Plateforme diocésaine œcuménique «  Dignité et développement » 
Ouverte à toutes les bonnes volontés !
Lausanne, Suisse
Fondée hier, le 21 avril 2016
Les causes de la pauvreté, leurs conséquences, comment réagir ?

Exemple d’oeuvre commune:

L’initiative «Monnaie pleine» lancée en Suisse le 3 juin 2014 a récolté les 100’000 signatures valides nécessaires pour être soumise au vote populaire prochainement. Cet aboutissement est assez surprenant, si l’on considère que cette initiative n’est soutenue en Suisse par aucun parti politique et qu’elle est farouchement combattue par les banques, leurs dirigeants ayant compris que l’initiative mettrait un terme à leurs privilèges exorbitants en ce qui concerne l’émission monétaire par les crédits que les banques peuvent octroyer à n’importe quel agent sans avoir suffisamment d’épargnes préalables.
L’intérêt d’une telle initiative populaire est double. D’une part, elle peut grandement contribuer à faire émerger la véritable nature (numérique) de la monnaie, qui en l’état échappe à la presque totalité des individus, y compris les politiciens, les banquiers centraux et les économistes les plus influents au monde. D’autre part, elle a le potentiel de contribuer à définir les contenus d’une réforme structurelle du système monétaire et financier qui est urgente et nécessaire afin d’éviter de nouvelles crises systémiques.
Si le débat induit par l’aboutissement de l’initiative «Monnaie pleine» a lieu de manière objective – c’est-à-dire qu’il se concentre sur l’objet de cette initiative pour en décortiquer la nature essentielle au lieu de viser à défendre des intérêts particuliers (souvent indéfendables désormais) –, alors on peut espérer que chaque partie prenante en sortira enrichie au plan intellectuel car elle aura avancé vers la compréhension de cet objet insaisissable qu’on appelle «monnaie».
Au vu des attaques virulentes contre l’initiative «Monnaie pleine» qui ont eu lieu durant les 18 mois de la récolte des signatures pour cette initiative, et qui ont montré de manière désopilante l’ignorance de la nature de la monnaie et de son émission par les banques, il est fort à craindre que le niveau culturel du débat menant au vote populaire sera de même teneur. Cela confirmera alors qu’«un peuple ignorant est un peuple facile à tromper», bafouant l’intérêt général au profit d’intérêts particuliers que même un tel peuple ne devrait pas avoir de difficultés majeures à identifier précisément.”

Sergio Rossi, Prof. À l’Université de Fribourg.
Le système économique actuel, grâce aux nombreuses découvertes et inventions qui le favorisent, notamment des robots efficaces, produit une abondance insoupçonnée de biens en même temps qu’il réduit la main-d’œuvre et engendre un chômage permanent. Une partie de plus en plus importante de la population se trouve ainsi privée de tout pouvoir d’achat des biens créés pour elle. Pour que tous puissent avoir une part de l’héritage culturel légué par leurs prédécesseurs, nous proposons un projet de loi d’application de monnaie-pleine :
I. Nous devons donc reprendre le contrôle de l’émission et du volume de la monnaie et du crédit de plusieurs centaines de milliards en respectant le vrai principe de subsidiarité, soit d’abord pour les personnes, les familles, les communes, les cantons et en dernier ressort le fédéral. Il l’exercera par des commissions indépendantes jouissant de toute l’autorité voulue pour atteindre ses buts, notamment le bien commun à tous les niveaux précités.

II. Les ressources matérielles et surtout intellectuelles du pays magnifiées par la production constituent la base de la monnaie et du crédit. Chaque échelon fournit régulièrement les statistiques idoines.

III. En tout temps l’émission de la monnaie et du crédit se mesure sur le mouvement de la production de façon qu’un sain équilibre se maintienne constamment entre celle-ci et la consommation. Pour favoriser les échanges, notamment  les entrepreneurs dynamiques (sans obsolescences programmées) et grâce à la création monétaire disponible, on peut couvrir la différence entre leurs coûts et le pouvoir d’achat des consommateurs par des versements directs (QE) qui varieront avec les progrès techniques toujours améliorés.

IV. La monnaie existe pour le bien commun, dans une coopérative et chaque habitant de la Suisse dispose d’un compte en francs suisses dès la conception alimenté notamment en fonction de la hausse du franc suisse, de placements souverains, de la productivité des machines, robots, infrastructures, barrages etc…Et des progrès techniques à venir


F. de Siebenthal, 

Plateforme diocésaine œcuménique «  Dignité et développement » 
Lausanne, Suisse
021 616 88 88

Le sujet est primordial pour le salut des âmes car comme le dit le Pape Benoît XV, «c’est sur le terrain économique que le salut des âmes est en danger».

Jean-Paul II a mentionné à plusieurs reprises la nécessité de changer les systèmes économique et financier: «Une réforme structurelle du système financier mondial est sans nul doute une des initiatives les plus urgentes et nécessaires.» (Message aux Nations unies, 26 septembre 1985).

Je dois vous apporter les précisions suivantes:

Démonstration basée notamment sur les publications de la Banque nationale suisse ( BNS ou SNB ).

Ces dettes venues du néant écrasent les comptes publics de sommes devenues impayables par le jeu exponentiel des intérêts composés, qui obligent les plus pauvres et les familles nombreuses à enrichir les plus riches et les banquiers par notamment les impôts à la consommation ( TVA etc…).

 il y a 2 types des ratio…. les réserves obligatoires (donc liées aux dépôts)… mais quand on voit 0% … c’est comme si c’était pas obligatoire.

Puis, les réserves prudentielles, liées aux fonds propres de la banque.

… et un autre facteur qui limite la création monétaire, c’est ce que les banques appellent des fuites.
C’est ce qui sort du bancomat en monnaie ayant cours légal….
C’est une des raisons à vouloir supprimer le cash.


Les “recommandations” du comité de Bâle III ne sont que des recommandations… et les banques ont jusqu’en 2019 pour les appliquer ! en plus avec des exceptions… 


Quelques pays avec 0 % de réserves, not. anglo-saxons, dont le Canada, Australie, UK,  Nouvelle Zélande, USA et même Suède, où la BNS a beaucoup de repo. Pas dans la liste notamment Singapour. et Mexique selon certaines sources..

Mit freundlichen Grüssen
Avec mes meilleurs salutations
Distinti saluti
Kind regards, yours sincerely
Saludos cordiales
בברכה, בכבוד רב
С уважение
ขอแสดงความนับถือ
你的真诚的
المخلص

Nouvelle adresse: 23, Av. Edouard Dapples, CH 1006 LAUSANNE. SUISSE

Tél: international ++ 41 21 616 88 88

Mobilisation générale: épargnes, retraites…  volées légalement ! Comme à Chypre et en Grèce… Arnaque de la création monétaire  du néant, ex nihilo… Grâce à monnaie-pleine, on peut rédiger ensemble un projet de loi d’application ou un contre-projet et reprendre ainsi toutes les meilleures solutions, BNS, RBI, monnaie, crédits, etc…

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/projet-de-loi-dapplication-de-monnaie.html

http://desiebenthal.blogspot.ch/2015/12/swiss-positive-money-social-credit.html



D’où vient l’argent … et où va-t-il ?


Quand tu vas chez un ami, qu’il te vends un truc, et que tu n’as rien à échanger pour l’instant, tu peux lui faire un petit papier signé sur lequel tu écrit lui devoir une certaine valeur. 
Ce papier est l’équivalent de l’argent.
Chacun peut émettre librement ce genre de documents.
Quand tu lui apportes le truc convenu en échange, le papier est évidemment détruit.

Le tout petit hic, c’est qu’avec les banques, on ne te demande pas seulement le truc convenu en échange, on te demande un “intérêt” en plus. Oh, pas grand chose, à peine quelques pour-cents …
Donc, avec les banques, tu signes un nouveau papier … et tu dois fournir un nouveau truc pour pouvoir annuler cette nouvelle dette.
Tant et si bien que, au final, pour acheter une maison à 500’000.– tu payes en réalité plus d’un million de francs.
Ces intérêts vont directement dans la caisse des banques … qui réussissent malgré cela à friser la faillite et à te demander de serrer la ceinture pour les renflouer !

On trouve ces intérêts partout … dans nos loyers, dans les infrastructures publiques (une bonne partie de nos impôts) et les infrastructures industrielles (inclus dans tous nos achats), mais aussi dans tous les coût, services et produits car ils comportent des salaires (dont une bonne partie finit en intérêts via les loyers, les impôts et les achats) …

Il y a vraisemblablement plus de 60% de nos salaires qui finissent ainsi dans les caisses de banquiers privés déguisé de cette manière … ils possèdent bientôt le monde entier (qui est encore propriétaire de sa maison, de son appartement, de son usine ?).

Cela signifie que les 2/3 de notre travail ne sert qu’à approvisionner cette poignée de psychopathes.
Et pour que le système fonctionne, il faut une croissance au moins équivalente au taux d’intérêt. Pour réussir cela, il faut produire toujours plus de produits qui finissent de plus en plus vite à la poubelle, ce qui pollue, consomme de l’énergie (accidents nucléaires, guerres du pétrole, etc.) et occupe suffisamment le peuple pour qu’il n’ait même plus envie d’y réfléchir !

Quand les humains se rendront compte de cette magistrale arnaque, l’intérêt sera interdit (comme il le fut dans le passé) on ne travaillera que 2 jours par semaine avec exactement le même confort, on polluera trois fois moins, et on dilapidera beaucoup moins les ressources terrestres.

Il y a donc une croissance qu’il convient de maintenir et même d’intensifier : la croissance de la conscience de tout le monde !

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En plus de ne pas exister, l’argent que les banques prêtent est toujours lié à un objet (par exemple une maison) et en cas de non payement de l’intérêt elles ont la possibilité de saisir le bien. Le risque qu’elles prennent est donc quasi nul.
Les risques qui les font faire des déficits (que le peuple comble via les gouvernements) correspond à des paris sur l’évolution artificielle des valeurs en bourse … et là nous n’y pouvons rien.

Ça parait illogique ?
Et le fait que l’Europe veuille “aider” Chypre qui est endettée jusqu’au coup en lui prêtant encore plus d’argent … ça vous paraît logique ? Les faire payer pour les enfoncer un peu plus ? Et ils appellent ça une aide financière ?

Cela ne mérite-t-il pas de s’y intéresser juste un peu pour mieux comprendre ?
Non ? il suffit de faire confiance aux médias officiels qui appartiennent tous aux mêmes banquiers ?

L’argent, la monnaie, c’est déjà une dette sur laquelle est imputé un intérêt. Vouloir ne pas créditer ce système, c’est renoncer totalement à la monnaie … bien sur, c’est envisageable … mais cela ne me semble pas être le moyen le plus attractif …

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Existe-t-il des solutions comme créer sa propre monnaie localement sur un fond rée l? développer l’échange bien savoir? boycotter les banques mondiales pour des banques locales alternative (d’où vient l’argent quand il y a transfert de banque à banque ) ?

La monnaie locale n’est qu’un tout petit pas, et encore : à condition qu’elle ne soit pas indexée sur les monnaies officielles … ou revenir au troc au maximum, à la confiance …
Mais aussi ne pas accumuler d’argent (au débit ou au crédit de votre compte, l’argent est une dette et des intérêts courent dessus pour lesquels il faut créer de l’argent supplémentaire et produire des trucs dont on n’a pas besoins …)

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Peut-on éviter de soutenir ce système ?

Impossible sans se marginaliser totalement et de transgresser certaines lois …
Ne serait-ce que par le truchement de l’habitat :
Soit je suis locataire, ce qui implique de payer un loyer qui est majoritairement destiné à payer les intérêts sur les emprunts hypothécaires de celui que l’on appelle “propriétaire” ( Le véritable propriétaire étant bien sur la banque).
Soit je suis “le propriétaire” ce qui implique de payer les intérêts sur ses propres emprunts hypothécaires
Soit en véritable propriétaire (j’ai tout payé cache), ce qui implique de payer des impôts qui servent en très grande partie à payer les intérêts des dettes des états (et indirectement toutes sortes d’intérêts déguisés).

Ou alors vivre sans toit, ce qui est rendu aussi difficile que possible par les états et par les gens conventionnels …
(p. ex. en France, la loi loppsi 2 interdit de vivre dans des camions, yourtes, tipis, roulottes ou cabanes )

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N’y a-t-il donc pas de solution ?

Emprunter sans avoir l’intention de rembourser est puni par la loi.
Aujourd’hui, la plus part des états empruntent pour pouvoir payer les intérêts sur leurs dettes précédentes sans rien pouvoir rembourser … Ils sont donc hors la loi.
Le peuple souverain laisse faire simplement parce qu’il n’a pas conscience de l’immensité de l’arnaque.
Quand environ 10 % de la population aura fait cette prise de conscience, les responsables de cette mafia seront jugés et de véritables représentants mettront en place un système de création d’argent dans l’intérêt du peuple et pas pour percevoir eux-même un intérêt.

Alors renseignez-vous, parlez-en autour de vous, participez à cette prise de conscience !


source. conscience et bonheur, Facebook. 
https://www.facebook.com/ConscienceEtBonheur/photos/a.411270042294290.99904.402028823218412/447414912013136/?type=3&theater


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C:DataSteg1.clPlateformeDigniteEtDeveloppementPDD – Statuts Projet du 26032016.doc
STATUTS
de
l’Association
PLATEFORME DIGNITE ET DEVELOPPEMENT
Article 1er – Dénomination
Sous la dénomination « PLATEFORME DIGNITE ET DEVELOPPEMENT », il existe une
association sans but lucratif, au sens des articles 60 et suivants du Code civil Suisse.
Article 2 – But
DIGNITE ET DEVELOPPEMENT est une plateforme chrétienne d’analyse, de
prospective, de formation et de discernement des enjeux sociétaux à la lumière de
l’enseignement social chrétien. Initiée par l’évêque de LGF, elle est ouverte à toute
collaboration oecuménique.
La dignité humaine est comprise par la plateforme dans sa dimension tant
personnelle que collective. Le travail de la plateforme sera donc centré sur les
libertés et les responsabilités fondamentales des personnes agissant au sein des
diverses communautés, groupes sociaux, associations, entreprises et organisations
politiques.
Dignité humaine et développement intégral vont de pair. Car la vie spirituelle et la
vie corporelle, la réalité économique et l’environnement naturel, la culture et les
liens sociaux dépendent les uns et des autres. Indissociables, la plateforme a pour
but de les appréhender conjointement dans les sessions, les publications et les
diverses activités qu’elle proposera.
Résolument ouverte à tout groupe ou personne qui partage ces préoccupations à
travers une grande diversité de traditions et de cultures, la PLATEFORME DIGNITE ET
DEVELOPPEMENT entend promouvoir la justice sociale et le bien commun.
Article 3 – Moyens
A cet effet, elle pourra exercer toutes activités et prendre toutes initiatives se
rapportant directement ou indirectement à son but principal, notamment :
a) Rassembler les personnes et groupes qui travaillent sur des thèmes proches
b) Débattre des idées et réflexions menées dans la diversité des approches
c) Formuler des propositions

d) Lancer des idées


Statuts de l’Association PLATEFORME DIGNITE ET DEVELOPPEMENT
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C:DataSteg1.clPlateformeDigniteEtDeveloppementPDD – Statuts Projet du 26032016.doc
e) Alerter face aux périls
f) Faciliter le débat et le dialogue en organisant des événements réguliers
g) Soutenir et structurer la formulation des propositions
h) Diffuser les travaux et les conclusions
i) Inciter des collaborations
Article 4 – Siège
Le siège de l’association est à Lausanne.
Il pourra être modifié par décision du bureau exécutif.
Article 5 – Durée
La durée de l’association est indéterminée. Elle ne pourra être dissoute que par une
décision de l’assemblée générale.
Article 6 – Ressources
Les ressources de l’association sont :
a) les cotisations ou contributions volontaires de ses membres
b) les dons et legs
c) les subventions
d) les revenus de ses avoirs ou activités
e) toutes autres recettes ou attributions
Article 7 – Membres
L’association est constituée de membres individuels et de membres collectifs.
Les membres sont désignés par l’assemblée générale constitutive et, ultérieurement,
par l’assemblée générale sur proposition du bureau exécutif.
Les membres n’ont aucun droit sur l’actif social et ils n’encourent aucune
responsabilité personnelle en raison des engagements de l’association.
Article 8 – Organes de l’association
Les organes de l’association sont :
– l’assemblée générale ;
– le bureau exécutif ;

– le contrôleur aux comptes.
Statuts de l’Association PLATEFORME DIGNITE ET DEVELOPPEMENT
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Article 9 – Assemblée générale
L’assemblée générale est le pouvoir suprême de l’association. Elle est présidée par le
président du bureau exécutif ou, à défaut, par le vice-président ou un autre membre
du bureau exécutif.
Elle est convoquée par le bureau exécutif au moins une fois par an au plus tard le
30 juin de chaque année et, en outre, lorsque le cinquième des membres en fait la
demande. Une convocation écrite est envoyée au plus tard deux semaines avant la
date de l’assemblée.
Les attributions de l’assemblée générale sont les suivantes :
– elle élit les nouveaux membres de l’association et prononce leur exclusion sans être
tenue d’en indiquer les motifs ;
– elle élit les membres du bureau exécutif, à l’exception de son membre de droit ;
– elle élit le président parmi les membres du bureau exécutif ;
– elle élit le contrôleur aux comptes ;
– elle prend connaissance des rapports et des comptes que lui présente le bureau
exécutif, statue à leur sujet et donne décharge au bureau exécutif de sa gestion ;
– elle délibère et statue sur les cotisations des membres individuels et des membres
collectifs ;
– elle délibère et statue sur toutes propositions de ses membres ;
– elle est compétente pour modifier les statuts ;
– elle a qualité pour dissoudre l’association et procéder à sa liquidation.
Les décisions de l’assemblée générale sont prises à la majorité des voix des membres
présents, chaque membre disposant d’une seule voix. Toutefois, les décisions
relatives à la modification des statuts et à la dissolution de l’association doivent être
prises par les deux tiers au moins des membres.
Si cette majorité qualifiée n’est pas atteinte, l’assemblée générale est convoquée à
nouveau dans un délai de quinze à soixante jours, avec le même ordre du jour.
Dans ce cas, l’assemblée statue à la majorité des voix des membres présents.
En cas d’égalité des voix, celle du président est prépondérante.

Il est tenu un procès-verbal de l’assemblée générale.
Statuts de l’Association PLATEFORME DIGNITE ET DEVELOPPEMENT
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Article 10 – Bureau exécutif
Le bureau exécutif se compose de trois à sept membres, élus ad personam parmi les
membres individuels de l’association ou les représentants des membres collectifs, à
l’exception de l’évêque de LGF ou de son représentant qui en fait partie de droit.
Le bureau exécutif répartit les charges de ses membres, notamment les fonctions de
vice-président, de secrétaire et, cas échéant, de trésorier.
Le bureau exécutif est élu pour une durée de quatre ans. Ses membres sont
rééligibles deux fois.
Le bureau exécutif se réunit aussi souvent qu’il est nécessaire, sur convocation du
président. Il est autorisé à associer d’autres membres de l’association à ses séances
et à ses travaux ; ceux-ci ne disposent dès lors que d’une voix consultative.
Les délibérations du bureau exécutif sont consignées dans un procès-verbal.
Le bureau exécutif exerce les pouvoirs qui ne sont pas expressément réservés à
l’assemblée générale.
Parmi ses attributions figure celle d’engager l’animateur et les autres membres du
personnel.
Article 11 – Signature sociale
L’association est valablement engagée par la signature collective du président, ou
du vice-président, et d’un autre membre du bureau exécutif. Exceptionnellement, le
bureau exécutif peut déléguer la signature sociale à certains de ses membres ou à
un tiers.
Article 12 – Contrôleur aux comptes
Le contrôleur aux comptes est choisi en principe parmi les membres de
l’association ; il peut aussi être nommé en dehors de l’association ; il peut également
être une fiduciaire.
Son mandat est renouvelé chaque année.
Article 13 – Exercice comptable
Les comptes de l’association sont arrêtés tous les trente et un décembre de chaque

année ; ils sont soumis à l’approbation de l’assemblée générale.


Statuts de l’Association PLATEFORME DIGNITE ET DEVELOPPEMENT
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C:DataSteg1.clPlateformeDigniteEtDeveloppementPDD – Statuts Projet du 26032016.doc
Article 14 – Dissolution
En cas de dissolution, l’assemblée générale décide de la dévolution de l’actif social.
L’actif disponible sera alors entièrement attribué à une institution poursuivant un but
d’intérêt public analogue à celui de l’association et bénéficiant de l’exonération de
l’impôt. En aucun cas, les biens ne pourront retourner aux fondateurs ou aux
membres, ni être utilisés à leur profit en tout ou partie et de quelque manière que ce
soit.
Article 15 – Clause arbitrale
Tout litige survenant entre l’association et un ou plusieurs de ses membres sera
tranché souverainement et sans appel par trois arbitres. Chacune des parties
désignera un arbitre, les deux arbitres ainsi nommés élisant à leur tour le troisième
arbitre.
Le tribunal arbitral statuera sans être tenu d’observer les dispositions des lois de
procédure civile.
Statuts adoptés en assemblée constitutive le 21 avril 2016.
Le Président : Le Secrétaire :

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