Votre voracité blesse l’économie ( du haut du tas de $ )

Du bas: Augmentez le salaire minimum…







Complètement coupé des peuples souverains, comment résister ?


http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

Le principe de «subsidiarité». «Subsidiarité» veut dire que le pouvoir doit rester le plus bas possible. Le principe constitutionnel suisse : tous les pouvoirs sont en bas, sauf ceux qui ont été expressément délégués au niveau au-dessus et par écrit. Si quelque chose n’a pas été écrit et défini dans un texte par écrit, cela reste au niveau du bas. C’est exactement l’inverse dans les Traités européens de Maastricht et les suivants…

La crise financière est-elle sans limites ? Vous pouvez poser des limites. Comment ?

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La France, Fille Aînée de l’Église, grâce à Ste Clotilde, épouse de Clovis.

Une Suisse Burgonde qui convertit Clovis, chef des Francs

La Suisse dit non aux abus de l’ Union européenne

Nous aimons citer une partie d’une conférence de M. François de Siebenthal, de la Suisse, lors de notre réunion du 28 mars, à la Maison de l’Immaculée, à Rougemont. M. François de Siebenthal est MBA et licencié en économie HEC de Lausanne et licencié en sciences juridiques de l’Université de Lausanne. Il est a. Consul général honoraire des Philippines et Secrétaire général du Corps Consulaire à Lausanne.

M. de Siebenthal a un grand amour de sa patrie. Il souhaite de tout cœur que la Suisse n’adhère pas à l’Union européenne afin qu’elle puisse garder sa civilisation chrétienne, sa culture.

«La Suisse a dû résister pendant des siècles, dit M. de Siebenthal et elle doit encore résister maintenant à ce que l’on appelle l’Union européenne. C’est une union qui ne veut pas Dieu dans sa Constitution et qui veut de nouveau écraser la Suisse. La Suisse a dit encore une fois «non» à l’Union européenne et elle a déjà refusé plusieurs fois. Et l’Union européenne continue d’attaquer la Suisse…»

Le drapeau suisse que vous m’avez fait l’honneur de remettre en évidence sur la scène et par vos chants est un drapeau carré qui a une grande signification dans l’héraldique. Sur ce drapeau carré, le seul dans le monde avec celui du Vatican, les trois symboles de la Trinité, le carré est le symbole de la création divine par le Père, le rouge, c’est la couleur du Saint Esprit. La croix représente la croix du Christ. Lors d’une bataille où les Suisses combattaient pour l’Église, un crucifix était attaché haut près de la hampe. Dans l’histoire, ce crucifix est descendu, il s’est agrandi et il est devenu le drapeau de la Suisse. Le culte des Dix Mille Martyrs (la vénération des saints Maurice, Victor, Ursus et leurs camarades de la légion thébaine, qui subirent le martyre à l’actuel Saint Maurice en Valais), très répandu en Suisse à l’époque, aurait influencé le choix de la croix blanche sur fond rouge, car dans beaucoup représentations des saints on les voit avec de telles armoiries ou même un tel drapeau. De plus, le pennon impérial, rouge à la croix blanche traversante lui aussi, a contribué au choix de l’emblème confédéré.

L’hymne national de la Suisse est l’hymne le plus ancien du monde. Il parle de Dieu dans ses strophes. Le corps des gardes de Suisse est le corps armé le plus ancien du monde encore en mission. Il défend sa seule fonction qui est de défendre le Pape, l’Église, l’Épouse du Christ.

La Suisse, mon pays, s’appelle aussi la Confédération helvétique. Nous sommes un petit pays mais qui respecte plusieurs cultures.

Saint Nicolas de Flue.

Notre patron est saint Nicolas de Fluë, un père de famille avec 10 enfants, qui sous l’injonction de la Sainte Trinité, s’est éloigné de 300 mètres de sa maison. Il a vécu 19 ans sans rien manger ni boire que la Communion. Et il a une très grande influence sur la spiritualité de la Suisse. C’est lui qui nous a protégés de nombreuses guerres mondiales. Nous sommes en paix depuis bien des siècles, grâce à un père de famille qui s’est consacré à Dieu pendant plus de 20 ans de sa vie.

Civilisation remontant aux apôtres selon St Pierre Canisius.

C’est bien important pour comprendre les paramètres économiques que nous vivons présentement, de connaître un petit peu la civilisation suisse. Historiquement, il faut savoir que la Suisse dépend en premier lieu, par une tradition orale, de saint Materne qui était le fils de la veuve de Naïm, qui était mort et qui a été ressuscité par le Christ. Il est venu évangéliser l’Europe, notamment la Suisse, l’Alsace et la montée vers la Pologne. C’est notre premier lien avec les apôtres. C’est un saint qui a été ressuscité du temps du Christ et qui est ressuscité une deuxième fois avec l’aide de saint Pierre, sur le territoire proche de la Suisse…

Saint Materne a vécu à un endroit qui s’appelle Hel vet, en Alsace, qui était proche d’Helvétie, de la Confédération helvétique. Saint Materne a eu une grande influence sur la formation chrétienne en Suisse, dans le temps du Christ. D’Israël, il est venu directement dans ces régions.

Le deuxième grand saint qui influence aussi la Suisse, c’est saint Maurice qui était un Égyptien de couleur noire, officier de l’armée romaine. Il a été tué comme martyr avec ses compagnons à Agaune qui a pris le nom de Saint-Maurice, en sa mémoire, avec une abbaye très célèbre dans le monde entier où il y a les reliques de saint Maurice.

Premier roi catholique en Europe

La Suisse a été influencée aussi par le premier roi chrétien d’Europe. Beaucoup de livres d’histoire sont faux. Le premier roi catholique d’Europe c’est saint Sigismond qui était un roi burgonde. Toute sa famille a été massacrée à titre de martyre, parce que le roi voulait convertir l’Europe de l’époque au christianisme. Lui et toute sa famille ont été jetés dans un puits. Il y a eu toute une alliance de différents blocs contre cette christianisation. Déjà, à l’époque, les puissants s’alliaient contre les catholiques.

Le royaume burgonde est venu de Worms, au bord du Rhin. Les Burgondes catholiques chrétiens ont combattu Attila (le chef des Huns) qui attaquait l’Europe. Cela a donné une gigantesque bataille sur le Rhin qui a causé plus de 20’000 morts. Pour l’époque, c’était colossal. Cette grande saga, qui était la lutte entre chrétiens et non-chrétiens, a donné une mystique européenne des Nibelungen qui est sous-jacente dans beaucoup de cultures européennes : anglaise, française, allemande, danoise, suédoise, etc.

Donc, le premier roi catholique de l’Europe, c’est Saint-Sigismond. Une princesse burgonde, Idilco, a tué Attila pendant la nuit de « noce ». Elle a sauvé l’Europe d’un danger terrible de destruction parce que les Huns tuaient leurs ennemis très facilement. Les Huns sont retournés en Asie.

Sainte Clotilde, une Burgonde de Genève.

La princesse burgonde, Clotilde qui était de la famille de saint Sigismond, est devenue l’épouse de Clovis. Elle l’a converti au catholicisme. Grâce à cette princesse burgonde, la France qui est reliée à la Bourgogne, est devenue chrétienne catholique. Les Burgondes avec Clotilde ont donc été les fondateurs de la Fille Aînée de l’Église, la France.

Le Sanctuaire des Rois français qui est Saint-Denis a été complètement profané par les révolutionnaires. Le Sanctuaire des Rois burgondes qui est Saint-Maurice, grâce à Dieu, n’a jamais été profané. Ce sanctuaire est près de Lausanne.

Le frère de ce Roi Sigismond s’appelait Godomar. Il s’était réfugié dans les montagnes de Suisse, près de Saint-Maurice. Il a fondé la civilisation valser. Le Roi Godomar, pratiquant l’Évangile, a reconnu que tous les citoyens burgondes étaient des prêtres, prophètes et rois, base de la démocratie directe.

Semblable au Crédit Social

Le Roi Godomar a pratiqué la méthode du Ring. La notion du Ring, qui rejoint la notion du Crédit Social de Louis Even, définit que le pouvoir doit rester le plus local possible. Tous les hommes se réunissaient en Ring, c’est-à-dire en cercle. Et dans les montagnes, ils définissaient localement leur vie sociale, économique et politique.

La coutume était prise de partager les domaines. Tous les domaines communs burgondes s’appelaient des allmends. Ce système économique du Ring était basé sur la maternité et le respect de la famille. Les femmes, contrairement au droit romain, avaient le droit d’agir en justice et même de se battre lors des guerres

Contrairement à tout le reste du monde, dans la tradition burgonde, la tradition valser aussi, ce n’est pas le fils aîné qui hérite du domaine mais c’est le cadet. Le dernier des garçons, le petit cadet, c’est l’assurance-vie, l’assurance-maladie.

Étant donné que les montagnes suisses étaient très pauvres, les aînés devaient partir avec une partie du troupeau et aller coloniser la vallée voisine. C’est ainsi que la civilisation valser s’est répandue dans toutes les Alpes, dans toutes les montagnes. Si les aînés rataient leur expédition, ils pouvaient revenir au point de départ. Comme le cadet était l’assurance-vieillesse du père et de la mère, les petits s’occupaient des malades et aussi des parents. Cette coutume d’avoir toujours un responsable en dernier ressort, favorisait la démocratie parce qu’autour de la table familiale, le petit, on l’écoutait. On savait qu’il était l’assurance de la famille.

Leur doctrine pratique se résume donc en fédéralisme, subsidiarité, corps intermédiaires, communes, cantons, confédération, fiscalité proche des citoyens.

Hofer le tyrolien a défendu ces valeurs même contre les troupes napoléoniennes.

La démocratie directe unique en Suisse (initiative constitutionnelle, référendum) vient de leur histoire.

Les Valsers ont perfectionné la technique de la montagne dans toute l’Europe. Il ont colonisé, depuis leur vallée d’origine, le Siebenthal (Gstaad, Saanen, Gessenay,Gsana, Gsteig…) la Suisse, l’Allemagne ( Bavière), l’Autriche, la France, l’Italie, le Liechtenstein et même des vallées yougoslaves (Sbrinz).

Ils sont les spécialistes de la construction des bisses, des routes de montagne, des ponts ( le pont du diable au Gothard, du GSanetsch….).

Un des noms de famille est par exemple von Flüe en allemand, de La Pierre en Français, de la Pierraz en italien….

Doctrine sociale de l’Église incarnée dans l’histoire

Une des caractéristiques de la Suisse, de cette civilisation valser, qui est une assimilation de Français, d’Allemands, d’Italiens, d’Autrichiens, de Yougoslaves, etc., c’est un respect de la Doctrine Sociale de l’Église incarnée dans l’histoire. Avant peut-être même que la Doctrine Sociale de l’Église existe, en tant que Doctrine Sociale, les Valsers la pratiquaient en respectant l’Évangile. Tous les villages valsers avaient un prêtre, un cimetière autour de l’église. Les maisons étaient réparties sur les territoires en un réseau respectueux de la nature. La deuxième loi promulguée fût celle du respect des forêts pour éviter les avalanches.

Chez les Valsers, pendant une longue période de l’histoire, il n’y avait pas d’argent. Cette civilisation s’est très bien développée, non polluante.

La famille à l’honneur

La grande coutume valser, c’était donc d’offrir dans une grande fête, lors du mariage d’un couple, une maison aux mariés, la maison toute équipée, construite pendant la fête. L’art musical (yodle, tyroliennes, la valse…) et pictural est joyeux.

Quand un enfant arrive, on dresse une grande pique ornée de son prénom pour en informer toute la vallée. Cette grande pique a servi de modèle pour faire les hallebardes avec une pique, une hache et un crochet sur la même lance pour la défense des familles.

La famille était mise à l’honneur. Donc, la première unité de la Doctrine Sociale de l’Église, la famille, était aidée par la communauté comme un cadeau. La deuxième unité était la commune (la paroisse), des foyers de familles.

Les familles des communes sont les cantons. Le canton, en Suisse, c’est un petit Etat qui a son organisation, sa police, son système scolaire. Ce sont des états assez indépendants. Et certains cantons sont eux-mêmes des confédérations de petits Etats. Au niveau de la Suisse entière, c’est une Confédération de petits Etats, de plusieurs cultures, de plusieurs langues qui vivent en bonne intelligence depuis des siècles.

Principes de la Doctrine Sociale

Le deuxième principe de la Doctrine Sociale de l’Église : les corps intermédiaires. Et cela fonctionne depuis des siècles en Suisse.

Troisième principe de la Doctrine Sociale de l’Église qui a été mis en pratique de manière automatique et historique, en Suisse : c’est le principe de «subsidiarité». «Subsidiarité» veut dire que le pouvoir doit rester le plus bas possible. Le principe constitutionnel suisse : tous les pouvoirs sont en bas, sauf ceux qui ont été expressément délégués au niveau au-dessus et par écrit. Si quelque chose n’a pas été écrit et défini dans un texte par écrit, cela reste au niveau du bas. C’est exactement l’inverse dans les Traités européens de Maastricht et les suivants…

Notre Constitution commence par le nom de Dieu Tout-Puissant. C’est l’une des rares constitutions du monde qui commence encore au nom du Créateur.

Petites banques locales

Au niveau économique, en Suisse, il y a énormément de petites banques locales, des banques mutuelles. Très souvent ces banques ont été fondée dans une ferme ou une salle paroissiale. Et le banquier est un paysan. Il tient les comptes. Il y a des milliers de petites agences comme ça. C’est ça, la vraie force des banques suisses. Dans les villages, ce sont de bien petites agences tenues par des paysans.

Une démocratie économique

La Suisse décentralisée travaille par référendum, par initiative. Les Suisses qui ne sortaient pas l’hiver à cause des montagnes, de la rigueur du climat, avaient le temps de penser à de nouvelles lois, aux initiatives à prendre, à un référendum à faire au printemps. Tous les hommes se réunissaient à un endroit «Le Ring». Ils devaient gérer les possessions communes qui appartenaient à tout le monde. Tout le reste de l’Europe, c’était des monarchies. La Suisse était un rare endroit du monde où il y avait une démocratie qui gérait l’économie locale : le Crédit Social appliqué localement et historiquement, pendant des millénaires. (NDLR : Cette phrase de Louis Even était mise en pratique : «Une aristocratie de producteurs au service d’une démocratie de consommateurs.»)

La civilisation valser existait sans argent, sans intérêt, sans usure, sans tout le système qui actuellement étrangle tous les pays. Nous voyons que notre pays, la Suisse, comme tous les autres pays, est en voie de disparition. Alors ma formation d’économiste, de banquier me permit de mieux comprendre ce qui se passe.

Il est clair que les banques suisses profitent d’une situation d’actif, d’un héritage qui vient de l’histoire, en paix, au milieu de l’Europe en guerre. La Suisse est devenue très riche. Tout le monde avait confiance en ce petit pays. Le facteur essentiel en économie, c’est la confiance. Crédit, qui vient du mot latin credere, signifie avoir confiance, donner son cœur, cuore dare. Le capital se réfugiait en Suisse et les banquiers suisses sont devenus des acteurs incroyables dans l’économie mondiale. Ils profitent donc d’une situation qui est un don de Dieu, un héritage qui fait que la Suisse a une bonne réputation dans le monde entier.

Cela rejoint un principe de notre fondateur, Louis Even : Chacun a un héritage, chacun est un héritier. Que ce soit les biens de la création, que ce soit des biens technologiques, des biens du savoir, des biens de l’organisation, des structures de la société, il y a tout un héritage qui fait que chacun d’entre nous devrait participer à cet héritage et vivre grâce à cet héritage.

C’est un peu l’histoire en résumé du pays d’où je viens. En fait, on a incarné le Crédit Social de Louis Even et du Major C.H. Douglas.

François de Siebenthal

http://www.inconditionnel.ch/index.php?id=73&L=1
Partage de l’abondance et du bonheur

Cher ami,

J’ai lu avec intérêt le texte que vous m’avez envoyé.

J’ai fait un pèlerinage il y a environ dix jours à Gstaad http://www.gstaad.ch/fr/index.cfm qui était la capitale fortifiée du royaume de Burgondie, premier royaume chrétien du monde.
Traduction en allemand moderne : God + Staat, c’est à dire Dieu et l’Etat !

Les Burgondes avaient été convertis par Saint Materne au Ier siècle, ” “le fils décédé de la veuve de Naïm, ressuscité par Jésus+”, selon les écrits de Saint Pierre Canisius à Fribourg. Il semble aussi que de nombreux juifs convertis se soient établis, notamment en Suisse romande et ont apporté de nombreuses traditions juives davidiques et chrétiennes du pouvoir, dont par exemple l’organisation de la vie des bourgs et villages en communauté de partage des biens, dites “organisation bourgeoisiales” (ex. http://www.bourgeoisie-de-sion.ch/) qui existent encore aujourd’hui en Suisse et qui géraient en commun les terrains et le fruit de la terre, les distribuaient au prorata du nombre des enfants par famille, géraient des lots communs au profits des veuves et indigents, construisaient “gratuitement” en commun la maison et les meubles d’un nouveau couple marié, plaçaient le pouvoir sur le respect du plus faible de la communauté, etc. On ne peut exercer la royauté, disait les rois burgondes que si chaque homme est roi au sens biblique, c’est à dire éduqué à gérer le bien commun avec responsabilité, soit en se confrontant aux difficultés du pouvoir au plus bas niveau et en résolvant les difficultés présentes avec équité, apprentissage voulu par Dieu pour croître en sagesse. Il y a donc obligation de subsidiarité du pouvoir, le dernier niveau, celui du roi ne s’occupant que de la protection du royaume et des relations “diplomatiques” et favorisant partout l’exercice d’une vraie justice au profit des plus faibles.

C’est une princesse burgonde, la princesse Clothilde ( lire Glothilde ou Clotilde ) qui se mariant avec Clovis le convertit au Christianisme au environ de l’an 500, permettant aux Francs de jouir librement du Christianisme. Toutes ces traditions chrétiennes du pouvoir ont disparus avec la perte de la foi, mais aussi par ce que dans le Protestantisme, l’individu est prédestiné et qu’un des signes de sa prédestination est sa richesse matérielle. En effet, la qualité des oeuvres est moins importantes dans le protestantisme et le sur-activisme est bien vu. Cette attitude devenant leader dans notre pensée, elle a forgé un individualisme et un libéralisme économique totalement opposés aux traditions de gestion communautaires des biens et du savoir développées jusqu’à la fin du Moyen-Age.

Je vous envoie ci-joint les armoiries de ma famille, originaire de Gstaad, photos prises dans la chapelle moyenâgeuse de Gstaad, dans le premier vitrail à droite de l’autel. C’est le symbole des deux poissons qui ont servis à la multiplication de la nourriture par le Christ avec les 5 pains. C’est donc le symbole de la justice de la répartition des biens communautaires et en surabondance lorsqu’il y a partage des charismes des métiers humains et respect de la loi divine. La deuxième armorie sur la photo est celle de mon ami François de Siebenthal qui a fait avec moi ce pèlerinage, soit un dragon signifiant le démon emprisonné par les 7 sceaux de Dieu (fin de la fin des temps dans l’apocalypse). symbolisant le combat de la fin des temps avec le dragon voulant prendre le pouvoir sur la terre, jusqu’à la crucifixion matérielle de l’église catholique sur la terre qui suit l’histoire de la vie terrestre du Christ. Il y a donc un temps d’apostasie progressive jusqu’à cette crucifixion où se généralise un système de valeurs non chrétiennes et injustes, concentrant le pouvoir pour le céder au démon. La concentration du pouvoir est l’opposé de la subsidiarité puisqu’elle est nécessaire pour une transmission à un pouvoir autoritaire anti-chrétien.

A mon avis, le système monétaire définit par la philosophie du pouvoir et surtout les acteurs du pouvoir en place, suit la même logique. On peut donc être audacieux dans sa critique, surtout si dans l’apocalypse le signe de la puissance de l’antéchrist semble être l’exercice de l’économie réservée exclusivement à ses adeptes, au travers du contrôle très strict de son droit d’usage, lié à une nécessité de parjurer sa foi au vrai Dieu. On pourrait développer ce point et le système qu’il convient de mettre en place pour arriver historiquement au contrôle décrit dans l’apocalypse, mais je reviens sur votre article en vous communiquant un exemple de fonctionnement transversal du système de subsdiarité qui subsiste en droit suisse au travers de la préréquation financière qui était à l’époque une aide des régions riches vers les régions pauvres sur la base de dons des régions riches sur les régions pauvres pour favoriser leur développement et le système éducatif. Aujourd’hui ce système est aussi l’enjeu des philosophies modernes, mais vous trouverez sa version actuelle sur ce lien de l’administration fédérale suisse : http://www.efv.admin.ch/f/downloads/finanzpolitik_grundlagen/finanzausgleich/revisionp_grundlagen/NFA-Brochure_f.pdf

En vous souhaitant un joyeux Noël en famille, très cordiales salutations,

Y. R.

L’Europe de Bruxelles: des menteurs, manipulateurs, tricheurs, escrocs, voleurs, centralisateurs, affameurs, cupides, avides, avares, fauteurs de guerres, meurtriers…

http://www.de-siebenthal.com/site03.htm

http://www.de-siebenthal.com/SITE05.HTM

http://desiebenthal.blogspot.com/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html

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