Kennedy a dénoncé les sociétés secrètes qui profitent de ce système de voleurs.


“Le bureau présidentiel a été utilisé pour mettre sur pied un complot d’anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique.”


John F. Kennedy, (A l’université de Columbia, 12th Nov. 1963 – 10 jours avant son meurtre le 22 Novembre 1963.)


Tout coûte plus cher, mais l’essentiel du budget va aux banquiers qui gagnent des sommes folles en regardant leur montre, jour et nuit, y compris les jours fériés.


Même en Suisse, on souffre de ces abus.


Exemple réel:

Je connais quelqu’un qui a dit et écrit à son banquier suisse qu’il était un criminel économique.

LETTRE VERIDIQUE QUI METS EN EVIDENCE LA PROBLEMATIQUE DES PETITS ENTREPRENEURS INDEPENDANTS AVEC LES BANQUES

Monsieur le Directeur,

Comme votre collaboratrice Mme (…) me l’a demandé, je vous transmets mes comptes 2012.
Les comptes 2013 ne sont pas prêts, car l’essentiel de mon temps a été occupé par (…)
Ma comptabilité, c’est moi qui la fait. Je ne suis pas comptable. Je fais ma compta tant bien que mal afin de payer le moins possible d’impôt, un point c’est tout !

Par conséquent, vous voudrez bien prendre note que je ne vous demande pas si oui ou non, vous m’aidez pour l’obtention de ces locaux, mais je vous demande de trouver la solution avec le notaire en vous engageant dans votre rôle de banquier !
Votre collègue se base uniquement sur mes comptes pour prendre sa décision.
Je trouve cela totalement inadmissible pour une banque qui se dit proche de ses clients !
De cette manière, vous “ouvrez la voie”, comme dit votre publicité, vers le désarroi et le suicide de ceux-ci. Exactement comme le font les fonctionnaires fédéraux et les parlementaires européens avec les paysans !

Quand je dis vous, je parle de la politique bancaire actuelle ! De cette politique qui considère qu’une maison (…) pas vendue, ou bien qu’une autre(…), sans vue sur le lac, sans jardin ni terrasse, à transformer (…), vendue XX0’000.– valent moins que vos “produits financiers” totalement virtuels et si compliqués à comprendre que même les universitaires économistes qui mènent le monde se sont fait avoir avec leur Madoff et autres escroqueries magistrales !
Ou à des escrocs comme Mxxxxx Xxxel ou la BVCréd qui ont fait perdre des millions au “petit peuple” naïf qui ont cru à ces mirobolants “produits financiers”…

À aucun moment, vous m’avez demandé un rendez-vous pour prendre connaissance de mes activités et de mes compétences.
À aucun moment, vous avez cherché à savoir comment je survivais et me débrouillais avec mon entreprise, ma volonté d’entreprendre et dans quelles conditions je devais travailler pour vous fournir des comptes “pas bons” comme me ressasse sans fin cette dame qui s’occupe de mon dossier !
Ou plutôt s’occupait, car je souhaite que ne ce soit plus elle qui s’en occupe, étant donné qu’elle se base uniquement sur deux feuilles de papier qui se nomment “Bilan” et “Pertes et Profits” !

Lorsque j’ai changé de banque, vous m’avez accueilli avec bon sens et nous nous sommes dits, avec mon épouse : “Voilà enfin un vrai banquier, quelqu’un qui a encore du bon sens, ce bon sens terrien que la plupart de vos collègues dénigrent au profit de ces “produits financiers” évoqués plus haut.
J’aimerais, et je continue à croire, Monsieur le Directeur, que vous avez ces qualités.

Aussi, je vous demande de toute urgence, de me fixer rendez-vous sur place, à mon futur atelier qui sera le mien d’ici quelques jours, à (…) Nous pourrons ainsi vous mettre enfin au courant de la situation.

Je vous prie d’être discret car, comme vous pourrez le constater dans les deux dossiers que j’ai laissé à votre collaborateur ce jeudi dernier, nous subissons un harcèlement téléphonique de (…)
(…), nous avons la chance inouïe que (…le vendeur) nous donne la préférence, avec en prime le fait qu'(il) ne va pas céder à la surenchère de (…)

Dans l’attente, je vous prie de croire, Monsieur le Directeur, à l’expression de mes meilleurs sentiments.




PS:


Une politique voulue en haut lieu, démonstration dans le lien ci-dessous, voir surtout à 25 minutes et suivantes de la vidéo, le chef de l’émission ôte son oreillette, il vient très probablement de recevoir l’ordre de couper la démonstration pour faire passer une publicité … voir son visage et celui de la banquière… très expressifs, mieux qu’un long discours…


http://www.becurioustv.com/fr/show/qu-est-ce-qu-elle-a-ma-girl/episode/19-mai-les-suisses-aiment-ils-vraiment-leurs-banques

“Je suis banquier, j’étais derrière les rideaux, j’ai vu comme ça se créait. Ils balancent au bilan actif/passif une création pure qui ne vient de NULLE PART !”

Transcription presque intégrale dans le lien ci-dessous : 



http://desiebenthal.blogspot.ch/2013/06/m3-nest-plus-publie-par-la-fed.html

Explications:


Le capital prêté a bien été créé à partir de rien, puisqu’ aucune monnaie n’a circulé. Il ne s’agit pas de l’argent de Pierre, Paul et Jacques qu’on a prêté à Robert puisque les trois compères peuvent toujours vider leur compte à l’aide de leur carte de crédit, de leur chéquier ou d’une évasion de capitaux (ça s’appelle virement quand la destination est connue).


Le capital emprunté par Robert devra être remboursé, le plus souvent il faut le rappeler, par son travail (l’économie réelle qui crée les vrais richesses, palpables), et bien que cet argent ait surgi de la sphère financière. Le-dit capital une fois remboursé, sera annihilé. Il disparaîtra de l’économie. Cela renforce le problème des crises voulues par leur système, à savoir qu’il n’y a jamais eu, et qu’il n’y aura jamais assez de monnaie (sous quelque forme que ce soit) pour rembourser toutes les dettes contractées.


Le scandale selon moi c’est que la seule monnaie véritablement créée, les intérêts, va toujours dans la poche du banquier (qui en reverse quand même une partie à ses épargnants). Il me semble inadmissible que le pouvoir de création monétaire soit détenu par des privés, je trouve cela incroyable dans une société qui se dit démocratique.


Accessoirement, si c’était un établissement public qui créait la monnaie, l’Etat ne pourrait jamais être endetté (il ne se verserait pas à lui-même des intérêts). De braves économistes ont soutenu que l’Etat ne savait pas user sagement du pouvoir de créer la monnaie et qu’il était responsable de la crise de 74. Tout le monde trouva cette réflexion lumineuse et s’empressa de confier le pouvoir monétaire aux privés, nonobstant les avertissements de l’histoire. Je trouve ça complètement fou. La crise du subprime et ces centaines de milliers de milliards de $ écrasent les familles et les citoyens, pour engraisser quelques renards rusés aux salaires honteux.




Kennedy a dénoncé les sociétés secrètes qui profitent de ce système de voleurs.


“Le bureau présidentiel a été utilisé pour mettre sur pied un complot d’anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique.”


John F. Kennedy, (A l’université de Columbia, 12th Nov. 1963 – 10 jours avant son meurtre le 22 Novembre 1963.)


Le chauffeur est mort 3 semaines après d’un étrange cancer foudroyant. Nombreux impliqués dans cette affaire seront victimes d’une mort brutale peu de temps après les faits (accidents de la route notamment).
Il y a donc des complots, not. financiers, voir Ferraye, 9-11, UBS, Or suisse etc…


Le 4 Juin 1963, le President Kennedy a signé un document
présidentiel nommé l’Ordre Exécutif 11110 ( toujours applicable), lequel a modifié l’Ordre Exécutif 10289 de 19 Septembre 1961.


Le Président des États Unis a exercé le droit juridique de produire l’argent, sans intérêts et libre de dettes. Il avait déjà
imprimé les billets des États Unis en ignorant complétement les billets de la Réserve Fédérale des banques privées (le FED est une organisation privée, sic.) Les registres montrent que Kennedy avait imprimé § 4,292,893,825.
Quelques mois après, en Novembre 1963, on l’a assassiné.


Le President Kennedy avait réduit l’Acte de la Fédéral Reserve voté la veille de Noël 1913 et redonné au Congrès des États Unis le droit de créer son propre argent.




“L’ordre exécutif 11110 a été limité par le Président Lyndon Baines Johnson, trente-sixième président des Etats-Unis – de 1963 à 1969 – alors qu’il se trouvait dans l’avion présidentiel Air Force One, entre Dallas et Washington, le jour même de l’assassinat du Président Kennedy ” écrivait un chroniqueur ( il serait encore applicable en quelques minutes par le Président Obama) 
Le décret présidentiel n’a jamais été officiellement abrogé, mais son application fut suspendue. 
Fut abrogée l’autorisation d’imprimer de nouveaux billets et de frapper de nouvelles pièces, si bien que l’ Executive Order n° 11110 demeure officiellement en vigueur … dans la stratosphère. On a donc retiré de la circulation ou détruit tous les billets des États Unis imprimés par Kennedy, par suite d’un ordre exécutif du nouveau Président Lyndon Johnson, le même qui a donné l’ordre de couler le USS Liberty au large d’Israël et par Israël…





Cet assassinat était peut-être un avertissement aux futurs Présidents qui auraient voulu emboîter le pas à Abraham Lincoln et à John Fitzgerald Kennedy et priver les banquiers de leur rente en éliminant le système de la monnaie-dette. John Fitzgerald Kennedy aurait payé de sa vie cette provocation à la puissance de la finance internationale. Mais nous sommes là dans le domaine des innombrables coïncidences troublantes qui ont jalonné la vie de ce Président même si la célérité de la décision du Président Johnson donne du crédit à cette supposition. Eustace Mullins rappelle que le Président Abraham Garfield avait lui aussi été assassiné le 2 juillet 1881 après avoir fait une déclaration sur les problèmes de la monnaie. Que de coïncidences !


Depuis le Président Kennedy, aucun successeur ne s’est avisé d’apporter la moindre réforme au fonctionnement de la FED.


C’est le moment de le faire, yes, we can, yes, you can, notamment en mettant en pratique l’encyclique oubliée de Vix pervenit ( 4 pages A4 ).


Même la “vraie” Opus Dei, prélature “catholique”,  l’a oubliée, quel dommage et quel gaspillage. On le paie tous trop cher…


http://www.de-siebenthal.com/Vix%20pervenit.htm



Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal


Blaise Rossellat
20 février, 11:26
 
Joli témoignage d’une amie FB:

“Bonjour les amis,

Je voulais vous parler un peu de la vie que nous avons eue jusqu’à présent! Nous pensions être dans des États démocratiques et on nous faisait croire que nous avions de la chance de vivre dans nos pays industrialisés. On faisait confiance aux dirigeants, et depuis la crise de 2008, petit à petit certaines personnes ont pris conscience et ont compris comment fonctionnait le système monétaire de notre planète
dont je fait partie! J’ai compris beaucoup de choses en peu de temps et ça ma fait pleurer rien qu’en pensant à tout le temps que j’ai passé au travail alors que du travail avec trois enfants, j’en avais bien assez! On m’a privé du droit d’élever mes enfants sans avoir toujours peur du lendemain!

Dans ma génération, en plus, nos parents nous disaient, si tu veux de l’argent, il n’y a que par le travail que tu en auras… Jamais, on ne m’avait dit que l’Etat pourrait un peu m’aider pour que je puisse rester quelques temps à la maison à élever mes 3 enfants! Je n’osais pas demander de l’aide car j’aurais eu l’impression d’être mal jugée et de passer pour une profiteuse et une flemmarde!

Alors je suis allée comme tout le monde, comme un mouton au turbin, pour gagner quelques sous qui nous manquaient pour faire tourner les comptes de la famille! J’ai eu beaucoup de peine vu que mon petit salaire s’ajoutait aux salaires de mon mari et que les frais de garde était pas déductibles des impôts… Du coup, tout ce que je gagnais en plus, je devais le redonner aux impôts! Alors quand je me suis rendue compte que je ne gagnais rien, je me suis mise a travailler au noir! En travaillant comme ça, au moins si je gagnais 20 CHF il me restais 20 CHF à la fin du mois…

J’ai laissé mes enfants seuls à la maison pour ne gagner rien du tout, je m’en serait passé! Je me suis torturée toute ma vie à cause de l’argent! Je me suis privée de tout et le pire, c’est que je n’ai pas vu grandir mes enfants qui sont mes biens les plus précieux!

Maintenant que je sais que c’était une escroquerie, j’en pleure… Si je n’avais pas eu peur de ne pas arriver à gagner ma vie! “Gagner ma vie” comme on nous le disait souvent: “va gagner ta vie, si tu ne travailles pas, tu n’as pas le droit de vivre!” C’est quoi ça, cette phrase qu’on nous a mis dans le crâne?!? Mais notre vie on nous l’a donnée!

Et de nos jours, vu que l’homme a inventé les machines, nous n’avons plus besoin de tant d’ouvriers pour faire les travaux répétitifs, les travaux lourd, les machines s’en chargent!
Je vous rappelle les amis que les machines ont été créées pour soulager les travaux de l’homme et non pas, pour le faire travailler dix fois plus pour arriver au même résultat! Les machines doivent être aux service des humains et non pas les humains au service des machines! Actuellement, les machines servent à faire gagner plus d’argent aux plus riches… Nous n’avons plus besoin d’autant de main d’œuvre et c’est très bien ainsi.
Maintenant, il n’y a plus assez de travail pour tout le monde, alors ceux qui sont au chômage ou à l’hospice, nous en faisons des cas sociaux, des feignants et des parasites de la société! Nous leur donnons juste de quoi survivre et quand il faut se serrer la ceinture, c’est encore à eux que l’on coupe le robinet! Je me rappelle que dans les 1970, il n’y avait aucun chômeur et pas de feignants…

Réfléchissez, nous pouvons et avons le droit à une vie plus juste et meilleure sans se torturer tous les jours de notre vie à penser au lendemain.

N’ayez pas peur, ce changement-là, c’est une idée de génie!
Merci à François de Siebenthal, grâce à lui, j’ai compris qu’ensemble nous pouvons changer de paradigme.

Commençons par voter OUI au Revenu de base inconditionnel pour un monde plus juste et meilleur!

Merci de m’avoir lu. Je vous souhaite à tous un très bon week-end et un gros bec à tous!”

Nadine Hoffmeyer

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