Divorce organisé par le canton de Genève sans la volonté des époux !
Groupement bénévoles sans frontière. à info@cdc-ge.chpetra.goessi@parl.ch,crouiller@swisslegal.ch
Travaille sans fake news.
La commission du dossier no 29 a rendu son rapport intermédiaire, à l’occasion de la séance plénière du Groupement. Une bénévole a demandé que l’assemblée vote sur la possibilité que les avocats, qui dans ce dossier, ont servis les juges plutôt que la défense des intérêts de la justiciable, soient versés au dossier électronique. A la très grande majorité les bénévoles ont dit oui, ils doivent êtres connus du public. C’est donc contre l’avis de l’épouse absente de l’assemblée et de la Commission du dossier no 29, que nous les évoquons. Nous lui avions dit que ses recommandations à ne pas le faire, tomberaient dès qu’un vote sur le sujet serait demandé et accepté, ce qui est chose faite.
Nous rappelons que nous avions délocalisé le dossier de chez Elle, suite aux écoutes téléphoniques et à la perquisition de son appartement, en dehors de tout cadre légal, faisant suite à sa demande à l’autorité judiciaire d’obtenir un procès équitable.
Nous ne listons pas les Etudes d’avocats qui ont reçus le dossier de main-à-main et qui ont répondu- “J’étudie le dossier et je vous contacte”, elles ne l’ont jamais fait, mais nous n’avons pas de preuves.


Notre collectif citoyen, au vu, de ce que le dossier no 29 lui a appris, demande la démission du Conseiller d’Etat de Pierre Maudet, pour ne pas avoir répondu à son devoir de contrôler le système judiciaire du canton de Genève.
Nous demandons également au PLR suisse, de faire son introspection sur le dysfonctionnement de la justice genevoise et fédérale, pour son implication dans le vol de nos retraites, par contrainte au divorce et abus de faiblesse sur notamment ce fonctionnaire, que les juges du parti connaissaient pour avoir le discernement aboli. La prédation de nos retraites est en marche et nous ne l’acceptons pas
Les faits non contestés par la justice:
A 61 ans, ce fonctionnaire est diagnostiqué médicalement atteint du syndrome de KORSAKOFF. A 63 ans, une injonction médicale est donnée à son épouse pour un éloignement légal de la famille, ses addictions n’étant plus compatibles avec une vie familiale.
A ce même âge, les juges du Palais de justice qui sont des collègues de travail de cet employé,(toute hiérarchie professionnelle respectée) le prient de prendre sa retraite pour incapacité à tenir son poste de travail, de greffier-adjoint au Ministère public du canton de Genève.
2003-2004, le législateur suisse fait une loi illégale, parce que résurgente de la répudiation, ce qui aurait déjà dû interpeller les Cours de justice suisses et de l’UE. Nous voyons plus loin, que les juges s’approprient cette loi, à contrario du droit civil et pénal.
En 2004, les mêmes juges heurtent à la porte de cet ancien collègue de 75 ans, qui a perdu tout contact avec la réalité, il ne sait plus par moment, qui il est et qui il a été, lui extorquent sa signature, pour une demande unilatérale en divorce. Donc chez les PLR, c’est celui qui ne sait plus qu’il a une famille, qui décide pour elle… Au nom du malade, ces magistrats zélés mandatent un avocat PLR bâtonnier, qui fera croire à l’épouse que son mari en est le mandant. Mensonge-mensonge.
Les juges refusent de confirmer la maladie mentale du mari, par une expertise psychiatrique et de le protéger lui et sa famille, par une mise sous tutelle. Toutes les instances judiciaires du pays, entreront dans un appareillage judiciaire, bien loin de l’article 6 de la Convention de sauvegarde des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales: Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un Tribunal indépendant et impartial. Même la Cour européenne des Droits de l’Homme à Strasbourg, le Tribunal de l’Union européenne au Luxembourg refuseront d’appliquer cet article 6 et ce n’est pas aux justiciables de le demander, mais aux professionnels de la justice de le faire observer. Alors pour les classes moyennes, nous disons que l’UE peut bien se déliter, il n’y aura pas de conséquences pour elles, elles ne font pas partie du business européen.
La Commission citoyenne du dossier 29, relève la collaboration inédite, entre juges et avocats, dont vingt-cinq de droite comme de gauche, refuseront le mandat de défense de l’épouse. Nous avons bien à faire à une malveillance organisée envers elle, elle est tout bonnement écartée du dossier, alors qu’elle est la seule légitimée, en droit, de faire une demande en divorce, car elle, elle sait qu’elle est mariée, ce qui visiblement contrarie les juges. Un divorce pour elle veut dire que les juges en lui subtilisant son état civil, veulent défacto lui nuire en lui supprimant la retraite due à une veuve. L’attitude des avocats est un dégât d’image incontestable pour la profession, leurs associations feraient bien de s’expliquer et essayer de nous convaincre que ces collaborateurs des juges ont faits tout juste…
la déconsidération et l’incurie judiciaire, témoignées envers l’épouse, est une offense et un outrage à justiciable, qui n’est pas permis, le PLR doit s’en expliquer avant les prochaines élections.
La plainte pénale légitime, déposée par l’épouse, au Parquet d’Olivier Jornot PLR, se verra répondre que c’est du civil et bien non l’abus de faiblesse est puni d’office, par l’article 115 du code pénal suisse. La justice mélange les juridictions, c’est grave.
Le Procureur général, Michaël Lauber est lui aussi PLR, son Ministère ne verra pas d’inconvénient à ce qu’il n’y ait pas de conciliation entre les époux dans ce cas, alors qu’il le préconise pour d’autres. Oui nous sommes dans une machination politico-judiciaire, depuis que nous savons que les juges, jugent selon leur sensibilité politique. (voir pièces annexes)
Question: y-a-t’il une caisse noire dans la magistrature genevoise, qui gonflera avec les 2èmes piliers spoliés aux ayants-droit, vite contraints à divorcer avant de les toucher?
La Commission citoyenne relève la concomitance au moment des faits, impensable dans une une Démocratie ; la Commission des Affaires juridiques du Conseil des Etats est présidée par Dick Marty PLR, la Commission des Affaires juridiques du Conseil national est composée de deux avocats de la droite genevoise, dont l’un en est le Président…nous attendons toujours la réponse de ces deux Commissions à nos courriers. Quand à la Cour supérieure de la magistrature genevoise, elle perd toute respectabilité et crédibilité, quand y siègent pour le même dossier, les mêmes juges incriminés.

Groupement bénévoles sans frontière.
Travaille sans fake news.

Madame la Présidente, du Parti libéral-radical national suisse.
Notre Groupement, plus particulièrement la Commission citoyenne du dossier, appelé dossier no 29, constitué suite à une défaillance judiciaire genevoise, organisée par la section PLR du canton, à l’encontre de notre bénévole no 137, (les coordonnées du dossier sont disponibles auprès d’Olivier Jornot PLR, en son Parquet du procureur général du canton de Genève) vous informe.
La presse suisse nous rassérène quand elle nous apprend que le parti central, dont vous êtes la Présidente, souhaite que Pierre Maudet démissionne de son poste de Conseiller d’Etat du canton de Genève, ce que nous approuvons. Notre Groupement est rassuré d’avoir entendu nos bénévoles expatriés suisses, qui nous disent voter PLR, affirmer que les valeurs adoptées par la section PLR genevoise, ne sont pas celles du PLR national. Pierre Maudet a menti, mais il semble que le mensonge soit l’apanage de la section genevoise du PLR., voyez-plutôt.
La crédibilité de Pierre Maudet et la section PLR du canton de Genève, est anéantie, depuis que nos enquêteurs ont confirmés que le parti ne respecte, ni les lois, ni le droit en vigueur, dans une procédure unilatérale en divorce, qui relève du droit privé, diligentée par les juges PLR du parti, qui ont en toute connaissance de la maladie mentale du mari (Korsakoff diagnostiqué quatorze ans avant la demande unilatérale) abusés de sa faiblesse, pour un motif égoïste, ce que l’article 115 du code pénal punit d’office, même et surtout, si ce sont des juges qui s’y adonnent. Le procureur Jornot PLR fera répondre à la plainte pénale déposée légitimement et légalement par l’épouse, que c’est du civil, ce qui est erroné et qui met en porte-à-faux l’ensemble du parti, qui défend les libertés individuelles et non les divorces exigés par l’Etat cantonal, par l’hégémonie du PLR genevois qui s’exonère, du droit et des lois envers les classes moyennes. La nouvelle loi sur le divorce, est résurgente la répudiation, n’abonnit pas la démocratie, elle est anticonstitutionnelle et doit être abolie.
Cette loi n’étant pas conceptualisée pour un divorce seulement, nous nous attendons à ce que la section genevoise du PLR, qui n’est pas indéfectible au service public, envoie ses juges auprès d’autres fonctionnaires retraités, qu’ils connaissent atteints de démence et pour le même motif égoïste, imposent le divorce, afin que les épouses qui ont sacrifiés leurs carrières à celle du Père de famille, pour élever les enfants du couple et qui n’ont pu reprendre leurs activités professionnelles, la déficience mentale aggravée du dit père, en étant à l’origine. Tout cela bien sûr, défacto, que ces épouses, ne touchent pas le 2ème pilier, même si elles y ont droit.
Très clairement le PLR qui à Genève, n’est pas l’ami des classes moyennes et des fonctionnaires, spolie les retraites, par astuce.
Notre dossier démontre, que la section genevoise du PLR est dans uneorganisation malfaisante, envers les citoyens qui ne peuvent se défendre, les juges, collaborant étroitement avec vingt-six avocats (dossier no 29) qui refuseront de défendre les intérêts de l’épouse, tandis que la Cour de justice du canton mandatera celui du mari, qui dira à l’épouse que c’est son époux, qui en est le mandant, ce qui est encore une fois faux et mensonger.
Le ministre de tutelle de la justice genevoise Pierre Maudet PLR, n’a rien trouvé d’anormal, à ce que les juges de son canton organisent un divorce par abus de faiblesse, sur un fonctionnaire de 75 ans, qu’ils avaient doté d’une incapacité à tenir son poste de travail à ses 63 ans et qui vivait hors de sa famille dès cet âge, sur injonction médicale. Rien d’anormal pour ce magistrat, que les juges incriminés en première instance & cie, se retrouvent actifs dans le même dossier à la Cour supérieure de la magistrature et même à sa Présidence… Quel rôle a joué Pierre Maudet dans les effets collatéraux illégaux, infligés à l’épouse, suite à sa demande d’obtenir un procès équitable: écoutes téléphoniques avec contact avec certains de ses interlocuteurs, (ils le lui ont dit) perquisition de son appartement, et rupture de son bail commercial, mis en gérance, dans l’option de reprendre sa profession ? Nous notons qu’aucune instance n’a démenti ces faits. Nous demandons que Pierre Maudet ne nous représente plus en politique et que la section genevoise PLR, soit dissoute par le PLR suisse, qu’elle soit réaménagée avec les valeurs du parti central, que nous pourrons alors soutenir aux prochaines élections. La section du PLR genevoise, qui fait élire l’un des siens sans connaître ses travers, est une offense faite aux électeurs qui auraient acceptés que cette élection soit invalidée, dès que connu le problème Maudet qui est considérable, éthiquement, moralement et déontologiquement.
Nous comprenons bien qu’en politique comme ailleurs, des liens d’amitiés se tissent, mais pas au point d’ébranler la cohésion du parti et de la confiance du peuple.
Nous redoutons, que la section PLR, dans ce canton qui se veut être la capitale du suicide assisté, incrémente à cette loi, la modalité de l’intime conviction des juges PLR, à décider, qui et quand, certains citoyens doivent disparaître de la liste des retraités touchant le 2ème pilier, par sédation accentuée, il y a là un potentiel d’économie, qui sans séparation des pouvoirs, constaté dans le dossier n0 29, (voir pièce 1) le dérapage s’annonce…
Nous souhaitons que la vice-présidence, Christian Luscher soit transitoire au parti national suisse. Cet avocat PLR genevois, faisait partie de la Commission des Affaires juridiques du Conseil national quand nous l’avons saisie, sur le dysfonctionnement judiciaire de son canton, nous attendons sa réponse, comme d’ailleurs celle de la Commission des Affaires juridiques, du Conseil des Etats, présidée elle-aussi par un PLR, au moment des faits.
Notre Commission citoyenne, a informé la Cour des comptes cantonale de Genève, c’est récent et a demandé un audit sur cette affaire désastreuse pour les Droits fondamentaux, les libertés individuelles, l’article 6 de la Convention des Droits de l’homme et des libertés et pour l’image du PLR suisse. Monsieur Claude Rouiller Expert en dysfonctionnements institutionnels, connu pour son indépendance, ne se cachera pas derrière une séparation des pouvoirs inexistante, et répondra à la seule voie plausible, qui est l’invalidation d’un divorce (et attribuera les prestations qui vont avec) diligenté par abus de faiblesse sur le mari, par des juges qui connaissaient que trop bien son discernement aboli, ayants été des collègues de travail, toute hiérarchie professionnelle respectée, ceux qui l’ont considérés incapable de tenir son poste de travail à 63 ans et ceux qui l’ont trouvés apte à 75 ans, aidé par les juges, à se déterminer sur le divorce du couple, alors que lui ne connaissait plus son état civil…
Nous avons demandé à cet Expert d’éclaircir la situation genevoise: Y-t’il une caisse noire des juges et des avocats, qui expliquerait leur consensus à l’alimenter par des 2èmes piliers pillés, la fin justifiant les moyens ?
Après les enfants arrachés à leurs familles, placés auprès d’autres, pas mieux structurées pour les accueillir, nous ne voulons pas du scandale des divorces contraints par l’Etat, c’est maintenant que le problème doit se régler…
Quand aux Cours de justice, de l’UE, nous avons compris qu’elles adaptent les droits de l’homme aux circonstances, nous ne sommes pas fans; ce n’est pas ce modèle de l’UE que nous plébiscitons.
Nous vous remercions, Madame la Présidente du PLR suisse, pour votre attention et nous espérons qu’enfin ce dossier se règle sur la base du Droit et des lois, ce qui permettra à notre collectif d’abandonner la piste de réflexion sur l’émergence d’un parti politique seyant aux Droits fondamentaux en Suisse, c’est-à-dire, un parti digne d’un Etat de droit.
Nous vous prions d’accepter, Madame, nos meilleures et respectueuses salutations.
Pour la Commission du dossier no 29. C-l. Chautemps, K. Roten, S. Dizery.

3 annexes

3 pièces jointes
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