Les pouvoirs publics ne peuvent-ils pas agir plus sérieusement ? Il ne faut plus en rester aux déclarations d'intention et aux arguments lénifiants. Il faut dépolluer et mettre enfin des moyens pour mieux connaître l'impact de la dioxine. Sinon, on risque un scandale analogue à celui du sang contaminé.

Curia Vista – Objets parlementaires
       
    08.3156 – Interpellation
Dioxines taboues et empoisonnement de la Suisse
    Déposé par     Freysinger Oskar
    Date de dépôt    19.03.2008
    Déposé au    Conseil national
    Etat des délibérations    Non encore traité au conseil
   

    Texte déposé

    A l'heure où des parlementaires et municipaux interpellent le Conseil fédéral au sujet de la problématique des lucratives importations d'ordures ménagéres dans leurs cantons et villes, je prie le Conseil fédéral de répondre aux questions suivantes:
1. Au vu de l'augmentation des cancers, sinon les interdictions de pêche dans un nombre croissant de nos rivières et lacs, qui pour certains, sont aussi des réservoirs naturels pour l'eau du robinet, quand le Conseil fédéral envisage-t-il d'édicter des normes sévères pour les dioxines?
2. Comment le Conseil fédéral compte-t-il accélérer le traitement des nombreuses plaintes pénales pour empoisonnement qui furent introduites par des citoyens, toutes restées sans suite?
3. Que pense entreprendre le gouvernement pour faire toute la lumière sur les compositions des divers conseils d'administrations des usines d'incinération, mais aussi des entreprises intermédiaires suisses et étrangères qui centralisent et revendent des déchets?
4. Quand le Conseil fédéral entend-il diligenter des études de terrain, afin d'analyser les teneurs en dioxines des sols et sédiments des rivières et lacs dans lesquels sont déversées depuis des années ses eaux de lavage des fumées chargées de dioxines et autres particules toxiques?
5. Enfin, à l'heure d'un projet de fermeture d'un four à l'usine des Cheneviers près de Genève, n'y aurait-il pas justement pour cette grave problématique une opportunité de décider rapidement de nouvelles filières de retraitement comme un tri poussé en amont, la méthanisation et récupération chaleur-électricité, le stockage en décharges sécurisées des reliquats non recyclables et la fermeture des usines létales?

    Réponse du Conseil fédéral du 14.05.2008

en jaune, nos commentaires  
    Question 1
Les PCB et les dioxines sont des polluants organiques persistants (POP). Ils sont peu biodégradables, ont, déjà en très faible quantité, un effet toxique pour l'homme et les animaux et s'accumulent dans la chaîne alimentaire. Les dioxines sont des impuretés qui peuvent se former lors d'un processus de combustion, comme l'incinération de déchets, ou lors de la fabrication de composés organiques chlorés, alors que les PCB sont encore produits par les incinérateurs, avec 2000 autres molécules mal connues, ont été produits industriellement de 1930 jusque vers le milieu des années 80. Depuis 1986, les PCB sont interdits en Suisse, d'où une nette diminution de la pollution de l'environnement et des atteintes à la santé provoquées par ces substances.
La pollution de l'environnement et des denrées alimentaires par les dioxines a également pu être fortement réduite depuis les années 70 grâce aux mesures de protection de l'environnement. En particulier, les valeurs limites pour les installations de combustion et les processus industriels qui ont été introduites par l'ordonnance sur la protection de l'air, l'épuration des fumées provenant des usines d'incinération des ordures ménagères (UIOM) ou des usines d'incinération de déchets spéciaux, ainsi que l'interdiction de produits précurseurs tels que le pentachlorophénol ont contribué de manière décisive à la réduction des émissions de dioxines.
      Mais les dioxines ne sont pas interdites ni réglementées. Nous devons appliquer au moins les normes américaines..       En ratifiant la Convention de Stockholm, la Suisse s'est engagée à développer des stratégies pour identifier le plus vite possible la présence de PCB et d'autres polluants organiques persistants dans les sites contaminés, et à les détruire dans des installations d'élimination respectueuses de l'environnement.   Nous devons prendre conscience que beaucoup de PCB viennent des incinérateurs d`ordures   Il n'existe pas de résultats probants d'études scientifiques indiquant que les cas de cancer auraient augmentés en relation avec la contamination de poissons et d'autres denrées alimentaires par des dioxines et des PCB de type dioxine. Nous devons nous insurger devant ce mensonge honteux. Faux, archi-faux, voir ci-dessous et surtout les études américaines La dioxine fait partie des 12 toxiques dont l'élimination totale fait l'objet d'un traité international. Cette molécule est cancérigène et capable d'altérer le code génétique. L'EPA le reconnaît aujourd'hui après deux décennies de déni alors que faisait rage la bataille des vétérans du Vietnam contaminés à l'Agent Orange, un mélange de deux pesticides contenant des dioxines, que l'armée américaine a épandu par avion sur le Nord-Vietnam. Dow Chemical savait depuis les années 60 que la dioxine constituait un des pires poisons jamais inventés par les humains, mais, comme d'autres multinationales, elle a minimisé, voire nié les preuves qui s'accumulaient. Voir aussi ci-dessous le texte du projet de loi de M. Georges Letellier  

Les résultats de mesures publiés dernièrement dans les médias attestant la présence de substances apparentées aux dioxines dans les poissons montrent en effet que la teneur en diphényles polychlorés (PCB) de type dioxine est parfois trop élevée, mais ce n'est jamais le cas pour les dioxines en tant que telles. Sur mandat du DFI, du DFE et du DETEC, l'OFSP, l'OFAG, la Station de recherche Agroscope Liebefeld – Posieux, l'OVF et l'OFEV sont en train de procéder à des analyses supplémentaires en collaboration avec les cantons pour déterminer la diffusion et les causes de la pollution des eaux et des poissons par des PCB de type dioxine, afin de pouvoir adopter les mesures adéquates pour éliminer les sources de pollution. Réponse pour brouiller les idées, comme lors de la pollution de la Sarine par les dioxines, passée sous silence par les autorités, lesquelles pour rassurer la population sont allés jusqu'a déclarer que les dioxines seraient arrêtées par un barrage situé en aval, preuve que les "autorités" prennent le citoyen pour ce qu'il n'est surtout pas.  
Question 2
Ce sont les cantons qui sont responsables de traiter les plaintes pénales. Le Conseil fédéral n'a pas connaissance d'affaires où la procédure pénale en matière de droit de l'environnement devant des instances cantonales aurait traîné en longueur.
Voir ci-dessous et http://m-c-s.ch/news.php?lng=fr&pg=756
Question 3
Toutes les associations suisses actives dans la gestion des déchets publient des rapports annuels contenant les indications d'usage, y compris concernant la composition des organes de l'association. Pour les entreprises de droit privé qui font par exemple le commerce de déchets, le devoir de transparence est régi par les dispositions du droit des obligations.
Question 4
La pollution des sols, des eaux et des sédiments par les PCB fait actuellement l'objet d'études. Les concentrations de PCB sont dues la plupart du temps à des sites contaminés ou à d'autres sources ponctuelles et ne proviennent pas de résidus d'incinération d'UIOM.
Faux, voir le Vallon et Tridel/Lausanne et http://www.non-tridel-dioxines.com/
Les eaux de lavage des UIOM ont été soumises à des analyses poussées. Dans la mesure où ces eaux contenaient des dioxines, la concentration totale en dioxines exprimée en équivalents toxiques (TEQ) était toujours très faible.
vérifier, par qui et quand ?
Question 5
L'incinération des déchets comme filière d'élimination a fait ses preuves en Suisse. De plus en plus d'autres pays optent d'ailleurs également pour l'incinération. Les substances organo-chimiques qui posent problème et qui sont contenues dans les biens de consommation et les déchets sont détruites lors de la combustion. C'est également le cas des dioxines et des PCB lorsque les conditions d'incinération sont optimales. Les valeurs d'émission des installations d'incinération d'aujourd'hui sont nettement inférieures à la valeur limite de 0,1 ng TEQ de dioxines et de furanes par m3, et ce grâce à une bonne combustion des déchets et à une épuration des fumées en plusieurs étapes.
Faux, les dioxines se reforment et pire, des nano-particules toxiques ( qui provoquent notamment l, Alzheimer et plus de 2000 molécules dangereuses peu connues.
Toutes les UIOM suisses utilisent par ailleurs l'énergie contenue dans les déchets pour produire de l'électricité et/ou de la chaleur. Elles fournissent de nos jours 3 % de l'électricité consommée en Suisse ainsi que de grandes quantités de chaleur à distance, ce qui permet d'économiser plusieurs centaines de milliers de tonnes d'huile de chauffage.
Au prix de milliards en maladies diverses, belle économie…
Les traitements mécanico-biologiques, la méthanisation et le stockage direct des déchets urbains sont des procédés moins bons sur le plan de la durabilité, à la fois quant à leurs effets sur l'environnement et à leurs effets sur le plan économique. Qui plus est, les PCB ne sont pas détruits au cours de ces processus. C'est justement le stockage – lorsqu'il était encore autorisé – de produits chimiques tels que les solvants ou les résidus de production contenant des PCB qui a causé de gros problèmes environnementaux en Suisse et a créé des sites contaminés exigeant des assainissements coûteux.

   
   
     Compétence    Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC)
          Conseil prioritaire: Conseil national
     Cosignataires    Baettig Dominique – Baumann J. Alexander – Bignasca Attilio – Binder Max – Estermann Yvette – Glauser-Zufferey Alice – Graber Jean-Pierre – Grin Jean-Pierre – Heer Alfred – Maurer Ueli – Pfister Theophil – von Siebenthal Erich – Waber Christian – Walter Hansjörg – Wandfluh Hansruedi – Wobmann Walter   (16)
    
 
     Descripteurs (en allemand):
     Dioxin; Grenzwert; Gesundheitsrisiko; Umweltbelastung; Abfallbeseitigung; industrielle Verschmutzung
Indexation complémentaire:
52
, voici le lien sur le Site du Parlement :

http://www.parlament.ch/F/Suche/Pages/geschaefte.aspx?gesch_id=20083156

Dans sa réponse à l'interpellation fédérale de M. O. Freysinger, le Conseil fédéral est-il mal informé ou manipulateur ?.

Incinérateurs – dioxines- 4 fois plus de Cancers à Genève-taux moyen à Halluin de 43 picogrammes…

La dioxine a été reconnue substance cancérigène par l'OMS. «  Si on connaît très bien les impacts d'une intoxication massive à la dioxine, on connaît moins bien les intoxications chroniques », reconnaît le Dr Rébhy.

Des études conduites notamment à Besançon et le long du Rhin ont montré un excès de risque de cancer pour les populations voisines d'un incinérateur.   Après une demi-année d’ignorance médiatique et politique, voici le… Projet de loi cantonale ou d’arrêté fédéral urgent ( AFU) Loi sur la limitation des teneurs en dioxines dans les émissions des usines d'incinération des déchets Le Grand Conseil de la République et Canton de Genève et/ou la Confédération Décrète(nt) ce qui suit : Article unique Les teneurs en dioxines des émissions des centrales d'incinérations doivent répondre au moins aux normes EPA américaines pour limiter la propagation du cancer. Exposé des motifs Nous savons que les milliers de tonnes de défoliants (agent orange, contenant des dérivés chlorés ) au Vietnam ont été à l'origine de nombreuses infirmités et malformations chez les nouveaux-nés et de nombreux cas de cancers chez les adultes. Les responsables étasuniens ont toujours nié toute relation de cause à effet et une quelconque responsabilité dans ces désastres humains, mais elles ont néanmoins établi des normes nationales sur les dioxines TCDD, TCDF (dérivés chlorés )contenues dans les défoliants et les insecticides . Normes EPA américaines: 0,064 pico grammes de dioxines par kilogramme de poids humain pour un cancer par million d'habitants ,contre 0,2 à 2 pico gramme en Europe, soit 30 a 300 fois supérieure aux normes US.. Cette norme EPA américaine, constitue la preuve par 9 que les dioxines sont liées au cas de cancer dans la population touchée. Malgré cela, les autorités suisses continuent de nier cette évidence et n'ont pas légiféré sur les dioxines rejetées par les émissions de nos incinérateurs de déchets. Les raisons de cette dénégation et du silence autour du trafic de déchets, résident certainement dans les intérêts économiques (occultes) importants. Il est de notoriété publique que la Suisse importe de grandes quantités de déchets toxiques en provenance de l'Allemagne de France et d'Italie pour rentabiliser ses centrales d'incinération de déchets.( prix par kilo de déchet traite: 150 a 250 frs ) .De là à déduire que la Suisse devient la poubelle de l'Europe après en avoir été le symbole de propreté, il n'y a qu'un pas. Si nous ne mettons pas un terme à ce trafic nauséabond, en imposant des normes drastiques quantitatives sur les rejets en dioxines, nous détiendrons avec certitude le record mondial des frais médicaux par tête d'habitants. Après l'article du Matin qui a dénoncé l'augmentation des cas de cancers dans les zones de retombées des émissions autour des Cheneviers, Après le scandale des déchets toxiques en Italie ( EMISSION FR3 ) qui ont empoisonnés des milliers d'hectares de terrain et de nombreux organismes vivants (Depuis lors ces déchets sont traités au Cheneviers !) Après Gilly, près d'Albertville où la consommation des végétaux et du lait contenant des dioxines provenant des abords de la centrale d'incinération a été interdite. Après la récente pollution des eaux du Rhône par les dioxines et l'interdiction de consommation des poissons aujourd'hui contaminés. Après Tridel à Lausanne, qui traite sans contrôle les déchets allemands par train complets .Les verts lausannois et son syndic continuent a nier (a l'instar des Cheneviers),que l'augmentation des cas de cancers et liée a la contamination de la chaîne alimentaire par les dioxines. Après la pollution de la Sarine par les dioxines, passée sous silence par les autorités, lesquelles pour rassurer la population sont allés jusqu'a déclarer que les dioxines seraient arrêtées par un barrage situé en aval, preuve que les "autorités" prennent le citoyen pour ce qu'il n'est surtout pas., Après le procès intenté par des habitants de la ville de Besançon pour empoisonnement aux dioxines cancérigènes, Il est temps nos autorités politiques réagissent et sortent de l'omerta qui entoure ce trafic de déchets, très lucratif, pour se préoccuper de la santé des citoyens et des générations qui suivront. Comment ? 1. La Confédération et les Cantons doivent reconnaître l'urgence du problème et légiférer sur la teneur maximale en dioxine contenue dans les émissions de centrales d'incinération de déchets pour réduire la contamination de la chaîne alimentaire et la prolifération du cancer. 2. La Confédération et les Cantons doivent exiger l'application des normes EPA américaines à nos installations d'incinération des déchets, 3. La Confédération et les Cantons doivent fixer des normes sur la quantité minimum de dioxines autorisées par kg de produit alimentaire consommable pour avoir droit au label BIO. 4. La Confédération et les Cantons doivent procéder au contrôle des produits alimentaires importées et vendu par les grands distributeurs qui proviennent, entre autres, de région de la communauté européenne, saturées en dioxines cancérigènes et fixer des normes minimum d'admission. Conclusion: Par leur inaction et leur silence sur le trafic des déchets et les dioxines, La Confédération et les Cantons sont responsables de l'explosion des cas de cancers. Il faut aujourd'hui prendre les décisions qui s'imposent pour ceux qui vont nous succéder, sans considérer les intérêts financiers en jeux, qui doivent passer après la santé du citoyen.. Historique: Il aura fallu un article du journal Le Matin sur l’augmentation des cas de cancer autour des Cheneviers, pour se rappeler l’existence de mon intervention (iue 397 a),  « les dioxines….dans votre assiette bien sûr ! »  Comme prévu, l’inévitable coucou  plagieur du mouvement caméléon genevois a essayé de me couper l’herbe sous le pied en utilisant mon travail afin de  peaufiner  son  ego, mais, après tout ceci n’est que peanuts….. Mesdames et Messieurs les parlementaires. Vous avez  hier,  fermé les yeux sur mon travail, qui dénonçait  le danger présent  « le cancer », par manque de conscience et de responsabilité civique.  Il est vrai que depuis belle lurette les devoirs de l’homme sont snobés  pour laisser la place au droit de magouille…il est de votre devoir de protéger la vie de ceux qui vont nous succéder.  Par votre laxisme vous êtes donc responsables de  l’empoisonnement  collectif des citoyens par les dioxines  cancérigènes provenant de l’incinérateur de déchets des Cheneviers. Il est trop tard aujourd’hui pour éviter un scandale, pour  non assistance à personne en danger, qui se profile et pour lequel vous êtes, Mesdames et Messieurs les députés, responsables. (Verts (Madame la Présidente) et socialistes en particulier). Nous en sommes là. Ce fléau est aujourd’hui  mondialement reconnu…. Sauf en Suisse où nos courageux (mais pas téméraires) politiques feignent, pour de basses raisons d’intérêts personnel ou collectifs d’ignorer le danger  environnemental. «  Je te refile mes dioxines et je te permet d’utiliser mon espace aérien » c’est ce genre de troc qui se passe entre l’Allemagne… et Zürich.  Pendant ce temps   les  moutons  citoyens suivent…. Federer… et le football. Ainsi, faute de législation et par intérêt de certains lobbies la Suisse devient la poubelle de l’Europe, alors que nous devrions être le symbole de l’environnement, (comme le souhaitait le « mouvement blochérien genevois), après  avoir été le  symbole ‘défunt’ de la propreté.  Les normes américaines sont la preuve  par neuf de la relation entre les dioxines (tcdd ou tcdf ou pcb) et le cancer.   Regardez ce qui se passe  à Besançon avec un procès pour empoisonnement par les dioxines  cancérigènes , aux Antilles , dont les terres et la végétation sont définitivement polluées par les retombées de ‘chlordecone'( agent insecticide contenant des dérivés chlorés tcdd),  en France ,ou l’on vient d’interdire la consommation  des poissons du Rhône  parce que leur chair  contient 7 x plus de dioxines ( pcb) que la dose autorisée, ou à Fribourg ,où la Sarine a été aussi polluée par les dioxines….  Arrêtées par un barrage…comme l’a déclaré un haut responsable politique (sic). Vous comprendrez qu’il est temps  d’agir et de  mettre notre incinérateur aux normes américaines, pour limiter (je dis bien limiter) le désastre, et préserver la santé de ceux qui vont nous succéder.  « Voulons nous, nous enorgueillir d’être la ville et le pays où les frais médicaux par habitant sont les plus élevés au monde ? »  « La santé du citoyen  n’est pas négociable  » et mettons d’urgence notre incinérateur aux normes US pour limiter la casse. Je dis bien limiter, car le mal est fait. Mesdames et Messieurs les députés, par mes différentes interventions sur ce sujet, j’ai fait mon devoir de citoyen sans dessein politique (car votre ‘j’menfoutisme’  me dégoutte), et sans intérêt,… pour la paix de ma conscience. J’espère que vous aurez compris ce message et que Dieu nous éloigne de la lâcheté des hommes.       G. Letellier   Plainte pénale contre x pour empoisonnement par M. André Felix route de Berne 25 1010 Lausanne/VD

*021 652 18 42

 

Fax : 041-21- 652.60.66

 

Décédé du Cancer depuis.

La pollution par microparticules et par dioxines de la part de toute usine d'incinération est prouvée scientifiquement, comme à Seveso et à Bhopal.

Par exemple à Lausanne, selon les normes Tridel, nous allons notamment recevoir 740 millions de m3 chaque année d’air pollué avec en tout cas des dioxines cancérigènes par l’air, les eaux de lavage et les cendres qui provoqueront des milliers de cancers. Le rapport du Tüv est incomplet et peu sérieux, date arrangée, rien sur la pollution de l’eau et des machefers…

La Dioxine TCDD est le plus puissant poison connu – un million de fois plus toxique que le plus puissant poison naturel – et aussi le plus durable. … (Une étude de 2002, de l’Université Columbia de New York, révèle que 80 g de dioxine versés dans le service d’eau d’une ville peuvent tuer 8 000 000 de ses habitants)

La Dioxine TCDD se mesure en pico gramme, c’est à dire en millionième de millionième de gramme (10 puissance -12 gramme) Cette infinie petitesse lui assure une grande stabilité. Premières victimes, les plus faibles, les embryons humains et animaux…Pas de normes anti-dioxines en Suisse, des normes laxistes en Europe, des normes réalistes aux USA qui connaissent le danger vu le Vietnam et l'agent orange… l’EPA (Environnemental Protection Agency) américaine a défini une norme acceptable à un cancer par million de personnes au seuil de 0,0064 pico gramme par jour et par kilo. L’OMS est à 10 pg/j/kg, soit 1600 fois plus : "ces normes sont celles qui ne dérangent pas le système économique des pays. Ce sont des normes de convenance". Or elles n’y ont pas leur place et font des dégâts, que l’on mesure souvent chez les embryons, foetus, bébés, enfants, petits-enfants et autres descendants de ceux qui les ont assimilées : des déficiences immunitaires, des cancers….

On est aujourd’hui dans une situation comparable à celle de l’amiante. La dioxine est un cancérigène avéré. Des recherches faites aux Etats Unis ont montré qu’il n’y avait pas d’effet de seuil. Une seule molécule suffit à provoquer un cancer. Les incinérateurs ancienne génération augmentent les risques de cancer, comme l’a montré l’étude réalisée à Besançon. Se pose également le problème des enfants malformés, révélé par une étude de l’Inserm dans la région Rhône-Alpes. Les risques sont nettement avérés, ils sont plus importants à proximité des incinérateurs et augmentent après la création d’usines. Quant on a autant de corrélations, il ne peut pas s’agir d’un hasard. De plus, un incinérateur coûte extrêmement cher. Une fois que l’investissement a été réalisé, il faut exploiter l’usine au maximum. Ainsi à Lunel en France (Hérault), un contrat précisait que la communauté de commune devait apporter 80000 tonnes de déchets par an à l’incinérateur. Au cas ou la quantité ne serait pas produite, elle devait payer le manque à gagner ! ! !

Les risques existent aussi pour les nouvelles usines.

· A chaque génération on affirme, on affirme que la nouvelle est parfaite. Au début des années 90, industriels et politiques ont dit la même chose. La nouvelle réglementation ne prend en compte qu’une vingtaine de polluants, alors qu’il y en a des centaines dans les fumées émises. De plus les normes exprimées en m 3, sont trompeuses : une usine ne rejette pas 1m3 mais des millions, pendant des années, 740 millions par année rien qu’à Lausanne.

Cendres, mâchefers et eaux de lavage des fumées, des concentrés de dioxines…

"Il n’y a aucun contrôle sérieux du contenu des camions à l’entrée", ce qui veut dire que l’on ne sait pas ce que l’on brûle en Suisse, encore moins ce qui ressort en fumée. Et un membre de l’association, l’ingénieur EPFL Claude Monod, de dénoncer le fait que la réglementation tolère un ratio de polluant dans les fumées et non une quantité annuelle d’émission de polluants sur le site. D’autant que le doute a été jeté sur les contrôles que doit théoriquement subir une usine d’incinération.

". Et on irait construire des sous-couches de route avec ça ou des décharges sur des nappes phréatiques de nos eaux encore potables, que la pluie lessiverait ensuite en faisant passer ces toxiques dans le sol ? Sans compter les plus de 6'000 litres d'eau à l'heure pour laver les fumées de la seule Tridel de Lausanne, alias Detrideg ( sic, ils détrient la plupart de de ce qu'on avait trié …car ils ont besoin de 140'000 tonnes de combustibles, qui viennent même de toute l’Europe…), avec des contrats signés à Milan…

Les dioxines provoquent notamment:

1. Cancers
– Cancers primitifs du foie
– Sarcomes des tissus mous
– Lymphomes non Hodgkiniens
– Maladie d'Hodgkin
– Cancers respiratoires (larynx, trachée, bronches et poumons) *
– Cancer de la prostate.

2. Désordres métaboliques
– Lipidiques: désordres cérébro-artériels; désordres artériels coronariens
– Glucose: diabète

3. Maladies du système nerveux
– Neuropathie périphérique *
– Myélome multiple *

4. Maladies de la peau
– Chloracnée *
– Porphyrie cutanée tardive *

5. Naissances inhabituelles
– Avortements spontanés, naissances prématurées
– Morts-nés
– Grossesse molaire, chorio-carcinome

6. Malformations à la naissance et foetus mal formés chez un ou plusieurs enfants, qui peuvent aussi apparaître dans la génération suivante (petits-enfants). Plus de 4 millions d'enfants sans anus au sud Vietnam, qui sont rejetés car les poches artificielles puent.

7 . Des fraudes démocratiques et des corruptions

Vu la surcapacité actuelle en suisse, on demande un moratoire sur la création de tout nouvel incinérateur et le gel de Tridel .

Toute la Suisse est concernée par les retombées de cette pollution particulièrement grave de l’environnement, vu que nous devenons la poubelle de l’Europe ( amiantes, dioxines, ordures…). Cette situation a engendré une baisse de la valeur de mon cadre de vie, la mise en cause de ma santé et celle de ma famille, un grave préjudice moral dans la mesure où je suis particulièrement inquiet quant aux conséquences de cette pollution à moyen et long terme.

Dans ces conditions, d’une part pour établir la réalité de la pollution subie, d’autre part pour déterminer les responsabilités, et enfin pour définir les préjudices subis et en obtenir réparation, il convient que je dépose une plainte pénale contre X avec constitution de partie civile auprès du tribunal .

 

But « Un comité de veille par incinérateur et moratoire»

Comme celui d'Halluin, l'incinérateur de Maubeuge a déclenché une étude de l'INVS sur l'imprégnation des riverains. Maire de Marpent, Jean-Marie Allain plaide pour la mise en place d'un comité de veille sanitaire pour chaque incinérateur. – Peut-on établir un lien entre la présence d'un incinérateur, le taux de dioxine chez des riverains et le risque de cancer ? « Une étude de l'INVS sur plusieurs incinérateurs du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et du Tarn a déjà mis en évidence un lien entre la présence des incinérateurs des années 70-80, la présence chez les humains de certaines substances et l'augmentation de la fréquence de certains cancers. Les conditions scientifiques de l'étude permettent d'extrapoler sur le plan géographique. » – Comment peuvent se positionner des élus entre principe de précaution et volonté de ne pas affoler les populations ? « Les pouvoirs publics doivent jouer sur la formation et l'information des citoyens. Je suggère que l'on mette en place, pour chaque incinérateur, un comité de veille sanitaire composé de représentants d'associations et d'experts. Nous sommes ici face à une question qui relève de la santé publique, qui concerne par conséquent l'ensemble des citoyens. » – Existe-t-il une solution alternative à l'incinération des déchets ou faut-il considérer, de manière rassurante, que les modèles actuels présentent beaucoup moins de risques que ceux des années 1970 – 1980 ? « Les nouveaux incinérateurs ou ceux qui ont été mis aux normes sont effectivement moins polluants. Mais seuls vingt composés sont mesurés alors que près de 2 000 substances émises ne sont pas contrôlées et ne font l'objet d'aucune norme sanitaire. Les taux de dioxine en 1995 étaient 10 fois plus élevés mais déjà annoncés comme étant sans risques pour la santé. Il ne fait guère de doute que cette filière d'élimination, qui n'incite guère au tri puisqu'il faut "nourrir le monstre", va décroître en France. L'enjeu n'est plus de brûler les déchets mais d'enrayer leur production de masse en commençant par la réduction des déchets à la source en taxant plus fortement les emballages. La seconde solution, complémentaire, c'est d'intensifier les actions de recyclage. » • PROPOS RECUEILLIS PAR DOMINIQUE SERRA mercredi 04.06.2008, 04:56 – La Voix du Nord

Dioxine: imprégnation peu différente près ou loin d'un incinérateur

Est-ce de la langue de bois ? HALLUIN (Nord) – Vivre à proximité immédiate ou à une certaine distance d'une installation d'incinération modifierait assez peu le taux d'imprégnation des différents types de dioxine dans le sang, révèle une étude réalisée dans le Nord et rendue publique mardi à Halluin. Débutée en 2006 à Halluin, où un incinérateur a fonctionné de 1967 à 1998, l'étude met en revanche en lumière un taux de dioxine moyen dans le sang des deux populations étudiées (vivant près de l'ancien incinérateur à Halluin et Roncq d'une part, et à une trentaine de km d'autre part, à Orchies) largement supérieur à la moyenne nationale. L'étude de l'Union régionale des médecins libéraux (Urmel), portant sur 127 personnes, fait apparaître des taux moyens de 43,15 picogrammes/gramme de matière grasse chez celles vivant près de l'incinérateur, et de 39,73 pc/g chez celles habitant à Orchies. La moyenne générale des deux échantillons atteint en revanche 42,35 pc/g, contre 27,7 en moyenne nationale, selon une autre étude de l'Institut national de veille sanitaire (INVS). "On voit que dans cette région, il y a ce qu'on pourrait appeler un +bruit de fond+, une intoxication par les dioxines, qui n'est pas spécifique à la zone d'Halluin", a souligné Michel Autès, vice-président Vert du conseil régional (partenaire de l'étude), évoquant une "population soumise à plusieurs sources de pollution". "Habiter à proximité de l'ancienne usine d'incinération d'ordures ménagères d'Halluin n'a pas d'influence sur l'imprégnation en dioxines", conclut l'étude, qui estime que le "niveau moyen d'imprégnation plus élevé dans la région que dans les autres sites français pourrait s'expliquer par une activité industrielle particulièrement dense". Que les personnes vivent à proximité de l'incinérateur ou non, les taux de dioxines dans le sang apparaissent cependant "significativement" plus élevés chez les "auto-consommateurs", qui consomment une forte proportion d'aliments (et notamment de graisses animales) de leur propre production ou de production locale. "Si on connaît très, très bien les impacts d'une intoxication massive à la dioxine, on connaît moins bien les intoxications chroniques", a souligné le Dr Jean-Marc Rehby, président de l'URMEL, évoquant toutefois une possible augmentation de certains cancers. (©AFP / 03 juin 2008 16h10) Jean-Marc Rehby Président de l'Union régionale des médecins libéraux Quels enseignements retirez-vous de l'étude menée à Halluin ? Au-delà de la contamination autour d'Halluin, on y voit surtout l'importance de la contamination héritée du passé industriel de la région, et de sa densité de population. Que faut-il faire ? En tant que médecins, nous allons devoir changer quelques idées reçues, notamment sur l'autoconsommation : produire sa propre nourriture n'est pas forcément un gage de qualité. On peut s'intoxiquer en produisant bio sur un sol pollué à la dioxine. Les pouvoirs publics ne peuvent-ils pas agir ? Il ne faut plus en rester aux déclarations d'intention. Il faut dépolluer et mettre enfin des moyens pour mieux connaître l'impact de la dioxine. Sinon, on risque un scandale analogue à celui du sang contaminé.  
Recueilli par O. A. – ©2008 20 minutes
actualité » Région » La dioxine est aussi là où on ne l …
La Voix du Nord – Lille,Nord-Pas-de-Calais,France
Une étude montre que l'imprégnation aux dioxines des populations voisines de l'ancien incinérateur d'Halluin n'est pas beaucoup plus importante que celle

Dioxines : Halluin très au dessus de la moyenne
Libé Lille – Lille,France
TERRE – Une étude révèle que le taux moyen de dioxine dans le sang d'habitants d'Halluin, âgés d'une cinquantaine d'années en moyenne, est de 43 picogrammes

Dioxine: imprégnation peu différente près ou loin d'un incinérateur
Romandie.com – Genève,Switzerland
Débutée en 2006 à Halluin, où un incinérateur a fonctionné de 1967 à 1998, l'étude met en revanche en lumière un taux de dioxine moyen dans le sang des deux




Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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La femme est, comme toujours, l'avenir de l'homme, et réciproquement. Si qua fata sinant…:-)
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