des circonstances qu’il connaissait au moment où la déclaration lui a été faite (ATF 94 II101, pp. 104-105, JT 1969 I 27, P. 28, cité par Engel, Traité des obligations en droit suisse 2è éd. 1997, pp. 238-239). Une déclaration adressée à une autorité doit être comprise selon le sens que, de bonne foi, son destinataire doit lui prêter (ATF 102 Ia 92, c.2, rés. In JT 1978 I 30).  L’administration étant davantage versée dans les matières qu’elle doit habituellement traiter, du moins formellement, on peut attendre de sa part une diligence accrue dans l’examen des actes qui lui sont soumis, notamment lorsqu’ils sont rédigés par des profanes, afin de leur donner un sens raisonnable, sans avoir à s’en tenir aux expressions inexactes utilisées (Egli, la protection de la bonne foi dans le procès, en Juridiction constitutionnelle et Juridiction administrative, Recueil des travaux publiés sous l’égide de la Première cour de droit public du Tribunal fédéral suisse, pp. 225ss, spéc. Pp. 236-237 et les exemples cités). 
 
De plus et selon la même logique, si le destinataire de cette plainte ne répond pas aux formes de procédures, vous voudrez bien le faire suivre d’office à l’instance compétente. Il en est de même de l’application des articles cités ou non cités mais applicables, vu la gravité des faits et les montants impliqués.

Qu’il plaise aussi à votre Cour, au vu de la nature de vraie recherche du bien commun, de lui accorder une procédure gratuite.

Enfin, il se réfère à la pratique constante du Tribunal fédéral en la matière, selon laquelle les recours d’un profane sont à interpréter conformément aux intentions du citoyen, vu que votre Cour est censée mieux connaître le droit qu’un simple citoyen et peut invoquer des arguments qui auraient pu être oublié ou mal exprimé. ( jura novit curia ).

Discorso di Marco Saba all’assemblea generale della BNS sul 108° Rapporto Banca Nazionale Svizzera  Nazionale 2015, Berna, Kultur Casino, 29 aprile 2016.
(Intervento effettuato dopo l’esposizione del punto 3, ovvero la dichiarazione di KPMG)
Buon giorno a tutti, sono l’azionista Marco Saba.
Il mio intervento, che chiedo di trascrivere integralmente nel verbale dell’assemblea con le note allegate al cartaceo, vale come avviso di ritrovamento – ai sensi degli articoli 720 e 722 del Codice civile svizzero (1) – di 600 miliardi di franchi svizzeri non contabilizzati, oltre ad una cifra ulteriore da accertare per il valore d’acquisto storico in franchi svizzeri di: oro, immobilizzazioni materiali, titoli in franchi, partecipazioni ed altre attività.
Nella risposta del Consiglio Federale del 19.08.2015 all’INTERPELLANZA numero 15.3391 (2), si dice chiaramente: La maggior parte della moneta della Banca nazionale viene già messa in circolazione sotto forma di moneta scritturale – e – Dato che non deve essere rimborsato, questo capitale di terzi assume un certo carattere di capitale proprio. Di fatto, esaminando il bilancio presentato dall’amministrazione della BNS, ho rilevato che manca la voce con l’indicazione della quantità di franchi svizzeri creati durante l’esercizio alterando così il valore del patrimonio netto della banca, tant’è che risulterebbe una “perdita” di esercizio che non si potrebbe realizzare se la creazione di denaro fosse correttamente contabilizzata.
Mi spiego: come risulta anche da un recente studio della BCE, che ha condotto una indagine su 57 banche centrali distribuite su 5 continenti compresa la BNS, “le banche centrali sono protette dall’insolvenza a causa della loro abilità di creare moneta” (3). Lo studio precisa inoltre che fare delle eccezioni alle norme contabili equivale alla non-conformità alle norme stesse.
Nonostante le rassicurazioni del revisore KPMG, questo bilancio non può essere approvato in quanto manca la corretta contabilizzazione della creazione di denaro che non è contabilizzata tra le attività della banca e quindi non risulta nel patrimonio netto della stessa. Infatti la banca non può dire di aver redatto il bilancio in conformità alle regole Swiss Gaap proprio perché ha utilizzato un’eccezione non giustificata alle regole omettendo i dati necessari per avere un quadro fedele della situazione patrimoniale, finanziaria e reddituale del 2015 (4).
E’ vero che la Legge sulla Banca nazionale svizzera (5) prevede che si può prescindere dalle prescrizioni della Legge federale di complemento del Codice civile svizzero, ma premette la frase “Sempre che la natura particolare della Banca nazionale lo esiga”. Nella pagina internet della BNS (6) alla domanda“In che modo è tenuto conto della natura particolare della Banca nazionale nell’informativa finanziaria ?”, leggiamo che“L’informativa finanziaria della Banca nazionale non è paragonabile a quella di una società anonima di diritto privato. Lo scopo sociale della Banca nazionale non è quello di realizzare profitti da distribuire agli azionisti, bensì di assolvere il mandato conferitole dalla Costituzione. Inoltre, la destinazione dell’utile è stabilita dalla LBN…”.
Quindi non si parla di nascondere i profitti nella tenuta della contabilità, traendo in inganno il pubblico, ma si dice che conseguirli non è lo scopo della banca. Tant’è che sùbito dopo si specifica che c’è una destinazione precisa dell’eventuale utile e che è stabilita dalla legge. Se ne desume che anche il Risultato d’esercizio negativo per 23.250.600.000 franchi svizzeri non è veritiero poiché aggiungendo la registrazione della creazione di 600 miliardi di franchi svizzeri si otterrebbe invece un utile, anche nella forma di un equivalente posta di patrimonio netto, quale ad esempio una riserva di bilancio, di almeno 576.749.400.000 franchi svizzeri.
Chiedo pertanto che il bilancio sia rettificato tenendo conto del mio ritrovamento e anche tenendo in opportuna considerazione il versamento annuale dovuto al Governo svizzero ed ai Cantoni secondo quanto disposto dalla convenzione. Questo perché la “Riserva per future ripartizioni prima della destinazione dell’utile” non può essere arbitrariamente ridotta dalla BNS accollandole delle perdite che si rivelano fittizie una volta tenuto conto della creazione di denaro. Solo così si potrà adempiere al mandato della Costituzione svizzera (7) che richiede una politica monetaria nell’interesse generale del Paese.
Vi ringrazio per l’attenzione ricevuta anche da parte delle autorità presenti.”
Note:
(N.B. nelle fonti allegate i passaggi presi in considerazione sono sottolineati.)
1) Secondo il Codice civile svizzero, chi riconsegna un oggetto trovato “ha diritto al rimborso di tutte le spese e ad un’equa mercede”, ovvero di norma il 10% del valore dell’oggetto.
Vedi l’art.720 del Codice civile svizzero (avviso di ritrovamento, rimborso spese ed equa mercede):
2) Interpellanza 15.3391 “Utili derivanti dalla creazione di moneta presso la BNS o nelle banche”
3) Nell’Occasional Paper della BCE n. 169 del 5 aprile 2016
https://www.ecb.europa.eu/pub/pdf/scpops/ecbop169.en.pdf ) , intitolato “Profit distribution and loss coverage rule for central banks”, si legge:
– a pagina 14, nota 7:
Central banks are protected from insolvency due to their ability to create money…” – (Le banche centrali sono protette dall’insolvenza a causa della loro abilità di creare moneta)
– e a pagina 20:
No single accounting framework is consistently applied by the majority of central banks.However, there are four main frameworks or types: the Eurosystem framework, International Financial Reporting Standards (IFRS), local (national) Generally Accepted Accounting Principles (GAAP) and central bank specific (own) rules.A central bank can also apply “IFRS with exceptions” (17), ornational GAAP with exceptions.”
– e, nella nota 17 della stessa pagina:
Strictly speaking, since IFRS does not allow for exceptions or for industry-specific rules, such an arrangement is not IFRS-conformant.” (e quindi anche non-conforme alle GAAP nazionali.)
4) Nel 108° Rapporto di gestione Banca nazionale svizzera 2015 (https://www.snb.ch/it/mmr/reference/annrep_2015_komplett/source/annrep_2015_komplett.it.pdf)
– pagina 158 si legge:
Salvo disposizioni derogatorie, i principi contabili sono definiti con riferimento alle direttive Swiss GAAP FER.Si è derogato da queste ultime unicamente in caso di contraddizione con la LBN o se necessarioper tenere conto delle caratteristiche specifiche della Banca nazionale. In deroga alle norme Swiss GAAP FER, non è stato stilato un conto dei flussi di tesoreria.
Modifiche rispetto all’anno precedente
All’infuori della rinuncia alla redazione di un conto dei flussi di tesoreria, non sono intervenute altre modifiche dei principi di redazione del bilancio e dei criteri di valutazione rispetto all’anno precedente.
Conto dei flussi di tesoreria
Conformemente all’art. 29 LBN, la Banca nazionale non è tenuta a presentare un conto dei flussi di tesoreria.”
– e a pag.193 nell’opinione del revisore KPMG SA (Philipp Rickert e Pietro Di Fluri):
“A nostro giudizio il consuntivo annuale per l’esercizio chiuso al 31 dicembre 2015 è conforme alla legge svizzera e presenta un quadro fedele della situazione patrimoniale, finanziaria e reddituale…”
– e poi sotto:
“Confermiamo inoltre che la proposta d’impiego dell’utile iscritto a bilancio è conforme alle disposizioni della Legge sulla Banca nazionale e raccomandiamo di approvare il presente consuntivo annuale.”.
5) Nella Legge federale sulla Banca nazionale svizzera

Sezione 2: Determinazione e distribuzione dell’utile

  Art. 291Consuntivo annuale
Il consuntivo annuale della Banca nazionale, comprensivo del conto economico, del bilancio e dell’allegato, è allestito in linea di massima conformemente alle disposizioni sulla contabilità commerciale e la presentazione dei conti del titolo trentesimosecondo del CO2Sempre che la natura particolare della Banca nazionale lo esiga, si può prescindere dalle prescrizioni del CO. La Banca nazionale non deve segnatamente presentare un conto dei flussi di tesoreria.
6) Nella pagina internet della BNS intitolata Domande e risposte sulla Banca nazionale come impresa (https://www.snb.ch/it/iabout/snb/id/qas_unternehmen_1#t10 ) consultata il 20 aprile 2016, si legge:

– In che modo è tenuto conto della “natura particolare della Banca nazionale” nell’informativa finanziaria?

– L’informativa finanziaria della Banca nazionale non è paragonabile a quella di una società anonima di diritto privato. Lo scopo sociale della Banca nazionale non è quello di realizzare profitti da distribuire agli azionisti, bensì di assolvere il mandato conferitole dalla Costituzione. Inoltre, la destinazione dell’utile è stabilita dalla LBN. Di conseguenza, anche gli obblighi di informativa della Banca nazionale sono differenti. Essa riferisce al Parlamento e al pubblico sull’adempimento del suo mandato (Rendiconto), mentre fornisce informazioni sugli andamenti organizzativi e aziendali, nonché sui risultati di gestione, nella Relazione finanziaria, contenente il Rapporto annuale e il Consuntivo annuale. Quest’ultimo deve essere approvato dal Consiglio federale prima si essere presentato per la ratifica all’Assemblea generale degli azionisti.
7) Nella Costituzione svizzera ( https://www.admin.ch/opc/it/classified-compilation/19995395/index.html) l’art.99 recita:Art. 99 Politica monetaria
1 Il settore monetario compete alla Confederazione; essa soltanto ha il diritto di battere moneta e di emettere banconote.
2 La Banca nazionale svizzera, in quanto banca centrale indipendente, conduce una politica monetaria nell’interesse generale del Paese; è amministrata con la collaborazione e sotto la vigilanza della Confederazione.
3 La Banca nazionale costituisce sufficienti riserve monetarie attingendo ai suoi proventi; parte di tali riserve è costituita in oro.
4 L’utile netto della Banca nazionale spetta per almeno due terzi ai Cantoni.


marco saba
ATTN. Comandante Stefan Blättler – Notifica
ex art.720 CCS (RS210)
marco saba 28 aprile 2016
08:34
A: beschwerdestelle@police.be.ch, Riccardo Piconcelli
, Marco Della Luna
, Nadia La Banca

ATTN. Comandante Stefan Blättler – Notifica ex art.720 CCS
(RS210)
Police cantonale bernoise
Commandement
Waisenhausplatz 32
Case postale
3001 Berne
Tél. +41 31 634 41 11
Fax +41 31 331 30 33
beschwerdestelle@police.be.ch
Notifica ex art. 720 comma 2 e articoli seguenti del Codice Civile
svizzero al 1° gennaio 2016 (RS 210) http://www.lexfind.ch/dtah/
131797/4/
Berna, 28 aprile 2016
Gmail – ATTN. Comandante St… https://mail.google.com/mail/u/…
1 of 2 28/04/2016 09:29
Egregio Comandante Blättler ,
il sottoscritto Marco Saba nato a Firenze il giorno xxxx
e con recapito in Italia presso La Banca, via 9 Gennaio 1950,
n.106, 41122 Modena, cell. +39 331 xxxx, Passaporto
italiano n. YAxxxxx, notifica il ritrovamento dfi 600 miliardi di
franchi svizzeri avvenuto tramite una revisione contabile
indipendente effettuata sul bilancio 2015 della Banca nazionale
svizzera di cui è azionista.
La riconsegna del denaro – e qundi della equa ricompensa –
potrà avvenire dopo che la direzione generale della BNS avrà
rettificato il bilancio indicando la somma della moneta rinvenuta
che, essendo stata creata dalla banca, dovrà essere
contabilizzata nelle poste attive dei flussi di cassa prima di poter
essere impiegata, e quindi poi nel bilancio stesso. Questa
notifica precede la comunicazione alla banca che vi verrà poi
inviata in copia. A disposizione per ulteriori chiarimenti e
ringraziando per l’attenzione,
in fede,
Marco Saba

2 of 2 28/04/2016 09:29

Discorso di Marco Saba all’assemblea generale della BNS sul 108° Rapporto Banca Nazionale
Svizzera 2015

– Berna, 29 aprile 2016

Buon giorno a tutti, sono l’azionista Marco Saba.
Il mio intervento, che chiedo di trascrivere integralmente nel verbale dell’assemblea con le note
allegate al cartaceo, verte sul primo punto dell’ordine del giorno e vale come avviso di ritrovamento
– ai sensi degli articoli 720 e 722 del Codice civile svizzero (1) – di 600 miliardi di franchi svizzeri
non contabilizzati, oltre ad una cifra ulteriore da accertare per il valore d’acquisto storico in franchi
svizzeri di: oro, immobilizzazioni materiali, titoli in franchi, partecipazioni ed altre attività.
Nella risposta del Consiglio Federale del 19.08.2015 all’INTERPELLANZA numero 15.3391 (2), si
dice chiaramente: “La maggior parte della moneta della Banca nazionale viene già messa in
circolazione sotto forma di moneta scritturale” – e – “Dato che non deve essere rimborsato, questo
capitale di terzi assume un certo carattere di capitale proprio.” Di fatto, esaminando il bilancio
presentato dall’amministrazione della BNS, ho rilevato che manca la voce con l’indicazione della
quantità di franchi svizzeri creati durante l’esercizio alterando così il valore del patrimonio netto
della banca, tant’è che risulterebbe una “perdita” di esercizio che non si potrebbe realizzare se la
creazione di denaro fosse correttamente contabilizzata. Mi spiego: come risulta anche da un recente
studio della BCE, che ha condotto una indagine su 57 banche centrali distribuite su 5 continenti
compresa la BNS, “le banche centrali sono protette dall’insolvenza a causa della loro abilità di
creare moneta” (3). Lo studio precisa inoltre che fare delle eccezioni alle norme contabili
equivale alla non-conformità alle norme stesse. Nonostante le rassicurazioni del revisore KPMG,
questo bilancio non può essere approvato in quanto manca la corretta contabilizzazione della
creazione di denaro che non è contabilizzata tra le attività della banca e quindi non risulta nel
patrimonio netto della stessa. Infatti la banca non può dire di aver redatto il bilancio in conformità
alle regole Swiss Gaap proprio perché ha utilizzato un’eccezione non giustificata alle regole
omettendo i dati necessari per avere un quadro fedele della situazione patrimoniale, finanziaria
e reddituale del 2015 (4). E’ vero che la Legge sulla Banca nazionale svizzera (5) prevede che si
può prescindere dalle prescrizioni della Legge federale di complemento del Codice civile svizzero,
ma premette la frase “Sempre che la natura particolare della Banca nazionale lo esiga”. Nella
pagina internet della BNS (6) alla domanda “In che modo è tenuto conto della natura particolare
della Banca nazionale nell’informativa finanziaria ?”, leggiamo che “L’informativa finanziaria
della Banca nazionale non è paragonabile a quella di una società anonima di diritto privato. Lo
scopo sociale della Banca nazionale non è quello di realizzare profitti da distribuire agli azionisti,
bensì di assolvere il mandato conferitole dalla Costituzione. Inoltre, la destinazione dell’utile è
stabilita dalla LBN…”. Quindi non si parla di nascondere i profitti nella tenuta della contabilità,
traendo in inganno il pubblico, ma si dice che conseguirli non è lo scopo della banca. Tant’è che
sùbito dopo si specifica che c’è una destinazione precisa dell’eventuale utile e che è stabilita dalla
legge. Se ne desume che anche il Risultato d’esercizio negativo per 23.250.600.000 franchi svizzeri
non è veritiero poiché aggiungendo la registrazione della creazione di 600 miliardi di franchi
svizzeri si otterrebbe invece un utile, anche nella forma di un equivalente posta di patrimonio netto,
quale ad esempio una riserva di bilancio, di almeno 576.749.400.000 franchi svizzeri. Chiedo
pertanto che il bilancio sia rettificato tenendo conto del mio ritrovamento e anche tenendo in
opportuna considerazione il versamento annuale dovuto al Governo svizzero ed ai Cantoni secondo
quanto disposto dalla convenzione. Questo perché la “Riserva per future ripartizioni prima della
destinazione dell’utile” non può essere arbitrariamente ridotta dalla BNS accollandole delle perdite
che si rivelano fittizie una volta tenuto conto della creazione di denaro. Solo così si potrà adempiere
al mandato della Costituzione svizzera (7) che richiede una politica monetaria nell’interesse
generale del Paese. Vi ringrazio per l’attenzione ricevuta anche da parte delle autorità presenti.
Pagina 1 di 3
Note:
(N.B. nelle fonti allegate i passaggi presi in considerazione sono sottolineati .)
1) Secondo il Codice civile svizzero, chi riconsegna un oggetto trovato “ha diritto al rimborso di
tutte le spese e ad un’equa mercede”, ovvero di norma il 10% del valore dell’oggetto.
Vedi l’art.720 del Codice civile svizzero (avviso di ritrovamento, rimborso spese ed equa
mercede):
https://www.admin.ch/opc/it/classified-compilation/19070042/index.html#a720
2) Interpellanza 15.3391 “Utili derivanti dalla creazione di moneta presso la BNS o nelle banche”
https://www.parlament.ch/it/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20153391
3) Nell’Occasional Paper della BCE n. 169 del 5 aprile 2016
https://www.ecb.europa.eu/pub/pdf/scpops/ecbop169.en.pdf ) , intitolato “Profit distribution and
loss coverage rule for central banks”, si legge:
– a pagina 14, nota 7:
“Central banks are protected from insolvency due to their ability to create money…” – (Le banche
centrali sono protette dall’insolvenza a causa della loro abilità di creare moneta)
– e a pagina 20:
“No single accounting framework is consistently applied by the majority of central banks.
However, there are four main frameworks or types: the Eurosystem framework, International
Financial Reporting Standards (IFRS), local (national) Generally Accepted Accounting Principles
(GAAP) and central bank specific (own) rules. A central bank can also apply “IFRS with
exceptions” (17), or national GAAP with exceptions.”
– e, nella nota 17 della stessa pagina:
“Strictly speaking, since IFRS does not allow for exceptions or for industry-specific rules, such
an arrangement is not IFRS-conformant.” (e quindi anche non-conforme alle GAAP nazionali .)
4) Nel 108° Rapporto di gestione Banca nazionale svizzera 2015
(https://www.snb.ch/it/mmr/reference/annrep_2015_komplett/source/annrep_2015_komplett.it.pdf)
– a pagina 158 si legge:
“Salvo disposizioni derogatorie, i principi contabili sono definiti con riferimento alle direttive Swiss
GAAP FER. Si è derogato da queste ultime unicamente in caso di contraddizione con la LBN o se
necessario per tenere conto delle caratteristiche specifiche della Banca nazionale. In deroga alle
norme Swiss GAAP FER, non è stato stilato un conto dei flussi di tesoreria.
Modifiche rispetto all’anno precedente
All’infuori della rinuncia alla redazione di un conto dei flussi di tesoreria, non sono intervenute
altre modifiche dei principi di redazione del bilancio e dei criteri di valutazione rispetto all’anno
precedente.
Conto dei flussi di tesoreria
Conformemente all’art. 29 LBN, la Banca nazionale non è tenuta a presentare un conto dei
flussi di tesoreria.”
– e a pag.193 nell’opinione del revisore KPMG SA (Philipp Rickert e Pietro Di Fluri):
“A nostro giudizio il consuntivo annuale per l’esercizio chiuso al 31 dicembre 2015 è conforme alla
legge svizzera e presenta un quadro fedele della situazione patrimoniale, finanziaria e
reddituale…”
– e poi sotto:
“Confermiamo inoltre che la proposta d’impiego dell’utile iscritto a bilancio è conforme alle
disposizioni della Legge sulla Banca nazionale e raccomandiamo di approvare il presente
consuntivo annuale.”.

5) Nella Legge federale sulla Banca nazionale svizzera
https://www.admin.ch/opc/it/classified-compilation/20021117/index.html ), si legge:
Sezione 2: Determinazione e distribuzione dell’utile
Art. 29 1 Consuntivo annuale
Il consuntivo annuale della Banca nazionale, comprensivo del conto economico, del bilancio e
dell’allegato, è allestito in linea di massima conformemente alle disposizioni sulla contabilità
commerciale e la presentazione dei conti del titolo trentesimosecondo del CO2. Sempre che la
natura particolare della Banca nazionale lo esiga, si può prescindere dalle prescrizioni del CO.
La Banca nazionale non deve segnatamente presentare un conto dei flussi di tesoreria.
6) Nella pagina internet della BNS intitolata Domande e risposte sulla Banca nazionale come
impresa ( https://www.snb.ch/it/iabout/snb/id/qas_unternehmen_1#t10 ) consultata il 20 aprile 2016,
si legge:
– In che modo è tenuto conto della “natura particolare della Banca nazionale”
nell’informativa finanziaria?
– L’informativa finanziaria della Banca nazionale non è paragonabile a quella di una società
anonima di diritto privato. Lo scopo sociale della Banca nazionale non è quello di realizzare profitti
da distribuire agli azionisti, bensì di assolvere il mandato conferitole dalla Costituzione. Inoltre,
la destinazione dell’utile è stabilita dalla LBN. Di conseguenza, anche gli obblighi di informativa
della Banca nazionale sono differenti. Essa riferisce al Parlamento e al pubblico sull’adempimento
del suo mandato (Rendiconto), mentre fornisce informazioni sugli andamenti organizzativi e
aziendali, nonché sui risultati di gestione, nella Relazione finanziaria, contenente il Rapporto
annuale e il Consuntivo annuale. Quest’ultimo deve essere approvato dal Consiglio federale prima si
essere presentato per la ratifica all’Assemblea generale degli azionisti.
7) Nella Costituzione svizzera ( https://www.admin.ch/opc/it/classifiedcompilation/
19995395/index.html ) l’art.99 recita:
Art. 99 Politica monetaria
1 Il settore monetario compete alla Confederazione; essa soltanto ha il diritto di battere
moneta e di emettere banconote.
2 La Banca nazionale svizzera, in quanto banca centrale indipendente, conduce una politica
monetaria nell’interesse generale del Paese; è amministrata con la collaborazione e sotto la
vigilanza della Confederazione.
3 La Banca nazionale costituisce sufficienti riserve monetarie attingendo ai suoi proventi; parte di
tali riserve è costituita in oro.
4 L’utile netto della Banca nazionale spetta per almeno due terzi ai Cantoni.


Postface:

« Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 

selon Victor Hugo…

« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont 

dans son livre La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.

Nous le disons, ensemble…  🙂 

Distribuons l’abondance enfin possible.

Le béret blanc est en l’honneur de M. Louis Even et de son journal en 4 langues.
http://www.versdemain.org/

BANQUE NATIONALE SUISSE
24h après l’Assemblée Générale, voici la question du jour:
Sachant que notre BNS a investi massivement dans le pétrole et le gaz de schiste au USA depuis 2 ans en bafouant sa propre charte environnementale, https://www.facebook.com/photo.php?…
Sachant que de nombreuses de ces sociétés actives dans le pétrole de schiste aux USA sont au bord de la faillite et que les marchés financiers le savent pertinemment depuis 2 ans,
Sachant que l’ancien directeur de notre BNS, M. Hildebrandt, est vice-président du plus grand fond d’investissement mondial, BlackRock, http://l.facebook.com/l.php?u=http%…
Sachant depuis hier par le directeur actuel M. Jordan que la BNS est directement conseillée dans ses investissements par …un spécialiste en investissements externe (UBS?, BlackRock?),
Sachant que notre gendarme de la finance, la FINMA, est dirigée par l’UBS via son ancien collaborateur M. Mark Branson, ancien directeur d’UBS Japon, actif lors du scandale de manipulation des taux du Libor, https://l.facebook.com/l.php?u=http…
Ma question est la suivante: ”Est-ce que la BNS a créé des milliards de Francs Suisses pour racheter les actifs pourris de BlackRock, UBS et peut-être d’autres dans le but d’éviter des pertes massives à ces instituts en faisant porter le chapeau au peuple suisse?”
Art. 39 de la constitution suisse

1 Le droit d’émettre des billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire appartient
exclusivement à la Confédération.
2 La Confédération peut exercer le monopole des billets de banque au moyen d’une
banque d’Etat placée sous une administration spéciale, ou en concéder l’exercice,
sous réserve du droit de rachat, à une banque centrale par actions, administrée avec
le concours et sous le contrôle de la Confédération.
3 La banque investie du monopole des billets de banque a pour tâche principale de
servir en Suisse de régulateur du marché de l’argent, de faciliter les opérations de
paiement et de pratiquer, dans les limites de la législation fédérale, une politique de
crédit et une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays.
4 Le bénéfice net de la banque, déduction faite d’un intérêt ou d’un dividende équitable
à servir au capital de dotation ou au capital-actions et après prélèvement des
versements à opérer au fonds de réserve, revient au moins pour les deux tiers aux
cantons.
5 La banque et ses succursales seront exemptes de tout impôt dans les cantons.
6 La Confédération ne peut ni suspendre l’obligation de rembourser les billets de
banque et toute autre monnaie fiduciaire, ni décréter leur acceptation obligatoire,
sauf en temps de guerre ou de perturbations de la situation monétaire.
7 Les billets de banque émis doivent être couverts par de l’or et des avoirs à court
terme.
8 La législation fédérale édicte les dispositions relatives à l’exécution de cet article.


L’exemple américain à suivre ?



“les créateurs de monnaie sont les seuls à ne pas devoir publier le cumul de leurs actifs. Nous demandons que les banques publient régulièrement leur création monétaire totale, pas uniquement le bilan annuel, qui cache soigneusement la monnaie qui, par exemple, est créée pour spéculer, changer les prix des produits cotés en bourse et est détruite ensuite.”
Surtout les créations et destructions du commerce à haute fréquence, HTF, en nano secondes…
Quelles sont les bases légales du vol de notamment nos retraites, par les intérêts négatifs… Pourquoi ces montants sont-ils retirés de M3 et où sont-ils ?

Dilutions monétaires, des vols systématiques et continus “légalisés” par des astuces et tricheries notamment comptables, des complots prouvés au service de quelques “initiés”…
Les banques commerciales, à ma connaissance actuelle, ont au moins 7 manières de “créer” des “substituts” monétaires en abusant par exemple de la marque Francs suisses ( ou €, ou $, ou £ etc ) et en diluant la vraie monnaie ( 7 origines de “monnaie nouvelle” ex nihilo ):
Substituts selon la Confédération suisse:
http://www.parlament.ch/e/suche/pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20123305
Opérations aux bilans:
– Acquisition d’un actif réel (terrain, immeuble…)
– Acquisition d’un actif financier ( action, obligation, titres)
– Conversion de devises (not. suite à l’ exportation d’une entreprise cliente) 
-et conversion de devises ( sur ordre d’une banque centrale, pour soutenir sa monnaie…, swap ou d’un tiers qui a besoin d’un prête-nom !, à voir plus bas )
– Opération d’escompte
– Opération de crédit
Par le compte de pertes et profits
– Leurs paiements (y compris leurs salaires et bonus).

Les amendes colossales dues pour leurs graves crimes et fraudes systématiques sont en fait payées par des baisses d’impôts qu’ils devraient payer aux collectivités ( sic ), donc les amendes sont en réalité payées par les citoyens ( resic ) et les politiques de rigueur, ils gagnent à tous les coups, face ils gagnent, pile, nous perdons, et, en cas de faillitte, ils disent qu’ils sont trop gros et les politichiens payent et empruntant (re-re-sic ) à intérêts de nouvelles DETTES éternelles… et leur laissent leurs bonus, salaires, et autres parachutes dorés…

Les banques centrales ne peuvent presque plus 
battre monnaie, sic, car l’essentiel de la monnaie est fait sous forme électronique, par des crédits à intérêts composés exponentiels, sur ordre des banques commerciales, les profits sont donc privatisés à 99 % et les pertes socialisées à 100 %, payées par les citoyens…

Résistances: http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

Par exemple, les banques centrales ne peuvent presque plus 
battre monnaie, selon Michel Lassere et Mme Liliane Held-Khawam

https://lilianeheldkhawam.wordpress.com/2016/05/02/bns-la-meilleure-amie-du-casino-americain-liliane-held-khawam/

Herr Hildebrand, Sie betreuen bei Blackrock grosse institutionelle Kunden. Sind das vor allem staatliche Institutionen?
Hildebrand: Das sind alle Arten von Investoren. Die meisten unserer grossen institutionellen Kunden sind Versicherungen, Pensionsfonds und Staatsfonds. Natürlich gehören auch Zentralbanken dazu – beispielsweise, wenn sie Devisenreserven mittels externer Mandate verwalten lassen.

La solution ?

Afghanistan



CENTRAL BANK: The Afghanistan Bank (Da Afghanistan Bank)
GOVERNOR: Khalil Sediq
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Eklil Ahmad Hakimi, Minister of Finance
TERM START: 2015


Albania


CENTRAL BANK: Bank of Albania (Banka e Shqipërisë)
GOVERNOR: Gent Sejko
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Shkelqim Cani, Minister of Finance
TERM START: 2013


Algeria


CENTRAL BANK: Bank of Algeria (Banque d’Algérie)
GOVERNOR: Mohammed Laksaci


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Abderrahmane Benkhalfa, Minister of Finance
TERM START: 2015


Angola


CENTRAL BANK: National Bank of Angola (Banco Nacional de Angola)
GOVERNOR: José Pedro de Morais Junior
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Armando Manuel, Minister of Finance


Antigua and Barbuda


CENTRAL BANK: Eastern Caribbean Central Bank
GOVERNOR: Timothy Antoine
TERM START: 2016


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance & Corporate Governance
CONTACT: Gaston Browne, Minister of Finance & Corporate Governance


Argentina


CENTRAL BANK: Central Bank of Argentina (Banco Central de la República Argentina)
GOVERNOR: Federico Sturzenegger
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of the Economy
CONTACT: Luis Caputo, Finance Secretary


Armenia


CENTRAL BANK: Central Bank of Armenia
GOVERNOR: Arthur Javadyan
TERM START: 2008


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Gagik Khachatryan, Minister of Finance
TERM START: 2014


Aruba


CENTRAL BANK: Central Bank of Aruba (Centrale Bank van Aruba)
GOVERNOR: Jeanette R. Semeleer
TERM START: 2008


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Government Organization
CONTACT: Angel Roald Bermudez, Minister of Finance and Government Organization


Australia


CENTRAL BANK: Reserve Bank of Australia
GOVERNOR: Glenn Stevens
TERM START: 2006


STATE INSTITUTION: Department of Finance
CONTACT: Mathias Cormann, Minister for Finance
TERM START: 2013


Austria


CENTRAL BANK: Austrian National Bank (Oesterreichische Nationalbank)
GOVERNOR: Ewald Nowotny
TERM START: 2008


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Hans Jörg Schelling , Minister of Finance
TERM START: 2014


Azerbaijan


CENTRAL BANK: The Central Bank of the Republic of Azerbaijan (Azərbaycan Mərkəzi Bankı)
GOVERNOR: Elman Siraj oglu Rustamov
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Samir Sharifov, Minister of Finance
TERM START: 2006


B


Bahamas, The


CENTRAL BANK: Central Bank of the Bahamas
GOVERNOR: John Rolle
TERM START: 2016


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Perry Christie, Minister of Finance


Bahrain


CENTRAL BANK: Central Bank of Bahrain
GOVERNOR: Rasheed Mohammed Al Maraj
TERM START: 2005


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Ahmed bin Mohammed Al-Khalifa, Minister of Finance


Bangladesh


CENTRAL BANK: Banglasdesh Bank
GOVERNOR: Atiur Rahman
TERM START: 2009


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Abul Maal Abdul Muhith, Minister of Finance


Barbados


CENTRAL BANK: Central Bank of Barbados
GOVERNOR: DeLisle Worrell
TERM START: 2009


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Affairs
CONTACT: Christopher Peter Sinckler, Minister of Finance and Economic Affairs
TERM START: 2010


Belarus


CENTRAL BANK: National Bank of the Republic of Belarus (Нацыянальны банк Рэспублікі Беларусь)
GOVERNOR: Pavel Kallaur
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Vladimir Amarin, Minister of Finance


Belgium


CENTRAL BANK: National Bank of Belgium (Nationale Bank van België) (Banque nationale de Belgique) (Belgische Nationalbank)
GOVERNOR: Jan Smets
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Johan Van Overtveldt, Minister of Finance


Belize


CENTRAL BANK: Central Bank of Belize
GOVERNOR: Glenford Ysaguirre
TERM START: 2008


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Developments
CONTACT: Dean O. Barrow, Prime Minister and Minister of Finance and Economic Developments
TERM START: 2008


Benin


CENTRAL BANK: Central Bank of West African States (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest)
GOVERNOR: Tiémoko Meyliet Koné
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy, Finance and Denationalization Programs
CONTACT: Komi Koutche, Minister of Economy, Finance and Denationalization Programs


Bermuda


CENTRAL BANK: Bermuda Monetary Authority
GOVERNOR: Jeremy Cox
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Everard Bob Richards, Minister of Finance


Bhutan


CENTRAL BANK: Royal Monetary Authority of Bhutan
GOVERNOR: Dasho Penjore


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Lyonpo Namgay Dorji, Minister of Finance
TERM START: 2013


Bolivia


CENTRAL BANK: Central Bank of Bolivia (Banco Central de Bolivia)
GOVERNOR: Marcelo Zabalaga Estrada
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Public Finance
CONTACT: Luis Alberto Arce Catacora, Minister of Economy and Public Finances
TERM START: 2009


Bosnia and Herzegovina


CENTRAL BANK: Central Bank of Bosnia and Herzegovina (Centralna Banka Bosne i Hercegovine)
GOVERNOR: Senad Softić
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Jelka Milicevic, Minister of Finance


Botswana


CENTRAL BANK: Bank of Botswana
GOVERNOR: Linah Mohohlo
TERM START: 1999


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Development Planning
CONTACT: Ontefetse Kenneth Matambo, Minister of Finance and Development Planning


Brazil


CENTRAL BANK: Central Bank of Brazil (Banco Central do Brasil)
GOVERNOR: Alexandre Antonio Tombini
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Nelson Barbosa, Minister of Finance
TERM START: 2015


Brunei


CENTRAL BANK: Monetary Authority of Brunei (Autoriti Monetari Brunei Darussalam)
GOVERNOR: Haji Al-Muhtadee Billah


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Hassanal Bolkiah, Prime Minister, Minister of Finance, and Minister of Defense
TERM START: 1967


Bulgaria


CENTRAL BANK: Bulgarian National Bank (Bulgarska narodna banka)
GOVERNOR: Dimitar Radev
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Vladislav Goranov, Minister of Finance


Burkina Faso


CENTRAL BANK: Central Bank of West African States (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest)
GOVERNOR: Tiémoko Meyliet Kone
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Rosine Sori-Coulibaly, Minister of Economy and Finance
TERM START: 2016


Burundi


CENTRAL BANK: Bank of the Republic of Burundi (Banque de la République du Burundi)
GOVERNOR: Jean Ciza
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Tabu Abdallah Manirakiza, Minister of Finance and Development Planning
TERM START: 2012


C


Cambodia


CENTRAL BANK: National Bank of Cambodia
GOVERNOR: Chea Chanto
TERM START: 1998


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Aun Pornmoniroth, Minister of Economy and Finance


Cameroon


CENTRAL BANK: Bank of Central African States (Banque des États de l’Afrique Centrale)
GOVERNOR: Lucas Abaga Nchama
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Alamine Ousmane Mey, Minister of Finance
TERM START: 2011


Canada


CENTRAL BANK: Bank of Canada (Banque du Canada)
GOVERNOR: Stephen S. Poloz
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Department of Finance
CONTACT: William Morneau, Minister of Finance
TERM START: 2015


Cape Verde


CENTRAL BANK: Bank of Cape Verde (Banco de Cabo Verde)
GOVERNOR: Carlos Augusto de Burgo
TERM START: 2004


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Planning
CONTACT: Cristina Duarte, Minister of Finance


Cayman Islands


CENTRAL BANK: Cayman Islands Monetary Authority
GOVERNOR: Grant Stein
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance & Economic Development
CONTACT: Marco Archer, Minister of Finance & Economic Development
TERM START: 2015


Central African Republic


CENTRAL BANK: Bank of Central African States (Banque des États de l’Afrique Centrale)
GOVERNOR: Lucas Abaga Nchama
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Celestin Yanindji, Minister of Finance
TERM START: 2016


Chad


CENTRAL BANK: Bank of Central African States (Banque des États de l’Afrique Centrale)
GOVERNOR: Lucas Abaga Nchama
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Budget
CONTACT: Kordjé Bedoumra, Minister of Finance and Budget


Chile


CENTRAL BANK: Central Bank of Chile (Banco Central de Chile)
GOVERNOR: Rodrigo Vergara
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Rodrigo Valdés Pulido, Minister of Finance
TERM START: 2015


China


CENTRAL BANK: The People’s Bank of China (中国人民银行)
GOVERNOR: Zhou Xiaochuan
TERM START: 2002


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Lou Jiwei, Minister of Finance
TERM START: 2013


Colombia


CENTRAL BANK: Central Bank of Colombia (Banco de la República)
GOVERNOR: José Darío Uribe Escobar
TERM START: 2005


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Public Credit
CONTACT: Mauricio Cárdenas, Minister of Finance and Public Credit
TERM START: 2012


Comoros


CENTRAL BANK: Central Bank of the Comoros (Banque Centrale des Comores)
GOVERNOR: Mze Abdou Mohamed Chanfiou


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Budget
CONTACT: Mohamed Ali Solihi, Vice President in Charge of Ministry of Finance


Congo, Dem. Rep. (Zaire)


CENTRAL BANK: Central Bank of Congo (Banque Centrale du Congo)
GOVERNOR: Deogratias Mutombo Nyembo
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Henri Yav Mulang, Minister of Finance
TERM START: 2015


Congo


CENTRAL BANK: Bank of Central African States (Banque des États de l’Afrique Centrale)
GOVERNOR: Lucas Abaga Nchama
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance, Budget, & Public Portfolio
CONTACT: Gilbert Ondongo, Minister of Finance, Budget, & Public Portfolio
TERM START: 2009


Costa Rica


CENTRAL BANK: Central Bank of Costa Rica (Banco Central de Costa Rica)
GOVERNOR: Olivier Castro Perez
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Helio Fallas, Minister of Finance


Cote d’Ivoire


CENTRAL BANK: Central Bank of West African States (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest)
GOVERNOR: Tiémoko Meyliet Kone
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Adama Koné, Minister of Finance
TERM START: 2016


Croatia


CENTRAL BANK: Croatian National Bank (Hrvatska narodna banka)
GOVERNOR: Boris Vujčić
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Zdravko Marić, Minister of Finance
TERM START: 2016


Cuba


CENTRAL BANK: Central Bank of Cuba (Banco Central de Cuba)
GOVERNOR: Ernesto Medina Villaveirán
TERM START: 2009


STATE INSTITUTION: Ministry of Finances and Prices
CONTACT: Lina Pedraza, Minister of Finances and Prices
TERM START: 2009


Curacao


CENTRAL BANK: Central Bank of Curacao and Sint Maarten (Centrale Bank van Curaçao en Sint Maarten) (Banko Central di Kòrsou i Sint Maarten)
GOVERNOR: Emsley D. Tromp
TERM START: 1991


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Jose Jardim, Minister of Finance
TERM START: 2012


Cyprus


CENTRAL BANK: Central Bank of Cyprus (Kεντρική Τράπεζα της Κύπρου)
GOVERNOR: Chrystalla Georghadji
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Harris Georgiades, Minister of Finance
TERM START: 2013


Czech Republic


CENTRAL BANK: Czech National Bank (Česká národní banka)
GOVERNOR: Miroslav Singer
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Andrej Babis, Minister of Finance
TERM START: 2014


D


Denmark


CENTRAL BANK: National Bank of Denmark (Danmarks Nationalbank)
GOVERNOR: Lars Rohde
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Claus Hjort Frederiksen, Minister of Finance
TERM START: 2015


Djibouti


CENTRAL BANK: Central Bank of Djibouti (Banque Centrale de Djibouti)
GOVERNOR: Ahmed Osman Ali (Acting)


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy, Finance, & Planning
CONTACT: Ilyas Moussa Dawaleh, Minister of Economy, Finance, & Planning


Commonwealth of Dominica


CENTRAL BANK: Eastern Caribbean Central Bank
GOVERNOR: Timothy Antoine
TERM START: 2016


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Roosevelt Skerrit, Prime Minister, Minister of Finance


Dominican Republic


CENTRAL BANK: Central Bank of the Dominican Republic (Banco Central de la República Dominicana)
GOVERNOR: Héctor Valdez Albizu
TERM START: 2004


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Simon Lizardo Mezquita, Minister of Finance
TERM START: 2012


E


East Timor


CENTRAL BANK: Central Bank of East Timor (Banco Central de Timor-Leste)
GOVERNOR: Abraão de Vasconselos


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Santina Cardoso, Minister of Finance
TERM START: 2015


Ecuador


CENTRAL BANK: Central Bank of Ecuador (Banco Central del Ecuador)
GOVERNOR: Mateo Villalba Andrade


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Fausto Herrera, Minister of Finance


Egypt, Arab Rep.


CENTRAL BANK: Central Bank of Egypt (Al-Bank al-Markazī al-Masrī)
GOVERNOR: Tarek Hassan Amer


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Hany Kadry Dimian, Minister of Finance


El Salvador


CENTRAL BANK: Central Reserve Bank of El Salvador (Banco Central de El Salvador)
GOVERNOR: Oscar Cabrera Melgar


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Carlos Cáceres, Minister of Finance
TERM START: 2009


Equitorial Guinea


CENTRAL BANK: Bank of Central African States (Banque des États de l’Afrique Centrale)
GOVERNOR: Lucas Abaga Nchama
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Miguel Eyang, Minister of Finance


Eritrea


CENTRAL BANK: Bank of Eritrea
GOVERNOR: Kibreab Woldemariam


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Berhane Abrehe, Minister of Finance
TERM START: 2001


Estonia


CENTRAL BANK: Bank of Estonia (Eesti Pank)
GOVERNOR: Ardo Hansson
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Sven Sester, Minister of Finance
TERM START: 2015


Ethiopia


CENTRAL BANK: National Bank of Ethiopia
GOVERNOR: Ato Teklewold Atnafu
TERM START: 2006


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Development
CONTACT: Sufian Ahmed, Minister of Finance and Economic Development


European Union


CENTRAL BANK: European Central Bank
GOVERNOR: Mario Draghi
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: European Commission
CONTACT: Pierre Moscovici, European Commissioner for Economic and Financial Affairs
TERM START: 2014


F


Fiji


CENTRAL BANK: Reserve Bank of Fiji
GOVERNOR: Barry Whiteside
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Filimone Waqabaca, Permenant Secretary


Finland


CENTRAL BANK: Bank of Finland (Suomen Pankki)
GOVERNOR: Erkki Liikanen
TERM START: 2004


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Alexander Stubb, Minister of Finance


France


CENTRAL BANK: Banque de France
GOVERNOR: François Villeroy de Galhau
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Michel Sapin, Minister of Economy and Finance
TERM START: 2014


G


Gabon


CENTRAL BANK: Bank of Central African States (Banque des États de l’Afrique Centrale)
GOVERNOR: Lucas Abaga Nchama
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of the Budget and Public Finance
CONTACT: Christian Magnagna, Minister of the Budget and Public Finance
TERM START: 2014


Gambia, The


CENTRAL BANK: Central Bank of the Gambia
GOVERNOR: Amadou Colley
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Abdou Kolley, Minister of Finance and Economic Affairs
TERM START: 2015


Georgia


CENTRAL BANK: National Bank of Georgia
GOVERNOR: Giorgi Kadagidze
TERM START: 2009


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Nodar Khaduri, Minister of Finance
TERM START: 2012


Germany


CENTRAL BANK: German Federal Bank (Deutsche Bundesbank)
GOVERNOR: Jens Weidmann
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Wolfgang Schäuble, Minister of Finance
TERM START: 2009


Ghana


CENTRAL BANK: Bank of Ghana
GOVERNOR: Henry Kofi Wampah
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Planning
CONTACT: Seth Terkper, Minister of Finance and Economic Planning
TERM START: 2013


Greece


CENTRAL BANK: Bank of Greece (Τράπεζα της Ελλάδος)
GOVERNOR: Yannis Stournaras
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Euclid Tsakalotos, Minister of Finance
TERM START: 2015


Grenada


CENTRAL BANK: Eastern Caribbean Central Bank
GOVERNOR: Timothy Antoine
TERM START: 2016


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance, Planning, Economic Development, Trade, Energy & Cooperatives
CONTACT: Keith Mitchell, Minister for Finance and Energy
TERM START: 2013


Guatemala


CENTRAL BANK: Bank of Guatemala (Banco de Guatemala)
GOVERNOR: Julio Suárez


STATE INSTITUTION: Ministry of Public Finance
CONTACT: Julio Héctor Estrada, Minister of Finance


Guinea


CENTRAL BANK: Central Bank of the Republic of Guinea (Banque Centrale de la République de Guinée)
GOVERNOR: Lounceny Nabe


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Maladho Kaba, Minister of Economy and Finance


Guinea – Bissau


CENTRAL BANK: Central Bank of West African States (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest)
GOVERNOR: Tiémoko Meyliet Kone
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Geraldo Martins, Minister of Economy and Finance


Guyana


CENTRAL BANK: Bank of Guyana
GOVERNOR: Gobind Ganga
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Winston Jordan, Minister of Finance


H


Haiti


CENTRAL BANK: Bank of the Republic of Haiti (Banque de la République d’Haïti)
GOVERNOR: Jean Baden Dubois


STATE INSTITUTION: Ministry of the Economy & Finance
CONTACT: Wilson Laleau, Minister of the Economy & Finance


Honduras


CENTRAL BANK: Central Bank of Honduras (Banco Central de Honduras)
GOVERNOR: Manuel de Jesús Bautista


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Wilfredo Cerrato, Minister of Finance
TERM START: 2012


Hong Kong, China


CENTRAL BANK: Hong Kong Monetary Authority (香港金融管理局)
GOVERNOR: Norman Chan
TERM START: 2009


STATE INSTITUTION: Financial Services and the Treasury Bureau
CONTACT: KC Chan, Secretary for Financial Services and the Treasury
TERM START: 2007


Hungary


CENTRAL BANK: Central Bank of Hungary (Magyar Nemzeti Bank)
GOVERNOR: György Matolcsy
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry for National Economy
CONTACT: Mihály Varga, Minister for National Economy
TERM START: 2013


I


Iceland


CENTRAL BANK: Central Bank of Iceland (Seðlabanki Íslands)
GOVERNOR: Már Gudmundsson
TERM START: 2009


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Affairs
CONTACT: Bjarni Benediktsson, Minister of Finance and Economic Affairs
TERM START: 2013


India


CENTRAL BANK: Reserve Bank of India
GOVERNOR: Raghuram Rajan
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Shri Arun Jaitley, Minister of Finance
TERM START: 2014


Indonesia


CENTRAL BANK: Bank Indonesia
GOVERNOR: Agus D.W. Martowardojo
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Bambang Brodjonegoro, Minister of Finance
TERM START: 2014


Iran, Islamic Rep.


CENTRAL BANK: The Central Bank of the Islamic Republic of Iran (Bank Markazi Jomhouri Islami Iran)
GOVERNOR: Valiollah Seif
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Economic Affairs and Finance
CONTACT: Ali Tayyebnia, Minister of Economic Affairs and Finance
TERM START: 2013


Iraq


CENTRAL BANK: Central Bank of Iraq (البنك المركزي العراقي‎))
GOVERNOR: Ali Mohsen Ismail


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Hoshyar Zebari, Minister of Finance
TERM START: 2014


Ireland


CENTRAL BANK: Central Bank of Ireland (Banc Ceannais na hÉireann)
GOVERNOR: Philip Lane
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Department of Finance
CONTACT: Michael Noonan, Minister of Finance
TERM START: 2011


Israel


CENTRAL BANK: Bank of Israel (בנק ישראל)
GOVERNOR: Karnit Flug
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Moshe Kahlon, Minister of Finance
TERM START: 2015


Italy


CENTRAL BANK: Bank of Italy (Banca d’Italia)
GOVERNOR: Ignazio Visco
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Pier Carlo Padoan, Minister of Economy and Finance
TERM START: 2014


J


Jamaica


CENTRAL BANK: Bank of Jamaica
GOVERNOR: Brian Wynter
TERM START: 2009


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Peter Phillips, Minister of Finance and Planning
TERM START: 2012


Japan


CENTRAL BANK: Bank of Japan (日本銀行)
GOVERNOR: Haruhiko Kuroda
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Taro Aso, Deputy Prime Minister, Minister of Finance
TERM START: 2012


Jordan


CENTRAL BANK: Central Bank of Jordan (البنك المركزي الاردني)
GOVERNOR: Ziad Fariz
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Omar Malhas, Minister of Finance
TERM START: 2015


K


Kazakhstan


CENTRAL BANK: National Bank of Kazakhstan (Қазақстан Ұлттық Банкі)
GOVERNOR: Akishev Daniyar Talgatovich
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Bakhyt Sultanov, Minister of Finance
TERM START: 2013


Kenya


CENTRAL BANK: Central Bank of Kenya
GOVERNOR: Patrick Ngugi Njoroge
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: National Treasury, Kenya
CONTACT: Henry Rotich, Minister of Finance


Kiribati


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Development
CONTACT: Tom Murdoch, Minister of Finance and Economic Development


Korea, Rep.


CENTRAL BANK: Bank of Korea (한국은행)
GOVERNOR: Lee Ju-yeol
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Strategy and Finance
CONTACT: Yoo Il-ho, Minister of Strategy and Finance
TERM START: 2016


Kosovo


CENTRAL BANK: Central Bank of the Republic of Kosovo (Banka Qendrore e Republikës së Kosovës)
GOVERNOR: Bedri Hamza
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Avdullah Hoti, Minister of Finance


Kuwait


CENTRAL BANK: Central Bank of Kuwait
GOVERNOR: Mohammad Y. Al-Hashel
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Anas Al-Saleh, Minister of Finance
TERM START: 2014


Kyrgyzstan


CENTRAL BANK: National Bank of the Kyrgyz Republic (Кыргыз Республикасынын Улуттук Банкы)
GOVERNOR: Abdygulov Tolkunbek
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Kasymalieva Aleşoviç, Minister of Finance
TERM START: 2015


L


Lao People’s Democratic Republic


CENTRAL BANK: Bank of the Lao PDR
GOVERNOR: Somphao Phaysith


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Lien Thikeo, Minister of Finance


Latvia


CENTRAL BANK: Bank of Latvia (Latvijas Banka)
GOVERNOR: Ilmars Rimsevics
TERM START: 2001


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Dana Reizniece-Ozola, Minister of Finance
TERM START: 2016


Lebanon


CENTRAL BANK: Bank of Lebanon (Banque du Liban)
GOVERNOR: Riad Salamé
TERM START: 1993


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Ali Hasan El Khalil, Minister of Finance


Lesotho


CENTRAL BANK: Central Bank of Lesotho
GOVERNOR: A.R. Matlanyane


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Mamphono Khaketla, Minister of Finance


Liberia


CENTRAL BANK: Central Bank of Liberia
GOVERNOR: J. Mills Jones


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Development Planning
CONTACT: Amara Konneh, Minister of Finance and Development Planning


Libya


CENTRAL BANK: Central Bank of Libya (مصرف ليبيا المركزي)
GOVERNOR: Saddek Omar Ali Elkaber


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Osama Ben Naji, Minister of Finance


Liechtenstein


CENTRAL BANK: Swiss National Bank (Schweizerische Nationalbank) (Banque Nationale Suisse) (Banca Nazionale Svizzera)
GOVERNOR: Thomas J. Jordan
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Adrian Hasler, Minister of Finance


Lithuania


CENTRAL BANK: Bank of Lithuania (Lietuvos Bankas)
GOVERNOR: Vitas Vasiliauskas
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Rimantas Šadžius, Minister of Finance
TERM START: 2012


Luxembourg


CENTRAL BANK: Central Bank of Luxembourg (Banque Centrale du Luxembourg)
GOVERNOR: Gaston Reinesch
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Pierre Gramenga, Minister of Finance
TERM START: 2013


M


Macao SAR


CENTRAL BANK: Monetary Authority of Macao (Autoridade Monetária de Macau) (澳門金融管理局)
GOVERNOR: Ding Lianxing


STATE INSTITUTION: Secretariat for Economy and Finance
CONTACT: Lionel Leong, Secretary
TERM START: 2014


Macedonia, the Former Yugoslav Republic of


CENTRAL BANK: National Bank of the Republic of Macedonia (Narodna Banka na Republika Makedonija)
GOVERNOR: Dimitar Bogov
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Zoran Stavreski, Vice Prime Minister, Minister of Finance


Madagascar


CENTRAL BANK: Central Bank of Madagascar (Banque Centrale de Madagascar) ( Banky Foiben’i Madagasikara)
GOVERNOR: Alain Hervé Rasolofondraibe
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Budget
CONTACT: Maurice Gervais Rakotoarimanana, Minister of Finance and Budget
TERM START: 2015


Malawi


CENTRAL BANK: Reserve Bank of Malawi
GOVERNOR: Charles Chuka
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Goodall Gondwe, Minister of Finance
TERM START: 2014


Malaysia


CENTRAL BANK: Central Bank of Malaysia (Bank Negara Malaysia)
GOVERNOR: Zeti Akhtar Aziz
TERM START: 2000


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Najib Razak, Prime Minister, Minister of Finance
TERM START: 2008


Maldives


CENTRAL BANK: Maldives Monetary Authority
GOVERNOR: Azeema Adam
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Treasury
CONTACT: Abdulla Jihad, Minister of Finance and Treasury
TERM START: 2013


Mali


CENTRAL BANK: Central Bank of West African States (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest)
GOVERNOR: Tiémoko Meyliet Kone
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Boubou Cisse, Minister of Economy and Finance
TERM START: 2016


Malta


CENTRAL BANK: Central Bank of Malta (Bank Ċentrali ta’ Malta)
GOVERNOR: Josef Bonnici
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance, the Economy, and Investment
CONTACT: Edward Scicluna, Minister for Finance, the Economy, and Investment
TERM START: 2013


Marshall Islands


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Dennis Momotaro, Minister of Finance


Mauritania


CENTRAL BANK: Central Bank of Mauritania (Banque Centrale de Mauritanie)
GOVERNOR: Aziz Ould Dahi
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Thiam Diombar, Minister of Finance
TERM START: 2011


Mauritius


CENTRAL BANK: Bank of Mauritius
GOVERNOR: Rameswurlall Basant Roi
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Development
CONTACT: Vishnu Lutchmeenaraidoo, Minister of Finance and Economic Development
TERM START: 2014


Mexico


CENTRAL BANK: Bank of Mexico (Banco de México)
GOVERNOR: Agustin Carstens
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Secretariat of Finance and Public Credit
CONTACT: Luis Videgaray, Secretary of Finance and Public Credit
TERM START: 2012


Micronesia


STATE INSTITUTION: Department of Finance and Administration
CONTACT: Sihna Lawrence, Secretary of Finance


Moldova, Republic of


CENTRAL BANK: National Bank of Moldova (Banca Naţională a Moldovei)
GOVERNOR: Marin Molosag
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Octavian Armasu, Minister of Finance
TERM START: 2016


Mongolia


CENTRAL BANK: Bank of Mongolia (Mongolbank)
GOVERNOR: Naidansuren Zoljargal
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Bayarbaataryn Bolor, Minister of Finance
TERM START: 2012


Montenegro


CENTRAL BANK: Central Bank of Montenegro (Centralna Banka Crne Gore)
GOVERNOR: Milojica Dakić
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Radoje Žugić, Minister of Finance
TERM START: 2012


Morocco


CENTRAL BANK: Bank Al-Maghrib
GOVERNOR: Abdellatif Jouahri
TERM START: 2003


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Mohamed Boussaid, Minister of Economy and Finance
TERM START: 2013


Mozambique


CENTRAL BANK: Bank of Mozambique (Banco de Moçambique)
GOVERNOR: Ernesto Gouveia Gove
TERM START: 2006


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Manuel Chang, Minister of Finance
TERM START: 2005


Myanmar


CENTRAL BANK: Central Bank of Myanmar
GOVERNOR: Kyaw Kyaw Maung
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Revenue
CONTACT: Win Shein, Minister of Finance and Revenue
TERM START: 2012


N


Namibia


CENTRAL BANK: Bank of Namibia
GOVERNOR: I. W. Shiimi
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Calle Schlettwein, Minister of Finance
TERM START: 2015


Nepal


CENTRAL BANK: Central Bank of Nepal (Nepal Rastra Bank)
GOVERNOR: Chiranjibi Nepal
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Bishnu Prasad Paudel, Minister of Finance
TERM START: 2015


Netherlands, The


CENTRAL BANK: De Nederlandsche Bank
GOVERNOR: Klaas Knot
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Jeroen Dijsselbloem, Minister of Finance
TERM START: 2012


New Zealand


CENTRAL BANK: Reserve Bank of New Zealand
GOVERNOR: Graeme Wheeler
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: The Treasury
CONTACT: Gabriel Makhlouf, Secretary and Chief Executive
TERM START: 2011


Nicaragua


CENTRAL BANK: Central Bank of Nicaragua (Banco Central de Nicaragua)
GOVERNOR: Leonardo Ovidio Reyes Ramírez
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Public Credit
CONTACT: Ivan Acosta, Minister of Finance and Public Credit


Niger


CENTRAL BANK: Central Bank of West African States (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest)
GOVERNOR: Tiémoko Meyliet Kone
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Seydou Sidibé, Minister of Finance
TERM START: 2015


Nigeria


CENTRAL BANK: Central Bank of Nigeria
GOVERNOR: Godwin Emefiele
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Federal Ministry of Finance
CONTACT: Kemi Adeosun, Minister of Finance
TERM START: 2015


Norway


CENTRAL BANK: Central Bank of Norway (Norges Bank)
GOVERNOR: Øystein Olsen
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Siv Jensen, Minister of Finance
TERM START: 2013


O


Oman


CENTRAL BANK: Central Bank of Oman (البنك المركزي العماني)
GOVERNOR: Hamood bin Sangour bin Hashim Al Zadjali


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Darwish bin Ismail bin Ali Al Balushi, Minister of Finance
TERM START: 2011


P


Pakistan


CENTRAL BANK: State Bank of Pakistan (بینک دولت پاکستان)
GOVERNOR: Ashraf Mahmood Wathra
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Mohammad Ishaq Dar, Minister of Finance
TERM START: 2013


Palau


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Elbuchel Sadang, Minister of Finance


Palestine


CENTRAL BANK: Palestine Monetary Authority (سلطة النقد الفلسطينية)
GOVERNOR: Azzam Shawwa
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Shukri Bishara, Minister of Finance
TERM START: 2014


Panama


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Dulcidio De La Guardia, Minister of Economy and Finance
TERM START: 2011


Papua New Guinea


CENTRAL BANK: Bank of Papua New Guinea
GOVERNOR: Loi Bakani
TERM START: 2009


STATE INSTITUTION: Department of Finance
CONTACT: James Marape, Minister for Finance
TERM START: 2012


Paraguay


CENTRAL BANK: Central Bank of Paraguay (Banco Central del Paraguay)
GOVERNOR: Carlos Gustavo Fernández Valdovinos
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Santiago Peña, Minister of Finance
TERM START: 2015


Peru


CENTRAL BANK: Central Reserve Bank of Peru (Banco Central de Reserva del Perú)
GOVERNOR: Julio Velarde
TERM START: 2006


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Alonso Segura Vasi, Minister of Economy and Finance
TERM START: 2011


Philippines


CENTRAL BANK: Central Bank of the Philippines (Bangko Sentral ng Pilipinas)
GOVERNOR: Amando M. Tetangco, Jr.
TERM START: 2005


STATE INSTITUTION: Department of Finance
CONTACT: Cesar V. Purisima, Secretary of Finance
TERM START: 2010


Poland


CENTRAL BANK: National Bank of Poland (Narodowy Bank Polski)
GOVERNOR: Marek Belka
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Paweł Szałamacha, Minister of Finance
TERM START: 2015


Portugal


CENTRAL BANK: Bank of Portugal (Banco de Portugal)
GOVERNOR: Carlos da Silva Costa
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Mário Centeno, Minister of Finance
TERM START: 2015


Q


Qatar


CENTRAL BANK: Qatar Central Bank
GOVERNOR: Abdullah Bin Saoud Al-Thani
TERM START: 2006


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Ali Sharif al-Emadi, Minister of Finance
TERM START: 2013


R


Romania


CENTRAL BANK: National Bank of Romania (Banca Naţională a României)
GOVERNOR: Mugur Constantin Isărescu
TERM START: 2000


STATE INSTITUTION: Ministry of Public Finance
CONTACT: Anca Dragu, Minister of Public Finance
TERM START: 2015


Russian Federation


CENTRAL BANK: Central Bank of the Russian Federation (Центральный банк Российской Федерации)
GOVERNOR: Elvira S. Nabiullina
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Anton G. Siluanov, Minister of Finance
TERM START: 2011


Rwanda


CENTRAL BANK: National Bank of Rwanda (Banque Nationale du Rwanda)
GOVERNOR: John Rwangombwa
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Planning
CONTACT: Claver Gatete, Minister of Finance and Economic Planning
TERM START: 2013


S


Saint Kitts and Nevis


CENTRAL BANK: Eastern Caribbean Central Bank
GOVERNOR: Timothy Antoine
TERM START: 2016


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Timothy Harris, Prime Minister, Minister for National Security, Ministry of Finance, Ministry of Sustainable Development
TERM START: 2015


Saint Lucia


CENTRAL BANK: Eastern Caribbean Central Bank
GOVERNOR: Timothy Antoine
TERM START: 2016


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance, Economic Affairs and Social Security
CONTACT: Reginald Darius, Permanent Secretary
TERM START: 2012


Saint Vincent and the Grenadines


CENTRAL BANK: Eastern Caribbean Central Bank
GOVERNOR: Timothy Antoine
TERM START: 2016


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Planning
CONTACT: Ralph Gonsalves, Prime Minister, Minister of Finance and Economic Planning
TERM START: 2001


Samoa


CENTRAL BANK: Central Bank of Samoa (Faletupe Tutotonu o Samoa)
GOVERNOR: Atalina Ainuu Enari
TERM START: 2001


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Faumuina Tiatia Faaolatane Liuga, Minister of Finance
TERM START: 2011


San Marino


CENTRAL BANK: Central Bank of the Republic of San Marino (Banca Centrale della Repubblica di San Marino)
GOVERNOR: Wafik Grais
TERM START: 2016


STATE INSTITUTION: Department for Finance and Budget
CONTACT: Gian Carlo Capicchioni, Secretary of State for Finance and Budget
TERM START: 2014


Sao Tome and Principe


CENTRAL BANK: Central Bank of Sao Tome and Principe (Banco Nacional de São Tomé e Príncipe)
GOVERNOR: Maria do Carmo Silveira
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Planning and Finance
CONTACT: Hélio Vaz d´Almeida, Minister of Planning and Finance
TERM START: 2012


Saudi Arabia


CENTRAL BANK: Saudi Arabian Monetary Agency (مؤسسة النقد العربي السعودي)
GOVERNOR: Fahad AlMubarak
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Ibrahim Abdulaziz Al-Assaf, Minister of Finance and National Economy
TERM START: 1996


Senegal


CENTRAL BANK: Central Bank of West African States (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest)
GOVERNOR: Tiémoko Meyliet Kone
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of the Economy and Finance
CONTACT: Amadou Ba, Minister of the Economy and Finance
TERM START: 2013


Serbia


CENTRAL BANK: National Bank of Serbia (Narodna banka Srbije)
GOVERNOR: Jorgovanka Tabaković
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Dusan Vajovic, Ministry of Finance
TERM START: 2014


Seychelles


CENTRAL BANK: Central Bank of Seychelles
GOVERNOR: Caroline Abel
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Jean-Paul Adam, Minister of Finance
TERM START: 2015


Sierra Leone


CENTRAL BANK: Bank of Sierra Leone
GOVERNOR: Momodu L. Kargbo
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Development
CONTACT: Kaifala Marah, Minister of Finance and Economic Development
TERM START: 2012


Singapore


CENTRAL BANK: Monetary Authority of Singapore
GOVERNOR: Tharman Shanmugaratnam
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Heng Swee Keat, Minister for Finance
TERM START: 2015


Slovakia


CENTRAL BANK: National Bank of Slovakia (Národná banka Slovenska)
GOVERNOR: Jozef Makúch
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Deputy Prime Minister, Minister of Finance
CONTACT: Peter Kazimir, Deputy Prime Minister, Minister of Finance
TERM START: 2012


Slovenia


CENTRAL BANK: Bank of Slovenia (Banka Slovenije)
GOVERNOR: Boštjan Jazbec
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Dušan Mramor, Minister of Finance
TERM START: 2014


Solomon Islands


CENTRAL BANK: Central Bank of Solomon Islands
GOVERNOR: Denton Rawara
TERM START: 2008


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Rick Houenipwela, Minister of Finance
TERM START: 2011


Federal Republic of Somalia


CENTRAL BANK: Central Bank of Somalia (Bankiga Dhexe ee Soomaaliya)
GOVERNOR: Bashir Isse Ali
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Mohamed Adan Ibrahim, Minister of Finance
TERM START: 2015


South Africa


CENTRAL BANK: South African Reserve Bank
GOVERNOR: Lesetja Kganyago
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Pravin Gordhan, Minister of Finance
TERM START: 2015


South Sudan


CENTRAL BANK: Bank of South Sudan
GOVERNOR: Kornelio Koriom Mayiek
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Planning
CONTACT: David Deng Athorbei, Minister of Finance and Economic Planning
TERM START: 2015


Spain


CENTRAL BANK: Bank of Spain (Banco de España)
GOVERNOR: Luis M. Linde
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Public Administration
CONTACT: Cristobal Montoro Romero, Minister of Finance and Public Administration
TERM START: 2011


Sri Lanka


CENTRAL BANK: Central Bank of Sri Lanka
GOVERNOR: Arjuna Mahendran
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Planning
CONTACT: Ravi Karunanayake, Minister of Finance and Planning
TERM START: 2015


Sudan


CENTRAL BANK: Bank of Sudan (بنك السودان المركزي)
GOVERNOR: Abdelrahman Hassan Abdelrahman Hashim
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and National Economy
CONTACT: Badr al-Din Mahmoud Abbas, Minister of Finance and National Economy
TERM START: 2013


Suriname


CENTRAL BANK: Central Bank of Suriname (Centrale Bank van Suriname)
GOVERNOR: Vacant


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Gillmore Hoefdraad, Minister of Finance
TERM START: 2015


Swaziland


CENTRAL BANK: The Central Bank of Swaziland (Umntsholi Wemaswati)
GOVERNOR: Majozi V. Sithole
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Martin Dlamini, Minister of Finance
TERM START: 2013


Sweden


CENTRAL BANK: Sveriges Riksbank
GOVERNOR: Stefan Ingves
TERM START: 2006


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Magdalena Andersson, Minister of Finance
TERM START: 2014


Switzerland


CENTRAL BANK: Swiss National Bank (Schweizerische Nationalbank) (Banque Nationale Suisse) (Banca Nazionale Svizzera)
GOVERNOR: Thomas J. Jordan
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Federal Department of Finance
CONTACT: Ueli Maurer, Head of the Federal Department of Finance
TERM START: 2016


Syrian Arab Republic


CENTRAL BANK: Central Bank of Syria (مصرف سورية المركزي)
GOVERNOR: Adib Mayaleh
TERM START: 2005


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Ismael Ismael, Minister of Finance
TERM START: 2013


T


Taiwan


CENTRAL BANK: Central Bank of the Republic of China (Taiwan) (中央銀行)
GOVERNOR: Fai-Nan Perng
TERM START: 1998


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Chang Sheng-ford, Minister of Finance
TERM START: 2012


Tajikstan


CENTRAL BANK: National Bank of the Republic of Tajikistan (Бонки миллии Тоҷикистон)
GOVERNOR: Nurmahmadzoda Jamshed
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Abdusalom Qurboniyon, Minister of Finance
TERM START: 2013


Tanzania


CENTRAL BANK: Bank of Tanzania (Benki Kuu ya Tanzani)
GOVERNOR: Benno Ndulu
TERM START: 2008


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Planning
CONTACT: Philip Mpango, Minister of Finance and Planning
TERM START: 2015


Thailand


CENTRAL BANK: Bank of Thailand ( ธนาคารแห่งประเทศไทย)
GOVERNOR: Veerathai Santiprabhob
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Apisak Tantivorawong, Minister of Finance
TERM START: 2015


Togo


CENTRAL BANK: Central Bank of West African States (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest)
GOVERNOR: Tiémoko Meyliet Kone
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Economic Affairs and Finance
CONTACT: Adji Otheth Ayassor, Minister of Economic Affairs and Finance
TERM START: 2011


Tonga


CENTRAL BANK: National Reserve Bank of Tonga
GOVERNOR: Sione Ngongo Kioa
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and National Planning
CONTACT: Aisake Eke, Minister of Finance and National Planning
TERM START: 2014


Trinidad and Tobago


CENTRAL BANK: Central Bank of Trinidad and Tobago
GOVERNOR: Alvin Hilaire
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and the Economy
CONTACT: Colm Imbert, Minister of Finance and the Economy
TERM START: 2015


Tunisia


CENTRAL BANK: Central Bank of Tunisia (Banque Centrale de Tunisie)
GOVERNOR: Chedly Ayari
TERM START: 2012


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Slim Chaker, Minister of Finance
TERM START: 2015


Turkey


CENTRAL BANK: Central Bank of the Republic of Turkey (Türkiye Cumhuriyet Merkez Bankası) 
GOVERNOR: Erdem Başçı
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Naci Ağbal, Minister of Finance
TERM START: 2015


Turkmenistan


CENTRAL BANK: Central Bank of Turkmenistan (Turkmenistanyn Merkezi Banky)
GOVERNOR: Merdan Annadurdiyev
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Muhammetguly Mukhammedov, Minister of Finance
TERM START: 2014


U


Uganda


CENTRAL BANK: Bank of Uganda
GOVERNOR: Emmanuel Tumusiime Mutebile
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance, Planning and Economic Development
CONTACT: Matia Kasaija, Minister of Finance, Planning and Economic Development
TERM START: 2015


Ukraine


CENTRAL BANK: National Bank of Ukraine (Національний банк України)
GOVERNOR: Valeriya Hontaryeva
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Natalie Jaresko, Minister of Finance
TERM START: 2014


United Arab Emirates


CENTRAL BANK: Central Bank of the United Arab Emirates ( مصرف الإمارات العربية المتحدة المركزي)
GOVERNOR: Khalifa Mohammed Al Kindi


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Hamdan bin Rashid Al Maktoum, Minister of Finance
TERM START: 1971


United Kingdom


CENTRAL BANK: Bank of England
GOVERNOR: Mark Carney
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: HM Treasury
CONTACT: George Osborne, Chancellor of the Exchequer
TERM START: 2010


United States


CENTRAL BANK: The Federal Reserve
GOVERNOR: Janet Yellen
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Department of the Treasury
CONTACT: Jack Lew, Secretary of the Treasury
TERM START: 2013


Uruguay


CENTRAL BANK: Central Bank of Uruguay (Banco Central del Uruguay)
GOVERNOR: Mario Bergara
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy and Finance
CONTACT: Danilo Astori, Minister of Economy and Finance
TERM START: 2015


Uzbekistan


CENTRAL BANK: Central Bank of the Republic of Uzebistan (O’zbekiston Respublikasi Markaziy banki)
GOVERNOR: Faizulla M. Mullajanov


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Rustam Sadikovich Azimov, Minister of Finance


V


Vanuatu


CENTRAL BANK: Reserve Bank of Vanuatu
GOVERNOR: Simeon Athy
TERM START: 2013


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Management
CONTACT: Gaetan Pikioune, Minister of Finance and Economic Management
TERM START: 2016


Venezuela


CENTRAL BANK: Central Bank of Venezuela (Banco Central de Venezuela)
GOVERNOR: Nelson José Merentes Díaz
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Economy, Finance, and Public Banks
CONTACT: Rodolfo Medina del Río, Ministry of Economy, Finance, and Public Banks
TERM START: 2016


Vietnam


CENTRAL BANK: State Bank of Vietnam (Ngân hàng Nhà nước Việt Nam)
GOVERNOR: Nguyen Van Binh
TERM START: 2011


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Dinh Tien Dung, Minister of Finance
TERM START: 2013


Y


Yemen


CENTRAL BANK: Central Bank of Yemen (البنك المركزي اليمني)
GOVERNOR: Mohamed Awad Bin Humam
TERM START: 2010


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Mohammed Mansour Zemam, Minister of Finance
TERM START: 2014


Z


Zambia


CENTRAL BANK: Bank of Zambia
GOVERNOR: Denny Kalyalya
TERM START: 2015


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance
CONTACT: Alexander Chikwanda, Minister of Finance
TERM START: 2011


Zimbabwe


CENTRAL BANK: Reserve Bank of Zimbabwe
GOVERNOR: John Mangudya
TERM START: 2014


STATE INSTITUTION: Ministry of Finance and Economic Development
CONTACT: Patrick Chinamasa, Minister of Finance and Economic Development
TERM START: 2013


Ma question est la suivante: ”Est-ce que la BNS a créé des milliards de Francs Suisses pour racheter les actifs pourris de BlackRock, UBS et peut-être d’autres dans le but d’éviter des pertes massives à ces instituts en faisant porter le chapeau au peuple suisse?”
Art. 39 de la constitution suisse

1 Le droit d’émettre des billets de banque et toute autre monnaie fiduciaire appartient
exclusivement à la Confédération.
2 La Confédération peut exercer le monopole des billets de banque au moyen d’une
banque d’Etat placée sous une administration spéciale, ou en concéder l’exercice,
sous réserve du droit de rachat, à une banque centrale par actions, administrée avec
le concours et sous le contrôle de la Confédération.
3 La banque investie du monopole des billets de banque a pour tâche principale de
servir en Suisse de régulateur du marché de l’argent, de faciliter les opérations de
paiement et de pratiquer, dans les limites de la législation fédérale, une politique de
crédit et une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays.
4 Le bénéfice net de la banque, déduction faite d’un intérêt ou d’un dividende équitable
à servir au capital de dotation ou au capital-actions et après prélèvement des
versements à opérer au fonds de réserve, revient au moins pour les deux tiers aux
cantons.
5 La banque et ses succursales seront exemptes de tout impôt dans les cantons.
6 La Confédération ne peut ni suspendre l’obligation de rembourser les billets de
banque et toute autre monnaie fiduciaire, ni décréter leur acceptation obligatoire,
sauf en temps de guerre ou de perturbations de la situation monétaire.
7 Les billets de banque émis doivent être couverts par de l’or et des avoirs à court
terme.

8 La législation fédérale édicte les dispositions relatives à l’exécution de cet article.

L’exemple américain à suivre ?


“les créateurs de monnaie sont les seuls à ne pas devoir publier le cumul de leurs actifs. Nous demandons que les banques publient régulièrement leur création monétaire totale, pas uniquement le bilan annuel, qui cache soigneusement la monnaie qui, par exemple, est créée pour spéculer, changer les prix des produits cotés en bourse et est détruite ensuite.”
Surtout les créations et destructions du commerce à haute fréquence, HTF, en nano secondes…

Quelles sont les bases légales du vol de notamment nos retraites, par les intérêts négatifs ? Pourquoi ces montants sont-ils retirés de M3 et où sont-ils ?

Video de l’ AG en 3 langues

Notre groupe même annoncé sur les panneaux et dans le wagon des chemins de fers suisses, tôt le matin du 29 avril, 

et dans les mass-media le soir avec explications et questions circonstanciées notamment à M. Blaise Rosssellat dans l’émission Forum…

http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/forum/7667982-bns-propositions-de-reformes-balayees-par-les-actionnaires-29-04-2016.html?f=player/popup

La BNS investit dans les armes nucléaires

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.

Le béret blanc est en l’honneur de M. Louis Even et de son journal en 4 langues.

Assemblée générale 2016 de la banque nationale suisse…

http://www.snb.ch/fr/ifor/media/webtv/id/webtv_archive

Tricheries électroniques prouvées, notamment à 1 heure et 27 minutes et suivantes.

Monnaies à risque, dès 3 heures.

Patrick Dimier souligne les tricheries électroniques… “Vous ne pouvez pas prétendre qu’un vote par lequel on vous identifie est un vote à bulletin secret. Vous êtes garant des règles et vous devez appliquer la loi de la Banque nationale”

MM Marco Saba et Bernard Dugas soulignent les tricheries comptables qui permettent de soustraire des dizaines de milliards à tous les cantons et citoyens suisses. ( voir leurs textes ci-dessous, puis tout en bas, lu puis remis à la DG de la BNS.


Extraits grâce à Chloé ! Merci 🙂

M. Bernard Dugas



M. Bernard Dugas

“les créateurs de monnaie sont les seuls à ne pas devoir publier le cumul de leurs actifs. Nous demandons que les banques publient régulièrement leur création monétaire totale, pas uniquement le bilan annuel, qui cache soigneusement la monnaie qui, par exemple, est créée pour spéculer, changer les prix des produits cotés en bourse et est détruite ensuite.”
M. Bernard Dugas

Nicolas Etter souligne les “libertés” juridiques…

Matthieu Despont: “Dans quelle banque puis-je déposer mon argent en étant sûr qu’il sera garanti ? Autrefois, je pouvais le déposer à la Poste mais aujourd’hui Postfinance est une banque et donc ne garantit plus mon dépôt…”

Philip Koenig :”Pour que chaque citoyen puisse respecter la loi et paie en monnaie légale, il est indispensable que chaque citoyen dispose d’un compte en monnaie légale à la BNS.”



Lionel Rossellat:
“Nous invitons tous les actionnaires présents à partager leurs coordonnées avec nous dès la fin de cette assemblée. Le Conseil de banque a tronqué l’énoncé de notre motion originale et nous déplorons en outre que l’appel de la BNS à voter non à cette motion n’ait pas été motivé. La loi LBN a été respectée dans la présentation des 10 motions. La motion que vous avez retenue n’estrien de moins qu’une demande pour que la BNS respecte la loi. Nous demandons que le procès verbal soit distribué à tous les actionnaires, que la liste des participations à l’AG, les prises de position des actionnaires de droit public et le registre des actionnaires soient consultables par tout actionnaire qui le demande. Nous vous appelons à voter en faveur de cette motion, tout comme la fondation Ethos, dans sa grande sagesse.”

Roger Kapp : “Pourquoi continuez-vous à investir dans des énergies polluantes et non renouvelables, alors que la COP 21 a juste eu lieu ?”







Blaise Rossellat :”la création monétaire est le pouvoir régalien, le pouvoir du peuple souverain. Il est donc logique et démocratique que chaque citoyen dispose d’un droit de vote à la BNS et partage les bénéfices de la BNS : un citoyen, une voix ! C’est pourquoi nous demandons que chaque citoyen qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS, ceci afin que chacun ait ce droit essentiel comme pour tous les votes touchant à la vie de la Confédération.”Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 

selon Victor Hugo…
« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont dans son livre La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.

Nous le disons 🙂 … ci-dessous…

Les 10 propositions de décision pour l’Assemblée générale de la BNS du 29 avril 2016 imaginées avec bienveillance dans les Salons du Général Dufour par notre collectif AAA+ d’actionnaires sont des solutions possibles à toutes les crises financières mondiales. La Suisse peut et doit devenir un modèle pour le monde.
Pour que la BNS protège efficacement l’appellation «franc suisse» (CHF)!

Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse»(CHF).
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande puisse disposer d’un compte de virement à la BNS, comme les employés de la BNS.
Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.
Pour que la BNS explicite, formalise et publie la méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale «franc suisse» (CHF) par rapport aux devises internationales.
Pour que la BNS sépare sa comptabilité interne de la comptabilité de la monnaie légale suisse, comme pour des «actifs sous gestion».
Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre des actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’un compte de financement souverain de l’économie réelle suisse.
Nos 10 propositions.


Pour nous suivre en direct. et en différé sur les archives. La Web TV de la BNS. Dès 10 heures ce vendredi 29 avril 2016.

http://www.snb.ch/fr/ifor/media/webtv/id/webtv_live

Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 

selon Victor Hugo…
« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont dans son livre La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.

Nous le disons 🙂 … ci-dessous…

Projet de loi d’application de monnaie-pleine

— LA BATAILLE FINALE DE LA CHRÉTIENTÉ SE FERA AUTOUR DU
PROBLÈME DE L’ARGENT, ET TANT QUE CE PROBLÈME NE SERA PAS RÉSOLU,
IL NE POURRA Y AVOIR L’APPLICATION UNIVERSELLE DU CHRISTIANISME —



                                                    (Honoré de Balzac)




                                USURE de L’USURE

Le conseiller national Geri Müller avait déjà posé 4 de nos questions au Conseil fédéral en 2012 ! Et que ces questions avaient été classées sans suite… Merci Gérard Foucher 😘

Face à la crise de l’euro et de la dette, je prie le Conseil fédéral de prendre position sur la question de la création de monnaie en Suisse. Selon la théorie économique qui prévaut, la plus grande part de la masse monétaire M1 est créée par l’accroissement de la somme des bilans des banques commerciales et non par la Banque nationale suisse (BNS), ce que confirme d’ailleurs le lexique de cette dernière: “Les banques créent de la monnaie en accordant des crédits; cf. lexique de la BNS”.

Partant de ce constat, je prie le Conseil fédéral de répondre aux questions suivantes:

1. Aux termes de l’article 2 de la loi fédérale sur l’unité monétaire et les moyens de paiement (LUMMP), seuls sont considérés comme moyens de paiement, les espèces métalliques, les billets de banque et les avoirs à vue auprès de la BNS. Sur quelle base légale se fonde la pratique générale (suivie également par les autorités) de considérer les avoirs à vue auprès des banques comme des moyens de paiement légaux, alors qu’ils ne constituent qu’une créance sur ceux-ci, qui sera honorée ou non par les banques selon leur solvabilité?

2. La création de monnaie scripturale des banques commerciales est-elle conforme au droit régalien de la Confédération, selon l’article 99 de la Constitution, qui dispose que “la monnaie relève de la compétence de la Confédération”?

3. Comme le Conseil fédéral l’a relevé dans son message du 26 mai 1999 concernant la LUMMP, “Les avoirs à vue auprès d’une grande banque, d’une banque cantonale ou régionale, ou encore d’une organisation de cartes de crédit, ne sont effectivement pas la même chose que ceux déposés à la BNS, qui est le seul établissement du pays … à pouvoir créer de l’argent à son gré”. L’Etat ne peut donc déclarer la monnaie scripturale des banques comme moyen de paiement légal (99.051). Or vu qu’elle est considérée dans les faits comme telle, le Conseil fédéral ne pense-t-il pas qu’il serait nécessaire de préciser cette distinction dans la loi parce que la majorité de la population continue de penser que la mise en circulation de moyens de paiement libellés en francs est exclusivement du ressort de la BNS et par conséquent garantie?

4. Comment le Conseil fédéral légitime-t-il ce droit des banques commerciales de créer de la monnaie, sans qu’elle soit entièrement garantie par un capital, en accordant des crédits, qui augmentent la somme de leur bilan, alors que les particuliers ne peuvent consentir des prêts que s’ils disposent de l’argent?

15.06.2012
CONSEIL NATIONAL
La discussion est reportée.
BULLETIN OFFICIEL
21.03.2014
En suspens depuis plus de deux ans; classement.

https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20123305

Suisse : Récupérons la Monnaie Pleine !

28.04.2016 – Leopoldo Salmaso
Cet article est aussi disponible en: ItalienAllemand

Suisse : Récupérons la Monnaie Pleine !

Aujourd’hui la monnaie est presque totalement « vide », elle est seulement la promesse de la banque privée de la payer avec de la monnaie « pleine », c’est-à-dire celle de l’État qui est la garantie de la richesse de la nation.
Interview de Leopoldo Salmaso à Konstantin Demeter, du Comité de l’Initiative Populaire [1] pour la Monnaie Pleine.
Leopoldo Salmaso: Que signifie « Monnaie Pleine » ?
Konstantin Demeter : Lors de la récolte de signatures pour l’initiative Monnaie Pleine, la première réaction à l’expression « monnaie pleine » était souvent un étonnement suivi d’une question : « Mais, on n’a donc aujourd’hui que de la monnaie vide ? » En effet, c’est le cas, ou presque. En Suisse, la monnaie n’est « pleine » qu’à 2,5%, dans la zone euro à 1%, selon les réserves obligatoires respectives, ou à 13%, respectivement à 18% dans la zone euro, selon l’argent liquide créé par les banques centrales respectives. La monnaie pleine est un moyen de paiement légal complet, émis par la Banque nationale suisse. Aujourd’hui, la monnaie électronique ne l’est pas, bien qu’elle soit traitée comme telle, de facto. L’argent de nos comptes courants est seulement une promesse de la banque de nous verser de l’argent liquide, si nous le demandons. Pour cette raison, cet argent n’est pas sûr. En cas de crise financière ou de faillite d’une banque, cette promesse ne peut éventuellement pas être tenue et les clients perdent leur argent, ou alors la banque doit être sauvée par l’Etat, donc par le contribuable. Dans un système de monnaie pleine, tout l’argent sera créé par la Banque nationale ; ainsi l’argent de nos comptes ne sera plus seulement une promesse, mais existera « réellement ». En plus, les comptes courants seront gérés hors-bilan et ne tomberont donc plus dans la masse en faillite. En conséquence, aucune banque ne sera plus « too big to fail », puisqu’il ne sera plus possible qu’une faillite compromette le trafic des paiements. Les comptes courants seront simplement transférés à une autre banque, sans que les clients perdent leur argent.
LS : Quel est le but de l’initiative que vous avez lancée ?
KD : L’objectif principal de l’initiative, c’est de rétablir le droit exclusif de l’Etat de créer l’argent. Si l’initiative est acceptée, la Banque nationale suisse créera tout l’argent dénommé « francs suisses », donc aussi l’argent scriptural créé actuellement par les banques privées. L’argent nouvellement créé sera mis en circulation par le biais de dépenses publiques ou par versement de 500 à 1000 francs par an à chaque citoyen, sans être une dette et sans que des intérêts doivent être payés pour cet argent. En contrepartie, l’Etat profitera ainsi à nouveau du seigneuriage [2] (bénéfice de la création monétaire), qui est inutilisé aujourd’hui. L’argent scriptural se trouvant en circulation aujourd’hui sera « recyclé » dans un délai de 10 à 15 ans environ et deviendra aussi monnaie pleine, ce qui rapportera également un bénéfice pour la communauté. Afin de garantir l’indépendance de la Banque nationale par rapport à la politique et l’économie privée et afin de lui conférer une légitimation démocratique plus large, l’initiative lui accorde un statut semblable à celui du Tribunal fédéral et prévoit une révision de sa forme juridique ainsi que du Conseil de banque, de la Direction générale et des modalités d’élection.
LS : Avez-vous fait l’expérience d’opposition ou de boycottage ? Si oui, de la part de qui ?
KD : Nous étions étonnés du refus précoce de l’initiative par Avenir Suisse, le «think thank» influent et libéral créé par de grandes entreprises multinationales suisses. Celui-ci a publié une critique négative avant même le lancement de la récolte de signatures, ce qui est très inhabituel. Au début de la récolte de signatures, nous nous attendions plutôt à un silence, qui devait empêcher une attention inutile. Nous avons interprété ce prompt refus comme un compliment, car cela montrait l’importance de l’initiative et révélait la peur des adversaires. Cependant, les objections d’Avenir Suisse, tout comme celles publiées en automne dernier par l’Association suisse des banquiers, ne sont pas fondées et visent avant tout à alimenter des craintes injustifiées. Comme on s’y attendait, le Conseil fédéral a récemment rejeté l’initiative, avec les mêmes arguments infondés que ceux des deux organisations mentionnées ci-dessus.
LS : Le 5 juin, le peuple suisse pourra se prononcer sur un revenu de base inconditionnel. Quel est le rapport entre ces deux initiatives ?
KD : Ces deux initiatives ont quelques objectifs en commun. Les deux veulent par exemple diminuer les inégalités économiques et sociales existantes. Cependant, elles sont différentes par rapport à la méthode. Le revenu de base inconditionnel élimine un symptôme, tandis que l’argent créé sans dettes et au bénéfice de tous les citoyens élimine la cause principale de la maladie. Il n’est pas absurde de distribuer de l’argent à la population, que ce soit avec ou sans revenu de base, mais il est absurde de laisser aux banques la création de cet argent et le bénéfice qui en résulte. Aujourd’hui, on comptabilise cet argent aux citoyens comme dette, pour laquelle ils doivent payer des intérêts, au lieu de le leur accréditer, en tant que propriétaires collectifs. Pour cette raison, les deux initiatives se complèteraient très bien. En principe, la monnaie pleine devrait être une condition préalable au revenu de base. Toutes les deux initiatives proposent un changement fondamental du système actuel, mais le revenu de base introduit un tout nouveau système, tandis que l’initiative Monnaie Pleine veut rétablir un système que le peuple suisse approuvait déjà en 1891, quand il a accepté l’initiative pour le privilège absolu de l’Etat à la création monétaire. Au fil du temps, les banques se sont approprié imperceptiblement ce privilège. L’initiative Monnaie Pleine veut donc réintroduire ce que la plupart des citoyens considèrent comme réalisé aujourd’hui déjà, tandis que le revenu de base propage une idée complètement nouvelle.
En tout cas, le bénéfice du système de monnaie pleine ne suffirait pas pour financer entièrement le revenu de base, mais il pourrait y apporter une contribution importante. Le plus important pourtant, c’est que les deux initiatives ont déjà contribué à un débat public fondamental, qui se poursuivra aussi en cas de refus.
LS : En Islande, il y a un projet de loi pour une réforme monétaire semblable à celle proposée par les Suisses. Est-ce à dire que vous êtes bien interconnectés, ou travaillez-vous de façon isolée tout en manifestant une fermentation subliminale qui est plus répandue qu’il ne semble ?
KD : Nous sommes en contact avec la majorité des mouvements de réforme monétaire internationaux. L’organisation International Movement for Monetary Reform (IMMR) créée par Positive Money agit comme point de rencontre et pivot, mais il y a aussi des contacts directs entre les organisations elles-mêmes. Aujourd’hui, 24 pays appartiennent à l’IMMR. Lors de la conférence de presse à l’occasion de la remise des signatures du 1er décembre 2015, on a donné la parole également au Positive Money britannique et à la Monetative allemande, et nous avons projeté les félicitations d’autres organisations internationales. Dans le public et lors de la réunion suivante, il y avait aussi des représentants du Gode Penge danois. Début mars, l’IMMR a organisé un séminaire international à Bruxelles, auquel participaient aussi deux représentants suisses. Au total, 18 pays étaient représentés, de l’Afrique du Sud à l’Islande. J’accorde une importance essentielle à cette coopération, aussi parce que les effets positifs des premières réformes auraient un impact synergique, si celles-ci étaient entreprises dans plusieurs pays. En plus, la collaboration internationale élargirait le débat et amènerait d’autres pays à s’engager dans des voies semblables.
Konstantin Demeter : photographe et bibliothécaire, chercheur du système monétaire. Membre du Comité de l’Initiative Populaire pour la Monnaie Pleine et Coordinateur du groupe régional de Tessin. Membre de l’association Modernisation Monétaire (MoMo).
Liens :
[1] En Suisse le terme « Référendum » correspond au référendum abrogatif italien. Mais il existe aussi l’ »Initiative Populaire », correspondant au référendum propositif qui n’existe pas encore en Italie.
[2] ‘Seigneuriage’ est la différence entre la valeur nominale d’une monnaie ou billet et le coût effectif de sa production. Avec l’argent électronique le ‘seigneuriage’ est proche du 100%.
Traduction de l’allemand par Heiner Forster et Blagojevic Gordana


La BNS investit dans les armes nucléaires

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.



François de Siebenthal: La Banque nationale suisse (BNS …

desiebenthal.blogspot.com/2016/03/la-banque-nationale-suisse-bns.html

7 mars 2016 – Le titre de la BNS a été suspendu de cotation à la Bourse suisse peu … La BNS investit notamment dans les armes nucléaires aux USA, sic, ..


Banques: La BNS investit dans les armes nucléaires …

www.24heures.ch/economie/bns-investit-armesnucleaires/…/10278802

27 janv. 2016 – La banque centrale a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires.

La BNS épinglée pour des investissements liés aux armes …

www.bilan.ch/…/bns-epinglee-investissements-lies-aux-armesnucleaires

27 janv. 2016 – La BNS aurait investi l’an passé 607,52 millions de dollars (616,8 millions … des entreprises impliquées dans la production d’armes nucléaires, …

La BNS épinglée pour ses investissements – Le Temps

www.letemps.ch/economie/2016/01/27/bns-epinglee-investissements

27 janv. 2016 – p>La BNS aurait investi l’an passé 607,52 millions de dollars (616,8) … les armes nucléaires reprochent dans un communiqué à la BNS de ne …

La BNS investit toujours plus dans des sociétés d’armement …

www.rts.ch/…/7448380-la-bns-investit-toujours-plus-dans-des-societes-d…

27 janv. 2016 – La BNS a investit des actions dans des sociétés américaines, tel que Raytheon, qui produit notamment des armes nucléaires. [David Loh …

Pas d’argent suisse investi dans les conflits autour du monde

kriegsmaterial.ch/fr/2a/

… armes interdites par le droit international telles que des armes nucléaires ou … Bien sûr, certaines banques, dont la Banque nationale suisse (BNS), ont un …

La BNS investit dans les armes nucléaires – Nos Villes en …

nosvilles.ch › Brèves › Economie & Emploi

27 janv. 2016 – La BNS investit dans les armes nucléaires … a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires.

relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque …

martouf.ch/…/435-relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque-n…

BNS Banque Nationale Suisse- Schweizerische Nationalbank. ….. les armes nucléaires américaines… alors que la BNS s’applique a avoir une charte éthique et …

La BNS investit dans les armes nucléaires – COMBourse

www.combourse.com/…/La_BNS_investit_dans_les_armes_nucleaires__19…

27 janv. 2016 – La banque centrale a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires. Les promesses incertaines du …

Suisse: la bns investit dans les armes nucléaires …

www.scoopnest.com/fr/user/20minutesOnline/692279493436776448

La BNS investit dans les armes nucléaires https://t.co/UuqCUHq2bN #Economie … Suisse: L’armée a refusé 25 végétaliens l’an dernier https://t.co/ztVBBKQr7F.

Jean antoine FQSP© on Twitter: “La BNS investit dans les …

https://twitter.com/…/status/692339063228141568

Traduire cette page

La BNS investit dans les armes nucléaires http://ln.is/www.tdg.ch/economie/uKMxI … via @tdgch. 5:31 AM – 27 Jan 2016. 0 retweets 0 likes. Reply. Retweet.


Discorso di Marco Saba all’assemblea generale della BNS sul 108° Rapporto Banca Nazionale
Svizzera 2015


– Berna, 29 aprile 2016

Buon giorno a tutti, sono l’azionista Marco Saba.
Il mio intervento, che chiedo di trascrivere integralmente nel verbale dell’assemblea con le note
allegate al cartaceo, verte sul primo punto dell’ordine del giorno e vale come avviso di ritrovamento
– ai sensi degli articoli 720 e 722 del Codice civile svizzero (1) – di 600 miliardi di franchi svizzeri
non contabilizzati, oltre ad una cifra ulteriore da accertare per il valore d’acquisto storico in franchi
svizzeri di: oro, immobilizzazioni materiali, titoli in franchi, partecipazioni ed altre attività.
Nella risposta del Consiglio Federale del 19.08.2015 all’INTERPELLANZA numero 15.3391 (2), si
dice chiaramente: “La maggior parte della moneta della Banca nazionale viene già messa in
circolazione sotto forma di moneta scritturale” – e – “Dato che non deve essere rimborsato, questo
capitale di terzi assume un certo carattere di capitale proprio.” Di fatto, esaminando il bilancio
presentato dall’amministrazione della BNS, ho rilevato che manca la voce con l’indicazione della
quantità di franchi svizzeri creati durante l’esercizio alterando così il valore del patrimonio netto
della banca, tant’è che risulterebbe una “perdita” di esercizio che non si potrebbe realizzare se la
creazione di denaro fosse correttamente contabilizzata. Mi spiego: come risulta anche da un recente
studio della BCE, che ha condotto una indagine su 57 banche centrali distribuite su 5 continenti
compresa la BNS, “le banche centrali sono protette dall’insolvenza a causa della loro abilità di
creare moneta” (3). Lo studio precisa inoltre che fare delle eccezioni alle norme contabili
equivale alla non-conformità alle norme stesse. Nonostante le rassicurazioni del revisore KPMG,
questo bilancio non può essere approvato in quanto manca la corretta contabilizzazione della
creazione di denaro che non è contabilizzata tra le attività della banca e quindi non risulta nel
patrimonio netto della stessa. Infatti la banca non può dire di aver redatto il bilancio in conformità
alle regole Swiss Gaap proprio perché ha utilizzato un’eccezione non giustificata alle regole
omettendo i dati necessari per avere un quadro fedele della situazione patrimoniale, finanziaria
e reddituale del 2015 (4). E’ vero che la Legge sulla Banca nazionale svizzera (5) prevede che si
può prescindere dalle prescrizioni della Legge federale di complemento del Codice civile svizzero,
ma premette la frase “Sempre che la natura particolare della Banca nazionale lo esiga”. Nella
pagina internet della BNS (6) alla domanda “In che modo è tenuto conto della natura particolare
della Banca nazionale nell’informativa finanziaria ?”, leggiamo che “L’informativa finanziaria
della Banca nazionale non è paragonabile a quella di una società anonima di diritto privato. Lo
scopo sociale della Banca nazionale non è quello di realizzare profitti da distribuire agli azionisti,
bensì di assolvere il mandato conferitole dalla Costituzione. Inoltre, la destinazione dell’utile è
stabilita dalla LBN…”. Quindi non si parla di nascondere i profitti nella tenuta della contabilità,
traendo in inganno il pubblico, ma si dice che conseguirli non è lo scopo della banca. Tant’è che
sùbito dopo si specifica che c’è una destinazione precisa dell’eventuale utile e che è stabilita dalla
legge. Se ne desume che anche il Risultato d’esercizio negativo per 23.250.600.000 franchi svizzeri
non è veritiero poiché aggiungendo la registrazione della creazione di 600 miliardi di franchi
svizzeri si otterrebbe invece un utile, anche nella forma di un equivalente posta di patrimonio netto,
quale ad esempio una riserva di bilancio, di almeno 576.749.400.000 franchi svizzeri. Chiedo
pertanto che il bilancio sia rettificato tenendo conto del mio ritrovamento e anche tenendo in
opportuna considerazione il versamento annuale dovuto al Governo svizzero ed ai Cantoni secondo
quanto disposto dalla convenzione. Questo perché la “Riserva per future ripartizioni prima della
destinazione dell’utile” non può essere arbitrariamente ridotta dalla BNS accollandole delle perdite
che si rivelano fittizie una volta tenuto conto della creazione di denaro. Solo così si potrà adempiere
al mandato della Costituzione svizzera (7) che richiede una politica monetaria nell’interesse
generale del Paese. Vi ringrazio per l’attenzione ricevuta anche da parte delle autorità presenti.
Pagina 1 di 3
Note:
(N.B. nelle fonti allegate i passaggi presi in considerazione sono sottolineati .)
1) Secondo il Codice civile svizzero, chi riconsegna un oggetto trovato “ha diritto al rimborso di
tutte le spese e ad un’equa mercede”, ovvero di norma il 10% del valore dell’oggetto.
Vedi l’art.720 del Codice civile svizzero (avviso di ritrovamento, rimborso spese ed equa
mercede):
https://www.admin.ch/opc/it/classified-compilation/19070042/index.html#a720
2) Interpellanza 15.3391 “Utili derivanti dalla creazione di moneta presso la BNS o nelle banche”
https://www.parlament.ch/it/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20153391
3) Nell’Occasional Paper della BCE n. 169 del 5 aprile 2016
( https://www.ecb.europa.eu/pub/pdf/scpops/ecbop169.en.pdf ) , intitolato “Profit distribution and
loss coverage rule for central banks”, si legge:
– a pagina 14, nota 7:
“Central banks are protected from insolvency due to their ability to create money…” – (Le banche
centrali sono protette dall’insolvenza a causa della loro abilità di creare moneta)
– e a pagina 20:
“No single accounting framework is consistently applied by the majority of central banks.
However, there are four main frameworks or types: the Eurosystem framework, International
Financial Reporting Standards (IFRS), local (national) Generally Accepted Accounting Principles
(GAAP) and central bank specific (own) rules. A central bank can also apply “IFRS with
exceptions” (17), or national GAAP with exceptions.”
– e, nella nota 17 della stessa pagina:
“Strictly speaking, since IFRS does not allow for exceptions or for industry-specific rules, such
an arrangement is not IFRS-conformant.” (e quindi anche non-conforme alle GAAP nazionali .)
4) Nel 108° Rapporto di gestione Banca nazionale svizzera 2015
(https://www.snb.ch/it/mmr/reference/annrep_2015_komplett/source/annrep_2015_komplett.it.pdf)
– a pagina 158 si legge:
“Salvo disposizioni derogatorie, i principi contabili sono definiti con riferimento alle direttive Swiss
GAAP FER. Si è derogato da queste ultime unicamente in caso di contraddizione con la LBN o se
necessario per tenere conto delle caratteristiche specifiche della Banca nazionale. In deroga alle
norme Swiss GAAP FER, non è stato stilato un conto dei flussi di tesoreria.
Modifiche rispetto all’anno precedente
All’infuori della rinuncia alla redazione di un conto dei flussi di tesoreria, non sono intervenute
altre modifiche dei principi di redazione del bilancio e dei criteri di valutazione rispetto all’anno
precedente.
Conto dei flussi di tesoreria
Conformemente all’art. 29 LBN, la Banca nazionale non è tenuta a presentare un conto dei
flussi di tesoreria.”
– e a pag.193 nell’opinione del revisore KPMG SA (Philipp Rickert e Pietro Di Fluri):
“A nostro giudizio il consuntivo annuale per l’esercizio chiuso al 31 dicembre 2015 è conforme alla
legge svizzera e presenta un quadro fedele della situazione patrimoniale, finanziaria e
reddituale…”
– e poi sotto:
“Confermiamo inoltre che la proposta d’impiego dell’utile iscritto a bilancio è conforme alle
disposizioni della Legge sulla Banca nazionale e raccomandiamo di approvare il presente
consuntivo annuale.”.

5) Nella Legge federale sulla Banca nazionale svizzera
( https://www.admin.ch/opc/it/classified-compilation/20021117/index.html ), si legge:
Sezione 2: Determinazione e distribuzione dell’utile
Art. 29 1 Consuntivo annuale
Il consuntivo annuale della Banca nazionale, comprensivo del conto economico, del bilancio e
dell’allegato, è allestito in linea di massima conformemente alle disposizioni sulla contabilità
commerciale e la presentazione dei conti del titolo trentesimosecondo del CO2. Sempre che la
natura particolare della Banca nazionale lo esiga, si può prescindere dalle prescrizioni del CO.
La Banca nazionale non deve segnatamente presentare un conto dei flussi di tesoreria.
6) Nella pagina internet della BNS intitolata Domande e risposte sulla Banca nazionale come
impresa ( https://www.snb.ch/it/iabout/snb/id/qas_unternehmen_1#t10 ) consultata il 20 aprile 2016,
si legge:
– In che modo è tenuto conto della “natura particolare della Banca nazionale”
nell’informativa finanziaria?
– L’informativa finanziaria della Banca nazionale non è paragonabile a quella di una società
anonima di diritto privato. Lo scopo sociale della Banca nazionale non è quello di realizzare profitti
da distribuire agli azionisti, bensì di assolvere il mandato conferitole dalla Costituzione. Inoltre,
la destinazione dell’utile è stabilita dalla LBN. Di conseguenza, anche gli obblighi di informativa
della Banca nazionale sono differenti. Essa riferisce al Parlamento e al pubblico sull’adempimento
del suo mandato (Rendiconto), mentre fornisce informazioni sugli andamenti organizzativi e
aziendali, nonché sui risultati di gestione, nella Relazione finanziaria, contenente il Rapporto
annuale e il Consuntivo annuale. Quest’ultimo deve essere approvato dal Consiglio federale prima si
essere presentato per la ratifica all’Assemblea generale degli azionisti.
7) Nella Costituzione svizzera ( https://www.admin.ch/opc/it/classifiedcompilation/
19995395/index.html ) l’art.99 recita:
Art. 99 Politica monetaria
1 Il settore monetario compete alla Confederazione; essa soltanto ha il diritto di battere
moneta e di emettere banconote.
2 La Banca nazionale svizzera, in quanto banca centrale indipendente, conduce una politica
monetaria nell’interesse generale del Paese; è amministrata con la collaborazione e sotto la
vigilanza della Confederazione.
3 La Banca nazionale costituisce sufficienti riserve monetarie attingendo ai suoi proventi; parte di
tali riserve è costituita in oro.
4 L’utile netto della Banca nazionale spetta per almeno due terzi ai Cantoni.


600 milliards trouvés à Berne, dans la fausse comptabilité de la BNS !

marco saba
ATTN. Comandante Stefan Blättler – Notifica
ex art.720 CCS (RS210)
marco saba 28 aprile 2016
08:34
A: beschwerdestelle@police.be.ch, Riccardo Piconcelli
, Marco Della Luna
, Nadia La Banca

ATTN. Comandante Stefan Blättler – Notifica ex art.720 CCS
(RS210)
Police cantonale bernoise
Commandement
Waisenhausplatz 32
Case postale
3001 Berne
Tél. +41 31 634 41 11
Fax +41 31 331 30 33
beschwerdestelle@police.be.ch
Notifica ex art. 720 comma 2 e articoli seguenti del Codice Civile
svizzero al 1° gennaio 2016 (RS 210) http://www.lexfind.ch/dtah/
131797/4/
Berna, 28 aprile 2016
Gmail – ATTN. Comandante St… https://mail.google.com/mail/u/…
1 of 2 28/04/2016 09:29
Egregio Comandante Blättler ,
il sottoscritto Marco Saba nato a Firenze il giorno 8 maggio 1961
e con recapito in Italia presso La Banca, via 9 Gennaio 1950,
n.106, 41122 Modena, cell. +39 331 334 1239, Passaporto
italiano n. YA1089652, notifica il ritrovamento dfi 600 miliardi di
franchi svizzeri avvenuto tramite una revisione contabile
indipendente effettuata sul bilancio 2015 della Banca nazionale
svizzera di cui è azionista.
La riconsegna del denaro – e qundi della equa ricompensa –
potrà avvenire dopo che la direzione generale della BNS avrà
rettificato il bilancio indicando la somma della moneta rinvenuta
che, essendo stata creata dalla banca, dovrà essere
contabilizzata nelle poste attive dei flussi di cassa prima di poter
essere impiegata, e quindi poi nel bilancio stesso. Questa
notifica precede la comunicazione alla banca che vi verrà poi
inviata in copia. A disposizione per ulteriori chiarimenti e
ringraziando per l’attenzione,
in fede,
Marco Saba
Gmail – ATTN. Comandante St… https://mail.google.com/mail/u/…

2 of 2 28/04/2016 09:29

Banque Nationale Suisse, AAA+ & Bilan

Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 

selon Victor Hugo…
« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont dans son livre La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.
Nous le disons 🙂 … 
Distribuons l’abondance produite par les robots, la robolution.
Explications et méthodes ci-dessous…

Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 

selon Victor Hugo…
« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont dans son livre La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.

Nous le disons 🙂 … ci-dessous…


Les 10 propositions de décision pour l’Assemblée générale de la BNS du 29 avril 2016 imaginées avec bienveillance dans les Salons du Général Dufour par notre collectif AAA+ d’actionnaires sont des solutions possibles à toutes les crises financières mondiales. La Suisse peut et doit devenir un modèle pour le monde.
Pour que la BNS protège efficacement l’appellation «franc suisse» (CHF)!

Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse»(CHF).
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande puisse disposer d’un compte de virement à la BNS, comme les employés de la BNS.
Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.
Pour que la BNS explicite, formalise et publie la méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale «franc suisse» (CHF) par rapport aux devises internationales.
Pour que la BNS sépare sa comptabilité interne de la comptabilité de la monnaie légale suisse, comme pour des «actifs sous gestion».
Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre des actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’un compte de financement souverain de l’économie réelle suisse.
Nos 10 propositions. 


http://aaapositifs.ch/wp-content/uploads/2016/04/PropositionsBNS-3A2016-FR.pdf

Nos 10 propositions en allemand.


Pour nous suivre en direct. et en différé sur les archives. La Web TV de la BNS. Dès 10 heures ce vendredi 29 avril 2016.


http://www.snb.ch/fr/ifor/media/webtv/id/webtv_live

Dans l’histoire des peuples, la Suisse aura le dernier mot » 

selon Victor Hugo…
« … encore faut-il qu’elle le dise »…

selon Denis de Rougemont dans son livre La Suisse ou l’Histoire d’un Peuple heureux.

Nous le disons 🙂 … ci-dessous…

Projet de loi d’application de monnaie-pleine

— LA BATAILLE FINALE DE LA CHRÉTIENTÉ SE FERA AUTOUR DU
PROBLÈME DE L’ARGENT, ET TANT QUE CE PROBLÈME NE SERA PAS RÉSOLU,
IL NE POURRA Y AVOIR L’APPLICATION UNIVERSELLE DU CHRISTIANISME —



                                                    (Honoré de Balzac)




                                USURE de L’USURE

http://desiebenthal.blogspot.ch/2008/10/usure-de-lusure.html

La BNS investit dans les armes nucléaires

BanquesLa banque centrale a visiblement accru ses participations dans au moins 14 entreprises fabriquant des armes nucléaires.

François de Siebenthal: La Banque nationale suisse (BNS …

desiebenthal.blogspot.com/2016/03/la-banque-nationale-suisse-bns.html

7 mars 2016 – Le titre de la BNS a été suspendu de cotation à la Bourse suisse peu … La BNS investit notamment dans les armes nucléaires aux USA, sic, ..



Banques: La BNS investit dans les armes nucléaires …

www.24heures.ch/economie/bns-investit-armesnucleaires/…/10278802

27 janv. 2016 – La banque centrale a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires.


La BNS épinglée pour des investissements liés aux armes …

www.bilan.ch/…/bns-epinglee-investissements-lies-aux-armesnucleaires


27 janv. 2016 – La BNS aurait investi l’an passé 607,52 millions de dollars (616,8 millions … des entreprises impliquées dans la production d’armes nucléaires, …

La BNS épinglée pour ses investissements – Le Temps

www.letemps.ch/economie/2016/01/27/bns-epinglee-investissements

27 janv. 2016 – p>La BNS aurait investi l’an passé 607,52 millions de dollars (616,8) … les armes nucléaires reprochent dans un communiqué à la BNS de ne …

La BNS investit toujours plus dans des sociétés d’armement …

www.rts.ch/…/7448380-la-bns-investit-toujours-plus-dans-des-societes-d…

27 janv. 2016 – La BNS a investit des actions dans des sociétés américaines, tel que Raytheon, qui produit notamment des armes nucléaires. [David Loh …

Pas d’argent suisse investi dans les conflits autour du monde

kriegsmaterial.ch/fr/2a/

… armes interdites par le droit international telles que des armes nucléaires ou … Bien sûr, certaines banques, dont la Banque nationale suisse (BNS), ont un …

La BNS investit dans les armes nucléaires – Nos Villes en …

nosvilles.ch › Brèves › Economie & Emploi

27 janv. 2016 – La BNS investit dans les armes nucléaires … a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires.

relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque …

martouf.ch/…/435-relations-entre-la-confederation-suisse-et-la-banque-n…

BNS Banque Nationale Suisse- Schweizerische Nationalbank. ….. les armes nucléaires américaines… alors que la BNS s’applique a avoir une charte éthique et …

La BNS investit dans les armes nucléaires – COMBourse

www.combourse.com/…/La_BNS_investit_dans_les_armes_nucleaires__19…

27 janv. 2016 – La banque centrale a visiblement accru ses participations dans les entreprises fabriquant des armes nucléaires. Les promesses incertaines du …

Suisse: la bns investit dans les armes nucléaires …

www.scoopnest.com/fr/user/20minutesOnline/692279493436776448

La BNS investit dans les armes nucléaires https://t.co/UuqCUHq2bN #Economie … Suisse: L’armée a refusé 25 végétaliens l’an dernier https://t.co/ztVBBKQr7F.

Jean antoine FQSP© on Twitter: “La BNS investit dans les …

https://twitter.com/…/status/692339063228141568

Traduire cette page

La BNS investit dans les armes nucléaires http://ln.is/www.tdg.ch/economie/uKMxI … via @tdgch. 5:31 AM – 27 Jan 2016. 0 retweets 0 likes. Reply. Retweet.

RBI… Aidons le Mexique…

Aidons le Mexique… et d’autres…

La Suisse, invitée du Sénat du Mexique pour lui présenter le RBI et l’initiative fédérale

Ecrit par Ralph Kundig le sam, 2016-04-23 03:42

L’initiative suisse pour le RBI au Sénat de la République fédérale du Mexique, de gauche à droite : M. Mauricio de María y Campos (UNAM and Master in Arts of Developping Economy, Sussex University), M. Ralph Kundig (Président de BIEN-Suisse, coordinateur pour l’initiative RBI), Sénateur M. Luis Sánchez Jiménez (Vicepresident of the Steering Committee, Senate of the United States of Mexico), M. Gabriel Barta (Vice-président de BIEN-Suisse) et M. Ruben Islas Ramos, Technical Secretary to the vice-presidence of General Congress of the United Mexican States.

Si le concept de revenu de base inconditionnel (RBI) est encore novateur en Suisse, un nombre toujours croissant de démocraties l’étudie de près depuis quelques années. Au Mexique, l’idée du RBI est entrée dans le débat politique gouvernemental. Du 19 au 21 avril 2016, un « séminaire international sur le revenu universel et la répartition des richesses » a été organisé sous l’égide du Sénat de la République du Mexique et de la Commission Économique Pour l’Amérique Latine (CEPAL – l’une des cinq commissions régionales de l’Organisation des Nations Unies).

Après l’analyse d’un rapport établi en 2014 par le Comité National d’Évaluation des Politiques Sociales, l’accès à un revenu universel et solidaire est considéré comme une politique alternative réaliste par le gouvernement mexicain. De nombreux élus d’Amérique latine, accompagnés de scientifiques et d’économistes reconnus, ont convié des représentants de Basic Income Earth Network (BIEN) de Finlande, d’Espagne et de Suisse pour leur présenter les différents aspects du RBI. Représentants la Suisse, Ralph Kundig et Gabriel Barta, président et vice-président de BIEN-Suisse, ont accepté l’invitation pour présenter l’initiative fédérale pour un RBI quelques semaines avant ce qui sera la première votation populaire au monde sur le RBI.

Suite aux conférences et débats, le Sénat mexicain a pris la décision formelle de lancer une étude approfondie pour déterminer le meilleur modèle de RBI applicable au système économique et social en vigueur au Mexique.

Aidons l’Islande !


En contact direct avec Birgitta Jonsdottir, la présidente du parti pirate islandais et la potentielle prochaine premier ministre d’Islande, Antoine André se permet de nous contacter afin que nous passions le mot dans nos réseaux.

Créons un lieu sécurisé pour les lanceurs d’alertes et les journalistes d’investigation. 

https://en.immi.is/2016/04/25/switzerland-of-bits-francais/

Switzerland of bits, un refuge pour des médias libres

L’Institut international des médias modernes (en anglais IMMI) travaille à la création d’un lieu refuge pour la liberté d’expression, la liberté d’information, le droit à la vie privée, la protection des dénonciateurs et la liberté des médias. Nous nous devons de protéger ces droits fondamentaux en ligne et hors ligne, chaque fois qu’il est possible, partout.

Des fuites comme les #panamapapers exigent actuellement des équipes massives pour protéger la recherche des journalistes travaillant sur le sujet, et même avec cela, il n’y a aucune garantie de sécurité. Imaginez un espace où les journalistes peuvent enquêter sur des crimes dans le monde entier, libres des pressions des organisations corrompues. Imaginez combien de cas de corruption supplémentaires pourraient être exposés si nous pouvons fournir un endroit plus sûr pour que ce travail ait lieu – c’est cette différence qui pourrait définir si les prochaines grandes fuites atteindront le grand public ou seront étouffées par les riches et les puissants.

Screen Shot 2016-04-25 at 15.24.03

SOUTENEZ LE PROJET SWITZERLAND OF BITS ICI

Ce «paradis pour médias libres », basé en Islande servira de norme de qualité pour les réformes dans le monde entier et de législation de référence pour la protection des données, la vie privée, la liberté d’information et la liberté d’expression.
Vous pouvez le faire devenir réalité – faire partie du mouvement!
Lois locales, impact global: The Icelandic Modern Media Initiative
En 2010, le Parlement islandais a adopté à l’unanimité une résolution chargeant le gouvernement d’écrire les meilleures lois possibles pour un refuge du journalisme en Islande. IMMI a été créé comme un organisme indépendant du gouvernement pour veiller à ce que le processus de rédaction de la résolution soit transparent et efficace. IMMI se bat actuellement pour sa survie et est géré principalement par les efforts bénévoles. Si nous voulons respecter notre engagement nous avons besoin de votre soutien.
Accès à l’information
Les journalistes et les lanceurs d’alertes ont besoin d’un espace qui les protège et qui respecte le travail qu’ils font réellement. Et nous, les citoyens du monde, avons besoin d’un espace qui nous donne des informations fiables et non corrompues par l’influence de l’argent et de la politique. IMMI existe pour assurer la naissance d’une plate-forme libre et ouverte qui puisse accueillir, sauvegarder et garantir l’accès à l’information qui appartient au peuple.
IMMI
Un exemple peut faire la différence
Financer nos efforts vers le premier « vrai » refuge pour journalistes d’investigation est la première étape pour que le reste du monde devienne un endroit plus sûr pour la liberté d’expression. Assez parlé, passons à l’action !
Aidez IMMI à créer ce refuge
Rejoignez-nous dans la création d’un lieu où les lois modernes et progressistes protègent la vie privée, l’information et la liberté d’expression. Votre aide est absolument vitale. Vous pouvez aider et rejoindre le projet en faisant un don et en partageant l’information !
Nos objectifs :
La conservation des données est une forme rétroactive de surveillance de masse où les métadonnées de chacun sont retenues par les entreprises de télécommunication qui sont tenues par la loi de stocker vos informations. IMMI veut supprimer la conservation des données inscrite dans les lois islandaises et a empêché les efforts visant à adopter la directive sur la conservation des données de l’UE en Islande.
Responsabilité intermédiaire limitée – IMMI recherche et défend des lois qui rendront les intermédiaires (tels que les médias sociaux, blogs, forums, sites d’information, etc.) exempt de responsabilité pour le contenu transféré, et de faire ainsi en sorte que ces entreprises privées ne soient pas les gardiens et les censeurs de ce contenu.
Protection des lanceurs d’alertes – IMMI a fait des recherches sur les lois en matière de lanceurs d’alertes et plaide pour des lois de protection solides en Islande selon lesquelles les informations pertinentes pour le public peuvent être diffusées en toute sécurité, et cela tout en renforçant la position juridique des lanceurs d’alertes.
Protection des données – IMMI veut créer un lieu où l’information est aussi sécurisée que possible, où votre vie privée est mieux protégée et où toutes les tentatives de rassembler ou d’éplucher vos informations par les services secrets des états étrangers sont considérées illégales. Que vous soyez une start-up, un organisme de presse, un journaliste, un blogueur, un activiste ou un individu, IMMI est convaincu que tout le monde a le droit à la vie privée. Parfois, les dirigeants du monde font écho à ces sentiments, mais ils n’ont jamais donné suite. Nous voulons créer un refuge pour les informations en Islande, a Switzerland of Bits.
Sociétés virtuelles à responsabilité limitée – IMMI va aider à rédiger une loi légalisant les sociétés virtuelles à responsabilité limitée en Islande. Cela signifie qu’une entreprise pourra s’enregistrer virtuellement en Islande, en profitant de la juridiction dans laquelle elle sera inscrite. Par conséquent, si vous utilisez un site web d’information dans votre pays et que votre gouvernement veut le fermer, en vertu de cette loi, et s’il est enregistré en tant que Svrl et hébergé sur des serveurs islandais, ils ne seront pas en mesure de faire.
Processus
IMMI participe à deux groupes de travail ministériels où la recherche et la mise en œuvre de deux résolutions distinctes ont lieu entre les experts et les parties prenantes. Ces résolutions portent sur l’utilisation de l’Internet et sur la protection des droits des utilisateurs (Ministère de l’Industrie et de l’Innovation) et également sur la résolution portée par IMMI sur la création d’un refuge pour la liberté d’expression et la liberté de l’information (Ministère de l’Education et de la Culture ).
Où va l’argent ?
IMMI est un institut à but non lucratif contrôlé et financé indépendamment du gouvernement islandais, fondé entièrement sur les dons et les subventions. Chaque don servira à 100% au fonctionnement de l’institut et à l’augmentation de ses capacités. Il faut 7500 $ par mois pour permettre à l’institut de fonctionner à sa capacité actuelle. Ce que nous faisons :
  • Recherches juridiques (locales et internationales)
  • Recommandations ; soumettre des observations au Parlement sur les projets de loi et les résolutions. Nous fournissons notre opinion aux comités parlementaires sur les lois proposées. Et nous participons à des efforts de sensibilisation et de collaboration internationale pour les droits en ligne et pour le journalisme libre.
  • Participation dans les deux groupes de travail ministériels
  • Conseils pour les journalistes, les blogueurs, les militants, les décideurs politiques et d’autres organisations du monde entier au sujet de leur situation juridique en Islande.
  • Organisation de réseaux d’expertise dans l’élaboration de politiques ou de propositions législatives.Notre appel initial est de 45 000 $ et couvrira nos coûts d’exploitation minimaux pour 6 mois. Au cours de ces 6 mois, nous chercherons d’autres sources de financement dans le cadre des projets de collaboration et de recherche, dans le but de renforcer les capacités de l’institut.Objectifs à plus long terme :Plus nous réussirons à lever de fonds, plus nous pourrons agir et plus nous pourrons diversifier et renforcer nos efforts.60.000 $ sécuriseront 8 mois de coûts d’exploitation minimaux.
    Des dons au-delà de 60 000 $ nous donneront plus de puissance et dès lors que les coûts d’exploitation seront couverts, cela nous permettra de faire:· Plus de demandes FOIA
    · Davantage de gestion de litiges pour soutenir la liberté d’expression (ce que nous ne pouvons pas nous permettre de faire à l’heure actuelle)
    · Plus de campagnes de sensibilisation et de vulgarisation sur le travail engagé par IMMIVous pouvez également soutenir IMMI en partageant cette campagne via les médias sociaux et en diffusant l’information au plus grand nombre. Suivez IMMI sur Twitter et Facebook.

    QUI NOUS SOMMES – L’ÉQUIPE IMMI

    Guðjón Idir est directeur exécutif de IMMI et a travaillé avec l’Institut ces deux dernières années. Guðjón possède des diplômes en philosophie et psychologie. C’est également un activiste luttant pour les droits des réfugiés, la transparence gouvernementale et la liberté de l’information.
    Birgitta Jónsdóttir – MEP, Parti Pirate islandais
    Birgitta est co-fondatrice et présidente de IMMI et présidente du Parti Pirate. C’est une militante à l’intérieur du système, une poète et une parlementaire. Elle a été le partenaire principal de la résolution sur l’Initiative des médias islandais modernes que le Parlement islandais a adoptée à l’unanimité en 2010. Birgitta a également été co-rapporteur pour la résolution de l’Union interparlementaire : la démocratie à l’ère numérique
    Mörður Ingólfsson, Directeur de « 1984 »
    Mörður a co-fondé IMMI. Il est membre du bureau et trésorier de IMMI. Mörður dirige “1984.is” société d’hébergement enregistré en Islande. “1984.is” s’est construit une réputation pour avoir lutté pour les droits des consommateurs.
    Smári McCarthy, CTO OCCRP
    Smári a co-fondé IMMI au côté Birgitta et Mörður. Il est membre du conseil d’administration de IMMI. Smári est CTO pour “the Organized Crime and Corruption Reporting Project” (OCCRP) en Bosnie-Herzégovine.
    IMMI a un comité consultatif avec des experts et des militants engagés et continue d’être soutenu par des gens brillants qui se portent volontaires au quotidien.
5$ – Membre de l’équipe IMMI
Nous vous remercions de faire de l’Islande un refuge sûr pour le journalisme et les droits numériques.
10$ – Militant de la liberté d’expression
Une note numérique de remerciements personnalisés
25$ – Militant de la liberté d’information
Autocollants « Switzerland of Bits » pour ordinateur portable + manuel sur les outils pratiques pour rester sécurisé en ligne.
50$ – Agent anti-surveillance de masse
Autocollants « Switzerland of Bits » pour ordinateur portable + manuel sur les outils pratiques pour rester sécurisé en ligne.
100$ – Militant de classe mondiale
Une carte postale manuscrite et personnalisée IMMI pour vous remercier + votre nom sur la liste de remerciements sur notre site officiel + des autocollants « Switzerland of Bits » pour ordinateur portable + manuel sur les outils pratiques pour rester sécurisé en ligne.
150$ – Défenseur de la vie privée
Une carte postale manuscrite et personnalisée IMMI pour vous remercier + votre nom sur la liste de remerciements sur notre site officiel + L’enregistrement d’un domaine .is pendant un an à travers “1984.is” + des autocollants « Switzerland of Bits » pour ordinateur portable + manuel sur les outils pratiques pour rester sécurisé en ligne.
500$ – Défenseur de la liberté universelle
« Hacker au Parlement », un poème personnalisé d’une série limitée, rédigé par Birgitta Jonsdottir + votre nom sur la liste de remerciements sur notre site officiel + des autocollants « Switzerland of Bits » pour ordinateur portable + manuel sur les outils pratiques pour rester sécurisé en ligne.
1000$ – Protecteur des protecteurs
Une édition limitée, numérotée et personnalisée de IMMI chapbook par Birgitta Jonsdottir + votre nom sur la liste de remerciements sur notre site officiel + des autocollants « Switzerland of Bits » pour ordinateur portable + manuel sur les outils pratiques pour rester sécurisé en ligne.
2500$ – Patron IMMI
La chance d’avoir une discussion privée pendant une heure avec Birgitta Jonsdottir avec le moyen de votre choix + votre nom sur la liste de remerciements sur notre site officiel + des autocollants « Switzerland of Bits » pour ordinateur portable + manuel sur les outils pratiques pour rester sécurisé en ligne.
10000$ – Propriétaire de l’Histoire
Birgitta vous offrira son très spécial et très usé CryptoPhone, utilisé au cours de sa période de bénévolat auprès de WikiLeaks en 2009-2010. Elle a utilisé le téléphone pendant la création et la promotion de IMMI, lors de la révélation des scandales des meurtres collatéraux et des journaux de guerre afghans. Elle ne veut pas vraiment s’en séparer mais écrire l’Histoire et mettre sur pied « Switzerland of Bits », un refuge pour les médias libres est une priorité absolue.
Screen Shot 2016-04-25 at 15.24.03

SOUTENEZ LE PROJET SWITZERLAND OF BITS ICI

Translation by Antoine Andre. Feature graphic by ind.ie

Banques centrales coopératives !




Les 10 propositions de décision pour l’Assemblée générale de la BNS du 29 avril 2016 imaginées avec bienveillance dans les Salons du Général Dufour par notre collectif AAA+ d’actionnaires sont des solutions possibles à toutes les crises financières mondiales. La Suisse peut et doit devenir un modèle pour le monde.
Pour que la BNS protège efficacement l’appellation «franc suisse» (CHF)!

Pour que la BNS applique la définition des banques en tant que pratiquantes exclusives du dépôt de la monnaie légale «franc suisse»(CHF).
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande puisse disposer d’un compte de virement à la BNS, comme les employés de la BNS.
Pour que la BNS mesure et publie le cumul de la création d’unités monétaire distinctement du stock d’unités monétaires.
Pour que la BNS explicite, formalise et publie la méthode de calcul du taux de change de la monnaie légale «franc suisse» (CHF) par rapport aux devises internationales.
Pour que la BNS sépare sa comptabilité interne de la comptabilité de la monnaie légale suisse, comme pour des «actifs sous gestion».
Pour que la BNS étende et applique effectivement la «Charte de la BNS sur l’environnement» pour toutes ses activités y compris lors de ses placements.
Pour que chaque actionnaire qui le demande puisse accéder au registre dhttp://aaapositifs.ch/wp-content/uploads/2016/04/PropositionsBNS-3A2016-FR.pdfes actionnaires et puisse recevoir le procès-verbal de l’Assemblée Générale.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’une action de la BNS.
Pour que chaque citoyen suisse qui le demande dispose gratuitement d’un compte de financement souverain de l’économie réelle suisse.
Nos 10 propositions. 


http://aaapositifs.ch/wp-content/uploads/2016/04/PropositionsBNS-3A2016-FR.pdf


Projet de loi d’application de monnaie-pleine


Initiative monnaie pleine, questions fréquentes. FAQ.


Remarques et améliorations à siebenthal at gmail . com ou ++ 41 21 652 54 83 merci

Monnaie pleine, Vollgeld, positive money.

Aux USA «…le projet de loi Goldsborough présenté alors, avec l’approbation du Comité sur les Banques de la Chambre … pratiquement un support unanime. Ce projet de loi fut débattu deux jours à la Chambre, un très simple projet de loi, établissant la politique des Etats-Unis de rétablir et de maintenir la valeur de la monnaie, et ordonnant au Secrétaire du Trésor, aux officiers de la Commission de la Réserve Fédérale et aux Banques de la Réserve Fédérale, de rendre cette politique effective. C’était tout, mais suffisant, et le bill passa, non par un vote partisan: 117 députés républicains votèrent en faveur de ce projet de loi (qui avait été présenté par un député démocrate), et le bill passa par 289 voix contre 60, et de ces 60 députés, seulement 12, par la volonté du peuple, sont encore au Congrès. ( voir la suite de l’histoire tout en bas de cette page ).
Toutes les monnaies deviennent de la monnaie de singe par dilution à chaque “création” ex nihilo.

Toutes les monnaies deviennent de la monnaie de singe, diluées par la création monétaire ex nihilo, du néant, des abus qui détruisent les économies. On tue les poules aux oeufs d’or, sic.

Grâce à monnaie pleine, on peut maintenant faire un projet de loi et y intégrer tout ce qu’on veut, y compris les détails du RBI et lutter contre les dérivés, çà vaut la peine d’y travailler immédiatement, dans les jours qui viennent

Préparons un texte et discutons avec les parlementaires, voir les commissions ci-dessous.

Tous vivre dans l’abondance par le crédit social.


Le crédit social est une doctrine économique et un mouvement social qui est apparu au début des années 1920. À l’origine, c’était une théorie économique développée par l’ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas. Chaque citoyen reçoit chaque année un total de monnaie créée proportionnel à la croissance des biens et services facilitée par les robots et les machines, et inversement proportionnel au nombre de citoyens de la zone monétaire. Le nom « crédit social » dérive de son désir de faire que le but du système monétaire (« crédit ») soit l’amélioration de la société (« social »).
Le crédit social est aussi appelé dividende universeldividende social ou, de façon sans doute plus adaptée, dividende monétaire.

Théorie[modifier | modifier le code]

Clifford Hugh Douglas affirmait qu’en raison du fait que le total des revenus reçus dans une période de production donnée est moins important que les prix générés dans cette même période, il en résulte une déficience dans le pouvoir d’achat dans cette période. C’est pour résoudre ce problème qu’il propose le crédit social.

Le théorème A+B[modifier | modifier le code]

La production de crédits par ailleurs, qui temporairement peut faire apparaître la masse monétaire comme suffisante, conduit à la formation de « bulles » monétaires, vouées à s’effondrer mécaniquement, puisqu’au fur et à mesure que ces crédits payent leur dette associée, cette monnaie temporairement disponible disparaît.
Il apparaît alors, lorsque la bulle monétaire s’est mécaniquement effondrée, que la masse des biens produits est très supérieure à la monnaie réelle résultante, provoquant de facto une déflation, et une crise.
Il démontrait cette déficience alléguée avec son théorème A+B qui dit que si A représente les paiements versés à tous les consommateurs dans l’économie (par les salaires, dividendes et autre) et B représente les paiements faits par les producteurs qui ne sont pas versés aux consommateurs (tels que les coûts de base des édifices et du renouvellement de l’équipement, des intérêts exponentiels etc…) alors le prix total des biens produits doit égaler A+B au minimum ; mais puisque seuls les paiements A sont reçus par les consommateurs en revenus, alors les revenus disponibles sont moins grands que les prix générés dans cette même période de production.
Pour qu’un tel système soit soutenable, Douglas affirmait qu’une ou plusieurs des situations suivantes devait se produire :
  • Les gens s’endettent en achetant à crédit.
  • Les gouvernements empruntent et augmentent la dette nationale.
  • Les entreprises empruntent aux banques pour financer leur expansion de façon à créer de la nouvelle monnaie.
  • Les entreprises vendent en dessous de leurs coûts et font éventuellement faillite.
  • Un État gagne une guerre commerciale, endettant les étrangers envers nous pour nos surplus d’exportations.
  • Un État fait une vraie guerre, « exportant » des biens tels que des tanks et des bombes à l’ennemi sans s’attendre à un paiement en retour, en le finançant par des emprunts.
Si ces situations ne se produisent pas, « les entreprises doivent licencier leurs travailleurs, le chômage augmente, l’économie stagne, les impôts restent impayés, les gouvernements réduisent les services et nous avons la pauvreté générale, alors que physiquement nous pourrions tous vivre dans l’abondance ».

La solution du crédit social[modifier | modifier le code]

Douglas pense que le crédit social peut corriger ce problème en s’assurant qu’il y ait toujours suffisamment de monnaie (crédits) en circulation pour acheter tous les biens qui peuvent être produits. Sa solution est définie par trois revendications principales :
  1. Qu’un « Bureau de crédit national » calcule sur une base statistique le nombre de crédits qui doit circuler dans l’économie ;
  2. Un mécanisme d’ajustement de prix qui reflète le vrai coût de la production ;
  3. Qu’un « dividende national » donne un revenu de base garanti à tous sans tenir compte du fait qu’ils aient ou non un emploi.
L’ingénieur affirme que cette dernière demande a du bon sens puisque la technologie a réduit le nombre de travailleurs nécessaires pour produire les biens ainsi que le nombre d’heures qu’ils doivent travailler.

http://desiebenthal.blogspot.ca/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html


Usure vorace, que faire ?

























Pour une vraie démocratie économique de base. Cercles de création de capital ( 3C ).

Le monde actuel vit dans un vieux système atroce et stupide qui pousse aux guerres car il détruit l’argent par la rigueur. Chaque remboursement de dette est une destruction d’argent qui aggrave les crises. Démonstrations:




http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/05/destruction-de-la-monnaie-par-la.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/11/la-suisse-lavant-garde-de-la-robolution.html

https://communities.cyclos.org/register/app/form

Comment résister immédiatement et faire un capital et un crédit démocratique au niveau local ? Le polypoly (c).
Un système simple pour échanger des biens et des services dans le cadre d’un club privé. L’unité de compte est par exemple le temps, la minute, l’heure ou le jour de travail, ou toute autre mesure culturellement acceptée localement. ( www.Wir.ch, SELS, TIMEBANK, francs locaux, nantos, Ithaca, …)
Comment ouvrir une banque locale sans intérêts par l’utilisation de simples cartes.


Je vais maintenant vous apprendre à ouvrir une banque locale, ce qui est  facile à faire. Des banques locales analogues ont été établies en Suisse par des agriculteurs. Le banquier est un agriculteur, la banque se trouve dans une ferme, les clients sont des agriculteurs, et les propriétaires de la banque sont des agriculteurs. Puisque les banques sont très petites et dans de petites maisons, et parce que vous n’avez pas besoin de gros véhicules blindés et de sécurité personnelle, ces banques sont très économiques et efficaces. L’union de Raiffeisen et de Wir.

La tragédie des dettes et du manque de pouvoir d’achat.

Vous savez que l’argent est créé sous la forme de dettes à taux d’intérêt, et vous savez que les intérêts tuent. Les statistiques du Bureau international du Travail ( BIT), disent que chaque jour, plus de 5479 personnes meurent sur leur lieu de travail, sans compter les catastrophes de Fukushima ou Tchernobyl, plus que ceux qui sont morts dans les 3 tours de New-York. Pour la productivité, des parents meurent en laissant des orphelins. Sans compter tout le stress psychologique, physique, suicides, alcoolisme, drogue, enfants à la maison seuls parce que les parents travaillent tous les deux, orphelins de parents vivants, alors que des robots ou des machines sont prêts à prendre ces places risquées..
http://www.ilo.org/global/about-the-ilo/press-and-media-centre/insight/WCMS_075479/lang–fr/index.htm

Maintenant, avec notre système, vous pouvez imaginer que sans taux d’intérêt et en comblant le manque de pouvoir d’achat, on permettra d’économiser beaucoup d’argent et au moins trois heures chaque jour pour chacun de vous, et réduire les prix de moitié, et il vous donnera les maisons avec 77 % d’espace en plus, selon M. Helmut Creutz, car les taux d’intérêt volent beaucoup de productivité partout.

Comment pouvons-nous faire une telle banque? Nous devons d’abord écouter les gens. Nous devons nous adapter à la culture et la mentalité locale. Le Crédit Social est la réponse aux besoins réels, les besoins fondamentaux de ces pays les plus pauvres. L’essentiel est de chercher le Royaume du Christ et sa justice: “Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et sa justice, et toutes ces choses vous seront données en surplus”. (6:33. Matthieu) 

C’est vraiment ce que nous faisons ici avec ce système d’échange local, nous avons affaire à la justice, la justice de Dieu. Travaille pour la justice, et tout le reste suivra !

Voici la pièce de 5 francs en Suisse. (Voir photo ci-dessus.) 


D’un côté, on peut voir la Croix suisse, qui représente le Royaume du Christ et de l’autre côté, la justice sociale est représenté par Guillaume Tell, le héros national suisse et le libérateur des pauvres. 


Sur le bord, la tranche, on peut lire la date de fabrication en latin, 13 étoiles et ces mots latins: 


” Dominus providebit – Dieu y pourvoira», 


qui se réfère spécifiquement au verset de l’Évangile de Matthieu. Nous devons rappeler aux gens que Dieu fournit l’abondance, qu’il est en effet très généreux. Aux Philippines, par exemple, ils peuvent faire trois récoltes de maïs par an. Si vous prenez une graine de maïs, cette graine vous donnera trois épis, ce qui vous donnera environ 200 graines. Donc, dix graines vous donnent 2000; cent vous donnent  20.000. Trois récoltes par an (20.000 X 3) donnent 60.000 %. Et le banquier vous donnera moins de 6%. Dieu est en effet généreux.
Vous savez que la terre pourrait nourrir plusieurs fois la population mondiale. Ce n’est pas un problème de nourriture, mais un problème de distribution. Ensuite, il est important de se rappeler comment la terre est généreuse et qu’il y a assez de place pour tout le monde sur cette terre.
En Suisse, comme je vous l’ai dit, ce système de banques de petite taille marche. Il y a aussi un autre système: une monnaie parallèle appelée “wir”, le nom allemand signifiant «nous», we ou us en anglais ( voir www.wir.ch ). Cela implique une notion de communauté.

Cet argent existe depuis le 1933, créé pendant la crise, et il fonctionne très bien. C’est de la monnaie alternative privée en parallèle.
Une autre monnaie privée communautaire est le reka. http://www.reka.ch/fr/Pages/default.aspx
Nous pouvons donc utiliser notre liberté et créer des clubs privés de gestion locale avec des monnaies privées alternatives et libres..
Vous savez aussi que l’Église catholique a toujours condamné la perception d’intérêts sur le prêt d’argent, le qualifiant d’ usure, notamment dans Vix Pervenit du pape Benoît XIV.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2014/07/une-nouvelle-annee-jubilaire.html


Le principe est le même que dans le conte de “Le mythe de l’argent de l’île des naufragés”: un compte est créé pour chaque membre de la communauté, dès la conception. L’unité de compte est par exemple le temps, la minute, l’heure ou le jour de travail. vous pouvez vous adapter à la culture locale et choisir une autre unité.

Établir une banque locale est très facile. Vous avez juste besoin de petites feuilles de papier ou de petits livrets, que nous appellerons les comptes, et un grand livre. En fait, nous allons faire exactement comme dans l’île des naufragés, car ils peuvent créer leur propre monnaie scripturale. (http://www.michaeljournal.org/ilenauf.htm ). Ce système permettra à toute communauté de rendre financièrement possible ce qui est physiquement possible, c’est-à-dire de créer autant d’argent que ils ont besoin pour échanger des biens et services. Nous recommandons de commencer avec des groupes privés de 10 familles. Tout comme dans l’île des naufragés, vous pouvez d’abord utiliser un tableau et une craie pour expliquer le système aux personnes rassemblées en face de vous, qui souhaitent faire partie de cette banque locale. Ensuite, vous distribuez à chaque membre de la communauté une petite carte, qui sera leur compte bancaire débit/crédit. (Voir Figure 1, une carte vierge.) Vous pouvez utiliser n’importe quel compte de tenue de livres de comptabilité en partie double, assez petit pour qu’il puisse être mis dans votre poche, votre sac à main. Ce sera l’argent et, en même temps, la façon de créer de la monnaie locale sans intérêt. Il est très important de préciser: sans intérêt ! ( près de 1 000 % réel dans le monde actuel ( sic, mille pour cent ) sur les dettes publiques, voir par exemple que selon les chiffres du rapport de novembre 1993  du vérificateur général du Canada. Sur la dette nette de 423 milliards $ accumulée par le gouvernement canadien de 1867 à 1992, seulement 37 milliards $ ont été dépensés pour des biens et services, alors que le reste ( 386 milliards $, ou 91% de la dette) consistaient en frais d’intérêt, ce qu’il a coûté au gouvernement pour emprunter ces 37 milliards $ (c’est comme si le gouvernement avait emprunté ces 37 milliards $ à un taux de 1043 % ! sic, mille quarante trois pour cent…). Source: M. Alain Pilote,http://www.michaeljournal.org/sign34.htm Libérons-nous de ces poids stupides et si lourds…avec de simples cartes. illustration 1 –
Vous distribuez des stylos ou des crayons et vous faites écrire sur la carte de base leurs renseignements personnels: nom, adresse, numéro de carte (un numéro de compte bancaire que vous créez pour eux) , date de naissance et signature. La signature du propriétaire de cette carte, avec comme avantage que même si vous la perdez, personne ne peut l’utiliser, car, comme vous verrez plus tard, votre signature est requise sur les cartes – la vôtre et celle de la personne avec qui vous échangez biens ou services – à chaque fois que vous faites une transaction. Pour les illettrés, vous pouvez leur donner des ficelles et leur apprendre à faire des noeuds, la distance entre les noeuds représentant les montants. Un gros noeud au milieu de la ficelle représente le niveau zéro du compte, en dessous, c’est le négatif, au dessus, c’est le positif. Dans certaines communautés, ils n’utilisent que leur mémoire et ils effacent même leurs “dettes” par amour et portent les fardeaux des autres, et surtout des plus faibles. On se trouve alors avec une entraide rotative plus généreuse. Mais pour aider la mémoire et pour fiabiliser le troc amélioré, on a encore souvent besoin des cartes personnelles. La première chose à faire une fois que ces cartes sont distribuées est de donner un nombre à chaque personne, dès la conception. Cela signifie que tout le monde qui est dans la salle devrait avoir un certain nombre sur sa carte personnelle, les uns après les autres. La première ligne peut avoir le nombre 1, 2, 3, et ainsi de suite. Tout le monde dit le numéro suivant dans l’ordre et tout le monde écrit son numéro sur sa carte. Une personne en charge de la communauté écrit tous les noms dans le registre ou crée une seconde carte de sécurité pour chacun dans la banque commune avec le numéro de compte correspondant. Ce sera votre numéro de compte bancaire. C’est comme une équipe de football – vous donne un numéro à tout le monde, et ce nombre correspond au nom sur la carte. Selon le niveau de développement dans la communauté, vous pouvez ajouter votre numéro de téléphone et adresse e-mail, le cas échéant une photographie. Vous pouvez aussi mentionner votre métier (profession actuelle) et d’autres emplois que vous pourriez faire ou services que vous pouvez ou espérez pouvoir offrir. Cette information peut être utilisée si l’on veut créer un catalogue de tous les biens et services offerts dans la collectivité. Chacun accouche des ses talents, ce qui est difficile. Sur le dos de la carte, il y a le numéro de téléphone, le mail et l’adresse de la banque locale. Maintenant, dans les autres colonnes, vous avez la date, la raison de l’opération, une colonne pour voir l’argent que vous dépensez (l’argent de votre compte), le numéro de compte et la signature de la personne avec laquelle vous effectuez des transactions, et un colonne pour la rentrée d’argent pour vous. On peut y rajouter le solde, qui peut être légèrement négatif momentanément. Chaque dividende viendra combler les négatifs momentanés. Vous pouvez voir que cela est très simple. Illustration 2 – Carte de Paul Bélanger
Maintenant, pour mieux comprendre comment tout cela fonctionne, nous avons un exemple, vous pouvez regarder. (Illustration 2, carte de Paul B.) Le premier montant écrit sur votre carte sera la mise en œuvre effective du Crédit Social: un dividende social, donné périodiquement (par exemple une fois par mois) à tous les membres de la communauté qui acceptent les règles de ce jeu Polypoly ( tous y gagnent, le plus de chefs possibles, Polyarchie, nous sommes tous prêtres, prophètes et rois), ce qui représente leur patrimoine commun et la richesse de la communauté (des progrès, la vie en société, les ressources naturelles, les techniques, des terres communes, allmend, commons…). Ce montant en Unités doit être déterminé par la communauté, et doit couvrir les besoins essentiels de la vie. L’unité de compte est le temps, la minute, l’heure ou le jour de travail. ( En Suisse, un franc suisse est égal à un franc wir, l’Unité libre du club privé Wir, nous, we, us ). Ainsi, sur la première ligne, la date, la raison (un dividende), rien dans la colonne de sortie d’argent (vous tracez une ligne, c’est la monnaie que vous recevez, pas celle vous dépensez), le nombre et la signature de la personne qui vous donne cette somme (dans ce cas, la signature de la banque locale ou son directeur, et pour les fins de l’exemple, le chiffre «0» a été attribuée à la banque, on crée aussi une carte pour la banque locale, qui permet la création monétaire locale, qui est le bien commun le plus important.) Et sur la dernière colonne, celle des entrées,100 est inscrit. La banque vous a donné à chacun un dividende de 100 Unités. Cette opération a également été inscrite dans le registre de la banque, comme sortie ( Multiplication du nombre de personnes par le montant du dividende). Maintenant sur la deuxième ligne, supposons que Paul B. veut acheter de François G. 50 kilos de pommes, pour un coût de 50 U. Vous avez donc la date de la transaction, la raison (achat de pommes), le montant que vous avez passé (50 U), le nombre et la signature de François G. qui vous a vendu les pommes. (François G., pour les fins de cet exemple, a comme numéro de compte 2.) François G. signe son nom sur votre carte, et vous signez votre nom sur sa carte. Les signatures sont donc croisées et sécurisent la transaction. Illustration 3 – Carte de François Gagné
Chaque transaction implique toujours au moins deux cartes, donc au moins deux signatures. Donc, un achat pour vous sur votre carte, sera une vente pour l’autre personne impliquée dans l’opération sur l’autre carte. Si vous regardez la carte de François G. (Illustration 3), la raison de la transaction sera «la vente de 50 kilos de pommes»), et le 50 U sera écrit dans la colonne des entrées (argent reçu) et pas dans la colonne des sorties (argent dépensé). Et la signature de Paul B. apparaîtra à la fin de la ligne. Maintenant, supposons que François G. a une porte qui doit être réparée. Il sait que Paul B, est un menuisier. Il va le voir, et Paul B, est d’accord pour faire le travail pour 10 U. Vous aurez donc sur les deux cartes de la raison de la transaction (réparation de porte), avec le montant (10 U) écrit sur chaque carte – que l’argent qui arrive, sur une seule carte, et de l’argent qui sort de l’autre. Et les exemples pourraient continuer encore et encore. Ce système est présenté à la population pour la première fois lors de la réunion pour la fondation de la banque locale. La meilleure chose pour vous, c’est maintenant à vous entraîner avec une telle carte. Lorsque les cartes sont distribuées, vous mettez votre nom sur la carte – vous n’avez pas besoin de mettre tous les autres détails. Et vous effectuez des transactions avec vos voisins. Vous achetez et vous vendez. Et vous verrez que vous avez maintenant en main l’argent de création même système que les banques ont, ils font de même dans les ordinateurs et les grands livres des comptes dans des banques, mais il est sans intérêt et vous effectuez tout type de transactions. Maintenant vous vous entraînez pendant un certain temps, vous aurez besoin pour donner au moins 15 à 30 minutes. Vous avez un contrat chaque fois que vous créez de l’argent et un engagement avec la signature, et le numéro du compte qui permet de vérifier la signature. La création de monnaie est sous le contrôle de votre communauté locale. Ce système que vous venez maintenant d’ utiliser est semblable au système que les banques utilisent pour créer de l’argent, mais vous le contrôler et sans intérêts mortels ! Vous le contrôlez sans intérêt ! Vous êtes co-propriétaire du système de création de l’argent. Et c’est encore mieux qu’un billet de banque parce que vous l’ avez à votre nom. Si vous perdez votre carte, quelqu’un vous téléphone, vous disant qu’il a trouvé votre argent. Et cette personne qui trouve votre monnaie ne peut rien faire avec elle, car votre signature est nécessaire. Vous ne pouvez pas déposséder quelqu’un qui l’a perdue. Si la carte est détruite par le feu, vous pouvez la reconstruire en utilisant des informations provenant d’autres cartes. Toutes les cartes sont consolidées dans le journal de la banque locale. Cela signifie que si votre carte bancaire est détruite, vous pouvez la reconstruire avec les comptes des autres parce que les autres cartes ont votre numéro de carte pour chaque opération qu’ils ont faite avec vous. Vous pouvez reconstruire vos livres comptables et la valorisation de votre patrimoine, une meilleure méthode même que le système actuel avec des billets de banque. Ces livres de compte sont aussi d’excellentes sources de statistiques fiables qui vous permettront de juger des activités locales et de financer les meilleurs entrepreneurs locaux, par une création de monnaie locale et de partage de justes profits. Et vous avez, bien sûr, aucuns intérêts lourds qui écrasent les débiteurs. Cela signifie que chaque transaction sera moins chère à la communauté parce que, aujourd’hui, les taux d’intérêt tuent des gens. Dans mon exposé, je dis à l’auditoire: «Alors, voulez-vous être les propriétaires d’une banque? Oui? Qui ne veut pas être le propriétaire d’une banque locale? Je suppose que tout le monde veut être le propriétaire d’une banque, nous avons maintenant besoin de gérants, et de vérificateurs, d’au moins 3 gérants (un directeur, un secrétaire et un trésorier) et de 2 commissaires aux comptes (qui vérifient de temps en temps la comptabilité de la banque et les statistiques). Maintenant, qui parmi vous sont des candidats à l’élection par tirage au sort ? ( ils peuvent refuser ).»
Donc, assurez-vous d’avoir des sièges en face de l’assemblée générale pour les nouveaux gestionnaires et commissaires aux comptes qui seront en mesure de s’asseoir. C’est le sort qui choisit par hasard les personnes responsables, pour une durée limitée. La gestion de la banque locale est très simple: un grand livre de banque et des initiatives locales.
Il est maintenant important de mettre par écrit des prix équitables pour les biens et services de base de la région. Ce doit être décidé par l’assemblée générale. L’unité de compte est le temps, la minute, l’heure ou le jour de travail. Mettre aussi par écrit la façon dont les bénéfices seront répartis au sein de la communauté, car cette banque peut créer de l’argent comme n’importe quelle autre banque et créer de l’argent à investir.  Quand il n’y a pas d’intérêt appliqué, les producteurs sont très heureux parce que, dans ces pays, l’usure peut monter jusqu’à plusieurs centaine de% par an. Et parce que nous avons maintenant un système bancaire local, sans usure, sans taux d’intérêt, tout le monde est heureux, et tout le monde peut partager plus. Maintenant, tout cet argent n’ira pas à l’usurier qui exploitait l’ignorance.
Un système qui fonctionne. Les trois pieds du trépied. Le premier pied, c’est l’argent démocratique sans intérêts. Le deuxième, c’est au moins un dividende égal pour tous, dès la conception. Le troisième, c’est le rabais compensé.
Le rabais compensé est simple à comprendre. Imaginons une surproduction d’ananas. Le coût global est de 12, mais les pauvres ne peuvent payer que 9. Le comité de direction peut décider de favoriser la consommation en donnant 3 aux producteurs par création monétaire locale, afin de baisser le prix de vente à 9. Cette opération est également inscrite dans le registre de la banque, comme sortie. C’est vraiment un moyen d’éviter cet amour de l’argent qui est la racine de tous les maux. Le dividende doit être accepté par l’assemblée générale. Normalement, nous recommandons de donner un dividende au moins égal au montant nécessaire pour couvrir les besoins de base pour la vie des plus pauvres, les malades, les personnes âgées. Nous encourageons aussi l’épargne, comme à Madagascar. Une cuillère de riz cru mise de côté à chaque repas permet des investissements rentables, par exemple des élevages de poules. Les prix ​​P doivent rester en relation avec la quantité de monnaie locale (M) et la quantité de produits locaux … (Q). 
P = M / Q, c’est si facile à comprendre, l’abondance est  maintenant possible grâce aux cercles de création de capital, cercles rotatifs d’entraides locales, prouvés en pratique.
  
Un système de plus en plus efficace grâce au progrès technique qui nous libère.
Comme l’écrivait Diane Boucherdes projets d’expérimentations du Crédit social sur le terrain ont débuté au Madagascar, aux Philippines etc.
“Ces projets s’adressent au second volet du diagnostic de Douglas : celui de l’incapacité d’un système de financement de l’économie fondé sur une monnaie fabriquée et échangée en vue du profit de corriger le premier volet du diagnostic, ce défaut structurel du système de comptabilité des prix et des valeurs.
Tant que ces projets demeureront embryonnaires et s’appliqueront seulement à des petits producteurs et des petits consommateurs, le défaut de la comptabilité des biens de capital, qui comprennent les biens intermédiaires et les biens d’équipement, ne se posera pas et le problème de l’inflation au cœur du diagnostic de Douglas suivant le fameux théorème A+B ne se posera pas non plus.
Cependant, quand le projet couvrira un secteur de l’économie assez vaste pour comporter des entreprises de fabrication de biens intermédiaires ou de biens d’équipement, justifiant l’application d’un abaissement du niveau des prix de détail pour retirer de ces prix les coûts anciens —et déjà payés— des biens de capital, alors il sera bon de pouvoir modéliser et simuler les conditions de création de l’inflation et les conditions de la politique d’abaissement du niveau des prix qui corrigera la situation. De même, quand les activités productrices des agents économiques impliqués dans le projet auront atteint une ampleur telle qu’elles seront génératrices de profit, au sens réel où Douglas le  définit, alors il sera bon de pouvoir modéliser et simuler les conditions de génération de ce profit réel et les conditions de répartition des gains de productivité à l’ensemble de la population concernée. D’autres scénarios joignant les deux politiques permettront de moduler l’abaissement du niveau de prix et la répartition des gains de productivité pour obtenir un fonctionnement souple et stable de l’économie.” fin de citation.

Diffuser les bonnes nouvelles: Nous recherchons des personnes pour aller partout dans le monde répandre ces bonnes nouvelles qui rendent également possible le développement local. Cela permet aussi aux pauvres de répondre aux besoins physiques de la communauté locale. C’est vraiment un outil de libération. Dans le passé, les guerres permettaient de relancer la machine économique, mais les nouvelles conditions techniques permettent une véritable robolution, une solution qui est une révolution grâce aux robots, une lutte pacifique contre la pauvreté ( voir www.finality.ch ). La robolution, une révolution-solution par les robots ou des guerres atroces .
François de Siebenthal, Master oec. HEC de Lausanne, siebenthal@gmail.com +41 21 616 88 88.

PS: Vous pouvez commencer aujourd’hui les systèmes des fiches débits/crédits à l’intérieur de chaque famille, l’unité étant la minute,à échanger entre les membres de la famille.

Vous comprendrez mieux la force de ce système si simple et si efficace. Du troc amélioré et profitable à tous. 

Comment ça fonctionne en Suisse ?

http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/11/le-monopoly-est-mort-vive-le-polypoly.html

La Suisse et un dividende à tous ses citoyens grâce à des robots et à la création monétaire reconquise pour tous ?

Monsieur Maurice Allais, prix nobel,  est mort récemment, voici ci-dessous un résumé du travail sur lequel nous étions en train de travailler ensemble et qui l’enthousiasmait. Il était prêt à venir en Suisse pour défendre ses idées et notamment un projet d’ initiative parlementaire ou populaire à la suisse:

La justice commence par une bonne monnaie.

Battre monnaie seulement pour le peuple:

Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment les robots de plus en plus nombreux et efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu’il réduit la main-d’oeuvre et engendre un chômage permanent. 

Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d’achat des biens créés pour elle.

Quelques individus ou groupes particuliers seulement en profitent honteusement. 

Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un dividende universel dont la quantité sera déterminée par la masse des biens à consommer. Ce dividende sera versé à chaque personne, à titre de citoyen, qu’il ait ou non d’autres sources de revenus.

I. L’Etat doit donc reprendre le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et du crédit. Il l’exercera par une commission indépendante jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre son but.

II. Les ressources matérielles de la nation représentées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit.

III. En tout temps l’émission de la monnaie et du crédit devrait se mesurer sur le mouvement de la production de façon qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Cet équilibre est assuré, partiellement du moins, par le moyen d’un escompte dont le taux varierait nécessairement avec les fluctuations mêmes de la production.


Soutenez une initiative constitutionnelle suisse urgente encore en projet et modifiable, déjà amendée selon les conseils de M. Maurice Allais et de son équipe:

Initiative parlementaire ou populaire à la suisse.


Pour une Suisse sans dettes, ni impôts, taxes, etc., grâce à la robotisation, en parallèle, sinon surtout grâce à une création modernisée de l’argent qui assurera ainsi la prospérité de tous.

http://desiebenthal.blogspot.com/2012/04/suisse-le-premier-pays-du-monde-avec-un.html



Exemples de réalisations dans les pays les plus pauvres:

On peut prévoir un système intégré d’assurances pour couvrir les risques ( maladies, accidents…).


http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/06/congo-experiences.html


http://desiebenthal.blogspot.ch/2012/06/madagascar-vive-la-vie-les-banques-du.html


http://desiebenthal.blogspot.ch/2009/03/deja-2500-banques-locales-de-riz.html

Exemples informatiques:

www.cyclos.org
www.socialtrade.org


http://fimk.fi/en/index-2.html


Nous rêvons d’un système à développer en grande sécurité, horizontal, chacun devient un banquier central, complètement décentralisé, égalitaire, pair à pair, peer to peer… 

En attendant cet idéal, nous offrons à votre communauté de commencer un projet.

Exemples:

CommunityForge est une association à but non lucratif qui conçoit, développe et distribue des outils autour des Systèmes d’Echanges Locaux et des monnaies complémentaires .
CommunityForge distribue des logiciels gratuits et open source pour gérer des SEL (Systèmes d’Echanges Locaux), des Banques du Temps et les monnaies complémentaires et fournit des sites hébergés ou non. Ces sites permettent de développer et gérer les communautés plus facilement. Nos sites et leur hébergement sont …

  • faciles à mettre en place
  • adaptables
  • évolutifs
  • supporté par une équipe de bénévole
  • gratuits*

*La fourniture et l’hébergement du site sont proposés gratuitement. Les communautés qui utilisent nos outils peuvent nous soutenir par des dons. Ceux-ci permettent de financer nos serveurs, les mesures de sécurité et les divers frais nécessaires pour le bon fonctionnement de CommunityForge.
Nous avons déjà fourni une plateforme informatique d’échange à plus de 400 communautés, pour mettre en place et gérer leur monnaie locale, ce qui leur a permis de:

  • mettre en valeur leurs ressources locales
  • augmenter la cohésion et le dynamisme social
  • accroître la résilience économique
  • promouvoir l’autonomie locale
  • diminuer les impacts environnementaux

Les monnaies locales sont également le futur de l’aide au développement :
Voyez notre travail au Kenya












Bazore – Orte Zum ZeitTauschen
Region CH-Bern
c/o Quartiertreff Murifeld, Muristrasse 75a, 3006 Bern
Kontakt: Elena Ramelli, T:-
E-Mail: info@bazore.ch
Bon-Netz-Bon
Region CH-Nordwestschweiz
keine Adresse, 4000 Basel
Kontakt: Dr. Isidor Wallimann, T:-
E-Mail: isidor.wallimann@sunrise.ch
Bonobo – Bon ohne Boss
Region CH-Bern
c/o Tour de Lorraine, Postfach 8701, 3001 Bern
Kontakt: keine Kontaktperson, T:kein Telefon
E-Mail: kontakt@bonobo-bern.ch
Cyclos miniTS
Region CH-Zürich
c/o Rainer Rieder, 5600 Lenzburg
Kontakt: Rainer Rieder, T:044 422 23 75
E-Mail: cyclos.minits@gmail.com
darete Nachbarschaftsnetz Ittigen
Region CH-Bern
(c/o MM, Altikofenstr. 145, 3048 Worblaufen), 3063 Ittigen BE
Kontakt: Monika Müller, T:031 918 03 25
E-Mail: darete@refittigen.ch
easyswap
Region CH-West-/Südschweiz
Av. de Rumine 2, 1005 Lausanne VD
Kontakt: keine Kontaktperson, T:021 341 93 22
E-Mail: info@tauschforum.ch
Exsila AG
Region CH-Zentralschweiz
Baarermattstrasse 10, CH-6300 Zug
Kontakt: Remo Uherek, T:+41 41 763 32 40
E-Mail: kundendienst@exsila.ch
give&get
Region CH-Zürich
Tellstrasse 2, 8004 Zürich
Kontakt: Stefan Staub, T:043 333 93 59
E-Mail: info@giveandget.ch
LETS Zürich
Region CH-Zürich
c/o M. Burton, Hofackerstrasse 5, 8032 Zürich
Kontakt: Mimmo Dutli, T:-
E-Mail: info@lets.ch

Luzerner Tauschnetz
Region CH-Zentralschweiz
Baselstrasse 21, 6003 Luzern
Kontakt: Urs Häner, T:041 240 97 38
E-Mail: luzern@tauschnetz.ch
Mouvement des Aînés
Region CH-West-/Südschweiz
2, Boulevard Carl-Vogt, 1211 Genève 8
Kontakt: keine Kontaktperson, T:022 329 83 84
E-Mail: info@tauschforum.ch
Nachbarschaftshilfe Burgdorf
Region CH-Bern
Lyssachstrasse 33, 3400 Burgdorf
Kontakt: Stephan Schranz, T:034 420 35 35
E-Mail: info@nachbarschaftshilfe-burgdorf.ch
Netzwerk Tauschen am Fluss
Region CH-Zürich
Breitensteinstr. 19a, 8037 Zürich
Kontakt: Ursula Marx, T:0041/44/2768283
E-Mail: ursula.marx@gz-zh.ch
Scambio di Favori
Region CH-West-/Südschweiz
Taverna, 6575 San Nazzarro
Kontakt: Silvio Mella, T:091 794 22 63
E-Mail: s_mella@bluewin.ch
SEL de Bassins
Region CH-West-/Südschweiz
-, 1269 Bassins
Kontakt: Patricia Recordon, T:022 366 51 50
E-Mail: patricia.recordon@gmail.com
SEL de la vallée de la jogne
Region CH-West-/Südschweiz
case postale 53, 1637 Charmey
Kontakt: Marlies Remy, T:-
E-Mail: seljogne@gmail.com
SEL Franches-Montagnes
Region CH-West-/Südschweiz
Case postale 38, 2340 Le Noirmont
Kontakt: Monique Imbert, T:032 508 57 58
E-Mail: info@sel-fm.ch
SEL Glânois et Alentours
Region CH-West-/Südschweiz
Case postale 8, 1680 Romont
Kontakt: Marcel Bischof, T:026 668 13 13
E-Mail: marcel.bischof@fr.kath.ch
SEL Suisse (10 S.E.L. romands)
Region CH-West-/Südschweiz
-, ka ka
Kontakt: keine Kontaktperson, T:kein Telefon
E-Mail: info@tauschforum.ch

SEL Vaudrusien ( Val-de-Ruz, Neuchâtel)
Region CH-West-/Südschweiz
-, 2054 Chézard-Saint-Martin
Kontakt: Edith Samba, T:032 853 10 45
E-Mail: edith.samba@net2000.ch
Stund um Stund Region Bischofszell
Region CH-Ostschweiz
Bleicherweg 2d, 9220 Bischofszell
Kontakt: Bruno Eisenring, T:071 420 03 05
E-Mail: info@stundumstund.ch
TALENT Regio Basel
Region CH-Nordwestschweiz
-, 4450 Sissach
Kontakt: Petra Samaras, T:061 901 21 80
E-Mail: regionalgruppebasel@talent.ch
TALENT Region Aarau
Region CH-Nordwestschweiz
-, 5000 Aarau
Kontakt: Susanna Belloni, T:044 586 84 53
E-Mail: regionalgruppeaarau@talent.ch
TALENT Region Biel
Region CH-Bern
-, 2500 Biel
Kontakt: Kathrin Christen, T:032 361 12 67
E-Mail: regionalgruppebiel@talent.ch
TALENT Region Bodensee
Region CH-Ostschweiz
-, 5000 Aarau
Kontakt: Hans Leuenberger, T:071 911 37 77
E-Mail: regionalgruppebodensee@talent.ch
TALENT Region St. Gallen
Region CH-Ostschweiz
-, 9000 St.Gallen
Kontakt: Ursula Dold, T:071 511 25 93
E-Mail: regionalgruppestgallen@talent.ch
TALENT Region Zug
Region CH-Zentralschweiz
-, 6300 Zug
Kontakt: Thomas Schlegel, T:041 741 14 15
E-Mail: regionalgruppezug@talent.ch
TALENT Schweiz
Region CH-Nordwestschweiz
TALENT Schweiz, 5000 Aarau
Kontakt: Rahel Hirsiger / Clearing: Andreas Rudin, T:0041 44 586 84 53
E-Mail: info@talent.ch
Talentbörse Bümpliz
Region CH-Bern
Ref. Kirchgemeindehaus Bümpliz, 3018 Bern
Kontakt: Monique Vuithier, T:031 996 60 61
E-Mail: monique.vuithier@buempliz.gkgbe.ch

tauscheria Südbünden
Region CH-Ostschweiz
Postfach 42, 7503 Samedan
Kontakt: -, T:-
E-Mail: info@tauscheria.ch