Embryon humain sauvé et racheté dans la
grande rosace de la cathédrale de Lausanne, vers 2h00, vitrail du
moyen-âge, inscription dans le vitrail: Oculos humeris.



SI QUA FATA SINANT ( devise de la Cathédrale de Lausanne,
dédiée à sauver les embryons, oculos humeris, dans
le vitrail de la rose, à 2 heures…).

Oculos humeris, les yeux de l’épaule, Sichem, la douleur la plus forte, pour racheter tous les embryons St innocents massacrés par milliards, sic, par milliards ( avortements, stérilets chaque mois, FIVETE…)


Révélation faite à saint Bernard de la plaie inconnue de l’Épaule de Jésus-Christ, ouverte par le poids de la Croix

  
  

Jésus lui dit :.


« J’eus, en portant la Croix, une plaie profonde de trois doigts et trois os découverts sur l’épaule. Cette plaie qui n’est
pas connue des hommes m’a occasionné plus
de peine et de douleur que toutes les autres. Mais révèle-la aux
fidèles chrétiens et sache que quelque grâce qui me sera demandée en
vertu de cette Plaie, leur sera accordée. Et à tous ceux qui,
par amour pour elle, m’honoreront chaque jour par trois Pater (Notre Père), Ave  (Je vous salue Marie) et Gloria (Gloire au Père)je pardonnerai les
péchés véniels
et je ne me souviendrai plus des mortels ; ils ne mourront pas de mort imprévue, à l’heure de leur mort ils seront visités par la
bienheureuse Vierge et ils obtiendront encore la grâce et la miséricorde.»

Cette prière et cette dévotion ont été acceptées par le Pape Eugène III.


 

 Prière :
Très aimé Seigneur, très doux agneau de Dieu,
moi pauvre pécheur,
j’adore et vénère la très sainte Plaie
que Vous avez reçue à l’épaule
en portant au Calvaire la très lourde croix
qui laissa découverts trois os saints,
occasionnant une immense douleur.
Je Vous supplie,
en vertu des mérites de ladite Plaie,
d’avoir pitié de moi en m’accordant
la grâce que je Vous demande ardemment,
en me pardonnant de tous mes péchés
mortels ou véniels,
en m’assistant à l’heure de ma mort
et en me conduisant dans Votre heureux Royaume.
Amen !
 
 
    Chapelet des Saintes Plaies de Notre-Seigneur
Jésus : << ici >>





                                                                                                                                             ci-dessous…



Nouvelle initiative pour la Vie, le courage de dire oui à l’objection de conscience

Pour nous, cette nouvelle initiative pour la Vie n’est pas parfaite mais elle va au moins réveiller quelques consciences.

Le lien social de ces drames est clair. Ces abominations font souffrir surtout des femmes que nous ne jugeons pas.

Nous souffrons avec elles.

Les abus financiers des cupides poussent au désespoir de plus en plus de victimes.

Le lien est subtil mais réel.

http://ferraye.blogspot.com/2010/01/invitation-officielle-de-evo-morales.html

Pourquoi ces bonus en millions et même en milliards ?, sic, en milliards pour les banquiers de New-York ?

Pour acheter leurs consciences.
Ils savent que la cupidité tue des millions d’innocents, sous leurs fenêtres.



Faut-il laisser tout ce système infernal continuer ces sacrifices de petites victimes innocentes ?



Démographie : la chute a commencé


Courbe sans tenir compte d’une pandémie.par
simple application mathématique des taux de fertilité ( TR, Taux de
Renouvelllement ou TFR en dessous de 2 ) qui sont à la baisse dans le
monde entier, et presque partout en dessous de 2,2, taux minimum actuel
pour maintenir notre civilisation.
[Europe-hiver.jpg]
La chute commence déjà dans les pays “riches” et en Russie…

Tout peut s’effondrer très vite…y compris l’immobilier et les “valeurs” les plus sûres…

Pour une objection de conscience.
Seule
une réduction du nombre de prestations d’une part, et en récompensant
les comportements responsables d’autre part, permettront d’avoir une
influence durable et concrète des coûts de la santé.

On arrive à des abus odieux. Le conseil fédéral parle d’un coût “minime” des avortements ( 20 millions de Fr ). Mais
ils oublient ou cachent le fait que les coûts principaux viennent des
soins psychiatriques et psychologiques graves, souvent pour toute leur
vie, des femmes blessées par la mort de leur enfant, dont un
pourcentage tombe dans la folie ( à charge pour tourte leur vie ) ou
dans des dépressions chroniques ( Total des soins pour toute la Suisse à
plusieurs centaines de millions de francs). A contrario, un enfant
donné en adoption ne crée pas de problèmes graves car la mère naturelle
sait qu’il est vivant.

Nous
sommes actuellement tous obligés, dès la naissance, de payer chaque mois
des sommes de plus en plus élevées pour des “soins” horribles, à des
assurances qui doivent payer les avortements ( loi de 1942, passée en
douce au milieu de la guerre) et risquer leurs réserves à la bourse;
nous sommes contraints, sous peine de prison (sic) ou d’amende ( pas
d’objection de conscience permise), de payer des soins qui n’en sont
pas, soit par exemple les traitements très coûteux pour transformer le
sexe et le maintenir chaque mois dans un état artificiel et contraire à
la nature ( par exemple faire pousser des seins à des hommes qui
désirent être des femmes), l’avortement tellement banalisé (50 000 par
année) à au moins Fr 2000.- par cas, soit un minimum de 100 millions de
Fr par année, sans compter les suivis psychologiques et psychiatriques
des personnes impliquées, qui coûtent chaque année des montants toujours
plus élevés, ou aussi la drogue et autres abus, ( faire payer les
primes complémentaires des riches par les pauvres). 



Les avorteurs mentent pour gagner beaucoup d’argent, leurs chiffres sont faux, leur cynisme absolu, leurs valeurs négatives, ils détruisent la Suisse qui n’a plus d’enfants.


L’amour de l’argent est la racine de tous les maux.




L’initiative populaire a la teneur suivante:
I
La constitution fédérale est modifiée comme suit:

Art. 117, al. 3 (nouveau)

3 Sous réserve de rares exceptions concernant la mère, l’interruption de grossesse et la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par l’assurance obligatoire.

Art. 117 Abs. 3 (neu)

3 Unter Vorbehalt von seltenen Ausnahmen seitens der Mutter sind Schwangerschaftsabbruch und Mehrlingsreduktion im Obligatorium nicht eingeschlossen.

Attention à la désinformation. exemples tout en bas de ce mail….

La Suisse oblige tous ses enfants à financer tous les avortements qui sont devenus tous “gratuits”.

Nous les payons par nos impôts et par nos primes d’assurances…

Les animaux sont mieux protégés que les embryons humains.


La plupart des vaccins viennent d’avortements …

Pour une objection de conscience.

Cette action a été rendue publique depuis des mois, preuves ci-dessous…29.09.2009…


Mammainfo: Avortements: Qui doit les payer?

Interview avec le Conseiller national Peter Föhn
 
Au cours de la session d’été des Chambres Fédérales, le schwytzois
Peter Föhn, Conseiller national, est intervenu sur le thème du
financement de l’avortement et des primes des caisses-maladie. Sa
motion, déposée le 10 juin 2009 au Conseil national, exige que les
avortements ne soient plus couverts par l’assurance de base obligatoire.
Mamma-Info a interviewé Peter Föhn.
Mamma-Info : Monsieur Föhn, de quoi retourne-t-il dans votre motion ?
 
Peter Föhn : Pour moi, il s’agit surtout de sensibiliser la population
au problème du financement de l’avortement, et de lui faire prendre
conscience que les interruptions de grossesse sont financées par
l’assurance-maladie de base. Les gens ne le savent pas. Et il faut
alléger le poids supporté par les caisses-maladie.
  La réduction des coûts du secteur santé est-elle votre unique motivation ?
  Les
coûts relatifs aux interruptions de grossesse ne constituent qu’une
part réduite du sinistre affectant les caisses. Mais il faut bien
commencer d’agir quelque part.  Par conviction, je
répugne à cofinancer l’avortement, cet acte inadmissible. Pour moi
donc, ce sont tout particulièrement aussi des motifs éthiques qui
importent.
 S’il
y avait moins d’interruptions de grossesse, il faudrait aussi moins de
traitements psychologiques postérieurs. Ces traitements intervenant
après un avortement ne font nulle part l’objet de statistiques. Mais
sans aucun doute, ils existent en très grand nombre.
  
En conséquence, voyez-vous dans cette motion une possibilité de réduire
le nombre d’avortements ? Tous les ans, en effet, le nombre des enfants
avortés est, en Suisse, de l’ordre de la population d’une petite ville.
  La
réduction du nombre d’interruption de grossesse doit être un objectif
que tout le monde peut soutenir. Si les personnes concernées doivent
elles-mêmes subvenir à la dépense, il y aura moins d’avortements.
  Une
Conseillère cantonale de St-Gall, Helga Klee, dit ceci au sujet de
votre motion : « Avec cela, le Conseiller national Föhn veut dissuader
les femmes d’avoir recours à une interruption de grossesse. (…) Et il
lie même cette exigence au prétexte d’une économie de 20 millions de
francs par an. (…) Le calcul n’est visiblement pas son fort, car une
naissance revient jusqu’à dix fois plus cher qu’un avortement. »
Maintenant, qui sait le mieux compter ? Cette Conseillère cantonale, ou
vous-même ?
  En
calcul, qu’elle n’essaie pas de m’en faire accroire. Les gens qui
viennent au monde paient, durant leur vie, beaucoup plus, en terme de
primes d’assurance (et même aussi d’impôts), que ce qu’a coûté leur
naissance. Les morts ne paient rien. De surcroît, chaque enfant mis au
monde apporte, non seulement à la famille, mais aussi à l’état, tant de
bien qu’on ne peut en aucun cas l’évaluer en monnaie.
  La Conseillère
cantonale se dit persuadée que la conséquence de votre exigence sera
que pour avorter, beaucoup plus de femmes s’adresseraient à des
charlatans et que les coûts induits seraient de beaucoup supérieurs aux
économies escomptées.
 
Je ne partage pas cette opinion. De surcroît, des assurances
complémentaires peuvent toujours être contractées en plus de l’assurance
de base. On pourrait alors faire une assurance complémentaire également
pour les interruptions de grossesse.
  Que
dites-vous du reproche selon lequel sous couvert d’une éventuelle
économie, vous vous opposeriez au référendum du 2 juin 2002 par lequel
le suffrage populaire suisse a clairement dit oui à la solution des
délais ?
  Dans
ma motion, il ne s’agit pas de mettre en question le régime des délais.
A l’époque, on n’a pas demandé au peuple qui doit payer les
interruptions de grossesse. La seule et unique question posée était de
savoir si elles devaient être dépénalisées ou non.
  Un
dernier argument de l’adversaire : Les femmes doivent, soutenues par un
conseil médical, décider elles-mêmes de leur vie, car
l’autodétermination et la responsabilité individuelle sont notre bien le
plus précieux.
 
Lors d’une interruption de grossesse, c’est-à-dire lors du meurtre
d’une vie humaine, la limite de la responsabilité individuelle est
largement dépassée.
  Normalement,
quiconque veut agir en responsabilité individuelle et en
autodétermination est également prêt-à-porter lui-même les coûts issus
de son acte. Lors d’un avortement, ceci n’est manifestement pas le cas.
Quelles possibilités voyez-vous pour faire sentir concrètement aux
personnes concernées la nécessité qui s’impose en l’occurrence ?

C’est l’objectif majeur de ma motion. Il serait bon qu’une large discussion publique ait lieu à ce sujet. La prévention elle aussi devrait être améliorée : premièrement, il faut expliquer aux gens à quel moment la vie commence. Il faut faire prendre conscience du fait que la vie ne commence pas après la 12ème semaine, mais que, avant déjà, l’embryon est une vie humaine à part entière. Deuxièmement, il faut parler du fait qu’après une interruption de grossesse, beaucoup de femmes souffrent d’énormes troubles psychologiques qu’elles ne peuvent quasiment plus surmonter. Troisièmement, pour le bien de la vie humaine, l’adoption devrait faire l’objet d’une simplification et d’une plus grande prise de conscience.

          Interview : Gisela Bührer-Dinkel www.mamma.ch Mille Mercis!
 émoticône pays 19
La motion à l’Assemblée fédérale
Parcours des instances. La
motion permet à un membre du parlement de demander au Conseil fédéral
d’élaborer une loi ou un décret fédéral, ou de prendre une mesure
déterminée. Concernant la motion de Peter Föhn « Interruptions de grossesse. Fin du remboursement des prestations par l’assurance obligatoire des soins »,
le Conseil fédéral a entre-temps déjà demandé son refus au Parlement –
ce avec un argumentaire fortement favorable à l’avortement. Prochaine
étape de la motion : sa discussion au Conseil national.


Le
comité “Financer l’avortement est une affaire privée – Alléger
l’assurance maladie en radiant les coûts de l’interruption de grossesse
de l’assurance de base” est composé de représentants de l’UDC, du PDC,
des partis protestants PEV et UDF, mais aussi du PLR (les conseillers
nationaux nidwaldien Edi Engelberger et thurgovien Werner Messmer).

Initiative populaire fédérale
«Financer l’avortement est une affaire privée – Alléger
l’assurance-maladie en radiant les coûts de l’interruption
de grossesse de l’assurance de base»
Examen préliminaire
La Chancellerie fédérale suisse,
après examen de la liste de signatures présentée le 18 décembre 2009 à l’appui de
l’initiative populaire fédérale «Financer l’avortement est une affaire privée – Alléger
l’assurance-maladie en radiant les coûts de l’interruption de grossesse de l’assurance
de base»,
vu les art. 68 et 69 de la loi fédérale du 17 décembre 1976 sur les droits politiques1,
vu l’art. 23 de l’ordonnance du 24 mai 1978 sur les droits politiques2,
décide:
1. La liste de signatures à l’appui de l’initiative populaire fédérale «Financer
l’avortement est une affaire privée – Alléger l’assurance-maladie en radient
les coûts de l’interruption de grossesse de l’assurance de base», présentée le
18 décembre 2009, satisfait, quant à la forme, aux exigences de la loi; elle
contient les indications suivantes: le canton et la commune politique où le
signataire a le droit de vote, le titre et le texte de l’initiative ainsi que la date
de sa publication dans la Feuille fédérale, une clause de retrait sans réserve,
la mention selon laquelle quiconque se rend coupable de corruption active
ou passive relativement à une récolte de signatures (art. 281 CP3) ou falsifie
le résultat d’une récolte de signatures à l’appui d’une initiative populaire
(art. 282 CP) est punissable, ainsi que les noms et adresses d’au moins sept,
mais pas plus de 27 auteurs de l’initiative. L’Assemblée fédérale ne se prononcera
sur la validité de l’initiative que lorsque celle-ci aura abouti.
2. L’initiative populaire peut être retirée par une décision prise à la majorité
absolue des auteurs suivants:
1. Bader Elvira, Co-Präsidentin, Nationalrätin, Vordere Bereten 547, 4717
Mümliswil
2. Föhn Peter, Co-Präsident, Nationalrat, Gängstrasse 38, 6436 Muotathal

3. Kasteler-Budde Valérie, Co-Présidente, Responsable sociale, ch. du
Curé-Desclouds 4, 1226 Thônex
4. Albietz Daniel, Einwohnerrat, Im Hirshalm 10, 4125 Riehen
5. Baettig Dominique, Dr. med. FMH, Conseiller national, rue des Voignous
15, 2800 Delémont
6. Beutler Daniel, Dr. med. FMH, Hausarzt, Bahnhofstrasse 50, 3127
Mühlethurnen
7. Bortoluzzi Toni, Nationalrat, Betpurstr. 6, 8910 Affoltern a. Albis
8. Brönnimann Andreas, Nationalrat, Hühnerhubelstrasse 73, 3123 Belp
9. Büchler Jakob, Nationalrat, Matt, 8723 Rufi-Maseltrangen
10. Despot Fabienne, Députée au Grand Conseil, rue de la Madeleine 17,
1800 Vevey
11. Donzé Walter, Nationalrat, Grassiweg 34, 3714 Frutigen
12. Engelberger Edi, Nationalrat, Oberstmühle 3, 6370 Stans
13. Estermann Yvette, Dr. med. FMH, Nationalrätin, Bergstrasse 50A,
6010 Kriens
14. Flückiger-Bäni Sylvia, Nationalrätin, Badweg 4, 5040 Schöftland
15. Freysinger Oskar, Conseiller national, ch. de la Crettamalernaz, 1965
Savièse
16. Geissbühler Andrea, Nationalrätin, Thalmattweg 4, 3037 Herrenschwanden
17. Guillén Victor-Tobias, Kaufmann, Eierbachstrasse 1, 8155 Niederhasli
18. Helfenberger Melanie, Mitglied des Stadtparlaments Gossau, Bettenstrasse
1, 9212 Arnegg SG
19. Legrix Jean-Charles, Député au Grand Conseil, rue du Cerisier 44,
2300 La Chaux-de-Fonds
20. Messmer Werner, Nationalrat, Weinmoosstrasse 15, 8583 Sulgen
21. Meyer Marc, Dr. rer. pol., Gymnasiallehrer, Hellring 7, 4125 Riehen
22. Moor Michele, Banchiere, via Carivée 6, 6944 Cureglia
23. Müggler Dominik, Staatswissenschafter, Rebgasse 11, 4144 Arlesheim
24. Nussbaumer Urs, a. Nationalrat, Rainweg 14, 4533 Riedholz
25. Segmüller Pius, Nationalrat, Adligenswilerstrasse 109, 6006 Luzern
26. Streiff Marianne, Grossrätin, Wangentalstrasse 241, 3173 Oberwangen
27. Wäfler Markus, a. Nationalrat, Schopfstrasse 1c, 8162 Steinmaur
3. Le titre de l’initiative populaire fédérale «Financer l’avortement est une
affaire privée – Alléger l’assurance-maladie en radiant les coûts de l’interruption
de grossesse de l’assurance de base» remplit les conditions fixées à
l’art. 69, al. 2, de la loi fédérale du 17 décembre 1976 sur les droits politiques.
Initiative populaire fédérale
267
4. La présente décision sera communiquée au comité d’initiative, Comité
d’initiative ‘Financer l’avortement est une affaire privée’, Case postale 411,
4142 Münchenstein 1, et publiée dans la Feuille fédérale du 26 janvier 2010.
12 janvier 2010 Chancellerie fédérale suisse:
La chancelière de la Confédération, Corina Casanova
Initiative populaire fédérale
268

Initiative populaire fédérale
«Financer l’avortement est une affaire privée –
Alléger l’assurance-maladie en radiant les coûts de l’interruption
de grossesse de l’assurance de base»
L’initiative populaire a la teneur suivante:
I
La constitution fédérale4 est modifiée comme suit:
Art. 117, al. 3 (nouveau)
3 Sous réserve de rares exceptions concernant la mère, l’interruption de grossesse et
la réduction embryonnaire ne sont pas couvertes par l’assurance obligatoire.
II
Les dispositions transitoires de la constitution fédérale sont complétées comme suit:
Art. 197, ch. 8 (nouveau)5
8. Disposition transitoire ad art. 117, al. 3
(Assurance-maladie et assurance-accidents)
Au terme d’une période transitoire de neuf mois suivant l’acceptation de l’initiative
par le peuple et les cantons, et jusqu’à ce que les modifications législatives qu’elle
induit soient entrées en vigueur, toute disposition aux termes de laquelle l’interruption
de grossesse ou la réduction embryonnaire sont couvertes par l’assurance
obligatoire est remplacée par la règle prévue à l’art. 117, al. 3 de la constitution
fédérale.
4 RS 101
5 L’initiative populaire ne vise pas à se substituer à une disposition transitoire existante de
la constitution fédérale: c’est pourquoi le chiffre de la disposition transitoire relative au
présent article ne sera fixé qu’après le scrutin, en fonction de l’ordre chronologique dans
lequel les différentes modifications constitutionnelles auront été acceptées. La Chancellerie
fédérale procédera aux adaptations nécessaires avant publication au recueil officiel du
droit fédéral (RO).



http://videoportal.sf.tv/video?id=0228d038-e9f8-4336-8996-4588b1b7758c


Fronde sur le remboursement des avortements


A
défaut de revenir sur la dépénalisation de l’interruption de grossesse,
les milieux anti-avortement s’attaquent à son remboursement….

Le
comité «Financer l’avortement est une affaire privée – Alléger
l’assurance maladie en radiant les coûts de l’interruption de grossesse
de l’assurance de base» est composé de représentants de l’UDC, du PDC,
des partis protestants PEV et UDF, mais aussi du PLR (les conseillers
nationaux nidwaldien Edi Engelberger et thurgovien Werner Messmer).

Devant
la presse, Peter Föhn (UDC/SZ) et Elvira Bader (PDC/SO) ont reconnu
s’être lancés dans la bataille sans attendre l’aval de leur partis
respectifs. Pour eux, il s’agit avant tout de mobiliser à large échelle.
Les deux conseillers nationaux sont convaincus de pouvoir rallier par
la suite leur formation à leur cause.

Réduire le nombre d’avortements
Les
initiants jurent leur grands dieux ne pas vouloir interdire
l’avortement même s’ils déplorent sa banalisation. Plus de 10 000
interruptions volontaires de grossesse (IVG) par an, c’est trop, selon
Peter Föhn. A l’instar de leurs homologues américains, les
anti-avortement suisses s’attaquent à la prise en charge médicale. En
supprimant toute «incitation financière», le nombre des IVG s’en
trouvera réduit.

Selon le comité, les opposants aux interruptions
volontaires de grossesse ne doivent pas co-financer de telles pratiques
via leurs primes d’assurance maladie. L’avortement n’a pas a être
supporté de manière solidaire: il ne s’agit pas d’une maladie, a
souligné la co-présidente du PEV genevois Valérie Kasteler.

Et de
plaider la «responsabilité individuelle»: celui qui envisage la
possibilité d’une IVG peut conclure une assurance complémentaire ou
payer directement les coûts de l’intervention. Les initiants affirment
haut et fort que leur proposition permettra de réduire les coûts de la
santé. Les IVG pèsent entre 15 et 20 millions de francs par an, selon
Peter Föhn.

Protéger la vie
Qu’une naissance coûte
plus cher (6000 à 10 000 francs) qu’un avortement (600 francs par voie
médicamenteuse, 3500 francs via une opération) n’entre pas en ligne de
compte. La constitution fédérale garantit la protection de la vie, a
répondu Elvira Bader.

Enfin, le comité souhaite renforcer les
droits des parents. «Grâce à l’initiative, les adolescentes de moins de
16 ans ne pourront plus être poussées à un avortement à l’insu de leurs
parents».

Les initiants ont jusqu’au 26 juillet 2011 pour récolter
les 100 000 signatures nécessaires. Leur texte réclame qu’à compter de
neuf mois après l’acceptation de l’initiative l’interruption de
grossesse mais aussi la réduction embryonnaire ne soit plus couverte par
l’assurance de base.

La loi pourrait prévoir de «rares exceptions
concernant la mère». Selon Peter Föhn, il s’agit notamment des cas de
viols ou dans lesquels la vie de la femme enceinte est en danger.




L’offensive contre l’avortement qui embarrasse le PDC et l’UDC

Un comité d’élus lance une intiative pour interdire le remboursement de l’interruption de grossesse. Remous politiques
Surprise,
malaise et consternation. Huit ans après le plébiscite populaire en
faveur de la dépénalisation de l’avortement, ses opposants préparent – à
l’étonnement général – une nouvelle offensive. Ce mardi, un comité
composé d’UDC, de PDC, d’Evangéliques et de membres de l’Union
démocratique fédérale (UDF), lance une initiative populaire afin que les
interruptions de grossesse, de même que la pilule du lendemain, ne
soient plus remboursés par l’assurance maladie obligatoire.

Seules
doivent être prises en charge, estiment les initiants, les
interventions consécutives à un viol, ou si une femme court un danger de
mort. Dans les autres cas, les avortements doivent rester l’affaire
d’assurances complémentaires, auxquelles souscriraient les femmes qui
«s’imaginent pouvoir recourir un jour à l’avortement»…

Est-il
opportun de rouvrir le débat sur l’avortement? Car tel est l’enjeu de ce
texte. Si son promoteur, l’UDC Peter Föhn, insiste sur la nécessité de
réduire les coûts à la charge de l’assurance de base, le Schwyzois admet
que des «considérations éthiques et morales» guident sa pensée. La
députée PDC Elvira Bader, qui siège dans le comité d’initiative aux
côtés, notamment, de son collègue Jakob Büchler (SG), renchérit: «Les
personnes opposées à l’avortement n’ont pas à le cofinancer.»

Le PDC pas au courant
Si
cette initiative a, a priori, peu de chances d’aboutir, elle embarrasse
le PDC et, dans une moindre mesure, l’UDC. Deux partis
traditionnellement divisés sur ces questions, car ils comptent une forte
aile très à cheval sur les valeurs morales. D’autant que les
initiateurs de ce texte n’avaient pas cru bon de prévenir leurs
formations respectives. «J’en ai pris note par les médias, je suis très
surprise», lâche la conseillère nationale Lucrezia Meier-Schatz, peu
favorable à ce texte. «L’avortement n’est pas quelque chose à prendre à
la légère. Certaines personnes se retrouvent dans des situations
difficiles.»

Le démocrate-chrétien Reto ­Wehrli n’avait, lui non
plus, «jamais entendu parler de cette initiative». Sur le fond, le
Schwyzois rappelle qu’il était personnellement opposé à la
dépénalisation de l’avortement en 2002. «Mais ce type d’initiative
soulève des questions au niveau de l’égalité de traitement entre les
personnes qui pourraient financer une interruption de grossesse et les
autres. Le PDC doit en discuter avant que chacun fasse des déclarations
en public.»

Enfin, du côté de l’UDC, le Zurichois Jürg Stahl se montre lui aussi sceptique. «Je ne suis pas sûr que le parti soutiendra cette initiative. Je suis d’accord qu’il faut revoir le catalogue des prestations remboursées par la LAMal. Mais les avortements ne posent pas de problème en terme de coûts. Il ne faut pas mélanger l’éthique et la politique.»Surtout, les partis le savent, le
peuple s’est prononcé à 72,7%, en 2002, pour une modification du Code
pénal dépénalisant l’interruption du grossesse durant les douze
premières semaines et l’admettant dès la 13e semaine, sous avis médical,
en cas de nécessité. Le même jour, le souverain rejetait à 81,8%
l’initiative «Pour la mère et l’enfant», visant à criminaliser
l’avortement.

Risque de clandestinité
A noter que la loi sur
l’assurance maladie a précisément été modifiée en 2002 de sorte que,
«en cas d’interruption non punissable de la grossesse au sens de
l’article 119 du code pénal, l’assurance obligatoire des soins prend en
charge les coûts des mêmes prestations que pour la maladie».

Or,
la remise en cause de ces acquis par une nouvelle initiative populaire
fait hurler, du côté notamment de la gauche et des libéraux-radicaux.
«C’est du fondamentalisme», dénonce la coprésidente des Femmes
socialistes suisses, Maria Roth-Bernasconi. «Depuis dix ans, le nombre
d’interruptions de grossesse est resté stable (ndlr: 10 848 en Suisse en
2008). Avec un tel texte, on risque de provoquer des avortements
clandestins.»

«Raviver de vieux démons»
Le lancement d’un
projet visant à exclure les interruptions de grossesse du remboursement
déclenche également le courroux des Femmes libérales-radicales, qui ont
abordé ce point lundi, lors de leur séance de comité. «Nous sommes
choquées de voir de vieux démons ravivés», note leur présidente,
Jacqueline de Quattro. «Les passions autour de cette question sont
apaisées, la population a finalement laissé cette décision aux femmes au
bout d’un long processus, et cette politique porte aujourd’hui ses
fruits. Pourquoi mettre en péril un système qui fonctionne, sous
prétexte d’une réduction des coûts?»

Sans compter, ajoute
la conseillère d’Etat vaudoise, que les frais à charge des caisses
maladie, dans le domaine, sont peu élevés. Soit environ 600 francs
durant les sept premières semaines de l’interruption de grossesse, 1500
pour les interruptions plus tardives. «Cela serait dévastateur si les
femmes qui ne peuvent pas s’offrir un spécialiste s’adressent à un
faiseur d’anges», poursuit Jacqueline de Quattro. Les frais qui en
résulteraient seraient d’ailleurs bien plus élevés que les économies
escomptées. Et la présidente des Femmes PLR de dénoncer «une parfaite
hypocrisie. Les femmes confrontées à des décisions douloureuses sont de
nouveau montrées du doigt. En plus, c’est un déni de démocratie».



http://www.genethique.org/parus/lettres/2009/septembre.as… L’objection de conscience des pharmaciens 
http://www.genethique.org/revues/revues/2009/septembre/20…  Objection de conscience des pharmaciens : la loi française
http://www.youtube.com/colinpri1#play/uploads video 1,29m – Obamacare: Seniors need not apply





La Suisse oblige tous ses enfants à financer tous les avortements qui sont devenus tous “gratuits”.

Nous les payons par nos impôts et par nos primes d’assurances…

Les animaux sont mieux protégés que les embryons humains.


La plupart des vaccins viennent d’avortements …

On pourra juger de la pertinence (ou non…) des prises de position de certains d’après notamment ce communiqué des jeunes UDC en Valais romand, daté de janvier dernier :

Comme nous l’a rappelé hier soir l’émission Temps Présent de la TSR,
quelque 11’000 interruptions de grossesse ont lieu chaque année en
Suisse. Cette situation est d’autant plus choquante que l’avortement est
actuellement remboursé par l’assurance maladie de base. Cela doit
cesser ! 

Non, l’avortement n’est pas une maladie. Il est le fruit d’une
conception du monde purement matérialiste, d’une société qui se donne le
droit de choisir entre tuer ou laisser vivre l’enfant. La solution des
délais en Suisse est un crime contre la génération à venir.

C’est
pourquoi, il est important de soutenir l’initiative populaire « Financer
l’avortement est une affaire privée » qui a été déposée en juillet 2011
avec 111.000 signatures. 

Par cette initiative populaire, il s’agit également d’informer les
citoyennes et les citoyens de notre pays qu’ils participent notamment au
financement des avortements avec leurs primes maladie. Beaucoup en sont
étonnés et n’approuvent pas cette manière de faire. Le peuple doit donc
avoir la possibilité de décider s’il veut ou non continuer à financer
les avortements avec ses primes maladie. 

Les caisses d’assurance maladie ont pour mission de préserver des vies, non de les anéantir !
Jeunes UDC du Valais romand
Grégory Logean, Co-président
Conseiller municipal d’Hérémence



Oskar Freysinger, conseiller national de l’UDC, est sur cette même ligne comme il l’avait confié l’an dernier à Nouvelles de France : « L’avortement
est inclus dans les remboursements de la caisse maladie, donc des gens
comme moi paient pour ce qu’ils considèrent comme un crime, je trouve ça
totalement anormal. Nous estimons que si quelqu’un, dans son plan de
vie, veut avorter, il doit faire payer cela par des caisses
complémentaires. »

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J.Smeaton: Ados et avortements à répétition

Aujourd’hui le Telegraph et le Daily Mail rapportent que, selon les statistiques officielles, plus de 5’000 adolescentes en dessous de 20 ans ont eu des avortements à répétition en 2008. Ces chiffres ont été révélés en réponse à la question parlementaire posée par Anne Milton, ministre de la santé du ‘shadow’ ministère.

Il est rafraîchissant de lire le commentaire sur l’avortement de Mme Milton tel qu’il a été rapporté. : “Les
avortements peuvent être incroyablement traumatisants pour les femmes
et mettre un terme à une grossesse imprévue peut avoir un effet
préjudiciable à la santé mentale
L’une
des solutions proposées par Mme Milton à la porte tournante des
avortements à répétition des adolescentes est une information améliorée
du gouvernement sur la contraception.
Cependant,
comme la doctoresse Judith Bury, ancienne directrice d’ Edinburgh’s
Brook Advisory Centre, une agence qui oriente vers l’avortement reconnaît : ” Il
y a des preuves écrasantes, que contrairement à ce que vous pourriez
vous attendre, la disponibilité de la contraception conduit à une
augmentation du taux d’avortement
.
.”(1) ” Sex Education for Bureaucrats”, The Scotsman, 29 June, 1981

Je suis, néanmoins, d’accord avec Mme Milton sur le fait que le phénomène des avortements à répétition chez les adolescentes est une conséquence de la stratégie gouvernementale sur la grossesse adolescente et la santé sexuelle (consequence of the government ).

Ainsi que Christine Hudson de SPUC Plymouth l’ a écrit ( wrote ) le mois passé pour ce blog: “l’avortement et la pilule du lendemain sont les instruments du lynchage de la stratégie gouvernementale quant aux grossesses adolescentes. Le but est de débarrasser les enfants et les jeunes femmes des grossesses imprévues. Ces grossesses sont le résultat de l’activité sexuelle encouragée par le gouvernement et notre société, avec peu ou pas d’attention accordée à l’age du consentement.”

Les
propositions du gouvernement pour l’éducation sexuelle obligatoire
résulteront en encore plus de promotion de l’avortement dans les écoles.
Si le Parti Conservateur souhaite mettre fin à l’augmentation des
avortements chez les adolescentes, alors il doit bloquer les
propositions du gouvernement contenues dans le projet de loi sur les
Enfants, Ecoles et Famille (contained in the Children, Schools and Families bill ).
De
même le Service d’Education Catholique (CES) en Angleterre et au Pays
de Galles doit renverser son soutien général à l’éducation sexuelle
obligatoire  (general support
) Les avortement des adolescentes ne diminueront pas tant que le droit
des parents à agir comme premiers éducateurs de leurs enfants tel qu’il
est reconnu dans la Déclaration Universelle des Droits Humains, (recognised in the United Nations Universal Declaration of Human Rights) , ne sera pas manifeste dans la loi et la politique.
  Merci
d’agir maintenant afin de mettre un terme à l’éducation sexuelle
obligatoire et à l’agenda anti vie du gouvernement. Merci de lire et de
répondre à l’alerte de la campagne de SPUC (campaign alert ).

John Smeaton, 8.12.2009 http://spuc-director.blogspot.com/2009/12/prevent-teen-re…

http://ps139.blog.tdg.ch/archive/2009/02/26/asme-toujours… ASME: Toujours plus d’adolescentes enceintes.

http://spuc-director.blogspot.com/2009/12/catholics-can-h… Les catholiques peuvent honorer l’Immaculée Conception en s’opposant au projet de loi sur l’éducation sexuelle obligatoire.

L’analyse de John Smeaton pour la Grande Bretagne rejoint celle de Colin Mason ( www.pop.org ) pour les Etats-Unis d’Amérique, ainsi qu’on peut la lire dans son article du 7.12.2009 intitulé ‘Le sénateur Baucus veut enseigner la sexualité à vos enfants’ : « C’est
marrant, les choses qui ne font jamais la une.  Prenez l’amendement
récent au plan de la santé proposé au Sénat par Max Baucus
(Sénateur démocrate du Montana), chairman du Senate Finance Committee. Ce
langage alloue quelques centaines de millions de dollars de votre
argent pour « L’Education à la responsabilité personnelle pour former à
l’age adulte
. »
( …). Vous
voyez, on en revient toujours au sexe. Comment le fait d’être traité
comme un animal est une recette pour une transition à succès vers l’age
adulte= Si le droit d’avoir du sexe de promiscuité peut avoir été le cri
de bataille de la génération actuellement en charge de la législation,
il est injuste de présumer que tous les enfants d’aujourd’hui aspirent
nécessairement à ce triste état. L’Amérique
a l’un des taux les plus élevés de grossesses adolescentes en Occident
précisément à cause de l’éducation au sexe graphique et sans valeurs
à laquelle les enfants sont constamment exposés. N’est-il pas temps que nos législateurs arrêtent de souhaiter une génération d’enfants aussi débauchés qu’eux-mêmes ?
Les jours de Woodstock et de l’amour libre ont disparu depuis longtemps
et ce n’est pas une quantité de financement par les impôts et les
mandats législatifs qui vont les faire revenir
. »
Les divers PS du jour:
http://politicalticker.blogs.cnn.com/2009/12/05/baucus-ad… 5.12.2009 Le Sénateur Baucus (promoteur d’éducation sexuelle pour enfants) reconnaît avoir nominé sa petite amie au poste d’US Attorney

http://www.lifenews.com/nat5736.html M. Obama viole encore sa promesse de ne pas financer l’avortement en soutenant le projet de loi au Sénat – Au Nevada d’Harry Reid – pro avortement-, seulement 39% des électeurs soutiennent Obama Care quand 53% s’y opposent. Autant pour des perspectives de réélection…

http://www.gopusa.com/theloft/?p=170 Bobby Eberle sur la réforme de la santé et l’attitude de M. Reid , 8.12.2009: Quand tout le reste échoue, accuse tes opposants de racistes.
http://www.lifenews.com/nat5740.html Les évêques américains encouragent les faiseurs de loi à soutenir l’amendement Nelson (pro vie)
https://secure.conservativedonations.com/pijn_fax_bluedog… Encore temps pour sauver les bébés et les papies-mamies d’Obama Care
http://news.bbc.co.uk/2/hi/health/8366326.stm   3D MRI Scans : 1minute 53 Avec cette technologie de pointe destinée à mesurer la croissance du cerveau du bébé, comment oser persister à dénier l’humanité du tout petit pour lui tuer sa vie ?
http://www.dailymail.co.uk/news/article-1232191/Dr-Kather…   Dr Katherine Rake, féministe radicale a été spécialement choisie par le gouvernement britannique – à la tête du Parenting and Family Institute – pour achever ce qui reste de la famille nucléaire dont elle aime se moquer en public.
http://www.telegraph.co.uk/earth/copenhagen-climate-chang…
Trilatéralement votre… Copenhague et l’empreinte – de quoi ? -…
Tout le monde doit être égal mais certains en ont plus le droit que
d’autres. Limousines, jets privés et caviar… pour ceux qui s’imaginent être les maîtres de notre droit de vivre (Socialisme de luxe à la Bilderberg – pour infos demander à M. Bayrou et Cie) – Transports compris, la conférence de 11 jours utilisera 41’000 tonnes de dioxine de carbone – plus que la production journalière de 30 pays… 
http://www.zenit.org/article-22861?l=french Lettre du Conseil d’Eglises Chrétiennes à N. Sarkozy : Changer notre mode de vie.
http://lebaldesdegueulasses.blogspot.com/2009/12/end-of-w…   Le bal des dégueulasses : la fin du monde : « nos crapauds nous promettent le bonheur sur Terre pour certains,
ce qui exclue : les moches, les malades, les foetus pas désirés ou
niés, les pauvres, les pas métissés, ceux qui dégagent du CO2, ceux qui
n’aiment pas payer d’impôts, ceux qui aiment se sentir chez eux, etc,
etc, bref, pas grand monde.
Et bizarrement, leur altruisme militant ressemble de plus en plus à un
égoïsme qui a pris goût au sang, et qui n’aime surtout pas qu’on lui
tende un miroir où il puisse voire l’horreur et l’hypocrisie qui
dégoulinent de sa bouche
. »
http://ciel-bleu.blogspot.com/2009/12/voila-un-exemple-du… L’avortement post natal : Ces
médecins néerlandais qui en sont maintenant à euthanazier des bébés qui
ne souffrent pas mais dont ils envisagent une mauvaise qualité de vie.
http://euthanasier-c-tuer.org/blog/ Un regard catho sur l’eutha-nazie
http://www.chretiente.info/200912050444/les-liens-entre-l… Les liens entre l’avortement et l’holocauste. La différence de votation quand les peuples reçoivent les images de l’avortement (Irlande = Niet) ou le baratin idéologique soft des droits de la femme (Portugal et Suisse = Da).
http://www.sekotia.com/pdf/ft-isadora-bibiana.pdf ‘ Vient de paraître: ‘D’Isadora à Bibiana: Le Nouvel Avortement et l’Holocauste’ par Santiago Mata
http://www.aciprensa.com/noticia.php?n=27757 Ce qui se passe en Espagne
où les législateurs viennent de recevoir des albums avec photos des
petits massacrés tels que retrouvés dans les poubelles des cliniques
espagnoles.
http://www.rte.ie/news/2009/1130/abortion.html Victoire pro vie à la cour de Belfast
http://www.cailletm.com/  ‘J’étais franc maçon’
vient de paraître en français et en portugais. Pour la première fois,
l’auteur y décrit les initiations et les compromissions de son parcours
maçonnique.

http://surlespasdessaints.over-blog.com/article-priere-pour-la-france-et-pour-le-monde—catherine…


Tous contre la LAMAL qui finance notamment le RU486…

Non à la “solidarité du gaspillage qui finance la LAMAL (assurance-maladie).
Nous
vous recommandons de signer et faire signer cette nouvelle l’initiative
contre la LAMAL, qui supprime cette obligation inique. Grâce à cette
initiative, nous retrouvons notre liberté face aux abus manifestes et de
plus en plus criants de cette loi qui porte bien son n o m ; elle porte
au mal en soutenant la drogue dure (héroïne), l’homosexualité,
l’avortement, le RU486 qui charge encore plus les femmes
psychologiquement, car elles sont seules à pleurer.

Nous
sommes actuellement tous obligés, dès la naissance, de payer chaque
mois des sommes de plus en plus élevées pour des “soins” horribles, à
des assurances qui doivent payer les avortements ( loi de 1942, passée
en douce au milieu de la guerre) et risquer leurs réserves à la bourse;
nous sommes contraints, sous peine de prison (sic) ou d’amende ( pas
d’objection de conscience permise), de payer des soins qui n’en sont
pas, soit par exemple les traitements très coûteux pour transformer le
sexe et le maintenir chaque mois dans un état artificiel et contraire à
la nature ( par exemple faire pousser des seins à des hommes qui
désirent être des femmes), l’avortement tellement banalisé (50 000 par
année) à au moins Fr 2000.- par cas, soit un minimum de 100 millions de
Fr par année, sans compter les suivis psychologiques et psychiatriques
des personnes impliquées, qui coûtent chaque année des montants toujours
plus élevés, ou aussi la drogue et autres abus, ( faire payer les
primes complémentaires des riches par les pauvres).

Tous
les soins hospitaliers peuvent être couverts par une assurance beaucoup
plus efficace qui ne contribue pas aux gaspillages cités ci-dessus,
avec la conscience en paix, car libérée des abus et du prix du sang des
innocents sacrifiés à l’autel de notre société de consommation.

Les
sommes économisées, placées à votre guise, sont votre assurance
personnelle pour les autres cas, sans compter d’autres assurances moins
chères possibles (Pro Life, Astra). La nouvelle idole, dont vous pouvez
maintenant vous libérer par étapes, est la prétendue sécurité étatique
et sociale ( qui est en fait un esclavage subtil ).

Les
enfants menacés de massacre doivent pouvoir bénéficier du Droit de
grâce cantonal et être adoptés, car la peine de mort n’existe plus en
Suisse.

Ces sécurités “sociales” sont des
mensonges pour les jeunes actuels, car les promesses faites par des
irresponsables qui ne veulent ni voir ni comprendre nous amènent au trou
démographique et à la chute de notre civilisation. Les prestations
seront payées en monnaie de singe. En votant oui, vous donnez un signe
fort des vertus de nos ancêtres attachés à la défense de leurs libertés.
Se libérer du joug de l’obligation faite de financer les flèches qui
tuent la descendance de Guillaume Tel] vous rendra heureux de tirer sur
la pomme des liens subtils clé la consommation et, le coeur allégé de ce
poids, vous pourrez remercier Nicolas de Flue qui nous a si souvent
sauvés des pièges de l’histoire. En diffusant de suite ce message, vous
rendez le monde plus beau et juste en protégeant les plus faibles, qui
sont sans voix.

Une famille nombreuse paye
plus de 24’000 Fr par année, sans cas de maladie, ce qui représente une
inflation d’environ 15 %, mais qui n’est pas dans le taux officiel, car
les hausses des primes sont “oubliées”.

Même les gouvernements cantonaux essaient de combattre la LAMAL.

Nous pourrions tous au moins vivre dans la simplicité et éviter ces
milliers d’avortements, de mort de faim et de maladies simples à
soigner, grâce aux machines, aux robots et au progrès. Des voleurs
profitent de la productivité. Il est bon de se partager ou mieux de
distribuer les profits et les produits des machines. Mais nous vivons
encore sous un vieux système qui est une structure de vol subtil et
caché basé sur la peur de la disette.
« Dans son essence la création de monnaie ex nihilo actuelle par le
système bancaire est identique … à la création de monnaie par des faux
monnayeurs. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule
différence est que ceux qui en profitent sont différents »
Maurice Allais
Physicien et économiste
Prix Nobel d’économie en 1988

De plus, Helmut Creutz a calculé que, du fait de l’ajout du coût de
l’intérêt dans chaque étape et à chaque cycle de la production des
biens, ceux-ci nous coûtent à tous le double et que tous ceux qui
travaillent consacrent trois heures par jour en plus pour en payer les
conséquences.
Et voilà que, nos logements sont 77 % plus petits …que ceux que nous
pourrions avoir sans les sangsues subtiles du système de petits
copains.
La plupart des dettes bancaires sur les communes, cantons, Etats,
régies, entreprises etc sont du vol rusé par création monétaire du
néant.
Ceux qui paient cette gabegie, c’est nous, les tondus, toujours plus
nombreux, au prix de maintes maladies, dépressions, haines,
disputes…
Les tondus deviennent de plus en plus nombreux et le processus,
exponentiel, s’accélère. Les sangsues vont se trouver sur des corps
tellement malades que le système peut s’écrouler sans une réaction
vigoureuse de personnes avec du caractère. www.pervenit.com
Les petits de l’argent prennent la place des petits des hommes….la
démographie s’écroule et l’économie suit…notre civilisation est
mortelle…

Propositions de solutions voir www.pavie.ch
Les banques poussent à la mesquinerie, aux hausses d’amendes,
d’impôts…. Elles organisent les requins à exploiter les plus
faibles.

Primes d’assurances, loyers exorbitants, taxes et impôts galopants,
coût de la vie, amendes de stationnement,etc.… Politique des petits
copains, ententes secrètes, gaspillages, escroqueries, mafia, cartels,
monopoles, chômage, crise, petits logements, stress, alcool,
drogue,….
Nous sommes libres de réagir contre ces vols subtils.

Un pour tous,
tous pour un.

Gauche, droite, c’est vieux jeu.

Soyons unis pour défendre les plus faibles.
 

Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l’enfant.

Assurance maladie et initiative fédérale.
La
Suisse est le résultat d’une longue histoire de confiance mutuelle
entre des minorités très différentes, réunies pour résister à la malice
des temps.
Nous sommes obligés juridiquement de contribuer au meurtre de petits innocents, sous la menace de 6 mois de prison. (sic) .
1)
En effet, l’assurance-maladie est obligatoire. Cette obligation est
rendue “indispensable” par les colossaux gaspillages de notre système.
Au lieu de réformer les gaspillages, on écrase les cotisants sous des hausses de plus en plus lourdes.
2)
Le premier gaspillage à éradiquer est celui des vies humaines. En
effet, le nombre d’avortements est si grand qu’il est maintenu secret
(secret d’État). Il coûte si cher à la collectivité, surtout du fait des
conséquences dramatiques sur les protagonistes de ces ” opérations ”
dont les victimes sont les bébés tués et leurs mères qui souffrent
souvent pour le restant de leurs jours. Il est de plus prouvé que
l’avortement augmente considérablement les risques de cancer et de
stérilité.
3)
Mais le comble est la menace de prison à l’encontre des citoyens
honnêtes, désireux de protéger les plus pauvres et les plus faibles de
notre société, les nouveaux conçus.
4) Les objections:
4.1) Le compromis:
Le
principale objection viendra de ceux qui veulent vivre de compromis.
Mais parfois leurs compromis équivalent à des compromissions. Il y a en
effet des sujets non négociables.
Accepteriez-vous de manger un superbe gâteau, mais avec une dose mortelle de cyanure noyée dans la masse ?
Ils ont vendus la contribution obligatoire au financement de meurtres
contre un avantage pécuniaire de quelques sesterces. Ceci rappelle
étrangement l’histoire, sous réserve de la nouveauté de l’obligation,
sous menace de prison. …
4.2) La guerre civile:
L’autre
argument est que nous créons la guerre civile. Ceci est faux car la
guerre civile a été créée par eux, guerre entre les vivants qui tuent
(ou laissent tuer) les faibles par dizaines de milliers chaque année.
(plus qu’en Irak). Ce n’est pas en fermant les yeux que vous effacerez
cette réalité sanglante. Au contraire, en misant sur l’amour et
l’adoption, vous apporterez la paix et la concorde.
4.3) L’article 120 CPS:
Certains
vous diront que ce n’est pas grave car on ne rembourse que les
avortements faits sous l’article 120 CPS (choix entre la vie de la mère
et de l’enfant). Cette position ne voit pas la réalité des faits. En
effet, il est de notoriété publique car ces cas sont quasi-inexistants,
alors que les avortements se comptent par dizaines de milliers. Ceux qui
ne respectent ni la lettre ni l’esprit de la loi actuelle veulent nous
obliger à tremper nos mains dans le sens d’innocents. Par paresse, par
ignorance et souvent par compromission, ils veulent que rien ne se
passe. Ils laissent ainsi les profiteurs (des gynécologues aux revenus
exagérés) et leurs complices accomplir leur sinistre besogne.
4.4) Les économies seraient ridicules:
Ils
avancent même l’idée de généraliser le RU-486 afin de faire baisser les
coûts. Mais ils oublient ou cachent le fait que les coûts principaux
viennent des soins psychiatriques et psychologiques graves, souvent pour
toute leur vie, des femmes blessées par la mort de leur enfant,
dont un pourcentage tombe dans la folie ( à charge pour tourte leur vie )
ou dans des dépressions chroniques ( Total des soins pour toute la
Suisse à plusieurs centaines de millions de francs). A contrario, un
enfant donné en adoption ne crée pas de problèmes graves car la mère
naturelle sait qu’il est vivant.
4.5) C’est une loi sociale:
Non,
c’est une loi socialiste, centralisatrice et gaspilleuse. C’est
l’habitude universelle des socialistes de dépenser l’argent des autres.
Le problème, avec les déficits chroniques actuels, c’est que cet argent
se raréfie. De plus, elle n’est pas du tout sociale. Elle écrase les
petits, les familles, les femmes, les actifs et même les vieux sous des
hausses de primes vertigineuses (de 40 à 60%). Pour les jeunes, vu
l’expérience vaudoise, de 300 %.
De
plus elle aggrave le déficit démographique. En effet, elle consacre la
plus petite augmentation des dépenses à la maternité (+0,7%).
L’étatisation
de la médecine menace, les gaspillages seraient pires, la
centralisation certaine et la prolifération des fonctionnaires
coûteuses.
4.6) C’est une loi moderne:
Elle est surtout centralisatrice. Le système collectiviste a fait faillite partout.
4.7) Elle permet la maîtrise des coûts:
Avec
un catalogue de soins qui s’élargit, avec des subventions gourmandes,
des médecins fonctionnaires et des patients à l’assistance publique du
fait des hausses radicales des primes, les coûts seront vertigineux. Qui
paiera? les contribuables. La Confédération a déjà 80 milliards de
dettes, plus 7 milliards chaque année.
4.8) L’argent serait mieux utilisé:
Quelle
blague! Le message du Conseil fédéral confirme que 60% de la population
sera subsidié. Le canton de Vaud, avec une loi analogue, devrait payer
les primes d’environ 100’000 de ses habitants.
4.9) Elle est favorable aux femmes et aux personnes âgées:
Les
femmes en âge d’avoir des enfants verront des choses étonnantes et des
hausses de primes colossales, si elles veulent pouvoir choisir leur
gynécologue ou leur médecin traitant. De même pour les personnes âgées.
4.10) Une médecine de qualité pour tous:
Ceci
est un mensonge pur et simple. Les expériences françaises, anglaises,
suédoises sont là pour le confirmer. De plus, les médecins ne seront
plus libres de prescrire ce qu’ils veulent, en fonction du progrès
technique, mais devront se limiter à un catalogue fédéral.
4.11) Elle rend les assurés plus responsables:
Encore un mensonge. Elle les déresponsabilise et les pousse à abuser du système.
4.12) Elle restaure la solidarité:
Ceux
qui paient sont les faibles, les enfants à naître, les femmes
enceintes, les personnes âgées (l’euthanasie active menace). Les
pouvoirs exorbitants donnés à la Berne fédérale annonce le Leviathan des
temps modernes.
5) Les dépenses supplémentaires:
Elles
avaient été budgétisées à 1,74 milliards la première année. Ce budget a
été, comme toujours, largement dépassé…. Sans compter les hausses de
subventions de 1,83 milliards la première année à 2,18 milliard la
quatrième année, à compléter par les subsides cantonaux qui
atteindraient 1,09 milliards.
Ces
dépenses supplémentaires sont en grande partie causés par les
déséquilibres provoqués par l’avortement. En effet, les soins de longue
durée aux femmes devenues dépressives ou même folles ( une bonne partie
des 900 millions budgétés ) ou soumises à des traitements à répétition
de psychothérapeutes qui représente une bonne partie des 135 millions
budgétés.
Il
est symbolique de voir un très petit 0,7% (12 mio) qui avait été
consacré à la maternité. D’autant plus que les pressions sont fortes
pour financer les fécondations in vitro, très coûteuses et très
aléatoires et qui répondent souvent à un abus d’avortement ou de
contraceptifs abortifs.
II. L’initiative socialiste d’un caisse unique.
Celle-ci
est de la même eau que le projet analysé ci-dessus. Elle encourage la
centralisation, le gaspillage et la déresponsabilisation. Le
collectivisme a raté partout. Économisons un échec de plus et votons non
à cette initiative.
III. Conclusions
Mais
restons optimistes. Trouvons les énergies nécessaires pour refuser
l’inacceptable, la cotisation au meurtre rituel sur l’autel de la
société de consommation.
En signant cette initiative, nous misons sur l’avenir avec des enfants.
Ouvrons
notre pays à une jeunesse qui frappe à notre coeur, favorisons les
adoptions, les aides aux familles, le salaire maternel, mesures qui
relanceront notre économie. favorisant une demande solvable et positive  Nous
avons eu le plan Wahlen, mobilisateur d’énergies et sauveur de la
Patrie, ayons le plan de Mme Marie-Laure Beck, a. présidente du
Grand-Conseil genevois, en faveur des familles et de l’adoption.
 Comme le disait récemment le Professeur Jérôme Lejeune,  prix Robert
Kennedy, Oh Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l’enfant.
Merci
d’avance pour votre signature. Faites sigber vos amis et vos proches en
leur remettant l’argumentaire résumé ci-joint ou en vous en inspirant
afin d’écrire des lettres de lecteurs ou des articles de fond.
L’heure est à l’action et à la défense de la substance de notre avenir, qui, comme toujours, passe par la femme.
François de Siebenthal



Résumé (encadré)
Suisses, tirez sur la pomme, pas sur l’enfant.
Sous menace de prison (sic) art. 92 de la Lamal (resic, en français fédéral, qu’elle porte bien son nom), nous sommes obligés:
1) de contribuer financièrement au crime abominable de l’avortement (art. 30 et art 3);
2)
de creuser encore plus les déficits fédéraux et cantonaux (de plus de 2
mia par année ) et d’augmenter les impôts fédéraux et cantonaux;
3) d’accepter la violation du secret médical;
4) d’ancrer une loi collectiviste;
5) d’écraser les femmes et les personnes âgées sous des primes toujours plus lourdes et de tripler celles des jeunes;
6) de noyer les responsabilités et fonctionnariser les médecins;
7) d’accepter les gaspillages honteux en favorisant les parasites et les exploiteurs en surchargeant les actifs et les familles;
8) de favoriser un état policier, fouineur, tracassier et centralisé à Berne en acceptant des médecins imposés par l’État;
9)
de confirmer la pratique anti-économique qui consiste à obliger les
caisses bien gérées à combler les trous des caisses mal gérées.
10) REFUSONS DE NATIONALISER LES PERTES ET DE PRIVATISER LES BÉNÉFICES.
LE CONTRIBUABLE ET LE LAÏC N’EST PAS UN MOUTON QUE L’ON PEUT INDÉFINIMENT TONDRE.












Le Monsignore aux deniers occultes

Par Haget Henri et Luksic Vanja, publié le 05/11/1998
Au
total, c’est près de 10 millions de francs qui auraient transité sur
les comptes de Mgr Giordano, cardinal archevêque de Naples. Pour aider
son frère dans le besoin, dit-il. Un sens de la famille qui l’a conduit à
la mise en examen


De mémoire de Napolitain, ce fut un beau miracle, bien dans la
tradition. Le 19 septembre dernier, le sang de saint Janvier, plus connu
ici sous le nom de san Gennaro, s’est à nouveau liquéfié, répondant
ainsi aux voeux des 4 000 fidèles entassés dans la cathédrale Santa
Chiara et à la fameuse injonction des matrones du premier rang: “Petit
Janvier, réjouis-nous!” Rondement menée par le cardinal Michele Giordano,
l’affaire ne nécessita pas plus d’une heure et demie de prières et
d’incantations. Un excellent chrono. Il faut dire que Son Eminence
jouait gros. L’homme est au coeur d’un scandale qui secoue l’Eglise
italienne comme aux plus belles heures du krach du Banco Ambrosiano. La
veille, l’hebdomadaire Famiglia christiana annonçait la couleur: “Si le
miracle ne se produit pas, Giordano devra démissionner.” Ailleurs, bien
sûr, la question ne se serait même pas posée. La vindicte populaire
l’aurait déjà expédié en enfer. Mais nous sommes à Naples. “Ici,
constate Pasquale Collela,
professeur de droit canon à l’université locale, ce n’est pas
l’archevêque, ni le maire, ni même la Camorra, qui décide. Le patron,
c’est san Gennaro.”

Trois fois par an, donc, une fiole censée contenir le sang desséché du
martyr est exposée à la vénération de ses supporters. Que la précieuse
substance se liquéfie et la ville se trouve protégée contre les dangers
extérieurs. Qu’il ne se passe rien? Depuis 1389, le phénomène n’a connu
que de très rares défaillances. Mais, chaque fois, les pires calamités
se sont abattues sur la population. 1527: épidémie de peste. 1835:
choléra. 1906: éruption du Vésuve. 1988: défaite (3-2) du FC Napoli,
titre en jeu, face au Milan AC.

On prétend que la cérémonie se double d’une fonction expiatoire: elle
purge de l’angoisse, de l’impureté et de la faute. Celle de ce 19
septembre 1998 ne déparera pas dans les annales. A 10 h 34, très
exactement, tandis qu’autour du cardinal les prêtres s’égosillent –
“Miracolo! Miracolo!” – une rumeur s’élève du fond de la cathédrale. Son
Eminence tend l’oreille. Il ne rêve pas, c’est bien ça. “Viva
Giordano!” scande le choeur des fidèles. En quelques minutes, la
rengaine dégringole jusqu’au port. Trois jours plus tard, un sondage
parachève le miracle: 85% des Napolitains croient en l’innocence de leur
archevêque. Du côté du Vatican, on se pince.

Qui est Michele Giordano? Un prince de l’Eglise à la bonne bouille de
prélat patelin, 67 ans, silhouette grassouillette et verbe musclé.
Depuis douze ans qu’il dirige le troisième diocèse d’Italie, on ne lui a
jamais connu que deux sortes d’ennemis: les communistes et les escrocs.
Son aversion pour les premiers lui vient de ses jeunes années passées
sous les couleurs de la Gladio des curés, cette ancienne organisation
financée par le Département d’Etat américain pour combattre le “péril
rouge”. Mais ce sont surtout ses vibrantes dénonciations des ripoux de
tout bord qui lui ont valu l’essentiel de sa réputation. Jusqu’à l’été
dernier, ses homélies faisaient trembler le Vésuve. Du haut de sa
chaire, il tonnait contre tous les élus, les camorristes, les financiers
véreux qui prospèrent sur la misère de leurs concitoyens du Sud. Il
Porporato prenait la tête des manifestations contre l’usure, promettait
l’excommunication aux voyous qui vivent de l’extorsion. “Pas de pardon!
s’étranglait-il. Sauf en cas de restitution totale des biens usurpés…”
Voilà ce que disait Mgr Giordano. Voilà comment son impitoyable
croisade contre le crime organisé s’est brusquement achevée.

Usure, extorsion…
Le 22 août dernier, des policiers de la brigade financière, escortés du procureur Michelangelo Russo,
se présentent à l’archevêché. Le cardinal apprend que, depuis quatre
mois, son téléphone est placé sur écoutes. Il apprend surtout que le
magistrat est là pour lui remettre un avviso di garanzia, la
signification de sa mise en examen. Les chefs d’accusation: délit
d’usure, extorsion, association de malfaiteurs. Magnifique. Mais il y a
mieux. Des enquêteurs de l’anti-Mafia, descendus de Rome, sont également
sur le coup. Ils soupçonnent le système Giordano d’avoir servi au
recyclage de l’argent sale de la Ndrangheta, la Mafia calabraise. “A
part ça, je n’ai tué personne?” fait mine de s’inquiéter Monseigneur.
“Pas que je sache”, répond le magistrat.

Très vite, l’archevêque de Naples troque la carte de l’humour contre
celle du prélat outragé. Les flics font une descente sous l’oeil des
caméras? Son Eminence dénonce la justice à paillettes, cogne sur ces
procureurs de province grisés par l’opération “Mani pulite”, brandit une
pseudo-extraterritorialité de l’archevêché et va jusqu’à invoquer le
calvaire du malheureux Silvio Berlusconi, poursuivi, de Rome à Palerme,
par une série de casseroles judiciaires. Le lendemain de la
perquisition, on découvre que c’est le cardinal, en personne, qui a
convoqué les chaînes de télé. Mais Mgr Giordano ne lâche pas le morceau.
Quel est ce pays où l’on espionne les conversations téléphoniques d’un
prince de l’Eglise? “On n’a jamais vu ça en démocratie, ni même sous le
fascisme.” Dans les régimes communistes? “Chez les rouges, oui, sans
doute…” Il prétend qu’il traite quotidiennement de sujets de la plus
haute importance. “Et si j’étais en discussion avec le pape?” Le
problème, c’est que le Saint-Père ne lui a, bien évidemment, jamais
donné de ses nouvelles. En revanche, le téléphone a beaucoup fonctionné
entre l’archevêché et Sant’Arcangelo,
à 300 kilomètres au sud de Naples, le village de Michele Giordano, là
où vit toujours le clan. Le cardinal semblait surtout se passionner pour
le cas de son frère, Mario Lucio,
65 ans, impliqué dans ce qui n’était, au départ, qu’une vulgaire
histoire de cravattari, le surnom des usuriers: ceux qui vous attrapent
par la cravate, et qui serrent. Ce qu’il lui disait? “Ne t’inquiète pas,
Lucio, on va le leur faire payer!” “Ça y est, c’est arrangé: tout est
bloqué…” La famille. Sacrée dans le sud de l’Italie. “Mon frère n’est
qu’un modeste artisan injustement accusé”, plaide Son Eminence. Le
pedigree du frangin géomètre réjouira les modestes artisans. 1957:
arrestation pour attaque à main armée. 1984: rebelote pour faux et usage
de faux. La vocation. Un peu comme son aîné.

L’usure n’est pas un délit comme les autres, en Italie. C’est un sport
national. Une famille sur dix y a recours. Souvent, les taux d’intérêt
donnent le vertige. Les victimes ont alors le choix: le suicide ou la
plainte. Quand ils déposent la leur, en janvier 1997, Leonardo Tatalo et Antonio Stipo,
commerçants à Sant’Arcangelo, racontent le scénario habituel: au
moindre emprunt, les banques leur réclamaient des garanties
invraisemblables. Ils avaient juste besoin d’un peu de trésorerie. C’est
le directeur local de la Banca di Napoli, Filippo Lemma, qui leur a expliqué comment s’y prendre. Depuis 1994, en association avec Mario Lucio Giordano,
il avait constitué une sorte de banque dans la banque, la “coopérative
de crédit”. Tout cela, bien sûr, était très officieux. Mais il était
prêt à les aider. Les traites? On verrait ça plus tard. Ils ont vu. En
un an, la dette de l’un est passée de 80 à 560 millions de lires
(environ 1,7 million de francs). L’autre a eu plus de chance: on ne lui
réclamait que du 300%…

Mais le gros lot est pour les magistrats du parquet de Lagonegro
(Calabre), le plus petit d’Italie, le plus teigneux aussi. En plongeant
dans les comptes de la “coopérative de crédit”, le procureur Russo
découvre que non seulement ses dirigeants brassaient des sommes énormes,
près de 150 millions de francs, mais que plusieurs versements
provenaient directement de l’archevêché de Naples. Environ 800 millions
de lires (2,6 millions de francs) de l’IOR, Institut des oeuvres de
religion, la banque du Vatican, auraient ainsi atterri sur le compte de
Mario Lucio Giordano. Le magistrat saisit également un carnet de chèques
en blanc signés du cardinal et gracieusement mis à la disposition de
son frère. Il ne lui en faut pas davantage pour soupçonner Mgr Giordano
d’avoir fourni une partie des fonds “propres” de l’affaire. Il est vrai
que l’archevêque de Naples a toujours poussé très loin le sens de
l’entraide familiale. En 1996, deux de ses neveux, un architecte et un
ingénieur, ont été chargés de rénover le palazzo Monte Miletto, un bijou
architectural appartenant au diocèse. Cahier des charges:
imperméabilisation des terrasses. A l’arrivée, le palais napolitain
s’est transformé en résidence grand luxe de sept appartements. Les
neveux ont un peu dépassé le devis. D’ailleurs, il n’y avait pas de
devis.

De multiples comptes
Son Eminence jonglait avec les millions. Les siens et ceux du diocèse.
Surtout ceux du diocèse. La limite est fragile. Le patrimoine de
l’Eglise n’appartient pas à l’archevêque, mais celui-ci dispose du libre
arbitre pour investir comme bon lui semble. Un exemple? Un jour, le
libre arbitre de Mgr Giordano lui a dit d’employer la trésorerie du
diocèse en plaçant 2 milliards de lires à la Bourse. Perte sèche: 600
millions (1,8 million de francs). Apparemment, le business de l’usure
était nettement plus rentable. Près de 10 millions de francs auraient
transité sur les multiples comptes bancaires du prélat. C’est beaucoup.
C’est même trop pour un archevêque qui, au sommet de sa carrière, touche
8 000 francs par mois. Quand il s’est aperçu que la famille Giordano
possédait plus d’une centaine de comptes bancaires, dans des
établissements aussi variés que la Caisse rurale de Calabre ou la Deutsche Bank,
le procureur de Lagonegro a jeté l’éponge. Un coup de fil à Rome.
Désormais, ce sont les experts de la Banque d’Italie qui planchent sur
la question.

Et le Vatican dans tout ça? On l’a dit: l’affaire donne des maux de
crâne aux plus proches conseillers du pape. Le cardinal de Naples ne
manque pourtant pas d’amis. Son plus fidèle soutien: Mgr Donato De
Bonis, bras droit, au début des années 80, de l’archevêque Paul Marcinkus,
alias “le Banquier du diable”, dont les malversations à la tête de
l’IOR avaient coûté au Saint-Siège la modique somme de 1,4 milliard de
francs. Le monde est petit. Officiellement, le Vatican soutient Mgr
Giordano. Officieusement, il n’a pas le choix. Bientôt, les
contribuables italiens vont remplir leur déclaration d’impôts. Il ne
manquerait plus que l’idée leur vienne de demander des comptes au moment
de cocher les fameux “8 pour 1000” destinés à l’Eglise et qui lui
rapportent, chaque année, plus de 4 milliards de francs. Les dénégations
du cardinal et la ferveur des Napolitains ont fait le reste. En guise
de précaution, néanmoins, le Saint-Siège a dépêché sur place son
spécialiste de la gestion de crise, l’avocat Maurizio Incerpi.
Le résultat n’est pas très rassurant. Jusqu’à maintenant, l’as de la
communication n’a donné qu’une seule consigne à Mgr Giordano: silence
radio.

Un homme, dans Naples, n’ignorait rien, ou presque, des fantaisies comptables de l’archevêque. L’administrateur du diocèse: Aldo Palumbo.
Voilà cinq mois, tandis que les premières indiscrétions remontent
jusqu’au Saint-Siège, il est convoqué par les responsables de l’IOR. La
banque du Vatican réclame des éclaircissements. Aldo Palumbo n’en mène
pas large. Il a beaucoup de choses à dire; il est prêt à les dire. Il ne
les dira pas. Quand il débarque à Rome, Mgr De Bonis lui explique que
l’entrevue est remise au lendemain. On recommande à l’administrateur une
adresse où poser ses valises. Un institut religieux sur les bords du
Tibre. Un endroit très reposant. Le lendemain, il ne se réveille pas.
Crise cardiaque. L’émotion, sans doute.

Lorsqu’il défraie la chronique, le clergé du Mezzogiorno fait rarement
dans le détail. On citera pour mémoire l’admirable Don Coppola, ce
prêtre qui maria Toto Riina en cavale et qui participa à une prise
d’otage avec rançon. Mais au-delà des liens, parfois ambigus, entre la
Mafia et l’Eglise, le vrai problème, c’est l’argent. “Prete in famiglia,
miseria non la piglia” (Avec un prêtre dans la famille, on ne connaît
pas la misère), dit le proverbe. Et avec un cardinal? Pour comprendre,
il faut tailler la route à travers les collines pelées de la Basilicate,
au sud du Sud, loin de Rome, loin de Naples. Loin de tout.
Sant’Arcangelo, 7 000 habitants, le fief des Giordano. C’est ici que
l’on détient tous les records du pays. Taux de chômage cosmique: 67%.
Revenu par habitant? “Bah! quand on mange le midi, on a peu de chance de
remettre le couvert pour le soir…” Lui, c’est Filippo d’Agostino, dit
“Loup solitaire”, micro d’or au festival de Tramentola,
fondateur-animateur de Radio Basilicata 2, 12 000 auditeurs en moyenne,
15 000 au plus fort du scandale. Son studio est installé dans deux
pièces minuscules, coincé entre l’église, la demeure du cardinal, celle
de son frère et la pharmacie du neveu. Chaque jour, dans son émission,
il harangue les consciences endormies. Il enrage contre les féodalités
locales, dénonce l’hégémonie des Giordano, balance le chef des
carabiniers: “Eh! Maréchal, je sais que tu m’écoutes, alors bouge un peu
ton cul de ta chaise…” Vingt ans que ça dure. Et presque autant que
l’église d’à côté est fermée. A moitié détruite par le tremblement de
terre de 1981. L’Etat a débloqué des dizaines de milliards pour la
région. C’est l’époque où le frère du cardinal s’est découvert une
passion pour le métier de géomètre. Traduction de Loup solitaire: “Il a
piqué tout le pognon.” Dans l’église, les travaux n’ont jamais commencé.
Mais, à deux pas de là, les baraques de la famille ont doublé de
hauteur.

Sans d’Agostino, rien ne serait jamais arrivé. C’est lui qui a convaincu
ses deux copains de porter plainte. Et pas chez les carabiniers du
coin. Non. Directement au parquet. “Ici, si tu accuses un proche du
cardinal, ce n’est pas sur lui qu’on enquête, explique-t-il. C’est sur
toi…” A ses côtés, Leonardo Tatalo hoche la tête. Il tient une
boutique sans âge à l’entrée du patelin. De la lingerie féminine. Quand
il vend trois soutiens-gorge par jour, c’est Noël. C’est à lui que le
frère du cardinal et le banquier Lemma réclamaient 1,7 million. Tatalo
se souvient qu’un jour il a accompagné Lemma jusqu’à la maison de Mgr
Giordano, de passage dans le village. Lemma avait l’air très inquiet. Il
disait que le siège de la Banca di Napoli avait entamé une inspection.
Qu’il s’était planté dans ses jeux d’écritures. Qu’il lui fallait
d’urgence 700 millions de lires. Quand il est ressorti de chez le
cardinal, ce n’était plus le même homme: “Il avait la tête du type qui
vient de gagner au Totocalcio”, dit Tatalo.

Devant le procureur, le petit marchand de lingerie a tout déballé. C’est
lui qui a porté l’accusation de blanchiment. Il passait à la banque.
Lemma l’a fait monter dans son bureau. Il y avait là quelques personnes
dont Mario Lucio Giordano et un type au fort accent calabrais. Ils lui
ont proposé 120 millions de lires, cash, contre un chèque de 80
millions. Tatalo a toujours pensé que la Ndrangheta était derrière,
qu’il s’agissait de l’argent de la drogue et du racket. “C’est bien la
première fois qu’un banquier voulait me faire gagner du fric.”

Parfois, le soir, Filippo d’Agostino convie son ami Tatalo à boire un
verre, pour se remonter le moral. Ils se sentent un peu seuls dans le
village, mais ils ne vacillent pas. Il arrive aussi qu’Antonio Stipo,
courtier en assurances, les rejoigne. Immanquablement, la conversation
embraie sur les oeuvres et les pompes de Mgr Giordano. D’autres plaintes
ont été déposées dans la région à l’encontre de la “coopérative de
crédit”. Mais Tatalo et Stipo sont les premiers, les seuls à ne pas se
protéger derrière l’anonymat. Le cardinal, dans sa grande bonté, a
souvent une pensée pour eux. Stipo, l’air biblique: “Le Christ a été
crucifié, il a pardonné. Le pape s’est fait tirer dessus, il a pardonné.
Vous savez ce qu’il dit de nous, Giordano, sur les écoutes? ??Je vais
les jeter dans l’acide””…

Ces trois-là ont livré leurs maigres destins aux mains du procureur de
Lagonegro. Ils peuvent compter sur lui. Michelangelo Russo ne se lasse
pas de traquer les confidences de l’establishment ecclésiastique. Il y a
même pris goût. Face au secrétaire particulier du cardinal, Salvatore Ardesini,
il attaque en piqué: “Monseigneur, je suis communiste, ma famille est
communiste. Mais je paie le 8 pour 1 000. Et je veux savoir où va mon
argent…” Ce n’est pas la formule magique – le magistrat cherche encore
des preuves tangibles de l’enrichissement de Mgr Giordano – mais son
entêtement laisse des traces. Au lendemain de son interrogatoire, le
secrétaire du cardinal porte plainte pour “séquestration, abus de
pouvoir et violence”. Commentaire du tortionnaire: “Et pour viol, non?”

Retour à Naples. Eglise San Giuseppe. Le père Massimo Rastrelli
dirige la plus célèbre fondation anti-usure de la ville. Les dons des
fidèles alimentent une caisse de solidarité. Chaque année, des centaines
de familles sont extirpées de l’engrenage. Le père Rastrelli porte un
téléphone cellulaire à la ceinture, et Mgr Giordano très haut dans son
estime. Les accusations contre le cardinal le font s’esclaffer. Ici, en
tout cas, rien n’a changé: les paroissiens continuent de verser leur
obole les yeux fermés. “Et puis, dit-il, je suis jésuite. Je n’ai le
droit de posséder aucun bien matériel. Ça inspire confiance.” Bref, tout
va pour le mieux. D’ailleurs, il apparaît très vite que, si son combat
contre l’usure le passionne, ce qui fait vraiment vibrer le père
Rastrelli, ce sont les miracles. Là, il prend feu. Chaque jour, cinq
malades ressortent guéris de son église. De la rhino-pharyngite au coma
profond. Il en fait le serment, le jure, le proclame sur tous les tons.
Puis il tire son visiteur par la manche, lui montre un vitrail sous les
voûtes. “Vous voyez la croix, juste en dessous? Pendant la guerre, une
bombe américaine a traversé le vitrail et s’est fendue en deux sur la
croix. Sans exploser. Tout le quartier a été rasé. Sauf l’église.”
Evidemment.

Soutenu par Naples
Y a-t-il quelqu’un, dans cette ville de sang, d’extase et de
superstition, qui voudra dire du mal de Mgr Giordano? Le maire,
peut-être. Un communiste. Antonio Bassolino.
Toute l’Italie lui tresse des couronnes. Il a rénové sa ville. Il a
ferraillé avec la Camorra. Il a même tenté d’apprendre le civisme à ses
concitoyens. C’est dire. Le seul à lui taper dessus régulièrement? Son
Eminence, naturellement. Et que dit M. le Maire, aujourd’hui? “Je tiens,
comme toute la population de Naples, à exprimer publiquement mon
soutien à Mgr Michele Giordano”, etc. La routine. Il est vrai que,
malgré toutes ses qualités politiques, c’est lors de la fête de
l’Immaculée qu’Antonio Bassolino s’est taillé son plus beau succès
populaire, voilà trois ans. Pour déposer un bouquet de fleurs sur la
tête de la Madone, il n’a pas hésité à braver la bousculade ni à
déchirer sa chemise en grimpant sur une échelle de pompier.
Acclamations. Photos dans les journaux. Et un triomphe (77% des voix)
aux élections.

Bien avant l’admirable Michele Giordano, il existait une figure de
légende dans l’histoire de l’église napolitaine: un archevêque des
années 50, le cardinal Alfonso Castaldo.
Un homme à poigne, lui aussi. Un génie. A sa mort, il n’a pas laissé de
testament. Mais on a découvert qu’il avait mis la moitié du patrimoine
du diocèse à son nom. 700 millions de francs au bas mot. Ses descendants
n’ont pas osé accepter l’héritage. Les Napolitains ont trouvé ça
presque mesquin.

Il y a une semaine, Mgr Giordano a lancé une idée de contre-attaque
auprès de son entourage. “Et si quelqu’un avait imité ma signature?” Il
paraît que l’avvocato Incerpi a été contraint d’intervenir en urgence:
“Et les relevés de banque, Monseigneur? Vous l’auriez tout de suite
remarqué…” Ces gens du Nord sont vraiment des types contrariants.
D’ailleurs, cette histoire commence à chauffer les oreilles de Son
Eminence. C’est qu’il n’a pas que ça à penser, lui. Les choses sérieuses
sont pour bientôt. Pour le 16 décembre. Dernière cérémonie de San
Gennaro. Monseigneur sait très bien ce qu’il lui reste à faire. Il
connaît le tarif. Un miracle. Encore un. Dur métier.

Société suisse de bioéthique.
Au sujet du commencement de la vie et du clonage.”La réponse se trouve dans le livre:
L’embryon : un homme, de la Société suisse de bioéthique (SSB).
Selon St Thomas d’ Aquin, il y a âme humaine dès qu’il y a un corps humain.
Cf. Prof. Jean de Siebenthal : L’animation selon Thomas d’Aquin (p. 91-98).”
Déclaration de principes de la Société Suisse de Bioéthique en 4 langues.
La Société suisse de bioéthique, section romande
1. L’être humain, avec son individualité et toutes ses potentialités, est présent dès le premier instant de la vie embryonnaire (ovule fécondé, accidentellement son équivalent uni- ou pluricellulaire). Il s’agit d’une évidence pour l’homme de science contemporain. 2. L’être humain se distingue des autres êtres vivants par le fait qu’il est corps et esprit. À ce titre, chaque être humain est une personne unique pleine de dignité et de liberté, qu’on ne peut réduire à un animal ou un objet matériels. 3. L’embryon humain possède la dignité et les droits fondamentaux reconnus à l’être humain. On ne peut porter atteinte à son intégrité ni le détruire, que ce soit intentionnellement ou par négligence. Construire pour l’embryon un statut artificiel, au gré de nos désirs, d’une idéologie, au gré des besoins de la science ou de ceux de la société, constitue un détournement irrecevable de la raison. 4. Toute destruction ou atteinte à l’intégrité d’un être humain sous le prétexte de son âge, de son sexe, de sa race, religion, maladie ou infirmité, est à rejeter et prohiber. 5. La science et la technique ne sauraient s’engager dans une recherche qui ferait fi de la dignité et des droits fondamentaux d’un être humain. Une prouesse de la médecine, si prometteuse qu’elle puisse paraître, n’est pas, en tant que telle, licite. L’admettre reviendrait à consacrer le droit du plus fort. 6. La législation en ces matières ne peut se satisfaire de faits accomplis ou de perspectives séduisantes. Elle doit prendre en considération aussi des normes éthiques, compatibles avec les exigences de l’être humain. 7. Le mariage et la famille sont le cadre naturel de la transmission et du développement de la vie humaine. Ces institutions donnent à l’enfant protection, sécurité et la formation qui lui sont indispensables. Garantir leur valeur demeure la tâche fondamentale de la société. 8. Finalement, ces principes ne ressortissent pas à telle croyance, telle morale, ou telle éthique particulières; ils s’appuient avant tout sur un bon usage de la raison.
Un livre décisif
En Occident, la stérilité féminine résulte très souvent d’une ligature des trompes, d’un avortement, ou encore de l’emploi de la pilule.
Pour retrouver la fécondité perdue, on recourt à la fécondation extra-corporelle : ovules et spermatozoïdes extraits artificiellement de leur site naturel sont réunis en éprouvette ; parmi les ovules fécondés obtenus, certains sont alors implantés dans l’utérus, avec des taux de succès très faibles, au prix de manipulations et d’éliminations. L’obtention d’une seule grossesse nécessite la mise à mort de plusieurs dizaines d’embryons.
Or il est démontré dans ces pages que, dès la conception, l’embryon est un homme.
La fécondation extra-corporelle cause ainsi la destruction d’êtres humains ; de plus, elle tend par nature à la fabrication d’hommes, ce qui est contraire à la dignité humaine. En outre, l’homme, tout comme l’embryon dont il procède, est une personne ; de plus, la sexualité s’accomplit dans la procréation, et la famille est le lieu nécessaire de l’amour fécond.
Aux exposés de caractère scientifique succèdent des témoignages variés et vivants.

Projet:


INITIATIVE FÉDÉRALE flocons de
neige


« Contre l’élimination des embryons humains
congelés, pour leur adoption et contre le clonage»
.

Le droit suisse interdit la fabrication d’embryons
surnuméraires, Or, des milliers d’embryons humains
congelés ont été créés et
sont supprimés obligatoirement ou donnés aux chercheurs. Le
Conseil fédéral demande un moratoire. Les citoyennes
et citoyens suisses, aussi de l’étranger,
soussignés, ayant le droit de vote, demandent, en vertu des
articles 34, 136, 139 et 194 de la Constitution
fédérale et conformément à la loi
fédérale du 17 décembre 1976 sur les droits
politiques (art 685), que ce moratoire soit mis en vigueur par un
arrêté fédéral urgent (AFU) et par des
demandes de grâce à chaque Canton, et que la
Constitution fédérale soit modifiée comme
suit

Art 119, lettre e remplacé par Une fécondation
n’a lieu que par l’union naturelle d’un père et d’une
mère

et lettre d remplacé par:
1.Tous les embryons humains congelés ou in vitro,
notamment les cellules souches totipotentes ou les ovules «
imprégnés », sont dignes de respect et des
droits de l’homme.

2. Dans un délai d’un an, ces embryons doivent
être implantés et donnés à l’adoption
d’un couple marié.

3. L’import/export et le transport d’embryons humains à
d’autres fins sont interdits.

4. Les autres formes de maternité de substitution sont
interdites.




Dispositions transitoires:

1.Toute norme juridique ou de facto allant à l’encontre
de ce respect est abrogée, notamment la loi
fédérale LPMA du 18 décembre 1998 et la
lettre a de l’article 31 du Code Civil qui est remplacée
par ” La personnalité commence dès la
fécondation, même d’un ovule
imprégné”.

2.Les adoptions peuvent commencer de suite. La
congélation se prolonge si aucun parent ne se
présente.

3.La Confédération double les aides parentales
communales, cantonales et fédérales ou les triple si
l’enfant est handicapé. Dans ce dernier cas, les parents
ont un mois pour décider de redonner l’enfant à une
autre famille.

4. Un embryon mort, à quelque stade que ce soit, doit
être inhumé avec le respect dû à tout
être humain.

5. Une fécondation n’a lieu que par l’union naturelle
d’un père et d’une mère, afin que toutes ces
recherches notamment génétiques avec des souffrances
inutiles, la mort d’embryons oit des clonages soient rendues
impossibles à jamais.

Note : Familiaplus, Case postale 65, 1001 Lausanne,

Rappel:



 

Initiative pour une procréation digne



Secrétariat de la Suisse Romande:

Mme Fabienne Waldis
Chemin de Saucens 18-1630 Bulle
Tél.  026 – 912 05 36 
Fax 026 – 912 06 55
Secrétariat principal:
Initiative FMF
M. Hansruedi Mettler
5724 Dürrenâsch
Tél .  062 – 767 60 03 
EMail :info@fmf.ch
Note éditoriale
Ce numéro 252 de Finalités de février 2000
est entièrement consacré au problème
important soumis en votation populaire en Suisse le 12 mars 2000
dans le cadre de l’initiative.

Pour une procréation digne, interdisant la
procréation hors du corps de la femme et l’utilisation de
sperme de tiers.

LES MANIPULATIONS SUR LES
EMBRYONS HUMAINS SERAIENT AINSI
LÉGALEMENT SUPPRIMÉES.
Plus de fécondations in vitro
Plus de banques d’embryons congelés
Plus d’hommes jetés à la poubelle
Ce qui se passe dans toutes ces
manipulations est un crime contre l’humanité, une
violation des droits de l’homme pire que celles qui
sévissent déjà un peu partout dans le
monde.

Les
pages qui suivent essaient d’attirer l’attention du lecteur sur
les divers aspects de la question. Elles procèdent
d’extraits de textes émanant du Comité
présenté ci-contre, et communiqués par M.
François de Siebenthal lors de sa conférence de
presse du 20 janvier 2000 à Lausanne :



LA RECHERCHE SUR L’EMBRYON

Savez-vous
… que l’embryon humain constitue l’objet le plus
intéressant pour la recherche ?

… que, une fois la voie ouverte, les abus dans la recherche
sur les embryons ne peuvent être ni contrôlés
ni arrêtés ?

… qu’ainsi l’être humain est abaissé au rang de
cobaye ?

Avec un OUI à l’initiative PPD …
… nous refusons des manipulations sur la vie naissante qui
ont pour suite la mort au lieu de la guérison.

LA DIGNITE DE LA FEMME
Malheureusement

… la procréation in vitro ne se fait pas sans laisser
de traces chez la femme.

… la femme peut, sans le savoir, être utilisée
comme pourvoyeuse de matériel de base pour les
manipulations sur les embryons.

Dites OUI à l’initiative PPD …
… pour que le sentiment du respect de soi chez la femme
stérile ne soit pas blessé et que les tentatives de
pression lui soient épargnées.

LES LIMITES DU FAISABLE
On
doit savoir …

… que suite à une procréation in vitro, les
statistiques démontrent une hausse des complications, comme
les grossesses multiples, les naissances
prématurées, les enfants morts-nés, les
césariennes, l’augmentation de la mortalité des
nourrissons, etc.

… que le traitement médical très coûteux
prodigué par une équipe pluridisciplinaire de
médecins est éprouvant et en plus, requiert un suivi
psychologique avant et après le traitement.

Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
… sait que le fait de ne pouvoir avoir des enfants n’est
souvent pas dû à des raisons organiques et que, par
conséquent, il ne peut pas être résolu par des
moyens techniques.

LA STERILITE
Par
bonheur …

… il arrive qu’après une bonne consultation ou
après l’accueil d’un enfant en pension, une femme que l’on
connaît stérile ait plus de chance d’avoir tout de
même son propre enfant qu’après une
fécondation in vitro. Mais la douleur est grande pour
chacune des 8 femmes sur 10 qui, malgré de multiples
traitements suite à une fécondation in vitro,
restent sans enfant.

Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
… croit que la stérilité n’est pas simplement
un problème de technique médicale.

UN ETRE HUMAIN SUR MESURE
Nous
craignons …

… que tout ce qui, pour le moment, est
considéré comme maladif soit, à l’avenir,
détruit sous prétexte que telle existence ne
«mérite pas d’être vécue» … que
les contrôles de qualité entraînent la demande
d’un enfant garanti en bonne santé.

… que le droit à la vie des handicapés soit de
plus en plus mis en question.

Nous disons OUI à l’initiative PPD …
… car nous n’avons pas l’arrogance de nous ériger en
juges des vies qui méritent ou non d’être
vécues.

LES MENSONGES SUR LA VIE
Peu
de personnes savent …

… que les données concernant un donneur de
sperme doivent être conservées à Berne
pendant 80 ans .
… qu’un enfant procréé grâce à du
sperme étranger n’apprend rien sur sa véritable
origine sans un effort spécial.

… qu’un mariage entre demi-frères et soeurs est
dès lors possible.

Seul un OUI à l’initiative PPD …
peut empêcher que des êtres humains soient
trompés sur leur vraie origine.

LA SÉCURITÉ AU LIEU DE LA PEUR
La
sécurité est préférable à la
peur car … … elle tient compte des mauvaises
expériences. … elle ne se fie pas aux promesses en l’air
… sa devise est: la confiance c’est bien, le contrôle
c’est mieux.

Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
évite un pas dangereux dans la mauvaise direction. Le
fait qu’une chose soit faisable, ne veut pas dire qu’elle doit
aussi être réalisée.

LE PEUPLE TROMPÉ
Tout
le monde ne sait pas …

…que, en 1991, on a affirmé au parlement qu’il n’y
aurait pas d’embryons surnuméraires et que le don de sperme
pourrait toujours être interdit ultérieurement.

… que désormais on avoue l’existence d’embryons
surnuméraires et que ceux-ci peuvent être
utilisés à des fins de recherche.

Celui qui dit OUI à l’initiative PPD
… ne se laisse pas de nouveau duper.
… saisit l’occasion d’éviter l’impasse.


DES SUITES INCONNUES A LONG TERME

On
devrait penser au fait …

…que l’on ne connaît pas du tout les effets de la
fécondation artificielle sur les prochaines
générations. … qu’en zootechnie, la
fécondation artificielle a des effets secondaires
inattendus.

… que nous agissons probablement selon la règle :
«On commence par l’animal, on passe ensuite à
l’homme».

Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
… évite aux générations futures des
problèmes insolubles.

UNE MARCHANDISE A CONGELER
Tout
le monde ne sait pas …

… que les ovules fertilisés sont congelés
à moins 196′ Celsius, et qu’on les décongèle
selon les besoins. … que beaucoup ne survivent pas au choc du
froid ou sont endommagés.

Celui qui dit OUI à l’initiative PPD …
… empêche que l’être humain ne soit
dégradé au rang de marchandise à
congeler.

jetés à la poubelle. Seule façon
d’échapper à cela: garantir une procréation
digne dans le corps de la mère, avec les gamètes du
couple (marié).

Jean de Siebenthal
COM1TE
L’initiative PPD jouit du soutien de nombreuses
personnalités:

Comité hors-partis de l’initiative PPD:
� Guido Appius, Bâle (Président)
� Marie-Laure Beck, Collonge-Rellerive
� Lic. lur. Ernst Danner, Zürich
� Dr. ing. chim. Viktor Girtanner, Sarnen
� Marie-Therese Larcher-Scheibert, Uitikon
� Dr. med.vet. Alexander Maissen, Ilanz
� Dott. med. Elisabetta Meier-Vismara,
Breganzona-(Vice-présidente)

� Dr. iur. Rudolf Montanari, Feldbrunnen
� Reinhard Müller, Wiliberg –
� Dr.iur.Marlies-Näf-Hofmann,Arbon
(Vice-présidente)

� Prof. Dr. Gian-Reto Plattner, Bâle
� Prof. Dr. med. Charles Probst, Laufenburg
� Pius Stössel, Uznach
� Julius Stöcklin, Bâle
� Prof. Dr. Dr. h.c. Arthur F. Utz, Villars-sur-Glâne
� Fabienne Waldis, Bulle
� Hansjürg Weder, Bâle
� Dorothee Zwicky, Hünibach
� Otto Zwygart, Bolligen
Il est largement question aujourd’hui des droits de l’homme et de la condamnation des crimes contre l’humanité. Or il convient de savoir de quoi l’on parle et de bien préciser ce qu’est la nature de l’homme. L’homme est un être vivant, doué donc d’un principe de vie autonome, de mémoire, d’intelligence et de volonté. Il transcende le végétal et l’animal. Comme tel, il a droit à un environnement digne, et dès la conception, c’est un individu de l’espèce humaine. Affirmons-le : l’embryon sitôt conçu est un homme. Un ovule humain fécondé est dans la règle un homme, pour lequel la nature a prévu un berceau : le ventre de sa mère, seul environnement digne de cet homme. Masturber la mère pour lui faire produire un certain nombre d’ovules et masturber le père pour lui faire éjecter des spermatozoïdes à mettre en présence des ovules, c’est offrir aux embryons ainsi engendrés le triste environnement d’une éprouvette, avec une sélection arbitraire d’individus, ces petits hommes étant traités comme des têtes de bétail. Ce n’est pas une procréation digne.C’est de plus la porte ouverte à toutes les
expérimentations sur des hommes, véritable crime
contre l’humanité, à commencer par des
congélations. Que de charniers !

Non, une procréation digne ne peut avoir lieu que dans
un couple uni durablement afin de garantir le développement
et la promotion de l’embryon, dans une famille au sens propre.

Quelle dérision de vouloir imaginer des couples
homosexuels capables d’adopter un enfant, Cela s’est vu en
Angleterre où une fillette a été
séparée de sa mère pour être
confiée à un couple de lesbiennes. Quelle
étrange procréation !

Dans le futur, serons-nous des hommes normaux, ou de simples
embryons décongelés ou non, élevés par
une mère porteuse, ou conserver), au début de leur
vie, entre le moment de la fertilisation et de la fusion des
noyaux de l’ovule et du spermatozoïde, non plus des embryons,
mais des ovules imprégnés. Voilà comment on
se moque des citoyens.

On nous suggère également de faire des banques de
cellules totipotentes pour développer en cas de besoin des
organes de transplantation sans risque de rejet. Les cellules
totipotentes sont des cellules embryonnaires encore aptes à
former les tissus les plus divers, voire un embryon tout entier.
Une cellule totipotente qui a le même génome que moi,
n’est-ce pas mon frère jumeau homozygote ? Et j’abuserais
de lui pour qu’il me cède son cœur ? son foie ?

L’intérêt caché des techniques de
procréation artificielle est la recherche. Pourtant, selon
le très regretté Jérôme Lejeune,
Professeur de génétique fondamentale qui a
découvert l’origine de la trisomie 21 (mongolisme), on peut
se passer des embryons humains en prenant par exemple des embryons
de chimpanzés mais … ils sont plus chers. On le voit, les
bonnes intentions des législateurs ne suffisent pas pour
prévenir des abus dans ce domaine. Si nous voulons
empêcher que les chercheurs se livrent à des
manipulations sur l’homme, sur nos enfants, nous devons accepter
une interdiction totale de la FIVETE. Dans tous les cantons
où ils ont eu l’occasion de se prononcer sur cette
interdiction, les citoyens l’ont fait.

PRENONS LEUR EXEMPLE, VOTONS OUI POUR L’INITIATIVE PPD.
Dr Niklaus Waldis


CONFERENCE DE PRESSE

Lausanne, le jeudi 20.1.00 à l0h30

INITIATIVE POUR UNE PROCREATION RESPECTANT LA DIGNITE HUMAINE
En lisant la loi fédérale sur la procréation
médicalement assistée (LPMA), législation
concernant l’initiative dite du Beobachter, on serait amené
à penser que la Suisse a une base assez solide pour parer
aux aberrations telles que l’Anglaise de 59 ans qui s’est offert
des jumeaux grâce à un médecin italien et une
mère porteuse italienne, ou les 2 hommes homosexuels qui,
grâce au concours de la FIVETE, ont pu se procurer «
leur propre enfant » pour £ 200’000. Je me permets
cependant d’exprimer quelques doutes.

Le 17 mai 1992, le 73,8 % des citoyens n’a pas seulement
accepté une interdiction des mères porteuses mais
aussi l’obligation pour les « producteurs » de
bébés éprouvettes de « ne pas produire
plus d’embryons que ceux qui peuvent être implantés
immédiatement à leur mère». On serait
donc porté à croire qu’en Suisse la FIVETE
(Fertilisation In Vitro (en éprouvette) Et Transfert
d’Embryons) ne produirait donc pas d’embryons
surnuméraires. C’est faux et on nous ment. Bien plus, la
commission constituée par la Conseillère
fédérale Ruth Dreyfuss, et son Président, le
philosophe H.P. Schreiber, rapportent que non seulement des
embryons surnuméraires existent mais qu’il serait
même bien dommage de ne pas les utiliser pour faire de la
recherche sur eux au lieu de les jeter, après 5 ans de
conservation, par milliers dans les égouts.

Comment une telle infraction à la Constitution est-elle
possible

? Tout simplement en changeant le vocabulaire: on ne parle
plus

d’embryons mais d’ovules imprégnés. Je
m’explique. L’ovule de la femme

est très fragile. Il n’est viable que quelques heures et
ne peut être congelé

et dégelé sans périr). Pour le conserver,
il faut en faire un homme, c’està-

dire le fertiliser. Dès le moment où le
spermatozoïde à pénétré
l’ovule,

celui-ci reste viable même après la
congélation. Pour rester conforme à la

constitution fédérale, on nomme les
bébés éprouvettes (qu’on veut kryo-ovocyte
fécondé qui n’a pas encore commencé sa
division cellulaire ; dès que cette division a
commencé, le 2e jour après la fécondation, on
parle d’embryon). Le transfert de trois embryons au maximum dans
la cavité utérine est effectué en
général deux jours après la ponction
ovocytaire. Les embryons surnuméraires (4 en moyenne) sont
congelés. Ils pourront être décongelés
et transférés ultérieurement,
généralement au cours d’un cycle
spontané.

Taux de succès de la FIVETE :
Une étude du Dr C. Vozzi, menée en 1997 et 1998,
au CHUV, à Lausanne*, a mis en évidence un taux de
réussite de 33 accouchements pour 100 embryons
transférés.

Le Dr F. Olivennes de l’Hôpital de Clamart (France) parle
d’un taux de réussite de l’ordre de 25% à 30% de
grossesses (mais sans préciser la durée des
grossesses).

Complications de la FIVETE :
1) prématurité (9% pour les grossesse uniques,
26% pour deux enfants, 45% pour trois enfants ou plus, contre 6%
en moyenne pour les grossesse sans PMA, en France)

2) grossesse extra-utérine (6-7% avec FIVETE contre 1 %
des grossesses sans PMA)

Effets secondaires de la stimulation hormonale :
� A court terme : 1) le syndrome d’hyperstimulation ovarienne
(SHO) peut être léger (sensation de pesanteur
abdominale avec gros ovaires kystiques), modéré
(troubles digestifs, notamment vomissements et troubles du
transit) ou sévère (épanchements
séreux tels une ascite, un hydrothorax ou une
péricardite, des troubles hydro-électrolytiques, des
accidents thrombo-emboliques). 2) prise de poids 3) perturbation
du cycle 4) thrombose

� A moyen terme : activation d’une pathologie sensible aux
oestrogènes (fibrome, endométriose, mastopathie
bénigne).

La FIVETE est une technique de procréation
médicalement assistée (PMA) par laquelle la fusion
de l’ovule et du spermatozoïde (fécondation) est
effectuée hors du corps de la femme. Elle n’est donc pas
issue d’une union sexuelle, mais d’une intervention
médicale. Elle est suivie du transfert dans l’utérus
de deux ou trois embryons issus de cette intervention et de la
congélation des embryons surnuméraires. Parmi les
indications à la FIVETE, on compte la
stérilité tubaire incurable (38% des cas), la
stérilité masculine (32%) et d’autres types de
stérilités ou d’hypofécondité
(troubles de l’ovulation 12%, endométriose 9%, cause
inconnue 9%). Selon l’OMS, l’infécondité (absence
d’enfant conçu pendant deux années de cohabitation
avec rapports sexuels non protégés) a une
prévalence de l’ordre de 10% dans les pays
industrialisés.

Les différentes étapes de la FIVETE se
déroulent comme suit :

l’administration d’hormones (gonadotrophines) à la femme
permet de stimuler les ovaires afin qu’ils produisent plusieurs
ovocytes (ovules). La surveillance de la croissance des follicules
ovariens (correspondant à l’ovule et au tissu qui
l’entoure) se fait par échographie et par dosage sanguin de
l’estradiol. Quand les follicules atteignent 16-17mm, le
médecin déclenche l’ovulation par l’injection d’une
autre hormone (hCG). La maturation finale des ovocytes s’effectue
pendant les 36h qui suivent cette injection. Juste avant que
l’ovulation ne se produise, le médecin effectue une
ponction ovocytaire par voie transvaginale, sous contrôle
échographique. Les ovocytes sont alors incubés dans
un milieu de culture pendant quelques heures avant
l’insémination. Le sperme éjaculé est
préparé en vue de l’insémination
(sélection des spermatozoïdes mobiles, normaux).
L’insémination des ovocytes se fait en les mettant en
contact avec les spermatozoïdes sélectionnés.
Le tout est placé dans un incubateur.

La mise en évidence de la fécondation par
l’observation des ovocytes se fait 18 à 22 heures
après l’insémination (on appelle« zygote »
un

Olivennes F. Echecs répétés en FIV:
stratégies

thérapeutiques. Service de Gynécologie-
Obstétrique de l’Hôpital A.

Béclère, Clamart, France, janvier 1999.
http://www.civneweb.fr/sources/congres/eta/99/pma/echecfiv.htm
Hedon B. Les vrais résultats de la FIV. Services de
Gynécologie-Obstétrique, Hôpital A. de
Villeneuve, Montpellier, France

http://www.gyneweb.fr/sources/congres/jta/97/3fivres.htm
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES
La stérilité (page 6) Lors d’un congrès
d’obstétrique psychosomatique tenu en 1990, le prof.
Stauber rapportait que 757 femmes sur 1’061 étaient
tombées enceintes de façon naturelle au cours d’un
traitement psychologique qu’elles suivaient dans sa clinique
berlinoise. Et si les dernières statistiques indiquent un
taux de réussite pouvant atteindre 35% dans le cas de la
fécondation in vitro, il ne faut pas oublier que ces
chiffres portent sur les grossesses cliniques, c.-à-d. que
seul le début des grossesses est pris en compte, non les
naissances.

La dignité de la femme (page 4) On constate avec
intérêt que,

parmi les défenseurs de l’initiative PPD, figurent tant
des partisans que

des adversaires de l’interruption volontaire de grossesse. Les
uns comme

les autres veulent éviter que les embryons
surnuméraires soient détruits

et que les femmes soient livrées à des tiers qui
s’adonnent à des pratiques

avilissantes. Les associations de femmes ont une position
catégorique en

la matière. Au cas où l’initiative PPD est
acceptée, les procédés d’assistance

à la procréation resteront autorisés,
notamment l’instillation, dans

le corps de la femme, du sperme de son partenaire et d’ovules
non fécon- � A long terme : Il est possible que la
stimulation ovarienne favorise la survenue de cancers de l’ovaire,
mais les différentes études effectuées ont
montré des résultats contradictoires. Cependant,
suite à une FIVETE, la patiente devra être suivie
à long terme au niveau des organes cibles de ces hormones
(utérus, ovaires, seins). Effets secondaires de la
congélation sur les embryons 65% des embryons
décongelés seront en assez bon état pour
être transférés dans l’utérus.

Il ne semble pas y avoir davantage de malformations
congénitales chez les enfants qui ont été des
embryons congelés.

Dr P. Della Santa,
20 janvier 2000
Références :
Consensus International sur la Procréation
Assistée. 1 FFS (Fédération Internationale
des Sociétés de Fertilité) ;
httl2J/www.mnet.fr/iffs/f artbis.htm Vozzi C., Senn A., Chanson
A., De Grandi, P. Germond M.

La fécondation in vitro « classique »est-elle
obsolète ? Médecine et

Hygiène, 01.09.99 ; 1592-1596.
Lucas H., Urner F. Jacquenoud N., Wagner 1. Fécondation
in vitro et ICSI. Clinique de stérilité et
d’endocrinologie gynécologique, Hôpital cantonal,
Genève. http://matweb.hcuge.ch/matweb/endo/FIV – atlas/fiv
– icsi.htm Transmettre la vie à l’aube du XXe
siècle. Publié sous la direction de François
Ferré, édition Inserm, Nathan, Paris,
1994.assistée, d’interdire la congélation d’ovules
fécondés dès que la conservation d’ovules non
fécondés serait possible.

Fécondation in vitro. A l’initiative PPD s’oppose la
nouvelle loi fédérale sur la procréation
médicalement assistée (LPMA) qui, pourtant, n’aborde
absolument pas certains aspects importants du problème,
comme par exemple: « Quand la recherche sur l’embryon
peut-elle être autorisée? ». Aussi le Conseil
fédéral annonce-t-il encore deux lois
supplémentaires, l’une portant sur l’analyse du
génome, l’autre traitant la recherche sur les embryons. Et
l’on demande au peuple de croire de nouvelles promesses! Seul un
Oui à l’initiative PPD garantit que nous n’aurons pas de
mauvaise surprise!

La sécurité au lieu de la peur (page 11) Il y a
50 ans, le peuple approuvait l’usage de l’énergie atomique
à des fins pacifiques. A présent, des catastrophes
comme celle de Tchernobyl, la recherche laborieuse d’un lieu
d’entreposage des déchets radioactifs en Suisse et bien
d’autres problèmes encore rendraient impossible
l’introduction du nucléaire. Comme l’utilisation du DDT
semblait prometteuse! Et aujourd’hui qu’en est-il?
Malheureusement, c’est souvent bien plus tard que des effets
secondaires funestes se manifestent, comme par exemple dans le cas
des enfants de la thalidomide. Il y a encore 20 ans, on
considérait comme immoral d’utiliser en médecine
humaine des techniques de reproduction empruntées à
la médecine vétérinaire. Les pratiques qui se
sont imposées depuis lors ne présentent aucune
garantie de sécurité. « La nature
n’obéira jamais à l’homme, mais l’homme doit
obéir aux lois de la nature, » avertissait Dioscoride
(1er s. après J.-Ch.). La protection de la nature comprend
également la protection de l’être humain dans son
intégralité, en tant qu’être disposant d’un
corps et d’un esprit, et dans son unicité. Par
conséquent, elle nous impose de renoncer aux manipulations
irréversibles, incontrôlables et avilissantes.

ICSI injection intra-cytoplasmatique de sperme
(dépôt d’un spermatozoïde dans un ovule)

** FIVfécondation in vitro (fertilisation dans une
éprouvette)dés, de façon à ce que la
fécondation s’effectue là où la nature l’a
prévue et échappe aux manipulations.

Les limites du faisable (page 7) Si la capacité de
fécondation du sperme est insuffisante, on applique depuis
peu la méthode ICSI* en éprouvette, qui consiste
à forcer, au moyen d’une aiguille creuse, le
spermatozoïde à pénétrer dans l’ovule.
On espère ainsi pouvoir éviter de recourir au sperme
d’un tiers. Toutefois, il est probable que le sperme du
partenaire, incapable de féconder un ovule par
lui-même, transmette sa faiblesse aux descendants. Cette
méthode est de plus en plus appliquée en
dépit du manque d’expérience sur le long terme et
des rapports alarmants provenant de Hollande et d’Australie.
L’initiative PPD y mettra fin. Les mensonges sur la vie (page 8)
Actuellement, la loi ne donne pas la possibilité de rendre
obligatoire la divulgation de l’origine parentale lorsqu’il y a eu
fécondation par le sperme d’un tiers. C’est ce qu’a
constaté la commission d’experts Amstad dans son rapport en
1988. Le nom des donneurs de sperme et les informations les
concernant ne sont d’aucune utilité si les personnes
intéressées n’y ont pas accès. Or, il se peut
qu’un jour la vérité fasse surface par hasard,
entraînant de graves crises d’identité, dans le cas
par exemple où il y aurait eu mariage fortuit entre
consanguins. Les arbres généalogiques ne seraient
plus que des canulars. Bien évidemment, ces
problèmes concernent aussi le don d’ovule.

Un produit congelé (page 12) La congélation d’un
ovule déjà fécondé peut être
qualifiée de tromperie in vitro. Le Conseil
fédéral a luimême reconnu le caractère
équivoque de ce procédé, sinon il n’aurait
pas prévu, dans l’art. 16 4 de la nouvelle loi sur la
procréation médicalement



 

Aide mariale.

Cette simplicité, c’est l’Abbé Bovet lui même qui en parle le mieux lorsqu’il évoque sa Suisse natale : « Mon Pays que j’ai servi à ma manière, de tout mon coeur, en le célébrant par mes chansons. Mon Pays que je continue à chanter jusqu’au dernier souffle de ma vie. Car il est vrai de dire que ce peuple, je l’ai aimé et je l’aime profondément. Mon but, en écrivant des chansons pour lui, a été de lui donner de la joie, de l’aider dans son labeur de tous les jours, de faire luire à ses yeux sans qu’elle s’éteigne, la flamme généreuse de l’espérance, du courage, de l’optimisme. C’est cela que j’ai voulu. J’y ai mis tous mes efforts et toute ma foi. J’y ai mis une sincérité rigoureuse. Ai-je réussi ma tâche ? Il est encore trop tôt pour le dire. En tout cas, mes chansons, je ne les ai pas écrites comme un simple compositeur, mais comme un prêtre aussi, et ce fut là mon ministère et mon apostolat. »

Le compositeur des alpages ne devrait pas éclipser le compositeur de Musique Sacrée, mais son succès en a décidé autrement. On se fera une opinion avec « Nouthra Dona di Maortse » (Notre-Dame des Marches, lieu de pélerinage suisse), pièce toute empreinte de piété populaire, mais ô combien priante. L’Abbé Bovet y révèle un phrasé à la fois coulant, dynamique, et plein de dévotion [La Procure peut vous fournir une version bilingue de cette pièce].

Nouthra Dona di Maortse

vivement recommandé de l’écouter…

http://www.chant-liturgique-paroisse.fr/comp.bovet/comp.bovet.html

NOUTHRA DONA DI MAORTSE – Joseph Bovet (1879 – 1951)

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Nous avons raison de compter sur vous,pour nous appuyer dans les mauvais moments.
Près de votre fils vous faut prier pour nous,
puis nous tous garder dans le bon chemin.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Il a beaucoup passé dans votre petite chapelle,

des gens qui y ont prié, de ceux qui y ont pleuré.

Sur votre belle hauteur, ils ne vous laissent pas seule,

ceux qui ont des soucis ils viennent vous appeler.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Venez nous aider nous avons très besoin,

pour faire toujours bien comme il faut ce qu’il faut.

Il nous semble quelquefois que le ciel est tellement haut,

que nous pourrons jamais grimper jusque làhaut.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Quand il faudra mourir c’est vous qui faut nous prendre,

nous vous avons tant dit qu’il faut pas nous oublier.

D’ici pas trop longtemps laissez nous attendre,

devant le paradis sans y nous faire entrer.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

Nous avons raison de compter sur vous,

pour nous appuyer dans les mauvais moments.

Près de votre fils vous faut prier pour nous,

puis nous tous garder dans le bon chemin.

Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!

http://www.chant-liturgique-paroisse.fr/comp.bovet/comp.bovet.html




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