Bilderberg 2011 à Sankt Moritz. Dominique Baettig demande une CEP (Commission d’enquête parlementaire)

Voir ci-après la version originale, en français, du texte des questions de l’Intervention que déposera le Conseiller national Dominique Baettig au Parlement à Berne, lors de la Session d’automne 2011. Nous précisons ici que la diffusion de ces informations en Suisse et à l’international, fait l’objet de deux exclusivités, ainsi attribuées par ledit Parlementaire. Pour l’allemand, et partant la Suisse allemande, l’Allemagne et l’Autriche, etc., voir le Blog :


qui présente l’avantage de documenter (en allemand), divers délits des Bilderberg et des Autorités tant cantonales que fédérales suisses, pendant leur Conférence.

Pour l’anglais et l’ensemble des Pays anglophones, et toujours selon le souhait de Dominique Baettig, c’est le Site suisse :
qui assure la traduction en anglais et la diffusion de son Intervention à l’international.
Merci à vous tou(te)s d’e-diffuser la version française… le plus largement possible !


M. Mario Borghezio, Député au Parlement européen, ancien Député
 italien et Secrétaire d’État de la Justice, dont le nez commence à couler du sang à cause des brutes du Bilderberg, au-dessus des lois ?

Texte de l’Intervention
De la transparence, du respect pour l’État de droit et… de la décence.

Je demande la création d’une CEP (Commission d’enquête parlementaire) qui devra, notamment, enquêter sur ce qui suit :

– Pourquoi les participants de la Conférence du Bilderberg à Sankt Moritz (8 au 13 juin 2011), qui, tel Henry Kissinger, font l’objet d’enquêtes de Cours et de Juges, ne furent-ils pas arrêtés et extradés ? 

– Comment peut-on expliquer que les Procureurs cantonaux compétents ne disposaient pas de la liste complète des participants, afin de pouvoir vérifier auparavant les noms, en regard des Mandats, malgré le fait que le Conseil fédéral et ses services de sécurité la connaissait ? 

– Pourquoi les participants du Bilderberg qui ne disposent pas de l’immunité diplomatique ont-ils pu atterrir et décoller de l’aéroport de Samedan, sans contrôle de leurs passeports, ni douanier ?



    

      Henry Kissinger et son complice David Rockefeller, akas Rockfeller
       chevilles ouvrières du Bilderberg à l’aéroport de 
Samedan (aux Grisons, en Suisse), sans aucun 
      contrôle des bagages et des papiers. ni à l’arrivée, 
       ni au départ (au-dessus des Lois, grâce au CF ! ).


– Pourquoi des citoyens suisses, qu’ils soient participants ou organisateurs de la Conférence du Bilderberg 2011 à Sankt Moritz et, spécialement parmi eux, les membres des exécutifs et législatifs de la Confédération et des Cantons ne furent-ils pas arrêtés ou mis sous enquête, en considérant leurs violations des Art. 266, 266 bis et 267 CP, malgré le fait et qu’auparavant, l’attention des autorités compétentes fût clairement attirée sur ces faits ?
– Quels sont les détails des frais, en incluant ceux de la sécurité, de communication et de représentation, etc., engagés à l’insu des contribuables suisses et ceux du Canton des Grisons ?

– Comment se fait-il que Daniel Vasella a pu mettre son hélicoptère à disposition de la Police grisonne et quel est le montant de cette corruption ?


– Comment se fait-il qu’une zone de non Droit a prévalu à Sankt Moritz, en violation des Droits fondamentaux avec divers délits des participants du Bilderberg tolérés par la Police, par exemple la conduite de véhicules avec des plaques d’immatriculations masquées ?


– Pourquoi des automobilistes furent-ils bloqués dans leurs déplacements par des Limousines du Bilderberg, mais aussi par la Police ?

– Pourquoi des citoyens suisses et des hôtes étrangers furent-ils, en violation de la Constitution, déplacés de force par la Police hors / sur des espaces et terrains publiques, mais aussi pourquoi des routes d’accès publiques furent-elles fermées, ou encore, comment justifier les fouilles arbitraires de véhicules et de poches ? 
  

– Pourquoi des opposants du Bilderberg et des Journalistes furent-ils suivis par des voitures aux plaques d’immatriculations étrangères et dont les occupants font partie de forces de Police et de Services secrets étrangers ?

– Pourquoi les forces de sécurité, que se soit l’entreprise privée Securitas ou des personnes en civil, étaient-elles composées de citoyens étrangers, reconnus comme tels à leurs accents, et pourquoi la fedpol et la Police grisonne a-t-elle ouvertement collaboré avec ces personnes ?

– Comment évaluer les dégâts à la réputation de la Suisse, considérant que sa Neutralité, Souveraineté et crédibilité furent grossièrement atteintes par les participants de la Conférence qui conspirent contre les intérêts et l’esprit de la Suisse ?

– Puisque le Conseil fédéral a autorisé la participation de représentants de pays conduisant des guerres, à savoir des pays membres de l’OTAN, il en résulte le danger de représailles contre des citoyens suisses. Le cas échéant, qui sera tenu pour responsable ?

– Dito pour les abus de la Police sur la personne de Mario Borghezio, Député au Parlement européen, ancien Député italien et Secrétaire d’État de la Justice, qui fût insulté, molesté, blessé et incarcéré, puis expulsé du Canton des Grisons, ce qui représente un clair déni de la Constitution. 


M. Mario Borghezio, Député au Parlement européen, ancien Député
 italien et Secrétaire d’État de la Justice, le nez en sang.

D’autres questions et preuves sont réservées et seront soumises à la CEP



Page d’accueil

Livre 2 Dispositions spéciales 
Titre 13 Crimes ou délits contre l’Etat et la défense nationale 
Art. 264n Exclusion de l’immunité relative
Art. 266 1. Crimes ou délits contre l’Etat. / Atteinte a l’indépendance de la Confédération

Art. 265

1. Crimes ou délits contre l’Etat.
Haute trahison
Celui qui aura commis un acte tendant
à modifier par la violence la Constitution ou la Constitution d’un canton1,
à renverser par la violence les autorités politiques instituées par la Constitution, ou à les mettre par la violence dans l’impossibilité d’exercer leur pouvoir,
ou à détacher par la violence une partie du territoire suisse d’avec la Confédération ou une partie du territoire cantonal d’avec un canton,
sera puni d’une peine privative de liberté d’un an au moins2.

1 RS 131.211/.235
2 Nouvelle expression selon le ch. II 1 al. 11 de la LF du 13 déc. 2002, en vigueur depuis le 1er janv. 2007 (RO 2006 3459FF 1999 1787). Il a été tenu compte de cette modification dans tout le présent Livre.
Etat le 1er janvier 2011
Pour remarques et observations: Centre des publications officielles
Les autorités fédérales de la Confédération suisse 



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