Clearstream:
Dominique de Villepin relaxé, Florian Bourges condamné pour abus de confiance ! Alors qu'il avait révélé le vol de tous les contribuables du monde…
Leur axiome : si vous dites un mensonge suffisamment gros, suffisamment longtemps, ce mensonge deviendra la " vérité ".
La vraie histoire Clearstream Ferraye n'est pas finie. http://pavie.ch/articles.php?lng=fr&pg=3126
Voici le plus grand mensonge économique qui tue de plus en plus d'innocents…
Le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent contre paiement inique.
En contre-partie, il encaisse des intérêts et prélève des impôts.
Peu de personnes comprennent vraiment cette duperie, qui tue sournoisement les plus faibles du monde entier…
De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel («executive order number 11110»). Il a fait imprimer des dollars libres avec le sceau rouge, que vous pouvez encore trouver chez des collectionneurs.
Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignements. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.
Le dollar des Etats-Unis au sceau vert est la monnaie privée de la haute finance, qui nous vole tous pour notre plus grand malheur.
Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie, selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
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Pollution www.m-c-s.ch
Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une “conspiration monolithique”..
Les douze qui veulent dominer le monde.
Le service Majestic ne comporte que 12 personnes cooptées, qui utilisent des couvertures diverses et parfois ridicules afin de brouiller les pistes.
Ce gouvernement mondial ne représente aucun pays. Son moteur est la cupidité.
Ceux qui le composent essaient de contrôler tous les pays par la création monétaire ou les guerres. Ce sont eux qui font élire ou éliminer les dictateurs et les présidents.
http://desiebenthal.blogspot.com/2010/01/votations-truquees-elections-cheated.html
Ce sont eux qui décident des conflits, des épidémies, …
Genève est un point central pour eux, un point parmi d’autres ( New-York, Londres, Rome, Singapour…)
Le Président Kennedy et la presse : discours devant
l'association des patrons de presse américains
Les sociétés secrètes qui contrôlent les complexes militaro-industriel sont dangereuses…
Président John F. Kennedy
Waldorf-Astoria Hotel
New York City, le 27 avril 1961
Mr. Le Président, Mesdames et Messieurs,
J'apprécie beaucoup votre généreuse invitation à être ici ce soir.
Vous avez supporté de lourdes responsabilités ces jours derniers et un article que j'ai lu il y a quelques temps m’a rappelé combien le fardeau des événements en cours pouvait peser sur votre profession.
Vous savez peut-être qu'en 1851 le New York Herald Tribune, alors sous la direction de Horace Greeley, employait comme correspondant à Londres un obscur journaliste du nom de Karl Marx.
On raconte que le correspondant étranger Marx, fauché, et avec une famille malade et mal nourrie, demandait sans cesse à Greeley et au directeur de l'édition Charles Dana une augmentation de son mirifique salaire de 5$ par article, un salaire que lui et Engels nommèrent ingratement la "tricherie de l'infect et insignifiant bourgeois".
Mais lorsque toutes ses requêtes financières furent refusées, Marx chercha d'autres moyens de subsistance et de reconnaissance, mit finalement fin à sa collaboration avec le Tribune et consacra ses talents à plein temps à la cause qui devait léguer au monde le germe du léninisme, du stalinisme, de la révolution et de la guerre froide.
Si le journal capitaliste de New York l'avait traité plus correctement, si Marx était resté un correspondant étranger, l'histoire aurait été différente. J'espère que tous les éditeurs garderont cette leçon à l'esprit la prochaine fois qu’ils recevront une requête pour une misérable augmentation de la part d’un obscur journaliste.
J'ai choisi comme titre de mes observations de ce soir "Le président et la presse". D'aucuns pourraient suggérer qu'il devrait plus naturellement s'intituler "Le président contre la presse". Mais ce ne sont pas mes sentiments de ce soir.
Il est vrai, cependant, que quand un célèbre diplomate d'un autre pays demanda récemment que notre département d'état désavoue des articles attaquant son collègue, il n'était pas nécessaire pour nous de répondre que l'administration n'était pas responsable de la presse, puisque la presse avait déjà clairement indiqué qu'elle n'était pas responsable de cette administration.
Néanmoins, mon but ici ce soir n'est pas de délivrer une de ces attaques usuelles contre la presse. Au contraire, durant les derniers mois, j'ai rarement entendu de quelconques plaintes de pressions politiques sur la presse, à part de quelques républicains. Mon but ici ce soir n'est pas non plus de justifier ou discuter la diffusion télévisuelle des conférences de presse présidentielles. Je pense qu'il est fortement bénéfique qu'il y ait régulièrement quelques 20,000,000 d'américains assis devant leurs télévisions pour regarder, si l'on peut dire ainsi, les qualités courtoises et inspirées affichées par vos correspondants à Washington.
Finalement ces observations n'ont pas non plus pour but d'examiner le juste degré d'intimité que la presse devrait accorder à tout président et à sa famille.
Si durant les quelques derniers mois vos reporters et photographes à la maison blanche ont dû assister avec régularité à des offices religieux, cela ne leur a sûrement pas fait de mal.
D'un autre coté, je réalise que votre personnel et vos photographes de revues de presse peuvent se plaindre qu’ils n’aient pas profité de mêmes verts privilèges au parcours de golf que ceux dont ils ont profité une fois.
Il est vrai que contrairement à moi, mon prédécesseur ne refusait pas de faire des photos en action d'une de ses prouesses golfiques. Mais d'un autre coté il n'avait jamais assommé un agent des services secrets avec une balle.
Mon sujet de ce soir est plus sobre et s'adresse aussi bien aux rédacteurs qu'aux éditeurs.
Je veux parler de notre responsabilité commune face à un danger qui nous concerne tous. Les événements des récentes semaines peuvent nous avoir, pour certains, aidés à mettre à jour le défi ; mais du fait de son ampleur la menace a envahit l'horizon pour de nombreuses années. Quels que soient nos espoirs pour le futur, pour réduire la menace ou vivre avec, on ne peut échapper à la gravite ou la globalité du défi pour notre survie et notre sécurité, un défi qui nous confronte de manières inhabituelles dans chaque domaine de l'activité humaine.
Ce défi mortel impose à notre société deux exigences concernant à la fois la presse et le président – deux exigences qui peuvent sembler presque contradictoires, mais qui doivent être réconciliées et satisfaites si nous devons rencontrer ce péril national. Je fais référence, premièrement, au besoin d'une plus grande information du public, et, deuxièmement, au besoin d'un plus grand secret officiel.
I
Le mot "secret" est répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous sommes en tant que personnes fondamentalement et historiquement opposes aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux procédures secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers à occulter de manière excessive et injustifiée des faits pertinents étaient de loin plus importants que les dangers justifiant leur occultation. Aujourd'hui encore, il y a peu d'intérêt à assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec. Et il y a un très grave danger pour qu'un besoin annoncé d’une sécurité accrue soit saisi par des anxieux pour étendre la signification aux limites extrêmes de la censure et de la dissimulation officielles. Ce que je n'ai pas l'intention de permettre dans l'espace de mes fonctions. Et aucun officiel de mon administration, que son rang soit haut ou bas, civil ou militaire, ne doit interpréter mes mots ici ce soir comme une raison pour censurer l'information, étouffer une contestation, couvrir nos erreurs ou dissimuler à la presse ou au public des faits qui seraient dans leur intérêt de connaître.
Mais je demande à chaque rédacteur, à chaque éditeur, et chaque journaliste de notre nation de réexaminer ses propres principes, et de reconnaître la nature du péril de notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse se sont habituellement joints dans un effort largement basé sur l'autodiscipline, pour éviter des divulgations non autorisées à l'ennemi. En temps de danger clair et présent, les tribunaux ont conclu que les droits et privilèges du 1er amendement doivent céder devant les besoins en sécurité nationale du public.
Aujourd'hui, aucune guerre n'est déclarée – et cependant quelque féroce que soit la bataille, elle peut ne jamais être déclarée de manière traditionnelle. Notre mode de vie est en danger. Ceux qui se présentent comme nos ennemis progressent à travers la planète. La survie de nos amis est en danger. Et aucune guerre n'a été déclarée, aucune frontière n'a été traversée par des troupes, aucun missile n'a été tiré.
Si la presse attend une déclaration de guerre avant de s'imposer l'autodiscipline des conditions de combat, alors je peux seulement dire qu'aucune guerre n'a jamais représenté une telle menace pour notre sécurité. Si vous attendez un avis de "clair et présent danger", alors je peux seulement dire que le danger n'a jamais été plus clair et sa présence plus imminente.
Tout cela requiert un changement dans le mode de pensée, un changement des tactiques, un changement des missions – pour le gouvernement, le peuple, pour chaque patron, chaque ouvrier, et pour chaque journal. Puisque nous sommes confrontés à travers la planète à une conspiration massive et impitoyable basée principalement sur des moyens cachés pour étendre sa sphère d'influence, l'infiltration au lieu de l'invasion, la subversion au lieu des élections, l'intimidation au lieu du libre arbitre, les guérillas de nuit au lieu des armées de jour. Il s'agit d'un système qui a enrôlé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'un étroit filet, machine très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.
Ses projets sont cachés, et non publiés. Ses erreurs sont enterrées, et non révélées. Ses dissidents sont bâillonnés, et non admirés. Aucune dépense n'est discutée, aucune rumeur imprimée, aucun secret révélé. Cela conduit à la guerre froide, en bref, une discipline de temps de guerre avec laquelle aucune démocratie n'espérerait ou souhaiterait s'assortir.
Néanmoins, toute démocratie reconnaît les restrictions nécessaires à la sécurité nationale – et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent être plus strictement observées si nous sommes opposés à ce type d'attaque plutôt qu'à une invasion absolue.
Car les faits sont que les ennemis de notre nation se vantent ouvertement d'acquérir par nos journaux des informations qu'ils auraient autrement acquises par le vol, l'espionnage ou la corruption, en embauchant des agents ; ces détails des préparations cachées de notre nation pour contrer les opérations cachées des ennemis ont été rendues disponibles à tout lecteur des journaux, ami ou ennemi ; la taille, la force, la position et la nature de nos forces et armes, nos plans et stratégies pour leur utilisation, ont tous été indiqués avec précision dans la presse, et d'autres medias, à un degré suffisant pour satisfaire toute puissante étrangère ; et, au moins dans un cas, la publication de détails concernant un mécanisme top-secret par lequel des satellites sont suivis a requis sa modification au prix d'une considérable perte de temps et d'argent.
Les journaux qui ont imprimé ces histoires étaient loyaux, patriotes, responsables et bien-pensants. Si nous avions été engagés dans une guerre ouverte, ils n'auraient sans aucun doute jamais publié de telles choses. Mais en l'absence de guerre ouverte ils subirent seulement le contrôle du journalisme et non le contrôle de la sécurité nationale. Et ma question ce soir et de savoir si des contrôles additionnels ne devraient pas être adoptés maintenant.
Vous devez répondre seuls à cette question. Aucun officiel ne devrait répondre pour vous. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses contraintes contre votre volonté. Mais je faillirais à mon devoir envers la nation, considérant toutes les responsabilités que nous portons maintenant et tous les moyens à portée de main pour satisfaire à ces responsabilités, si je ne portais pas ce problème à votre attention, et ne vous pressais à sa considération réfléchie.
A diverses occasions par le passé, j'ai dit – et vos journaux l'ont constamment dit – que ce sont des temps qui appellent au sens du sacrifice et à l'autodiscipline de chaque citoyen. Ces temps invitent chaque citoyen à peser ses droits et conforts par rapport à ses obligations envers le bien commun. Je ne peux désormais pas croire que ces citoyens qui œuvrent dans le métier du journalisme se considèrent exempts de cet appel.
Je n'ai aucune intention de mettre en place un nouveau bureau de l'information de guerre pour gouverner les flux de nouvelles. Je ne suis pas en train de suggérer de nouvelles formes de censure ou de nouveaux types de classification des niveaux de sécurité. Je n'ai pas de réponse facile au dilemme que je viens de poser, et je ne chercherais pas à en imposer si j'en avais une. Mais je demande aux membres des professions de la presse et de l'industrie de ce pays de réexaminer leurs propres responsabilités, de considérer le degré et la nature du danger présent, et de tenir compte du devoir d'auto-restriction que ce danger nous impose à tous.
Chaque journal se demande habituellement, pour chaque histoire: "Est-ce bien une nouvelle ?". Tout ce que je suggère, c'est d'ajouter la question : "Est-ce d'un intérêt pour la sécurité nationale ?". Et j'espère que chaque groupe en Amérique – les syndicats, les patrons, les officiels à tout niveau – se posera la même question au sujet de leurs projets, et soumettront leurs actions aux mêmes contrôles.
Et si la presse américaine envisage et recommande de nouveau contrôles et mécanismes, je peux vous assurer que nous coopérerons sans réserve à ces recommandations.
Peut-être n'y aura-t-il aucune recommandation. Peut-être n'y a-t-il aucune réponse au dilemme rencontré par une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, les discussions sur ce sujet, et les actions qui en résultent, sont douloureuses et sans précédent. Mais il s'agit d'un temps de paix et de péril qui ne connait aucun précédent dans l'histoire.
II
C'est la nature sans précédent de ce défi qui donne naissance à votre seconde obligation – une obligation que je partage : il est de notre obligation d'informer et d'alerter le peuple américain, pour être sûr qu'il connaisse tous les faits qu’il a besoin de connaitre, et qu’il les comprennent parfaitement bien ; les périls, les perspectives, les buts de nos programmes et les choix que nous devons faire.
Aucun président ne devrait craindre la surveillance citoyenne de son programme, afin que de cette surveillance vienne la compréhension, et que de cette surveillance vienne support ou opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne suis pas en train de demander à vos journaux de supporter l'administration, mais je vous demande votre aide dans l'énorme tâche qui est d'informer et d’alerter le peuple américain, afin que j'aie entière confiance en la réponse et l'implication de nos citoyens pourvu qu'ils soient parfaitement informés.
Je pourrais me contenter seulement de ne pas réprimer la controverse parmi vos lecteurs – je l'accueille volontiers. Cette administration a pour but d'être candide à propos de ses erreurs. Comme un homme avisé l’a dit "Une erreur ne devient pas une faute, à moins de refuser de la corriger". Nous avons l'intention d'accepter l'entière responsabilité de nos erreurs, et nous comptons sur vous pour nous indiquer quand nous les manquerions.
Sans débat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peut réussir, et aucune république ne peut survivre. C'est pour cela que le législateur athénien Solon décréta qu'il s'agissait d'un crime pour tout citoyen d'éviter la controverse. Et c'est pourquoi notre presse fût protégée par le 1er amendement, le seul métier en Amérique spécifiquement protégé par la Constitution, pas pour amuser et divertir, pas pour développer le banal et le sentimental, pas pour simplement "donner au public ce qu'il veut", mais pour informer, pour éveiller, pour réfléchir, pour faire état de nos dangers et nos opportunités, pour indiquer nos crises et nos choix, pour diriger, éduquer et quelques fois même irriter l'opinion publique.
Cela veut dire une plus grande couverture et analyse des nouvelles internationales, si ce n’est pas trop éloigné et à portée de main. Cela veut dire une plus grande attention pour une meilleure compréhension des nouvelles ainsi qu'une communication améliorée. Et cela veut dire, finalement, que le gouvernement, à tous les niveaux, doit satisfaire à ses obligations de vous fournir les informations les plus complètes, en dehors des limites restreintes de la sécurité nationale, et nous avons l'intention de le faire.
III
C'est au début du 17ème siècle que Francis Bacon remarqua trois récentes inventions déjà en train de transformer le monde : la boussole, la poudre à canon, l'imprimerie. Maintenant les liens entre les nations d'abord forgés par la boussole nous ont tous faits citoyens du monde, les espoirs et les menaces pour un devenant des espoirs et des menaces pour nous tous. Dans ces efforts pour vivre ensemble dans ce monde commun, l'évolution de la poudre à canon dans ses ultimes limites a averti l'humanité des terribles conséquences de l'échec.
Et ainsi, c'est dans la presse écrite, la mémoire des actions de l'homme, le gardien de sa conscience, le courrier de ses nouvelles, que nous cherchons force et assistance, confiant qu’avec votre aide l'homme sera ce pourquoi il est né : libre et indépendant.
Commentaires:
www.pavie.ch
Certaines phrases expriment les dangers réels d'une manipulation de l'opinion publique :
"Ce que je n'ai pas l'intention de permettre dans l'espace de mes fonctions. Et aucun officiel de mon administration, que son
rang soit haut ou bas, civil ou militaire, ne doit interpréter mes mots ici ce soir comme une raison pour censurer l'information,
étouffer une contestation, couvrir nos erreurs ou dissimuler à la presse ou au public des faits qui seraient dans leur intérêt de connaitre…"
C'est pourtant exactement ce qui ce passe aujourd'hui voire même pire encore puisqu'à la suite du 9/11, presque tous les organes de presses ont relayé et confortent encore la version officielle faisant abstraction de toutes les incohérences évidentes.
(voir : www.reopen911.info )
et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.
Le président JFK n'a certainement pas étayé ainsi son discours par hasard, pourquoi mettre l'accent sur les méthodes utilisées par les Russes à l'époque quand on sait qu'elle sont exactement celles employées par les USA (entre autres) par la suite :
"Puisque nous sommes confrontés à travers la planète à une conspiration massive et impitoyable basée principalement sur des moyens cachés
pour étendre sa sphère d'influence, l'infiltration au lieu de l'invasion, la subversion au lieu des élections, l'intimidation au lieu du
libre arbitre, les guérillas de nuit au lieu des armées de jour. Il s'agit d'un système qui a enrôlé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'un étroit filet, machine très efficace qui combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignement,
économiques, scientifiques et politiques.
Ses projets sont cachés, et non publiés. Ses erreurs sont enterrées, et non révélées. Ses dissidents sont bâillonnés, et non admirés.
Aucune dépense n'est discutée, aucune rumeur imprimée, aucun secret révélé…"
voir "Confessions of an Economic Hit Man" de John Perkins et ce n'est encore qu'un exemple…
Encore une phrase troublante dans ce discours :
"Le mot "secret" est répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous sommes en tant que personnes fondamentalement et historiquement opposes aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux procédures secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers à occulter de manière excessive et injustifiée des faits pertinents étaient de loin plus importants que les dangers justifiant leur occultation…"
Je pense que l'auteur de ce blog à soigneusement choisi son titre "Skullsnbones" afin de diffuser par le biais des moteurs de recherches en particulier aux "conspiraplotistes" afin de mettre en évidence cette grossière manipulation et les faire douter de leurs convictions.
Mais ceux ci connaissent et de façon fort bien documentées les implications réelles de ces fameuses "sociétés secrètes" œuvrant dans l'ombre…
Si le peuple des US est toujours de l'avis de JFK, que font tous ces membres reconnus aux postes clés du pays ?
Pour conclure, même si le message de JFK avait effectivement pour but premier d'empêcher la divulgation de secrets à l'ennemi durant la guerre froide, il est possible aussi qu'il ai par ce biais, tenté de prévenir les journalistes, qui protégés par la constitution était les seuls à
pouvoir entraver la mise en place de ce que l'on appelle aujourd'hui le "Nouvel Ordre Mondial"…
En vain !!!
Aussi ne doutez pas de l'évidence
ILS POSSÈDENT LE MONDE !
et seule une insurrection généralisée et/ou un boycott total peut sauver les braves moutons que nous sommes…
Claro.
Voir aussi :
Le discours d’adieu prononcé à la télévision américaine le 17 janvier 1961 par le Président Dwight D. Einsenhower à l’attention de tous ses concitoyens. Il est entièrement centré sur un avertissement solennel concernant le danger de la montée en puissance du complexe militaro industriel des USA. Eisenhower emploie l’expression "militaro industrial complex". Visiblement mal à l'aise, il avertit ses concitoyens que si cette entité n'est pas contrôlée, elle risque de constituer un véritable danger vis à vis du fonctionnement démocratique du pays.
http://www.dailymotion.com/video/x3yfxc_discours-dadieu-einsenhower-complex_politics
The President and the Press: Address before the American Newspaper Publishers Association
President John F. Kennedy
Waldorf-Astoria Hotel
New York City, April 27, 1961 Listen to this speech
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