Fukushima Daiichi
Eau de mer est dangereuse car explosive sur des métaux brûlants
La caléfaction ( du latin calefacere : chauffer) est un phénomène d’isolation thermique d’un liquide par rapport à une surface chauffante ayant atteint une température seuil Ts supérieure à la température d’ébullition du liquide Te.
Ce phénomène est dû à la formation d’une couche de vapeur entre la surface chauffante et le liquide, rendant le transfert thermique beaucoup plus lent. Quand la température de la surface diminue (mais reste comprise entre Te et Ts) il se produit une ébullition brutale (cause de nombreuses explosions de chaudières…).
Il faut donc descendre les températures et freiner les particules atomiques avec du bore, du borax ou de l’acide borique mélangé à des conducteurs thermiques, par exemple avec de l’or, du plomb ou du cuivre. Ce qui freine les explosions de MOX et qui stabilise les déchets sur place.
Les Russes et M. Joseph Ferraye peuvent donner de bons conseils.
Au moins 600’000 c’est le nombre de morts en Russie, en Biélorussie et en Ukraine pour le seul réacteur de Tchernobyl. Cela a été admis par l’académie des sciences américaines. Plus de 2.3 millions personnes ont été touchées gravement dans leur santé, donc pas forcément encore décédées.
Destroyed: Damage after the earthquake and tsunami at Fukushima Daiichi nuclear plant, 240 km (150 miles) north of Tokyo, is seen in this satellite image taken 9:35 am local time (0035 GMT)
Being an expert from the swiss army in nuclear warfare ABC, we can state that:
Having examined all data, pictures and movies from Japan, I can state the situation as VERY DANGEROUS.
Putting seawater there is not efficient enough.
When the temperature of surface decreases (but remains included/understood between Te and Ts) it occurs a brutal boiling (causes many explosions of boilers and steam engines and plutonium mox particles, VERY dangerous…).
It is thus necessary to descend the temperatures and to slow down the atomic particles with boron ( borax, bore) mixed with thermal drivers is more effective, for example with gold, lead or copper. One could even obtain reactions of aneutronic fusions with hydrogen and deuterium present on the spot.
The Russians and Joseph Ferraye can give good hints.
The vapour layer lifting the drop centre into a dome.
(White dot is reflected flash- dotted lines are brass surface at 600 deg C)
This does not always occur, then again there may be several such domes in a large drop i.e. up to the 10ml limit I put on my work.
The upper surface of a drop is often covered with wavelike disturbances stopped here at 1/1000s. A circular drop will rarely have circular waves coming from the centre – as if a stone has been dropped into a pool of water – and these flow outwards and disappear under the drop.
(The drop is not on a slope – my photo is!) The differences in drop thickness as it glides on the hot surface. Steam rises,invisibly of course, up and over the drop where some is here condensing and become visible.
The Vapour Layer
I am not including graphs, measurements or calculations – just basic details :
Drops used were at the average salinity 3.5% of the worlds seas and oceans.
I used three approaches to measuring the thickness of the supporting vapour layer. Apart from the very smallest volumes, which take on a nearly spherical shape, drops will have a concave base. The part of the layer of particular interest is at the bottom edge from which steam is escaping and keeping the drop from touching the hot surface. The first approach used photography.
Tyndall was able to see the light of a glowing filament (a-b left) through the vapour layer beneath the suspended drop. This implied a photographic attempt should be possible.
Part of an enlarged photograph of a Leidenfrost drop.
Photographs were taken of drops and enlarged. A scale placed vertically on the brass surface was photographed. Direct measurements were made at equal intervals along the base of the drop to determine the thickness of the vapour layer.
The vapour layer was found to be 0.06mm for most of the length of the drop edge except in places where the edge curved upwards and the gap was 0.26mm.
The flow of vapour from the supporting layer considered as the escape of fluid from an orifice.
The rate of escape of a fluid from an orifice is governed by the geometrical shape of the orifice and the area of discharge. Again I am not including the calculations, evaporation rates and so on.
This method determined the vapour layer at the drop bottom edges to be 0.06mm
(Published values for the Coefficient of discharge (Cd) used were often for large hydraulic engineering projects. In order to check these applied to the very small scale Leidenfrost drops the following experiment was made:-
Air was released, through a rectangular slit of similar area (4 sq mm) and aspect ratio to that of a 2ml drop having a vapour layer thickness of 0.06mm, from a spherical balloon, to deliver air at constant pressure for a decreasing volume. Air pressure was measured with a U tube manometer and balloon volume determined from radius measured with external calipers as air was released over 5 second intervals.
http://volcaniclightning.tripod.com/leidenfr.htm
More:
http://www.next-up.org/pdf/Japan_Fukushima_Radiation_Report_15_03_2011.pdf
François
Japon: de pire en pire, explosions de plutonium MOX
Le MOX, pour “Mixed Oxydes” est un combustible hautement toxique et dangereux composé d’environ 6 à 7 % de dioxyde de plutonium récupéré en “retraitant” du combustible nucléaire usé qui est mélangé à du dioxyde d’uranium neuf appauvri. Le MOX entre plus facilement en fusion que les combustibles classiques, il est utilisé dans 20 des réacteurs du parc nucléaire français.
Le problème majeur est que le plutonium du MOX est très toxique à court et à long terme. En voix aériennes, on estime qu’une quantité de l’ordre d’une dizaine de milligrammes provoque le décès d’une personne ayant inhalé en une seule fois des oxydes de plutonium. La relation dose-effet mise en évidence comporte un seuil d’apparition des tumeurs au poumon pour une dose millésimale, de plus une part importante inhalée passe des poumons au sang qui le diffuse vers d’autres organes (ganglions lymphatiques, foie, etc …), plus ou moins vite selon la taille des particules, pour aboutir aux cancers.
Alerte Plutonium Fukushima 3 : MOX et INTOX
NEXT-UP ORGANISATION 16 03 2011
La Tokyo Electric Power Co (TEPCO) est la compagnie d’électricité japonaise qui exploite les sites des centrales nucléaires de Fukushima Dai Ichi où se sont produites les explosions et le site de Fukushima Daini distant d’une douzaine de kilomètres, l’ensemble totalisant dix réacteurs qui alimentent en électricité Tokyo et sa région. Ces réacteurs sont à eau bouillante, celle-ci chauffée par la fission des atomes du combustible qui se transforme en vapeur est dirigée
directement par un circuit primaire radioactif vers un générateur d’électricité, cette configuration est totalement différente des Réacteurs dits à Eau Pressurisée (REP) exploités en France qui comportent un circuit secondaire non radioactif avec un échangeur qui alimente la turbine du générateur.
Face à la succession d’évènements catastrophiques d’ordres naturels qui se sont produits au Japon suite aux tremblements de terre et au-delàs des drames humains il est fondamental d’aller à l’essentiel, c’est à dire à ce qui pourrait hypothéquer durablement le devenir du vivant sur une zone plus ou moins vaste, voire à l’échelle du Japon et des pays satellites ou pire, un scénario de catastrophe environnementale planétaire jamais égalé.
Malheureusement dans le cas du site nucléaire de Fukushima, la “hiérarchie catastrophe” peut atteindre un paroxysme avec le réacteur 3 de 34 ans d’âge qui a été chargé pour la première fois en combustible MOX fourni par AREVA en août 2010. Dans le quotidien Japan Today du dimanche 22 août 2010 il était écrit en titre : “La compagnie électrique de Tokyo a chargé en combustible MOX le vieux réacteur de Fukushima” “Tokyo Electric Power Co loaded plutonium-uranium mixed oxide fuel Saturday into a reactor at its nuclear power plant in Fukushima Prefecture in preparation for the largest Japanese utility’s first plutonium-thermal power generation. The No. 3 reactor at the Fukushima No. 1 plant would be the third in Japan to be used for the so-called pluthermal generation, but the only one among the three to have been subjected to antiaging treatment with 34 years since its launch” “La Tokyo Electric Power Co (TEPCO) a chargé du combustible oxyde mixte de plutonium-uranium (MOX) ce samedi dans un réacteur de sa centrale nucléaire de la région de Fukushima en vue de la plus grande production d’électricité de réaction nucléaire réalisé au plutonium au Japon. “Le réacteur du numéro 3 de la centrale N°1 de Fukushima sera le troisième au Japon à passer à la génération dite pluthermal (Plutonium-Thermique), mais le seul parmi des trois à avoir été soumis à un traitement anti-vieillissement depuis son activation, car il est âgé de 34 ans”
Sous l’article deux commentaires explicites : “. . . l’incompétence au Japon est élevée au niveau maximum, de cette façon elle fait courir un grand danger pour l’humanité” . Le deuxième commentaire était prémonitoire : “Maybe they forgot to tell everyone how they’ve determined there will never be any more earthquakes. Idiots are indeed correct. Likely long-term pain for short term gain” “Peut être qu’ils devraient dire comment ils ont déterminé qu’il n’y aurait jamais de tremblement de terre. Dire que se sont des idiots est correct. Il y aura probablement des douleurs sur le long terme pour des gains sur le court terme”
Le MOX, pour “Mixed Oxydes” est un combustible hautement toxique et dangereux composé d’environ 6 à 7 % de dioxyde de plutonium récupéré en “retraitant” du combustible nucléaire usé qui est mélangé à du dioxyde d’uranium neuf appauvri. Le MOX entre plus facilement en fusion que les combustibles classiques, il est utilisé dans 20 des réacteurs du parc nucléaire français. Le problème majeur est que le plutonium du MOX est très toxique à court et à long terme. En voix aériennes, on estime qu’une quantité de l’ordre d’une dizaine de milligrammes provoque le décès d’une personne ayant inhalé en une seule fois des oxydes de plutonium. La relation dose-effet mise en évidence comporte un seuil d’apparition des tumeurs au poumon pour une dose millésimale, de plus une part importante inhalée passe des poumons au sang qui le diffuse vers d’autres organes (ganglions lymphatiques, foie, etc …), plus ou moins vite selon la taille des particules, pour aboutir aux cancers.
http://www.next-up.org/pdf/Alerte_Plutonium_Fukushima_3_MOX_et_INTOX_16_03_2011.pdf
Wikileaks avait révélé de graves lacunes.
Fukushima nuclear plant owner falsified inspection records http://is.gd/CO9ccg
Caractéristiques du Complexe Nucléaire de Fukushima
(nom, type de réacteur, mise en service, puissance)
Fukushima I – I BWM (eau bouillante) Mars 26, 1971
Fukushima I – 2 BWR Juillet 18, 1974 784 MW
Fukushima I – 3 BWR Mars 27, 1976 784 MW
Fukushima I – 4 BWR Octobre 12, 1978 784 MW
Fukushima I – 5 BWR Avril 18, 1978 784 MW
Fukushima I – 6 BWR Octobre 24, 1979 1,100 MW
Fukushima I – 7 (en projet) ABWR Octobre, 2013 1,380 MW
Fukushima I – 8 (en projet) ABWR Octobre, 2014 1,380 MW
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