1. Retirer aux banques le pouvoir de créer de l’argent
  2. Donner ce pouvoir à une instance  au fonctionnement transparent et démocratique
  3. Créer de l’argent sans dette
  4. Assujettir la création monétaire à des objectifs décidés démocratiquement
  5. S’assurer que l’argent créé soit directement injecté dans l’économie réelle sans transiter par les marchés financiers
  6. Assurer aux individus la transparence et le contrôle de la façon dont leur argent est investi
  7. Oser remettre les créations monétaires, aux personnes, dès leurs conceptions


Lion de Lucerne
Löwendenkmal
Lion Monument.jpg
Lion de Lucerne.
Présentation

Type
Sculpture (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Commémore
Créateurs
Bertel Thorvaldsen, Lukas Ahorn (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Matériau
Construction 18201821
Statut patrimonial Bien culturel suisse d’importance nationale
Localisation

Pays Suisse
Canton Lucerne
Commune Lucerne
Adresse
DenkmalstrasseVoir et modifier les données sur Wikidata
Coordonnées 47° 03′ 30″ N, 8° 18′ 38″ E
Localisation sur la carte de Suisse

voir sur la carte de Suisse

Red pog.svg
Le Lion de Lucerne 
(en allemand : 
Löwendenkmal) est une sculpture située à Lucerne, en Suisse.
Dessinée par Bertel Thorvaldsen, puis sculptée en 18201821 par Lukas Ahorn, elle commémore les 300 soldats du Régiment des Gardes-suisses morts au service du roi Louis XVI de France, en 1792, lorsque les révolutionnaires prennent d’assaut le Palais des Tuileries à Paris.
L’écrivain Mark Twain décrit la sculpture, représentant un lion mortellement blessé, comme « la pièce de pierre la plus triste et émouvante du monde1 ».

Guillaume Tell, un paysan qui recherche la Justice

Dame Helvetia qui protège les plus faibles
Dominus providebit



Dame Helvetia, Guillaume Tell ou Thal, et sept Suisses de monnaie-pleine, des 4 grandes cultures suisses, qui ont la majorité du comité de 13..
L’initiative populaire peut être retirée par une décision prise à la majorité
absolue des auteurs suivants:
1. de Siebenthal François, Chemin des Roches 14, 1010 Lausanne
2. Jenni Thomas, Charmilles 14, 1400 Yverdon
3. Mottier Pierre Dimitri, Av. du Petit Chasseur 40, 1950 Sion
4. Kornmann Ewald, Frank-Buchser-Strasse 8, 4532 Feldbrunnen
5. Weber Hansruedi, Weinbergweg 7, 5408 Ennetbaden
6. Brändle Thomas, Höfnerstrasse 54, 6314 Unterägeri
7. Demeter Konstantin, Campagna 103, 6523 Preonzo
8. Geiler Enrico, ai Casgnò 3, 6528 Camorino
9. Kallenberger Werner, Waserstrasse 83, 8053 Zürich
10. Joób Mark, Bergstrasse 5, 8103 Unterengstringen
11. Scheller Hans-Rudolf, Haldenstrasse 8, 8427 Rorbas
12. Meier Daniel, Austrasse 25, 8483 Kollbrunn
13. Harringer Reinhold, Bachweidstrasse 25, 9011 St. Gallen



 https://www.admin.ch/opc/fr/federal-gazette/2014/3589.pdf


Avant l’infrarouge de ce mercredi,
à lire et méditer ,
vos valeurs,
votre conscience,
les valeurs PDC de vos électeurs
et le Vatican .


Dernier texte du Vatican, publié jeudi passé…. extrait…


22. Pour éviter les crises du système, il serait opportun de définir et de distinguer clairement, pour les intermédiaires de crédit bancaire, la sphère de l’activité de la gestion du crédit ordinaire et des épargnes, de ce qui est destiné à l’investissement et au pur business [43]. Tout cela permettra d’éviter autant que possible des situations d’instabilité financière.

Une bonne santé du système financier exige également l’information la plus complète possible afin que chaque personne puisse protéger, dans la pleine liberté et en toute conscience, ses intérêts : en effet, il est important qu’il sache si son capital est investi à des finalités de spéculation ou non ; ainsi il saura clairement le degré de risque et l’adéquation du coût des produits financiers auxquels il souscrit par rapport au risque encouru. Ceci est d’autant plus vrai que d’habitude, l’épargne, en particulier celle des familles, est un bien public à protéger et qu’elle vise une optimisation qui redoute le risque. Cette épargne, lorsqu’elle est placée auprès des mains expertes des conseillers financiers, exige qu’elle soit bien administrée et pas simplement gérée.

http://desiebenthal.blogspot.ch/2018/05/le-pape-monnaie-pleine.html


Le drapeau suisse contemporain a gardé une particularité de son origine militaire: il est carré. Avec celui du Vatican, c’est le seul au monde à avoir cette forme.


Petit détail qui a son importance. Lors de l’adhésion de la Suisse à l’ONU en 2002, on a frôlé l’incident diplomatique pour une question de forme. Un règlement de l’ONU stipule en effet que les drapeaux hissés au siège de l’organisation doivent être rectangulaires.


Heureusement, une solution a pu être trouvée. Une autre disposition onusienne prévoit une exception à la règle si le pays concerné accepte que la surface totale de son drapeau ne dépasse pas celle des autres! La Suisse s’est empressée d’accepter et depuis lors, le drapeau carré flotte librement sur l’esplanade des Nations Unies à New York….

Le cas du Vatican

Reste la question du Vatican, dont le drapeau est également carré. D’après le président de la Société suisse de vexillologie – la science des drapeaux -, Emil Dreyer, il y a très certainement un lien avec la Garde pontificale suisse. 


Depuis sa création au 16e siècle, la Garde suisse a toujours eu un drapeau. Et selon Emil Dreyer, lorsqu’en 1929, le Vatican est devenu l’État internationalement reconnu qu’il est aujourd’hui – et qu’il a eu besoin d’un drapeau ‘national’ – , il a paru logique que l’on se soit inspiré du drapeau de la Garde. 


Et justement ce dernier était – et reste toujours – carré.


swissinfo/Michel Walter


La Constitution suisse 
basée sur le nom de Dieu


La Doctrine Sociale de l’Église appliquée pendant des siècles
La France, Fille Aînée de l’Église, grâce à Ste Clotilde
Une Burgonde qui convertit Clovis, chef des Francs
La Suisse dit non à l’Union européenne matérialiste


Nous aimons citer une partie d’une conférence de M. François de Siebenthal, de la Suisse, lors de notre réunion du 28 mars, à la Maison de l’Immaculée, à Rougemont. M. François de Siebenthal est licencié en économie HEC ( Master ) et licencié en sciences juridiques de l’Université de Lausanne.
M. de Siebenthal a un grand amour de sa patrie. Il souhaite de tout cœur que la Suisse n’adhère pas à l’Union européenne afin qu’elle puisse garder sa civilisation chrétienne, sa culture.
«La Suisse a dû résister pendant des siècles, dit M. De Siebenthal et elle doit encore résister maintenant à ce que l’on appelle l’Union européenne. C’est une union qui ne veut pas Dieu dans sa Constitution et qui veut de nouveau écraser la Suisse. La Suisse a dit encore une fois «non» à l’Union européenne et elle a déjà refusé plusieurs fois ces tentations matérialistes honteuses. Et l’Union européenne, ainsi que les USA,  continuent d’attaquer la Suisse subtilement…»


François de Siebenthal :
Le drapeau suisse que vous m’avez fait l’honneur de remettre en évidence sur la scène et par vos chants est un drapeau carré qui a une grande signification dans l’héraldique. Sur ce drapeau carré, le seul dans le monde avec celui du Vatican, les trois symboles de la Trinité, le carré est le symbole de la création divine par le Père, le rouge, c’est la couleur du Saint Esprit. La croix représente la croix du Christ. Lors d’une bataille où les Suisses combattaient pour l’Église, un crucifix était attaché haut près de la hampe. Dans l’histoire, ce crucifix est descendu, il s’est agrandi et il est devenu le drapeau de la Suisse. Le culte des 6′ 666 Martyrs (la vénération des saints Maurice, Victor, Ursus et leurs camarades de la légion thébaine, qui subirent le martyre notamment à l’actuel Saint Maurice en Valais, à Soleure, à Zürich…), très répandu en Suisse à l’époque, aurait influencé le choix de la croix blanche sur fond rouge, car dans beaucoup représentations des saints on les voit avec de telles armoiries ou même un tel drapeau. De plus, le pennon impérial, rouge à la croix blanche traversante lui aussi, a contribué au choix de l’emblème confédéré. 
L’hymne national de la Suisse est l’hymne le plus ancien du monde. Il parle de Dieu dans ses strophes. Le corps des gardes de Suisse est le corps armé le plus ancien du monde encore en mission. Il défend sa seule fonction qui est de défendre le Pape, l’Église, l’Epouse du Christ.
Le chant le plus émouvant est le Lioba, ou Lyoba, en l’honneur de la Trinité paternelle.( voir le PS ci-dessous et écoutez ces musiques pour bien comprendre l’âme suisse )
http://www.youtube.com/watch?v=dj_t5t8zsXQ


http://www.youtube.com/watch?v=3xJFuZD5CvA
http://www.youtube.com/watch?v=gY_bxYxxDLM
http://www.youtube.com/watch?v=FU3j5umkrF4&list=PLC5031D05EF81C22B
http://www.youtube.com/watch?v=DL1dXLLe5No&list=RD02dj_t5t8zsXQ






http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/03/jerusalem-shalom-pax-paix-peace-frieden.html
La Suisse, mon pays, s’appelle aussi la Confédération helvétique. Nous sommes un petit pays mais qui respecte plusieurs cultures. Helvet dans les langues germaniques anciennes veut dire enfer, nous sommes allé vivre en montagne “infernale”, près des Diablerets ( Gstaad, Gessenay, Zweisimmen, en fait Zweisieben ),  pour être libres.
Saint Nicolas de Fluë
Notre patron est saint Nicolas de Fluë, un père de famille avec 10 enfants, qui sous l’injonction de la Sainte Trinité, s’est éloigné de 300 mètres de sa maison. Il a vécu 19 ans sans rien manger ni boire que la Communion. Et il a une très grande influence sur la spiritualité de la Suisse. C’est lui qui nous a protégés de nombreuses guerres mondiales. Nous sommes en paix depuis bien des siècles, grâce à un père de famille qui s’est consacré à Dieu pendant plus de 20 ans de sa vie.


Civilisation remontant aux apôtres
C’est bien important pour comprendre les paramètres économiques que nous vivons présentement, de connaître un petit peu la civilisation suisse. Historiquement, il faut savoir que la Suisse dépend en premier lieu, par une tradition orale, de saint Materne qui était le fils de la veuve de Naïm, qui était mort et qui a été ressuscité par le Christ. Il est venu évangéliser l’Europe, notamment la Suisse, l’Alsace et la montée vers la Pologne. C’est notre premier lien avec les apôtres. C’est un saint qui a été ressuscité du temps du Christ et qui est ressuscité une deuxième fois avec l’aide de saint Pierre, sur le territoire proche de la Suisse… 
Saint Materne a vécu à un endroit qui s’appelle Hel vet, en Alsace, qui était proche d’Helvétie, de la Confédération helvétique. Saint Materne a eu une grande influence sur la formation chrétienne en Suisse, dans le temps du Christ. D’Israël, il est venu directement dans ces régions.
Le deuxième grand saint qui influence aussi la Suisse, c’est saint Maurice qui était un Egyptien de couleur noire, officier de l’armée romaine. Il a été tué comme martyr avec ses compagnons à Agaune qui a pris le nom de Saint-Maurice, en sa mémoire, avec une abbaye très célèbre dans le monde entier où il y a les reliques de saint Maurice.
Premier roi catholique en Europe
La Suisse a été influencée aussi par le premier roi chrétien d’Europe. Beaucoup de livres d’histoire sont faux. Le premier roi catholique d’Europe c’est saint Sigismond qui était un roi burgonde. Toute sa famille a été massacrée à titre de martyre, parce que le roi voulait convertir l’Europe de l’époque au christianisme. Lui et toute sa famille ont été jetés dans un puits. Il y a eu toute une alliance de différents blocs contre cette christianisation. Déjà, à l’époque, les puissants s’alliaient contre les catholiques.
Le royaume burgonde est venu de Worms, au bord du Rhin. Les Burgondes catholiques chrétiens ont combattu Attila (le chef des Huns) qui attaquait l’Europe. Cela a donné une gigantesque bataille sur le Rhin qui a causé 20,000 morts. Pour l’époque, c’était colossal. Cette grande saga, qui était la lutte entre chrétiens et non-chrétiens, a donné une mystique européenne des Nibelungen qui est sous-jacente dans beaucoup de cultures européennes : anglaise, française, allemande, danoise, suédoise, etc.
Donc, le premier roi catholique de l’Europe, c’est Saint-Sigismond. Une princesse burgonde, Idilco, a tué Attila pendant la nuit de « noce ». Elle a sauvé l’Europe d’un danger terrible de destruction parce que les Huns tuaient leurs ennemis très facilement. Les Huns sont retournés en Asie.
Sainte Clotilde, une Burgonde
La princesse burgonde, Clotilde qui était de la famille de saint Sigismond, est devenue l’épouse de Clovis. Elle l’a converti au catholicisme. Grâce à cette princesse burgonde, la France qui est reliée à la Bourgogne, est devenue chrétienne catholique. Les Burgondes avec Clotilde ont donc été les fondateurs de la Fille Aînée de l’Église, la France.
Le Sanctuaire des Rois français qui est Saint-Denis a été complètement profané par les révolutionnaires. Le Sanctuaire des Rois burgondes qui est Saint-Maurice, grâce à Dieu, n’a jamais été profané. Ce sanctuaire est près de Lausanne.
Le frère de ce Roi Sigismond s’appelait Godomar. Il s’était réfugié dans les montagnes de Suisse, près de Saint-Maurice. Il a fondé la civilisation valser. Le Roi Godomar, pratiquant l’Évangile, a reconnu que tous les citoyens burgondes étaient des prêtres, prophètes et rois, base de la démocratie directe.
Semblable au Crédit Social
Le Roi Godomar a pratiqué la méthode du Ring. La notion du Ring, qui rejoint la notion du Crédit Social de Louis Even, définit que le pouvoir doit rester le plus local possible. Tous les hommes se réunissaient en Ring, c’est-à-dire en cercle. Et dans les montagnes, ils définissaient localement leur vie sociale, économique et politique.
La coutume était prise de partager les domaines. Tous les domaines communs burgondes s’appelaient des allmends. Ce système économique du Ring était basé sur la maternité et le respect de la famille. Les femmes, contrairement au droit romain, avaient le droit d’agir en justice et même de se battre lors des guerres
Contrairement à tout le reste du monde, dans la tradition burgonde, la tradition valser aussi, ce n’est pas le fils aîné qui hérite du domaine mais c’est le cadet. Le dernier des garçons, le petit cadet, c’est l’assurance-vie, l’assurance-maladie.
Etant donné que les montagnes suisses étaient très pauvres, les aînés devaient partir avec une partie du troupeau et aller coloniser la vallée voisine. C’est ainsi que la civilisation valser s’est répandue dans toutes les Alpes, dans toutes les montagnes. Si les aînés rataient leur expédition, ils pouvaient revenir au point de départ. Comme le cadet était l’assurance-vieillesse du père et de la mère, les petits s’occupaient des malades et aussi des parents. Cette coutume d’avoir toujours un responsable en dernier ressort, favorisait la démocratie parce qu’autour de la table familiale, le petit, on l’écoutait. On savait qu’il était l’assurance de la famille.
Leur doctrine pratique se résume donc en fédéralisme, subsidiarité, corps intermédiaires, communes, cantons, confédération, fiscalité proche des citoyens.
Hofer le tyrolien a défendu ces valeurs même contre les troupes napoléoniennes.
La démocratie directe unique en Suisse (initiative constitutionnelle, référendum) vient de leur histoire.
Les Valsers ont perfectionné la technique de la montagne dans toute l’Europe. Il ont colonisé, depuis leur vallée d’origine, le Siebenthal (Gstaad, Saanen, Gessenay) la Suisse, l’Allemagne ( Bavière), l’Autriche, la France, l’Italie, le Liechtenstein et même des vallées yougoslaves (Sbrinz).
Ils sont les spécialistes de la construction des bisses, des routes de montagne, des ponts ( le pont du diable au Gothard, du Sanetsch….).
Un des noms de famille est par exemple von Flüe en allemand, de La Pierre en Français, de la Pierraz en italien….
Doctrine sociale de l’Église incarnée dans l’histoire
Une des caractéristiques de la Suisse, de cette civilisation valser, qui est une assimilation de Français, d’Allemands, d’Italiens, d’Autrichiens, de Yougoslaves, etc., c’est un respect de la Doctrine Sociale de l’Église incarnée dans l’histoire. Avant peut-être même que la Doctrine Sociale de l’Église existe, en tant que Doctrine Sociale, les Valsers la pratiquaient en respectant l’Évangile. Tous les villages valsers avaient un prêtre, un cimetière autour de l’église. Les maisons étaient réparties sur les territoires en un réseau respectueux de la nature. La deuxième loi promulguée fût celle du respect des forêts pour éviter les avalanches.
Chez les Valsers, pendant une longue période de l’histoire, il n’y avait pas d’argent. Cette civilisation s’est très bien développée, non polluante.
La famille à l’honneur
La grande coutume valser, c’était donc d’offrir dans une grande fête, lors du mariage d’un couple, une maison aux mariés, la maison toute équipée, construite pendant la fête. L’art musical (yodle, tyroliennes, la valse…) et pictural est joyeux.
Quand un enfant arrive, on dresse une grande pique ornée de son prénom pour en informer toute la vallée. Cette grande pique a servi de modèle pour faire les hallebardes avec une pique, une hache et un crochet sur la même lance pour la défense des familles. 
La famille était mise à l’honneur. Donc, la première unité de la Doctrine Sociale de l’Église, la famille, était aidée par la communauté comme un cadeau. La deuxième unité était la commune (la paroisse), des foyers de familles. 
Les familles des communes sont les cantons. Le canton, en Suisse, c’est un petit Etat qui a son organisation, sa police, son système scolaire. Ce sont des états assez indépendants. Et certains cantons sont eux-mêmes des confédérations de petits Etats. Au niveau de la Suisse entière, c’est une Confédération de petits Etats, de plusieurs cultures, de plusieurs langues qui vivent en bonne intelligence depuis des siècles.
Principes de la Doctrine Sociale
Le deuxième principe de la Doctrine Sociale de l’Église : les corps intermédiaires. Et cela fonctionne depuis des siècles en Suisse.
Troisième principe de la Doctrine Sociale de l’Église qui a été mis en pratique de manière automatique et historique, en Suisse : c’est le principe de «subsidiarité». «Subsidiarité» veut dire que le pouvoir doit rester le plus bas possible. Le principe constitutionnel suisse : tous les pouvoirs sont en bas, sauf ceux qui ont été expressément délégués au niveau au-dessus et par écrit. Si quelque chose n’a pas été écrit et défini dans un texte par écrit, cela reste au niveau du bas. C’est exactement l’inverse dans les Traités européens de Maastricht et les suivants…
Notre Constitution commence par le nom de Dieu Tout-Puissant. C’est l’une des rares constitutions du monde qui commence encore au nom du Créateur.
Petites banques locales
Au niveau économique, en Suisse, il y a énormément de petites banques locales, des banques mutuelles. Très souvent ces banques ont été fondée dans une ferme ou une salle paroissiale. Et le banquier est un paysan. Il tient les comptes. Il y a des milliers de petites agences comme ça. C’est ça, la vraie force des banques suisses. Dans les villages, ce sont de bien petites agences tenues par des paysans.
Une démocratie économique
La Suisse décentralisée travaille par référendum, par initiative. Les Suisses qui ne sortaient pas l’hiver à cause des montagnes, de la rigueur du climat, avaient le temps de penser à de nouvelles lois, aux initiatives à prendre, à un référendum à faire au printemps. Tous les hommes se réunissaient à un endroit «Le Ring». Ils devaient gérer les possessions communes qui appartenaient à tout le monde. Tout le reste de l’Europe, c’était des monarchies. La Suisse était un rare endroit du monde où il y avait une démocratie qui gérait l’économie locale : le Crédit Social appliqué localement et historiquement, pendant des millénaires. (NDLR : Cette phrase de Louis Even était mise en pratique : «Une aristocratie de producteurs au service d’une démocratie de consommateurs.»)
La civilisation valser existait sans argent, sans intérêt, sans usure, sans tout le système qui actuellement étrangle tous les pays. Nous voyons que notre pays, la Suisse, comme tous les autres pays, est en voie de disparition. Alors ma formation d’économiste, de banquier me permit de mieux comprendre ce qui se passe.
Il est clair que les banques suisses profitent d’une situation d’actif, d’un héritage qui vient de l’histoire, en paix, au milieu de l’Europe en guerre. La Suisse est devenue très riche. Tout le monde avait confiance en ce petit pays. Le facteur essentiel en économie, c’est la confiance. Crédit, qui vient du mot latin credere, signifie avoir confiance, donner son cœur, cuore dare. Le capital se réfugiait en Suisse et les banquiers suisses sont devenus des acteurs incroyables dans l’économie mondiale. Ils profitent donc d’une situation qui est un don de Dieu, un héritage qui fait que la Suisse a une bonne réputation dans le monde entier.
Cela rejoint un principe de notre fondateur, Louis Even : Chacun a un héritage, chacun est un héritier. Que ce soit les biens de la création, que ce soit des biens technologiques, des biens du savoir, des biens de l’organisation, des structures de la société, il y a tout un héritage qui fait que chacun d’entre nous devrait participer à cet héritage et vivre grâce à cet héritage.
C’est un peu l’histoire en résumé du pays d’où je viens. En fait, on a incarné le Crédit Social de Louis Even et du Major C.H. Douglas.
François de Siebenthal
http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/03/le-roi-bat-monnaieun-dividende-pour.html
http://www.youtube.com/watch?v=pfExybMc3o4
PS:
on chante I E O U A avec les 3 noms des 3 personnes la Trinité qui ont donné le chant du LIOBA ( IOA, I E sh O U A, Alleluia, Abba)  qui était chanté en final pour accepter la mort et obtenir le ciel, avec le Christus Vincit en latin tous en choeur à trois voix et cinq tonalités circulaires et répétitives I E O U A, la gorge qui s’ouvre cinq fois pour donner en insistant sur les 3 voyelles I O A en plus soit le 8 de l’infini au total. Le nom de Dieu n’est que les 5 voyelles avec le L de L’ alleluia du St Esprit qui souffle comme il veut et donne la première vraie consomme. Le Shin de l’humanité au milieu de IEshOUA est à la fois voyelle et consonne…Ste Anne et
St I E O U A Kim ( Joachim) étaient priés en secret pour accepter les blessures.( voici la raison des nombreux hôpitaux St Anne dans les alpes).
Chaque fois qu’il y a sept prières, on demande les sept dons du St Esprit.
Au nom Longine, le commandant embrasse la lance de Bourgogne, qui contient un clou de la croix et qui est le prototype de la lance du Légionnaire originaire la Gaule qui s’est converti en voyant le Christ mourir sur la Croix.
( cette lance est à Vienne, une copie est à Cracovie)


Il fallait au moins huit personnes en rond pour donner le ton à l’armée rangée en ordre de bataille dans la nuit, voix masculines ET féminines mélangées.


Les Burgondes étaient connus pour ne jamais violer les femmes, même à la guerre, ce qui est miraculeux…
Les Papes de Lausanne.
Le duc de Savoie qui avait été élu et couronné pape, sous le nom de
Félix V par le concile de Bâle qui s’est terminé ä Lausanne, après
avoir voulu promulguer le dogme de l’Immaculée Conception et pour
faire la Paix en 1449, déposa la tiare à Lausanne et, conservant le
titre de cardinal-évêque de Sainte Sabine (protodiacre), vint finir
ses jours à Ripaille la joie, d’où il administra l’évêché jusqu’à sa mort en
tant que numéro deux de l’Eglise catholique.
Le Pape Jules II fût évêque de Lausanne.
C’est lui qui a stabilisé les gardes suisses au Vatican.
Le visage du St Suaire
était brodé sur les aubes des prêtres de Lausanne et la grande rosace
parle encore des miracles de la résurrection des embryons morts.
St Materne ressuscitera une troisième fois probablement à la fin des temps, …
http://www.de-siebenthal.com/site05.htm
La grande prière était dite par les armées suisses (Walser-burgondes) la nuit avant les batailles de défense, dès que 3 étoiles étaient visibles dans le ciel, femmes et hommes ensembles au combat. Ils ont sauvé plusieurs fois l’Europe de grandes invasions païennes.


Chaque unité avait son lecteur éclairé par des torches si nécessaire.






Tous, sauf les lecteurs et les luminaires, étaient de mémoire debout pour les textes, à genoux pour les deux Notre Père et Ave Maria, couchés face aux étoiles aux 3 Notre-Père des parties impaires et couché face à terre pour la 2ème partie, celle du Christ en croix, et tous debout aux autres prières.
Chaque fois qu’il y a 5 prières, on chante I E O U A avec les 3 noms des 3 personnes la Trinité qui ont donné le chant du LIOBA ( IOA, I E sh O U A, Alleluia, Abba)  qui était chanté en final pour accepter la mort et obtenir le ciel, avec le Christus Vincit en latin tous en choeur à trois voix et cinq tonalités circulaires et répétitives I E O U A, la gorge qui s’ouvre cinq fois pour donner en insistant sur les 3 voyelles I O A en plus soit le 8 de l’infini au total. Le nom de Dieu n’est que les 5 voyelles avec le L de L’ alleluia du St Esprit qui souffle comme il veut et donne la première vraie consomme. Le Shin de l’humanité au milieu de IEshOUA est à la fois voyelle et consonne…Ste Anne et
St I E O U A Kim ( Joachim) étaient priés en secret pour accepter les blessures.( voici la raison des nombreux hôpitaux St Anne dans les alpes).
Chaque fois qu’il y a sept prières, on demande les sept dons du St Esprit.
Au nom Longine, le commandant embrasse la lance de Bourgogne, qui contient un clou de la croix et qui est le prototype de la lance du Légionnaire originaire la Gaule qui s’est converti en voyant le Christ mourir sur la Croix.
( cette lance est à Vienne, une copie est à Cracovie)


Il fallait au moins huit personnes en rond pour donner le ton à l’armée rangée en ordre de bataille dans la nuit, voix masculines ET féminines mélangées.


Les Burgondes étaient connus pour ne jamais violer les femmes, même à la guerre, ce qui est miraculeux…






L’héritage de St SigisMund


Tous les chrétiens ont reçu de par l’onction du baptême, complété par la chrismation ou confirmation, le sacerdoce baptismal qui les fait « prêtres, prophètes et rois ». En outre le sacrement de l’ordre donne à certains de ses membres un sacerdoce ministériel. Ces deux sacerdoces sont différents et complémentaires.
« Alors que le sacerdoce commun des fidèles se réalise dans le déploiement de la grâce baptismale, vie de foi, d’espérance et de charité, vie selon l’Esprit, le sacerdoce ministériel est au service du sacerdoce commun, il est relatif au déploiement de la grâce baptismale de tous les chrétiens ». (Instruction sur quelques questions concernant la collaboration des fidèles laïcs au ministère des prêtres, Libreria editrice vaticana, cité du Vatican 1997) .


Tous sont égaux en démocratie directe






ahabà (amour agape dans la première alliance) a a  a, 3 voyelles a plus h et b,


a, gorge grande ouverte, symbole divin, A, alpha, allah….


b, symbole du papa


aba ( papinou),


H, inspiration, expiration, vie, lettre donnée à Abraham et à Sarah…


abram, abra h am, sara, …


Que ton Nom soit sanctifié, pour le sanctifier, il faut le chanter…
nous savons maintenant que son nom est compris dans le L io b a suisse, qui est en fait la prière de l’aube à Dieu, IOA, qui a donné l’aube, LIOBA, est ce fameux chant attirait les vaches vers le père de famille chaque matin.


I E O U A,
que des voyelles de la bouche qui s’ouvre toujours plus en un souffle et qu’un nouveau né peut dire.
soit articulé en manière trinitaire


I O A


le Père,


I E sh O U A   le Fils, avec sh, le shin qui signifie l’humanité en Dieu et


A ll E U I A le St Esprit, avec 2 L, car il souffle comme il veut


Malachie, fin de la première alliance, finit en disant:
Il ramènera le coeur des pères à leurs enfants, Et le coeur des
enfants à leurs pères, De peur que je ne vienne frapper le pays
d‘interdit.
et la nouvelle alliance commence par une généalogie de pères et de fils…
Le monde moderne fait exactement le contraire, il tue les lignées, les mariages, l’amour…
Choisi la Vie, ou la mort…
De peur que je ne vienne frapper le pays d‘interdit




Et le nouveau Testament commence justement par le récit d’une lignée…


I E shO U A, (Matthieu 24.36)
I E O U A Shalaom….
I E shO U A Shalaom
A ll E l UIA Shalaom
I O A




SI QUA FATA SINANT ( devise de la Cathédrale de Lausanne, dédiée à sauver les embryons, oculos humeris, dans le vitrail de la rose, à 3 heures…)
Cette simplicité, c’est l’Abbé Bovet lui même qui en parle le mieux lorsqu’il évoque sa Suisse natale : « Mon Pays que j’ai servi à ma manière, de tout mon coeur, en le célébrant par mes chansons. Mon Pays que je continue à chanter jusqu’au dernier souffle de ma vie. Car il est vrai de dire que ce peuple, je l’ai aimé et je l’aime profondément. Mon but, en écrivant des chansons pour lui, a été de lui donner de la joie, de l’aider dans son labeur de tous les jours, de faire luire à ses yeux sans qu’elle s’éteigne, la flamme généreuse de l’espérance, du courage, de l’optimisme. C’est cela que j’ai voulu. J’y ai mis tous mes efforts et toute ma foi. J’y ai mis une sincérité rigoureuse. Ai-je réussi ma tâche ? Il est encore trop tôt pour le dire. En tout cas, mes chansons, je ne les ai pas écrites comme un simple compositeur, mais comme un prêtre aussi, et ce fut là mon ministère et mon apostolat. »


Le compositeur des alpages ne devrait pas éclipser le compositeur de Musique Sacrée, mais son succès en a décidé autrement. On se fera une opinion avec « Nouthra Dona di Maortse » (Notre-Dame des Marches, lieu de pélerinage suisse), pièce toute empreinte de piété populaire, mais ô combien priante. L’Abbé Bovet y révèle un phrasé à la fois coulant, dynamique, et plein de dévotion [La Procure peut vous fournir une version bilingue de cette pièce].


Nouthra Dona di Maortse
vivement recommandé de l’écouter…
http://www.chant-liturgique-paroisse.fr/comp.bovet/comp.bovet.html


NOUTHRA DONA DI MAORTSE – Joseph Bovet (1879 – 1951)


Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!


Nous avons raison de compter sur vous,
pour nous appuyer dans les mauvais moments.
Près de votre fils vous faut prier pour nous,
puis nous tous garder dans le bon chemin.




Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!


Il a beaucoup passé dans votre petite chapelle,
des gens qui y ont prié, de ceux qui y ont pleuré.
Sur votre belle hauteur, ils ne vous laissent pas seule,
ceux qui ont des soucis ils viennent vous appeler.




Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!


Venez nous aider nous avons très besoin,
pour faire toujours bien comme il faut ce qu’il faut.
Il nous semble quelquefois que le ciel est tellement haut,
que nous pourrons jamais grimper jusque làhaut.


Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!


Quand il faudra mourir c’est vous qui faut nous prendre,
nous vous avons tant dit qu’il faut pas nous oublier.
D’ici pas trop longtemps laissez nous attendre,
devant le paradis sans y nous faire entrer.




Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!


Nous avons raison de compter sur vous,
pour nous appuyer dans les mauvais moments.
Près de votre fils vous faut prier pour nous,
puis nous tous garder dans le bon chemin.


Nouthra Dona di Maortse! Nouthra Dona di Maortse!
http://www.chant-liturgique-paroisse.fr/comp.bovet/comp.bovet.html

Lien sur ce sujet

Traduction »