Les agressions physiques violentes des grotesques, obscènes et laides personnes dénommées « Femen »
perpétrées, comme tout le monde peut le voir sur les photos et vidéos,
contre les paisibles familles de la marche de dimanche relèvent d’une
opération internationale de provocation très fortement financée et
relayée par une ample désinformation médiatique dans laquelle s’illustre
Caroline Fourest, la pétulante défenseur de l’humour chiottard de Charlie-Hebdo et de l’impérialisme totalitaire LGBT.
Je charge ce jour Me Jérôme Triomphe, avocat de l’AGRIF, de préparer la plainte qui s’impose pour ces actes de haine antichrétienne.
Par ailleurs, et bien que personnellement de sensibilité catholique différente sur certains points de celle de l’Institut Civitas, j’exprime mon entier soutien et celui de Chrétienté-Solidarité
à cette association ignoblement attaquée et que voudrait dissoudre,
selon une conception parfaitement bolchévique de la société, la triste
porte-parole du gouvernement, Madame Vallaud-Belkacem.
Bernard Antony, président de l’AGRIF.

Source : courriel

Il semblerait que les femen aient effectivement utilisé, comme elles le
disent, des extincteurs. Des extincteurs à poudre, précisément. Ce qui
ne rend pas la chose moins grave, la poudre des extincteurs étant
fortement corrosive et irritante. Cela a donc pu avoir un effet assez
proche des lacrymogènes
Faire cela sur des enfants en bas âge et leurs mamans,  qu’elle pitié !
Voir notamment la poussette derrière le jet de gaz sur la droite de la photographie ci-dessus.
Rappel du Code pénal :

. Exhiber ses seins dans la rue : un an de prison, 15.000 euros d’amende ;
. Participer à une manifestation non déclarée : 6 mois de prison, 7.500 euros d’amende ;
. Participer à une manifestation avec une arme (par destination, en
l’occurrence, puisqu’il s’agit d’un extincteur) : 3 ans et 45.000 euros
d’amende
. Violences en réunion avec arme (l’extincteur, toujours) n’ayant pas
entraîné d’incapacité de travail : 5 ans et 75.000 euros d’amende.

Civitas porte plainte :
communiqué de Civitas : « Aucune violence ni provocation n’est
acceptable et c’est pourquoi CIVITAS annonce que son avocat est en train
de porter plainte auprès du procureur de la république contre les
membres parfaitement identifiables des FEMEN, qui se sont rendus
coupables d’exhibitions sexuelles notamment à la vue d’enfants (article
222-32 du code pénal), diffusion de message à caractère violent ou de
nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine et susceptibles
d’être vus par des mineurs (article 227-24 du code pénal), violences en
réunion et avec armes (article 222-13 du code pénal) y compris contre
des enfants, entrave concertée à la liberté de manifestation par
menaces, violences et voies de fait (article 431-1 du code pénal) ainsi
que pour injures envers CIVITAS et les manifestants en raison de leur
appartenance à la religion catholique ainsi que les messages écrits sur
leur poitrine et les aérosols utilisés le démontrent aisément »

christophe says:

Pour savoir qui sont vraiment ces Femen,
vous pouvez lire ici un dossier que j’avais fait il y a quelque temps.
Il peut compléter vos connaissances…
http://www.fn78-1.fr/pages/Le_dossier_Pussy_Riot_FEMEN-8362055.html

Depuis
dimanche soir, les dépêches tombent les unes après les autres se
recopiant les unes les autres : « dérapages » en marge de la
manifestation de CIVITAS alors que près de 20.000 personnes de tous
horizons ont manifesté dans le calme, la sérénité et la bonne humeur.
« Dérapages verbaux », au motif que les arguments ou les slogans entendus ne conviendraient pas
à certains journalistes et politiques, sourcilleux gardiens de la
liberté d’expression à sens unique. Cette première désinformation est
inquiétante pour les vrais défenseurs de la liberté : il s’agit en
réalité d’une tentative d’intimidation visant à n’approuver la liberté
d’expression que lorsqu’elle est conforme aux diktats des faiseurs
d’opinion et du gouvernement socialiste. A cet égard, il est inquiétant
que, dans une démocratie digne de ce nom, un ministre en exercice, en
l’espèce Madame Najat VALLAUD-BELKACEM, distribue par voie de
communiqués successifs, les brevets de conformité à ce qui doit être dit par les opposants à son projet funeste, que ce soient ceux des manifestations de samedi ou de dimanche.
De nombreux politiciens osent même réclamer une dissolution de CIVITAS
pour on ne sait quels motifs : il est certain qu’il est plus simple
d’empêcher un opposant de parler, ce qui en dit long sur l’état d’esprit
de ceux qui n’admettent la liberté d’expression que définie par eux. Il
s’agit de pures agitations politiciennes.
« Dérapages
physiques » : la quasi-unanimité journalistique, à de rares exceptions,
a titré sur les dérapages physiques et la violence dont auraient fait
preuve des « intégristes » « en marge de la manifestation de CIVITAS ».
Les médias ont également repris sans discernement les propos de la
militante homosexuelle Caroline FOUREST qui tweetait depuis le fourgon
dans lequel elle semble avoir été interpellée. A l’entendre, les jeunes
filles victimes de la « violence intégriste » étaient juste venues
contremanifester gentiment déguisées en nonnes.
La réalité est radicalement différente :

 Les
jeunes filles en questions appartiennent au groupe les FEMEN d’origine
ukrainienne, groupe interdit en Ukraine, financé par un
milliardaire allemand ; elles sont venues contre-manifester illégalement
puisque sans déclaration préalable, avec virulence, en portant un voile
de religieuse sur la tête, les seins nus, certaines en
porte-jarretelles, avec des expressions injurieuses écrites sur la
poitrine (« fuck God », « fuck church », « Saint-esprit étroit »,
« Marie marions-nous », « occupe-toi de ton cul »), pour attaquer les
manifestants de CIVITAS -dont des enfants qui ont été extrêmement
choqués- en les aspergeant de gazs fumigènes contenus dans des aérosols
mentionnant en Anglais « Saint sperme » et « sperme de Jésus » ! Une
photo en témoigne : un enfant dans sa poussette a été directement visé
par un jet de gaz de l’une des FEMEN !

 Contrairement à ce que prétendent certains médias et politiques, aucun membre de l’organisation de CIVITAS ne s’est rendu coupable de la moindre violence envers ces FEMEN. Les policiers ont informé les responsables de CIVITAS que seuls avaient été interpellés quatre individus sans rapport avec CIVITAS
et que rien ne pouvait être reproché à CIVITAS. A l’inverse, le service
d’ordre de CIVITAS a été exemplaire puisqu’il a pu bloquer les FEMEN
sans user de violence pour les empêcher d’avancer plus avant dans la
manifestation et continuer à agresser les participants et à s’exhiber
notamment devant des enfants. Les FEMEN font malheureusement peu de cas
de l’innocence des nombreux enfants qui ont été violentés et qui ont été
très choqués par leur attaque, leurs tenues et leurs slogans.
Aucune violence ni provocation n’est acceptable et c’est pourquoi CIVITAS
annonce que son avocat, Maître Jérôme Triomphe, est en train de porter
plainte auprès du procureur de la république contre les membres
parfaitement identifiables des FEMEN
, qui se sont rendus
coupables d’exhibitions sexuelles notamment à la vue d’enfants (article
222-32 du code pénal), diffusion de message à caractère violent ou de
nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine et susceptibles
d’être vus par des mineurs (article 227-24 du code pénal), violences en
réunion et avec armes (article 222-13 du code pénal) y compris contre
des enfants, entrave concertée à la liberté de manifestation par
menaces, violences et voies de fait (article 431-1 du code pénal) ainsi
que pour injures envers CIVITAS et les manifestants en raison de leur
appartenance à la religion catholique ainsi que les messages écrits sur
leur poitrine et les aérosols utilisés le démontrent aisément (article
33 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881).
« A partir du moment où ces
militantes ont foncé avec des fumigènes et des lacrymogènes en main sur
un cortège de familles avec femmes, enfants et grand-parents, qui
agresse qui ? 
»
A. ESCADA
Que
les positions de CIVITAS soient discutées, c’est la liberté
d’expression qui le veut. Mais que pour éluder le débat de fond sur un
sujet aussi grave que le mariage et l’adoption homosexuels et que pour
éclipser la formidable mobilisation des Français de samedi et dimanche,
il soit procédé aux habituels procédés dialectiques de désinformation, de diabolisation et d’amalgame,
cela n’est pas acceptable. CIVITAS indique donc qu’elle entendra
poursuivre devant les tribunaux tout propos diffamatoire, injurieux ou
provocant à la discrimination, à la haine ou à la violence à son endroit
ou à l’encontre de ses membres.
Alain Escada,
Président de CIVITAS

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