La police et la clique des petits
copains de la République de Genève
,
procureurs, juges, tous fonctionnaires ou élus, se moquent-ils à ce point impunément
de nos lois ?
et du Droit Suisse ?
Un dégât d’image irréparable pour Genève et
pour notre mythique Suisse dite État de droit.
Nous allons en payer un prix exorbitant, si
nous ne faisons pas payer les responsables et vite.
La population peut-elle encore faire
confiance à sa police, aux procureurs, aux juges, aux présidents de tribunaux, aux
élus ?
Chaque jour des agissements scandaleux de cette clique salissent notre bonne
réputation :
·   
Arrestation délirante de Simon
Brandt, PLR (parti Libéral Radical)
·   
Enlèvement d’enfants innocents par
nos autorités au mépris des règles, et aussi
·   
Arrestation, intimidation et
fouille infondées des proches de l’enfant
·   
SPMI (Service de Protection des
Mineurs) défaillant
·   
Policiers voyous des prostituées
des Pâquis à Genève
·   
Notes de frais des élus
genevois
·   
Affaire Maudet si tristement
célèbre et ses suites
La population genevoise peut-elle encore
faire confiance à sa police, à ses autorités ?
Faut-il aimer la police honnête pour
s’offenser de voir tant de situations scandaleuses se passer dans notre République
de Genève dans la toujours plus grande indifférence de nos autorités,
procureur général Olivier JORNOT en tête ?
Une clique de policiers, procureurs, juges,
avocats, Commission du barreau, de juristes habiles et arrogants abuse-t-elle
outrageusement des droits et pouvoirs que nous lui avons conférés et s’arroge-t-elle
des droits totalitaires ?
Allons-nous continuer à laisser des
délinquants en robe noire piller sans vergogne notre État de droit et nous
infliger des mesures totalitaires ?
Tous se tiennent apparemment par la
barbichette ?
Mettre en cause une personnalité de cette
clique semble un défi improbable.
Une plainte contre l’avocat Pierre BAYENET, suppléant au Grand Conseil
genevois, candidat pathétique à la mairie de Genève, chantre de
Solidarités/Ensemble à gauche et pourfendeur de la fraude fiscale, illustre
bien, semble-t-il ces questionnements quand Pierre BAYENET refuse de
poursuivre de graves fraudes fiscales, mais pourquoi ? Les couvrerait-il
alors ?
Est-ce possible que ?… :
…que la police vous dissuade
d’emblée de porter plainte parce qu’il s’agit d’une personnalité ?
…que Monica BONFANTI, la Colonelle, Cheffe de la Police
genevoise, justement voisine de
Pierre BAYENET, s’obstine à faire de la rétention d’information et
retienne sans raison pendant des mois la main courante à l’origine de cette
plainte pénale malgré d’innombrables relances ?
dans quel but ?
…qu’Olivier JORNOT, le procureur général, s’empresse de
classer cette plainte pénale
contre Pierre BAYENET même étayée de preuves ?
…que le recours à la Chambre pénale de la Cour de justice prenne des
mois pour en faire probablement de même ?
…que Shahram DINI, président de la Commission du Barreau chargée
de la surveillance des avocats,
s’en lave les mains ?
et qu’il dise qu’il ne lui appartient pas de dénoncer des faits allégués à
d’autres autorités ?
même quand il s’agit d’une vaste fraude fiscale couverte depuis bientôt 13 ans
et impliquant au moins 50 fonctionnaires en Suisse ?
même quand il s’agit de crimes financiers, de blanchiment d’argent fait par des
banques et couverts notamment, et c’est un comble, par des hauts responsables
des impôts, par des juges ?
même s’il s’agit de délits graves, étayés de preuves et poursuivis d’office selon
l’art 33 LaCP-E4 10 qui doivent pourtant être dénoncés sur le champ au
ministère public ?
Est-ce de l’omerta, est-ce de la corruption ou les deux ?
…que toutes ces personnalités, tous ces fonctionnaires se fassent
ainsi payer si grassement avec du bon argent, par nos impôts, sans faire leur
travail ?
puis nous infligent des frais de procédures ou honoraires exorbitants pour nous
décourager dans la défense de nos droits, à nous les petits citoyens lésés et
ruinés, pire, endettés ?

Soustraire
pourtant les petits copains à une poursuite pénale relève de l’art. 305 du Code
Pénal
et caractérise l’entrave à l’action pénale.
Que fait le Procureur général Olivier JORNOT ?
Seul grand patron intouchable de la justice à Genève ?
Cerise sur ce gâteau répugnant :
Aucun moyen actuellement prévu dans nos lois de poursuivre ce procureur
autoproclamé irréprochable.
La totale !
C’est une grave anomalie de la justice genevoise,
autre lamentable Genferei et pas la moindre.
Lire les documents affligeants qui suivent, vous
permettra de répondre par vous-même à ces légitimes questions…
Des écrits qui valent mieux que des paroles ! Faites-vous plaisir.
Et aussi les liens des 4 émissions de Léman Bleu sur
l’affaire Olivier JORNOT / Simon BRANDT
2020.05.17_FB
Aubert+Jornot_lien GHI 14.05
2020.05.07 Interview de Simon Brandt
2020.05.11 Interview Me Gregoire Mangeat
Léman Bleu par Décaillet 13.05.2020 Yeux
dans les yeux Jornot abus d’autorité
2020.05.12 Interview :Me Romain Jordan
et Me Dimier par Décaillet
2020.05.13 Interwiev de Yarl HAYAT : Yeux
dans les yeux Jornot abus d’autorité
Michèle Herzog dans la Tribune de Genève,
article concernant un avocat de Genéve condamné pour avoir falsifié des baux, doit-il
être radié ?
Pouvez-vous aider en signant cette pétition
?
Chantal Perret
C.P. 371 – Av. de la Croisette 16
1211
Genève 4 
                                              
                                                                                              Par vélo postal avec signature                                                                                         Madame Héléna
SAMPEDRO
                                                                                      Juge
                                                                                Tribunal
de première instance
                                                                                       Rue
de l’Athénée 6 – 8
                                                                                      1211
Genève 3
                                                                                            
                                                                                Genève,
le 17 février 2020
Succession
de feu mon père, Jacques André GACOND
(décédé
le 19 juillet 2007 à Neuchâtel. Succession ouverte et détournée depuis le 21
août 2007-

sans inventaire successoral établi à ce
jour,
ni par le 1er
exécuteur testamentaire, Me Marc LORENZ,
avocat
(ayant résilié son mandat le 21 août 2008 suite à des fautes graves notamment,
d’ordre pénal),
ni par son successeur Me Patrick FRUNZ, avocat
notaire, administrateur officiel, doté des mêmes pouvoirs qu’un exécuteur
testamentaire,
malgré de graves fautes d’ordre pénal, toujours en place,
depuis le 16 septembre 2008 sur ordonnance rendue par le
fonctionnaire juge Fabio MORICI,
succédé par le fonctionnaire juge
Bastien SANDOZ depuis août 2013
Concerne : Action
contre la BCGE :
action en réddition de
compte et demande de renseignements à l’encontre de la BCGE
– Réf : C/9647/2018 11
SAE OO
·      
 Non-respect de l’application de la loi sur le
statut de la fonction publique du Canton de Genève
·      
Obligation de dénoncer en
vertu de l’article 33 de la Loi d’application du code de procédure pénale
suisse (LaCP – E4 10)
·      
avec les conséquences de
l’omission de dénoncer, selon l’article 305 CP
 concernant notamment,
1a        L’action en réddition de compte et demande de renseignements
en conciliation à l’encontre de la BCGE,
            déposée par mon ex avocat, Me Pierre BAYENET  le 24 avril 2018.
            Procédure, prise en charge par la juge Séverine
TERRIER, fonctionnaire
au Tribunal
de première
instance à Genève. Réf : C/ 9647 / 2018 7 GSV C
                                                                                       APTPI 706/2018
1b         Puis, action en reddition de compte et
demande de renseignements en conciliation à l’encontre de la BCGE,
            déposée au fond par Me Pierre BAYENET le 13 février 2019
            avec ses NOVAS du 3 avril 2019.
            Procédure, prise en charge par la
juge Héléna SAMPEDRO, fonctionnaire
au Tribunal
de première instance à
Genève. Réf : C/9647/2018 11
SAE OO
Madame la Juge,
En votre qualité de
fonctionnaire depuis février 2019, en charge de l’action en réddition de compte
et demande de renseignements en conciliation à l’encontre de la BCGE,
déposée au fond par Me
Pierre BAYENET  le 13 février 2019,
 je me permets d’attirer votre attention au
sujet de :
L’application de
l’article 22 selon la loi sur le statut de la fonction publique du Canton de
Neuchâtel,
concernant
notamment,
les procédures dont sont en charge,
notamment, l’ensemble des fonctionnaires juges dans le canton de Neuchâtel dans
l’affaire de la succession de Jacques André GACOND.
Au sujet de cet article,
vous n’êtes pas sans savoir que:
« Les titulaires de
fonctions publiques qui acquièrent, dans l’exercice de leurs fonctions, la
connaissance d’une infraction se poursuivant d’office, sont tenus d’en aviser
sans délai le ministère public. Ils procèdent par la voie hiérarchique ».
Dès lors, en tant que
fonctionnaire depuis février 2019 dans le cadre de la succession Jacques André
GACOND, détournée depuis juillet 2007, vous étiez tenue
dès février 2019,
en vertu de l’article 33 de la Loi d’application du code de procédure pénale
suisse (LaCP – E4 10),
de dénoncer  immédiatement
auprès du Ministère public, les actes délictueux et criminels dont vous aviez
connaissance dans cette  procédure.
Ceci n’a pas été fait.
Avez-vous mesuré les risques et
les conséquences d’avoir omis
de dénoncer, référence étant faite à l’article 305 du code pénal suisse.
Mon avocat, Me Pierre BAYENET
(ayant résilié son mandat en octobre 2019), vous a fourni, ainsi qu’à votre
collègue fonctionnaire, Madame la juge Sévrine TERRIER, de très nombreuses
preuves illustrant les corruptions, les fraudes fiscales et immobilières,
crimes financiers/et humains dans plusieurs cantons de Suisse, ainsi qu’à
l’étranger dans cette affaire de succession.
Sans compter l’ensemble des
documents archivés dans les Tribunaux de Neuchâtel et de la Chaux-de-Fonds, au
Ministère public, parquet général de la Chaux-de-Fonds ou tout autre Service,
ainsi qu’à la BCGE depuis le 21 août 2007, étant de très nombreux moyens de
preuves à votre disposition (JURA NOVIT CURIA)
Vous savez que la levée du secret
bancaire au nom de ma mère n’a jamais fait l’objet d’une ordonnance rendue par
un fonctionnaire, notamment par un juge jusqu’à ce jour, alors que la loi
stipule que le secret  bancaire suisse ne
protège pas des fonds provenant du crime financier ou/et humain.
Vous n’êtes pas sans savoir qu’il
existe en Suisse des Services de contrôle et de lutte contre la corruption.
Également, vous savez que ma réserve
légale héréditaire est hautement lésée.
Ne pas avoir déposé immédiatement en février 2019 des plaintes pénales
séparées sur
la
base des diverses infractions, délits et crimes financiers illustrés dans les
très nombreux documents portés à votre connaissance, interpelle.
Il est de votre
devoir et de votre entière responsabilité de les dénoncer.
 De tels faits parfaitement étayés par moultes
documents dont vous avez connaissance, vous obligeaient de déposer
 immédiatement
plusieurs plaintes pénales séparées auprès du Ministère public, Parquet général
notamment, à l’encontre de :
  • L’État de Neuchâtel et ses chefs et des
    fonctionnaires du Service des contributions de Neuchâtel (les chefs :
    l’expert fiscal, Michel OPPLIGER, Youssef WAHID, Philippe POREE,
    responsable de la soustraction fiscale, ainsi que le fonctionnaire M.
    MATTHEY)
  • Le 1er exécuteur testamentaire, Me Marc LORENZ
    (pour la période du 21 août 2007 au 21 août 2008, ayant résilié son mandat
    le 21 août 2008, suite à de graves fautes d’ordre pénales)
  • Son successeur, 2ème exécuteur testamentaire, Me
    Patrick FRUNZ, avocat notaire, toujours en place depuis septembre 2008,
  • L’ancien Maire de Neuchâtel (élu à deux reprises
    dans les années 70), expert fiscal et économiste, ami de  mes parents, Claude BUGNON, 
  • Ma mère, Muriel GACOND, née TZAUT, 
  • Ma sœur, Magali GHEZZI, née GACOND,
  • Mon frère, Cyril GACOND
Également sont impliqués vos
collègues fonctionnaires notamment, les juges suivants :
  • La juge Séverine TERRIER
  • Les juges Fabio MORICI, Bastien SANDOZ, Pierre
    CORNU, Denis ROULET, François DELACHAUX, Marie-Pierre de MONTMOLLIN,
    Dominique WITTWER, Denis ROULET, Joëlle BERTHOUD SCHAER, Corinne
    JEANPRÊTRE, Alexandre SEILER, Michael ECKLIN
Idem les établissements bancaires
notamment
 :
  • La BCN
  • Le CRÉDIT SUISSE
  • La BCGE
S’agissant de corruptions, de
fraudes fiscales et immobilières, de délits et crimes financiers datant de
plus de 12 ans et demi dans cette affaire de succession détournée, je vous
demande de dénoncer ces actes criminels auprès du Ministère public dans
les plus brefs délais.
JURA NOVIT CURIA
Je me réserve toute voie de droit
pour le surplus.
En vous remerciant de bien vouloir donner
la suite qu’implique cette affaire selon la procédure légale, je vous prie
de recevoir, Madame la juge, l’assurance de ma parfaite considération.
                                                                                            
                                                                         Chantal
Perret
Copie : – au Ministère public de
Genève, Olivier JORNOT
             – au Ministère public de la Confédération
Plus de documents:

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