Inonder les dépressions du Sahara !

Plus de 12 dépressions sous le niveau de la mer pourraient être remplies d’eau, grâce à des canaux, des tunnels, des siphons ou des pluies. 
D’autres dépressions au-dessus du niveau de la mer deviendront des lacs, de nouvelles rivières seront créées grâce aux pluies, la neige restera sur l’Atlas et d’autres montagnes, l’évaporation refroidira le climat et donnera beaucoup de nourriture….
Moins de guerres et de migrations…
Comment sauver le climat ?

Une idée soutenue par la Tunisie, entre autres !

Premiers sponsors :
Appel à l’intelligence collective:
Une idée urgente et bonne pour beaucoup !
En inondant les dépressions du Sahara, le niveau de la mer va baisser et l’évaporation augmenter, ce qui refroidira le climat.
Des investissements bénéfiques pour le monde entier, des mers connectées, des technologies simples et concrètes, des projets conduisant à un esprit de paix pour tous, améliorant les conditions de vie de millions de personnes.
Même la CIA a étudié les conséquences de l’inondation de la dépression du Qattara en Libye. Un avantage qui intrigue les ingénieurs modernes est la possibilité de produire des quantités massives d’énergie hydroélectrique. Il faudrait un canal (ou une paire de tunnels ,selon une proposition) de seulement 40 miles de long pour relier la dépression à la mer. La dénivellation de 440 pieds serait plus que suffisante pour la production d’énergie.
[Via Archive.org et The Basement Geographer]
Par Eric Gaba (Sting – fr:Sting) et NordNordWest – Carte topographique de fond : Propre travailSource de données : SRTM30 PlusToutes les autres données sont tirées du fichier : Egypt_location_map.svg créé par NordNordWest sous GFDL/CC-BY-SA 3.0, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=9676527
L’idée de Huzel remonte à la seconde moitié du XIXe siècle. L’objectif était de détourner les eaux de la Méditerranée vers les dépressions du Sahara en Tunisie et en Algérie par le biais d’un canal. L’espoir était que le remplissage de ces dépressions modifierait le climat de la région. L’histoire de ce projet est décrite dans une publication complète de Letolle et Bendjoudi (1997). Ils décrivent la géographie, la géologie, l’hydrologie et les conditions socio-économiques de la zone du projet. La brève description qui suit est basée sur leurs travaux.
Il existe une vaste dépression dans le Sahara qui s’étend de l’ouest de Gabès sur la côte méditerranéenne de la Tunisie au sud-est de Biskra, avec une pente générale descendante d’est en ouest (figure E.1). Chott Melrhir et Chott Rharsa dans la partie occidentale de cette dépression, d’une superficie d’environ 8000 km2, ont été proposés pour être inondés. On pensait que cette dépression faisait autrefois partie de l’ancienne baie de Triton. Hérodote (485-425 av. J.-C.) et d’autres historiens de l’Antiquité ont décrit ses rives comme étant très riches et fertiles.
Martins (1864) a décrit que le dernier des Chotts à l’est n’est qu’à 16 km de la mer. En franchissant la crête de Gabès, le bassin des Chotts pourrait devenir une mer intérieure. Lavigne (1869) a décrit ses observations sur la région en tant que journaliste, et a évoqué la possibilité de créer une mer intérieure.

By Eric Gaba (Sting – fr:Sting) and NordNordWest – Topographic background map: Own workSource of data: SRTM30 PlusAll other data taken from File:Egypt_location_map.svg created by NordNordWest under GFDL/CC-BY-SA 3.0, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=9676527



The idea of Huzel goes back to the second half of the nineteenth century. The aim was to divert waters of the Mediterranean Sea into the Sahara depressions in Tunisia and Algeria via a canal. The hope was that filling these depressions would alter the climate of the area. The history of the scheme is described in a comprehensive publication by Letolle and Bendjoudi (1997). They describe the geography, geology, hydrology and the socio-economic conditions of the project area. The following brief description is based on their work.
There is a vast depression in the Sahara running from the west of Gabès on the Mediterranean coast of Tunisia to the south-east of Biskra, with a general downward slope of east to west (Figure E.1). Chott Melrhir and Chott Rharsa in the western part of this depression, with an area of about 8000 km2, were proposed for flooding. It was believed that this depression was once part of the ancient Bay of Triton. Herodotus (485–425 bc) and other historians of antiquity described its shores as being highly rich and fertile.
Martins (1864) described that the last of the Chotts in the east is only 16 km away from the sea. By breaking through the Gabès ridge, the basin of the Chotts could become an inland sea. Lavigne (1869) described his observations of the area as a journalist, and raised the possibility of creating an inland sea.

inspiré de : 



Antonio de Martini
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Roma 00196
Italia

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