Total du bilan des “banques centrales ” en rapport avec le PNB. La BNS est un fond, un hedge fund, qui “joue” contre la Suisse… pour les profits des financiers de la City et de New-York…
Investissements dans le gaz de schiste… perte de plus d’un milliard de francs ( sic)… dans Apple, concurrent de nos horlogers…



Finma… le directeur, M. Branson, est un anglais inculpé au Japon…

PATRICK DIMIER

17.01.2014, 00:15 Heures
pour la Xe fois, les personnes qui, à Berne, usurpent les pouvoirs qui leur sont confiés dépassent les bornes. Non seulement Branson est étranger mais en plus il vient de l’établissement fraudeur No1 de la planète avec des casseroles à faire pâlir les cuisines de Versailles. Si vous y ajoutez que son pays d’origine fait partie de ceux qui cherchent notre perte, vous réaliserez les dégâts.

Luis Jembert

16.01.2014, 19:34 Heures
M. Branson était en charge de UBS Japon entre 2006 et 2008. Selon FT (20.12.2012), l’unité de M. Branson était très impliquée dans la manipulation du Libor et autres taux de référence. C’est aussi lui qui s’est excusé devant le congrès américain pour les fraudes de UBS. Voilà donc un bon chef de la police financière! Une chose comme ça, ça n’arrive qu’en Suisse!

Dominique-Pierre Martin

17.01.2014, 12:33 Heures
dans le même ordre d’idée pourquoi pas un IMAM à tendance islamique extrême comme Pape au Vatican ? pourquoi pas le patron de Novartis à la tête de l’OMS ? pourquoi pas DSK patron de la brigade des moeurs à Genève? pourquoi pas ……etc, etc., n’y a t’il pas un Suisse compétent pour occuper ce poste ? il y a t’il eu des recherches tout d’abord ?

Frédéric Bastiat

16.01.2014, 18:21 Heures
Ils sont de plus en plus malades à Berne. Ils prennent une personne dont la nationalité correspond à un pays qui a une place financière et banquière parmi les plus importantes du monde. Sa loyauté va aller dans quelle direction? Tant qu’à faire on pourrait aussi nommer un américain chef des services de renseignements et aux relations étrangères des Lybien de l’ancien entourage de Khadafi.

Démission de la direction de la BNS et de la Finma…



Le syndicat Unia notamment exige la démission de la direction de la BNS

Unia exige la démission de la direction de la BNS
Unia exige la démission de la direction de la BNS
Il y a un an, le 15 janvier 2015, la direction générale de la Banque nationale renonçait au taux plancher du franc par rapport à l’euro. Cette décision incompréhensible a étranglé la conjoncture et coûté jusqu’ici plus de 10 000 emplois. Comme la direction de la BNS n’est visiblement pas prête à assumer sa mission, elle doit en tirer les conséquences et démissionner.
Le franc surévalué renchérit les produits et les services suisses. Au lieu de la brève flambée du cours du franc qu’escomptait le président de la BNS, le franc s’est échangé à 1,06 seulement durant l’année, ce qui est bien insuffisant. A cela s’ajoutent des perspectives sombres pour la croissance avec une chute des exportations dans l’industrie MEM et une baisse de la fréquentation touristique en provenance des pays européens.
Augmentation du chômage
Alors que le chômage diminue dans l’Union européenne, il augmente en Suisse. Dans les branches où Unia conclut des CCT, le franc fort a coûté 7000 emplois (sans parler du licenciement collectif dramatique annoncé par Alstom). A terme, l’Union patronale Suisse parle de la disparition de 20 000 emplois dans l’industrie d’exportation. Un processus inexorable de désindustrialisation aux conséquences dramatiques pour la Suisse est en marche.
La main d’œuvre paie les pots cassés
Les syndicats ont certes réussi à prévenir les baisses de salaires envisagées sous le prétexte commode du franc fort. Mais des dizaines de milliers d’employé-e-s ont été contraints à effectuer des heures de travail gratuites et les taux négatifs introduits par la BNS nuisent aux caisses de pensions. Les plus durement touchés sont toutefois les salarié-e-s qui ont perdu leur travail.
La direction de la BNS n’inspire plus confiance
Le mandat de la BNS est clair: elle doit mettre en œuvre une politique monétaire utile à l’économie. Unia ne croit plus que la direction de l’institution ait la capacité et la volonté de remplir sa mission. Le syndicat invite donc son président, Thomas Jordan, et les autres membres de la direction à se retirer pour laisser la place à une politique monétaire orientée sur l’intérêt général du pays.

PS:

Debrab Chris

02.08.2015, 13:54 Heures
@Nicole Martin Et bien non, justement. Depuis 2003, la BNS n’est plus un organe d’Etat. Elle est devenue privée et indépendante, soit disant pour être moderne, ce qu’ignore la majorité des Suisses qui table encore sur la politique en “bon père de famille” de leur banque centrale. A l’instar de la Fed qui, malgré son nom, est une banque privée depuis 1913. Nous avons été “bernés”, à lire : 

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/4ca824fa-813f-11e3-ac91-972575b7a04d/La_loi_qui_a_permis_la_financiarisation_%C3%A0_haut_risque_de_la_Banque_nationale

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