Fraudes démocratiques trop faciles, de graves péchés publics à dénoncer… urgemment…
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Lettre de St Nicolas de Flüe aux Bernois:
… Mais je vous écris pour vous avertir, afin que si le mauvais esprit vous tente, vous lui résistiez d’autant mieux, comme de fidèles chevaliers.
…
Les fautes publiques il faut les empêcher et s’en tenir toujours à leur propos à la justice.
…
C’est tout. Dieu soit avec vous.
Donné le jour de la Sainte-Barbe, en l’an 82.
Moi, Frère Nicolas de Flue, j’ai apposé mon sceau personnel sur cette lettre. »
Landsgemeinde von Siebenthal, une des bases de la Suisse historique.
Le 2 mai 1445, à Aeschi bei Spiez, quelques communautés de l’Oberland bernois (Aeschi, Ober Siebenthal, Nieder Siebenthal), le Gessenay ( G sana, alias Saanen ( de la rivière Saane comme le Seine à Paris :-), G staad, G steig. etc… ) combourgeois de Berne, la ville d’Unterseen et les sujets du couvent d’Interlaken conclurent un nouveau pacte d’alliance que du côté du pouvoir féodal cruel on nomma par jalousie et dérision le Böser Bund (” la mauvaise ligue ou mauvaise alliance”).
Il s’agit de la plus importante alliance paysanne libre du XVe s. (soulèvement contre notamment les abus du “couvent ” d’Interlaken en 1445, alliance de Brienz de 1446 à 1451), dirigée contre le service militaire et les taxes que Berne exigeait dans le cadre de sa politique helvétique (première guerre de Zurich). D’une durée de vingt et un ans, l’alliance prévoyait la réunion d’une assemblée annuelle à Aeschi, instance d’arbitrage et de contrôle entre l’autorité et les communes. Berne renonça à une intervention militaire et se soumit aux arbitres confédéraux, qui ordonnèrent en 1446 la dissolution de l’alliance et parvinrent en 1451 à un arrangement avec le Gessenay ( Sannenland actuellement notamment Gstaad…).
Bibliographie
– P. Bierbrauer, Freiheit und Gemeinde im Berner Oberland, 1300-1700, 1991, 170-177
Auteur(e): Anne-Marie Dubler / PM
Suite atroce:
Entre 1536 et en 1555, les Bernois protestants alliés aux “catholiques” valaisans, fribourgeois et vaudois firent une guerre atroce qu’ils perdirent puis proposèrent une soi-disant paix, offrirent des barriques de vin pour fêter cette “paix”, puis tuèrent les hommes alliés au Gessenay ( G S ANA ), violèrent les femmes et détruisirent le Mannenberg de Zweisieben , la grande ville fortifiée secrète dans les montagnes dont parlent les chroniques de Venise ( plus de 2 heures pour faire le tour des ruines à Zweisieben, alias maintenant Zweisimmen Mannenberg ).
Burg Mannenberg
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Burg Mannenberg, la grande ville dans la montagne des chroniques vénitiennes.
La lettre de Frère Nicolas aux Bernois:
« Que le nom de Jésus soit votre salut!» Nous vous souhaitons beaucoup de bien et nous vous remercions pour celui que vous nous faites. Le Saint-Esprit soit votre suprême récompense. Je vous remercie de tout coeur et bien sincèrement pour votre gracieux présent ; j’y reconnais votre paternelle affection, et celle-ci me fait encore plus plaisir que le présent lui-même. Ce qui ne veut pas dire que celui-ci ne m’agrée pas. Fût-il moitié moindre que j’en serais encore enchanté. Puissé-je mériter toujours votre bienveillance devant Dieu et devant les hommes. Ma bonne volonté tout au moins s’y emploiera.
Votre messager s’est fort bien acquitté de sa mission et je vous le recommande.
La charité que vous me témoignez m’incite à vous entretenir davantage. Obéir est le plus grand honneur au ciel et sur la terre. Appliquez-vous donc à être obéissants (solidaires) les uns envers les autres. La sagesse est le plus désirable de tous les biens parce qu’elle permet d’entreprendre toutes choses en les menant à bien.
La paix se trouve toujours en Dieu, car Dieu est la paix, et la paix ne peut être troublée. La discorde au contraire trouble toujours. Veillez donc à chercher avant tout la paix.
Protégez les veuves et les orphelins comme vous l’avez fait jusqu’ici. Celui qui jouit ici-bas d’un plus grand bien-être qu’il en soit reconnaissant envers Dieu, afin que son bonheur soit encore augmenté dans le Ciel. Les fautes publiques il faut les empêcher et s’en tenir toujours à leur propos à la justice. Gardez aussi le souvenir de la Passion du Seigneur dans vos cœurs, car il est pour l’homme la plus grande des consolations à la dernière heure.
Beaucoup sont dans le doute au sujet de la foi et à cause de la foi. Il ne faut pas douter des vérités de la foi, elles sont comme elles ont été révélées. Je ne vous écris pas ces choses parce que je pense que vous ne croyez pas comme il faut, et, je ne doute pas que vous ne soyez de bons chrétiens. Mais je vous écris pour vous avertir, afin que si le mauvais esprit vous tente, vous lui résistiez d’autant mieux, comme de fidèles chevaliers.
C’est tout. Dieu soit avec vous. Donné le jour de la Sainte-Barbe, en l’an 82. Moi, Frère Nicolas de Flue, j’ai apposé mon sceau personnel sur cette lettre. »
Chanoine Henri Chuard, SAINT NICOLAS DE FLUE, NOTRE PATRON, p. 103-104
Fribourg 1956

Le dragon de nos armoiries qui crache le feu sur le casque. |
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Disputes avec le “couvent” d’Interlaken.
… Les querelles avec les voisins (surtout avec la ville d’Unterseen) se multiplièrent, l’endettement s’accrut, les effectifs (hommes et femmes) diminuèrent fortement. Il semble que la maison d’I. comptait en 1310 trente prêtres, vingt frères lais et 350 nonnes. En 1472, il y avait seulement, outre le prévôt et le prieur, neuf simples chanoines et sept novices chez les hommes, vingt-sept nonnes et la supérieure chez les femmes. Les conflits avec les sujets devinrent aussi plus fréquents. En 1348, les gens de Grindelwald et de Wilderswil conclurent un pacte d’entraide avec ceux d’Unterwald. Berne intervint militairement dans l’Oberland et battit Unterwald et ses alliés. De nouveaux troubles éclatèrent en 1445; ils seront apaisés par un arbitrage (
Böser Bund de l’Oberland bernois). Au cours du XIVe s., on observe un mouvement de sécularisation qui se traduisit par le relâchement progressif de la discipline conventuelle. Une vive dispute opposa en 1472 les couvents masculin et féminin; l’évêque de Lausanne envoya deux visiteurs, qui constatèrent de graves manquements. Le prévôt fut arrêté, une partie des chanoines éloignés et remplacés par des religieux d’autres couvents. On prit des mesures de réforme; néanmoins, le couvent féminin fut supprimé en 1484 et ses biens attribués au chapitre de Saint-Vincent à Berne, récemment fondé.
Le couvent d’hommes fut supprimé en 1528, comme tous les couvents du canton. Les chanoines reçurent une indemnité. Berne fit dès lors administrer les biens de l’ancien chapitre par un intendant, après avoir réprimé le soulèvement des sujets qui avaient espéré une abolition complète des cens.
Auteur(e): Barbara Studer / PM
2 – Bailliage et district
Références bibliographiques
Auteur(e): Barbara Studer / PM
Über die Geschichte der unteren Burg Mannenberg ist kaum mehr bekannt als über jene der oberen Burg. Der ganze Hügel bildete das hochmittelalterliche Herrschaftszentrum des Obersimmentals, welches im 10. Jh. als ursprünglich burgundisches Krongut an Kaiser Otto III. kam. Ob die im 12. Jhdt. auftauchenden Herren von Siebental hier residierten, ist unklar. 1270 wird eine Burg «Mamerberg» erstmals erwähnt, als der aus dem Wallis stammende Ritter Peter von Raron das Reichslehen innehatte. Bald nach 1300 verkauften die Herren von Raron die Herrschaft Mannenberg an Heinrich IV. von Strättlingen. Ab 1336 treten indessen die Grafen von Greyerz als Inhaber des Lehens auf. Weil er sich im Laupenkrieg gegen Bern stellte, erhoben sich die Talleute gegen Graf Peter von Greyerz. Und 1350 gelang es bernischen Truppen, bei einem Vorstoss ins Obersimmental die Burgen auf dem Mannenberg zu zerstören.
Entgegen früheren Annahmen wurde die untere Burg nicht als Ersatz für die zerstörte Anlage erbaut. Sie scheint eher eine Ergänzung der oberen Burg gewesen zu sein. Während jene talabwärts gewandt war, konnte man von der unteren Burg talaufwärts blicken. Nach der Eroberung durch die Berner liessen die Greyerzer die beiden gebrochenen Burgen zerfallen und verkauften ihre Rechte 1356 an die Herren von Düdingen. Von diesen kam das alte Reichslehen 1378 an Freiburg, bis sich Bern 1386 im Sempacherkrieg endgültig des Tals bemächtigte und eine Landvogtei einrichtete. Als Herrschaftssitz wurde damals nicht mehr Mannenberg, sondern die Blankenburg gewählt.
Die Ruine wurde als Steinbruch ausgebeutet und befand sich allgemein in einem sehr schlechten Zustand, bis 2007 mit Hilfe des Archäologischen Dienstes des Kantons Bern die Stiftung Pro Mannenberg gegründet wurde. Diese Institution zur Erhaltung der Mannenberg-Burgen begann im Sommer 2008 mit der Sanierung der unteren Burg. Während der Arbeiten konnten Indizien für zwei Bauetappen dieser Anlage entdeckt werden. In einer ersten, nicht datierten Phase entstand offenbar die Ringmauer mit einem Eingangsportal auf der Südwestseite. Die östliche Ecke der Wehranlage wurde von einem grösseren Gebäude mit polygonalem Grundriss dominiert – wohl ähnlich den beiden Hauptgebäuden auf der oberen Burg. In einer zweiten Bauphase, die möglicherweise nach einem Brandschaden begann, wurde auf den Grundmauern dieses Gebäudes ein starker Rundturm mit 8,6 Metern Durchmesser errichtet. Eventuell geschah dies um die Mitte des 13. Jhdts., als die Burg den Herren von Raron gehörte. Rundtürme breiteten sich damals von der Westschweiz her nach Osten aus. |
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Daniel Rindlisbacher
Quellen:
Fritz Hauswirth – Burgen und Schlösser der Schweiz, Bd. 10: Bern 1. Kreuzlingen, 1974 Rudolf von Fischer – Die Burgen und Schlösser des Kantons Bern: Basel, 1938 Erich Liechti – Burgen, Schlösser und Ruinen im Simmental. Wimmis, 2006 Thomas Bitterli – Schweizer Burgenführer. Basel / Berlin, 1995 |
Sagen und Erzählungen zu Burgen und den Alpenübergängen im Simmental |
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Turmbuch et Traditionnen.
Joyeux Noël et bonne année. Happy Christmas and happy new year.
Mobilisation générale: épargnes, retraites… volées légalement ! Comme à Chypre et en Grèce… Arnaque de la création monétaire du néant, ex nihilo… Grâce à monnaie-pleine, on peut rédiger ensemble un projet de loi d’application ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, monnaie, crédits, etc… pour en discuter ++ 21 616 88 88
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
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