Très chers amis au service de la vérité, des principes éthiques[1] que sont l’autonomie, la bienfaisance, la non-malfaisance et la justice, ainsi que les compétences morales[2] que sont la fiabilité, la fidélité, l’authenticité et l’honnêteté,

Nous vous invitons à prendre connaissance de l’analyse du professeur Adriano Segatori, psychiatre et psychothérapeute italien, effectuée avant qu’Emmanuel Macron soit président de la République française, à consulter sous : 
ER. « Macron est un psychopathe » : l’analyse d’un psychiatre italien. Egaliteetreconciliation.fr [en ligne]. 3 mai 2017. Disponible à l’adresse : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Macron-est-un-psychopathe-l-analyse-d-un-psychiatre-italien-45493.html 
Après traduction, paroles du professeur Adriano Segatori, psychiatre et psychothérapeute italien :
« L’analyse que j’ai faite sur Emmanuel Macron provient à la fois des images que j’ai en ma possession que la biographie dont le candidat se revendique.
Le jeune Emmanuel Macron à l’âge de 15 ans a subi une grave agression sexuelle via sa professeure qui à l’époque avait 39 ans.
Au lieu de la vision à l’eau de rose de cette union que l’on pourrait définir comme un mariage réparateur (pour réparer le viol), j’y vois plutôt le fait que s’est bloqué prématurément le développement d’Emmanuel Macron en plein adolescence à cause d’une opération de séduction à la fois psychique et physique.
Ce qui s’est passé, c’est à la fois dépasser un tabou et dépasser une limite. La limite même que prescrit le tabou.
Donc le premier passage a été la conviction que tout était permis.
Naturellement ce sentiment de toute puissance a eu lieu au sein de la bonne société bourgeoise d’Amiens dans le Nord de la France.
Si cette union avait eu lieu dans un environnement social prolétaire, cet environnement qu’Emmanuel Macron méprise profondément et bien Emmanuel Macron aurait été détruit et serait suivi par les services sociaux et Brigitte Macron serait en prison.
C’est la triste vérité. Nous sommes confrontés à un problème de type pédophile.
Une fois les limites du tabou dépassées, il s’est passée que l’idée d’omnipotence propre à chaque enfant a été ultérieurement encouragée. Jusqu’à dépasser un propre chevauchement de la réalité qui, renforcé par des avantages intellectuels, lui font extrapoler ses propres limites personnelles.
Le paradoxe veut qu’il semble pathologiquement normal mais nous sommes en plein narcissisme.
Macron depuis sa jeunesse nourrit une ambition hors norme. Il a besoin du regard et de l’admiration des autres pour se compenser un complexe d’infériorité.
Donc nous sommes confrontés à 3 paradigmes qui définissent un certain type de personnalité :
  1. L’idée qu’il n’existe pas de limite.
  2. Un sentiment d’omnipotence dès dans l’enfance mais encore plus présente à l’âge adulte.
  3. Un narcissisme qu’il n’est pas interdit de définir comme malveillant. 
Qu’est-ce que structurent ces 3 paradigmes ?
Ça structure ce qu’on appelle une psychopathie car nous sommes confrontés à un individu, Emmanuel Macron, qui comme organisation psychique est parfaitement définissable comme psychopathe.
Le mot « psychopathe » n’est pas une insulte. Une grande analyse américaine, Nancy Mac Williams, explique textuellement qu’un psychopathe peut atteindre les plus hauts niveaux de l’Administration américaine.
Donc le psychopathe peut bien sûr être un déviant mais s’il est bien organisé d’un point de vue culturel, social, etc., il peut aussi atteindre les sommets de l’élite dans les domaines de la politique, la finance, ce qui est le cas dans le profil étudié.
La personnalité psychopathe est caractérisée par un nombre infini d’items, disons des points de références par exemple :
  • Une fascination pour le superficiel.
  • La capacité d’attraction.
  • Le malaise dans la confrontation.
Ce que nous voyons bien dans les crises d’hystérie de Macron au moment où l’admiration pâlit et souligne les faiblesses de son identité.
Cette hystérie est caractérisée par son intérêt pour les mises en scène théâtrales qui ne manquent pas de rappeler, coïncidence troublante, son histoire personnelle avec son enseignante qui enseignait le théâtre.
Le psychopathe n’est pas digne de confiance mais réussit à travers la fascination qu’il exerce à convaincre son interlocuteur. Il n’a aucun remord.
Lorsque Macron parle des pauvres où insulte les prolétaires du Nord en les réduisant à des fumeurs et à des alcooliques, lorsque Macron dénigre des femmes en les rabaissant au rang d’ignorantes nous revenons dans le discours parfaitement expliqué par Jacques Lacan. Car il croit à ce qu’il dit et ne peut pas s’empêcher de l’exprimer.
Macron se défend donc en modifiant le sens de ses déclarations mais sans jamais exprimer de remords car il ne ressent jamais de culpabilité.
Donc quel est le problème du point de vue psychiatrique ?
Quelle est la dangerosité du personnage ?
Je réponds que ça ne fait aucun doute : Emmanuel Macron, comme tous les psychopathes est particulièrement dangereux.
Un intellectuel américain spécialisé, appelons ça « perturbations bien intégrées » chez les notables a dit textuellement : « les serial killer détruisent les familles alors que les psychopathes en poste aux sommets de la politique et de l’économie ruinent les sociétés. »
Pourquoi Macron est dangereux ? Il est dangereux car :
  • Comme tous les psychopathes Macron a une haute idée de lui-même.
  • Macron n’aime pas la France et ne lutte pas pour le peuple de France.
  • Macron s’aime énormément et il lutte pour maintenir la fragile identité.
La conflictualité avec Marine Le Pen n’est pas pour lui une conflictualité seulement de niveau politique. Il ne peut pas accepter qu’une femme, la Marianne, la représentante de la France soit son antagonisme. Il a besoin d’une mère nourricière. Toute autre relation avec une femme devient difficile à assumer.
Donc cette fragilité est très dangereuse car comme tous les psychopathes qui travaillent uniquement pour eux-mêmes et qui considèrent les autres pour sa propre grandeur souligne dans ce cas à quel point de danger se trouve actuellement un pays comme la France face à un candidat de ce genre. »
Nous remercions le professeur Adriano Segatori pour son analyse ainsi que l’équipe d’Egalité et Réconciliation pour l’avoir diffusée sur son site internet.
François de Siebenthal, banquier converti, économiste HEC, juriste et diplomate
Nathalie Scheidegger, infirmière ES

[1] Association suisse des infirmières. Les principes éthiques : guide pour une prise de décision et une pratique moralement responsable. In : L’éthique dans la pratique des soins. [Brochure]. Berne, 2003. p. 9-22
[2] Association suisse des infirmières. Les compétences morales : l’attitude derrière l’action. In : L’éthique dans la pratique des soins. [Brochure]. Berne, 2003. p.p. 23-25.
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