Maïs OGM stérilisants !
[…] “En janvier 2006, The Independant, journal londonien de bonne réputation, publia dans un article intitulé : « Les enfants à naître pourraient être menacés par les OGM », les résultats obtenus par le Dr Irina Erma-kova de l’Institut supérieur pour les Activités nerveuses et neurophysiologiques de l’Académie des Sciences russe. L’étude montrait qu’une proportion invraisemblable (55,6 %) de ratons, dont la mère avait été nourrie avec du soja OGM, mouraient au cours de leurs trois premières semaines de vie, à comparer aux 9 % pour ceux nourris avec du soja normal et 6,8 % pour ceux qui ne recevaient pas de soja.” […] “En septembre 2001, Epicyte, petite firme biotech de San Diego, tint une conférence de presse au cours de laquelle elle annonça avoir créé le dernier cri en termes de culture OGM : le maïs contraceptif. À cette fin, des anticorps avaient été prélevés sur des femmes souffrant d’infertilité immunitaire. Les gènes, qui régulent la production de ces anticorps, avaient été isolés et, en utilisant des techniques de génie génétique, insérés dans du maïs ordinaire. « Nous avons un silo plein de maïs producteur d’anti-corps anti-spermatique », se vanta Mitch Hein, président d’Epicyte. Cette annonce spectaculaire passa inaperçue des grands médias…” […]

“Il suffit de peu pour imaginer l’impact du développement de maïs spermicide, dans une région, où cette céréale est la base alimentaire de la plupart de ses habitants.

Souvenons nous que le créateur de la compagnie Kellogg’s Corn Flakes (ndlr : corn = maïs) avait été, presqu’un siècle plus tôt, l’un des fondateurs de la Société eugéniste américaine avec John D. Rockefeller.” […] “Les gens de la Fondation Rockefeller étaient sérieux quand ils affirmaient vouloir résoudre le problème de la faim dans le monde, par le

moyen de la diffusion de semences et de cultures OGM. Leur méthode visait simplement à agir sur l’offre plutôt que sur la demande. Ils envisageaient de limiter l’offre d’êtres humains en agissant sur la reproduction elle-même. Pour ceux qui resteraient sceptiques sur ces intentions, il suffit de consulter les travaux initiaux de l’OMS au Mexique, au Nicaragua, aux Philippines et dans d’autres pays pauvres. C’est là, que la Fondation Rockefeller fut prise en flagrant délit. La Fondation avait tranquillement financé un programme de l’OMS pour la « santé de la reproduction », occasion pour elle de mettre au point un nouveau vaccin contre le tétanos. Les gens de la Fondation Rockefeller ne pouvaient prétendre ignorer la véritable nature du financement des recherches qu’ils menaient. Ils travaillaient avec des chercheurs de l’OMS depuis 1972, pour développer un nouveau vaccin à double détente au moment où la Fondation Rockefeller finançait des recherches dans d’autres domaines de la biotechnologie, parmi lesquels les cultures OGM 40. Au début des années quatre-vingt-dix, selon un rapport de l’Institut mondial de la Vaccination, l’OMS supervisa des campagnes de vaccination massives contre le tétanos au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines. Le Comité Pro Vida du Mexique, organisation de laïcs catholiques, commença à suspecter des motifs cachés derrière le programme de l’OMS. Il décida de tester quelques doses vaccinales et y trouva de la gonadotrophine chorionique humaine (hCG), composant bizarre, pour un vaccin conçu pour protéger contre une infection transmise par des clous rouillés ou d’autres contacts avec certaines bactéries du sol. Ce qui était surtout bizarre, c’est que le hCG était une hormone naturelle nécessaire à la poursuite de la grossesse. Pourtant, combinée à des transporteurs de toxines du tétanos, elle stimulait la formation d’anticorps anti-hCG, ce qui rendait une femme incapable de mener sa grossesse à terme et provoquait une forme d’avortement déguisé. Des rapports analogues, concernant des vaccins associés à l’hormone hCG, provenaient également des Philippines et du Nicaragua.

L’OMS s’occupe de ta santé Le Comité Pro Vida confirma plusieurs autres faits curieux concernant le programme de vaccination de l’OMS.

Le vaccin contre le tétanos n’avait été inoculé qu’à des femmes de 15 à 45 ans. Il n’était pas proposé aux hommes ni aux enfants

. De plus, il était administré en trois injections à un mois d’intervalle, pour que la concentration d’hCG fût suffisante, même si une seule injection permettait de vacciner pour dix ans. La présence d’hCG apparaissait, à l’évidence, comme un contaminant du vaccin. Aucune des femmes, à qui il était inoculé, n’était avertie de ses propriétés contraceptives et l’OMS n’en avait aucunement l’intention. Pro Vida continua ses recherches et apprit que la Fondation Rockefeller, en collaboration avec le Conseil à la Population, la Banque mondiale, le programme de développement de l’ONU, la Fondation Ford et d’autres encore, travaillaient depuis vingt ans à un vaccin anticonceptionnel utilisant comme support de l’hormone hCG le vaccin contre le tétanos, aussi bien que d’autres vaccins. Parmi les autres impliqués dans le financement des recherches de l’OMS, figurait le All India Institute of Medical Sciences et plusieurs universités dont celle d’Helsinki et d’Uppsala, en Suède, ainsi que l’Université d’État de l’Ohio. La liste comprenait également le gouvernement américain, qui y participait par le biais de son Institut national pour la Santé infantile et le Développement humain, dépendant du l’Institut national pour la Santé (NIH). Cette agence gouvernementale américaine fournissait l’hormone hCG, pour certaines expériences de vaccination anticonceptionnelle. Dans un article du 11

juin 1988, intitulé « Des essais cliniques de vaccin anticonceptionnel réalisés par l’OMS », le très respecté journal britannique “The Lancet” confirmait les résultats du Comité Pro Vida du Mexique.” […]

“Le vaccin et le maïs anticonceptionnels visaient un but unique : la réduction drastique de la population mondiale

. Certains, spécialement dans les milieux ecclésiastiques, chez les organisations minoritaires américaines et dans d’autres pays, avaient le courage de parler à ce sujet de génocide, autrement dit d’une volonté politique d’élimination systématique de groupes entiers de population. C’était finalement une forme sophistiquée de ce que le Pentagone appelait la guerre biologique, promue au nom de la « résolution du problème de la faim dans le monde  ». Les soutiens sans faille des gouvernements américain et britannique à la diffusion mondiale des semences OGM n’étaient que la mise en oeuvre d’une politique que la Fondation Rockefeller promouvait depuis les années trente, quand elle avait financé la recherche eugéniste nazie, c’est-à-dire la réduction à grande échelle de la population et le contrôle des races au teint foncé par l’élite blanche anglo-saxonne. Selon certaines personnalités issues de ces milieux, la guerre était coûteuse et peu efficace.”
  Si tu ne t’occupes pas de la politique, la politique s’occupe de toi… Agir ? 
1/ Faites circuler un lien vers ce document. 
2/ Consommez bio, local, artisanal, afin de développer des producteurs respectueux de l’environnement et des consommateurs. 
3/ Soutenez José Bové et aussi les semences paysannes Kokopelli, qui sont attaqués par les monopoles industriels. 
4/ Rejoignez notre collectif, pour vous aussi faire votre devoir de citoyen, et aidez-nous à traduire nos textes dans toutes les langues européenne. 
5/ Demandez des comptes à votre député. 

Des produits toxiques et stérilisants dans les vêtements


Kissinger and Rockfeller in Sankt Moritz, Switzerland, in a Bilderberg meeting





Des substances chimiques toxiques susceptibles de porter atteinte aux organes de reproduction des êtres vivants ont été détectées dans des produits de quatorze grands fabricants de vêtements.

Parmi les marques mises en cause par l’ONG de défense de l’environnement figurent Adidas, Uniqlo, Calvin Klein, Li Ning, H&M, Abercrombie & Fitch, Lacoste, Converse et Ralph Lauren.

Greenpeace a acheté dans 18 pays des échantillons de vêtements de ces marques, fabriqués notamment en Chine, au Vietnam, en Malaisie et aux Philippines. Elle a ensuite soumis ces textiles à des analyses.

«Des éthoxylates de nonylphénol (NPE) ont été détectés dans deux- tiers de ces échantillons», a expliqué dans une conférence de presse à Pékin Li Yifang, en présentant le rapport «Dirty Laundry 2» (Linge sale).

Les éthoxylates de nonylphénol sont des produits chimiques fréquemment utilisés comme détergents dans de nombreux processus industriels et dans la production de textiles naturels et synthétiques. Déversés dans les égouts, ils se décomposent en nonylphénol (NP), un sous-produit très toxique.

«Le nonylphénol est un perturbateur hormonal», a souligné Mme Li. Elle a précisé que cette substance pouvait contaminer la chaîne alimentaire et s’accumulait au sein des organismes vivants, menaçant leur fertilité, leur système de reproduction et leur croissance.

Contamination au lavage

«Ce n’est pas seulement un problème pour les pays en développement où sont fabriqués les textiles», a insisté Li Yifang. «Etant donné les quantités résiduelles de NPE relâchées quand les vêtements sont lavés, ils s’insinuent dans des pays où leur usage est interdit».

Selon l’ONG WWF, de telles substances, capables d’imiter les hormones oestrogènes naturelles, sont impliquées dans la «féminisation» constatée chez de nombreux poissons mâles en Europe ainsi que dans les perturbations du développement sexuel de certains mammifères.

Pour marquer la sortie du rapport, des militants de Greenpeace habillés en arbitres de football ont fait irruption mardi dans un magasin Adidas de Hong Kong. Ils y ont distribué des cartons jaunes et ont appelé la marque à éliminer les substances nocives de ses produits.

Le mois dernier, Greenpeace a rendu public «Dirty Laundry», un précédent rapport qui montrait comment les fournisseurs de grands groupes textiles empoisonnaient l’eau de certains fleuves chinois avec leurs rejets chimiques.

A la suite de cette publication, les marques Puma et Nike se sont engagées à éliminer de leurs processus de fabrication toute substance chimique toxique d’ici à 2020. En revanche Adidas s’est borné à un «communiqué vague, sans engagement de sa part», selon Mme Li.

ATS

Huit ans… (sic) pour bannir les produits toxiques

L’équipementier sportif amorce une réforme dans le processus de fabrication suite à une opération de Greenpeace.
storybild

Le vert prendra-t-il le dessus chez Adidas? Une ancienne publicité de la marque le laissait entendre,


Adidas a promis de bannir de ses processus de fabrication d’ici à 2020 les produits chimiques toxiques dénoncés par Greenpeace, a affirmé mercredi l’organisation écologique en Allemagne.

La marque aux trois bandes, qui, selon la même source, s’est engagée à publier des informations sur la mise en oeuvre de cette démarche, prend ainsi le même engagement que ses concurrents Nike et Puma.

La réaction de ces trois entreprises est «une bonne nouvelle pour les gens en Chine ou dans d’autres pays asiatiques, où les fleuves sont vraiment des artères vitales», s’est réjoui Manfred Santen, expert en chimie de Greenpeace.

Selon lui, l’industrie textile en Chine et dans les pays voisins doit opérer un changement de système: «elle ne doit plus produire dans les pays à bas salaires au prix de la santé des hommes et d’atteintes à l’environnement».

La semaine passée, Greenpeace avait publié un rapport dénonçant la présence de substances chimiques toxiques susceptibles de porter atteinte aux organes de reproduction des êtres vivants dans des produits de quatorze grands fabricants de vêtements.

Parmi les marques mises en cause par l’ONG de défense de l’environnement figurent par exemple Adidas, Uniqlo, Calvin Klein, Li Ning, H&M, Abercrombie & Fitch, Lacoste, Converse et Ralph Lauren.

Pour marquer la sortie du rapport, des militants de Greenpeace habillés en arbitres de football avaient fait irruption dans un magasin Adidas de Hong Kong, distribuant des cartons jaunes pour appeler la marque à éliminer les substances nocives de ses produits.

(afp)

Le rapport Dirty Laundry 2 de Greenpeace indique la présence de substances chimiques toxiques dangereuses pour la reproduction dans les produits de 14 grandes chaînes de magasins.

Adidas, Uniqlo, H&M, Calvin Klein, Lacoste, Converse, Ralph Lauren… Le rapport Dirty Laundry 2 de Greenpeace épingle une liste des 14 grands fabricants de vêtements. Les échantillons achetés par l’ONG de défense de l’environnement dans les boutiques de 18 pays présentent des traces de substances chimiques toxiques pouvant porter atteinte aux organes de reproduction des êtres vivants. “Des éthoxylates de nonylphénol (NPE) ont été détectés dans 2/3 de ces échantillons”, a déclaré la militante Li Yifang lors d’une conférence de presse à Pékin. Ces produits chimiques sont fréquemment utilisés comme détergents dans de nombreux processus industriels, ainsi que dans la production de textiles naturels ou synthétiques.


Déversés dans les égouts, les NPE se décomposent en nonylphénol (NP), un sous-produit très toxique. “Le nonylphénol est un perturbateur hormonal”, a tenté d’alarmer Li Yifang avant d’insister: “Ce n’est pas seulement un problème pour les pays en développement où sont fabriqués les textiles” (ndlr: Chine, Vietnam, Malaisie et Philippines). “Etant donné que des quantités résiduelles de NPE sont relâchées quand les vêtements sont lavés, ils s’insinuent dans des pays où leur usage est interdit”. Le NP s’accumule ensuite dans les organismes vivants au point de perturber leur fertilité, leur système de reproduction et leur croissance.


Boycottons ces cupides sans scupules qui rendent malades et stérilisent des millions de personnes…

Kissinger and Rockfeller in Sankt Moritz, Switzerland, in a Bilderberg meeting to destroy all nations, by all means… even a massive depopulation with poisons in cloths, shoes, foods, water, vaccines etc…

Overpopulation is a big lie.

http://desiebenthal.blogspot.com/2008/10/manipulations-steve-moshe-and-julian.html

In the foreword to his biography If I Were An Animal, Prince Philip wrote, “In the event that I am reincarnated, I would like to return as a deadly virus, in order to contribute something to solve overpopulation.”


“Peu importe le prix de la Révolution Chinoise, elle a réussi de façon évidente; non seulement en produisant une administration plus dévouée et efficace, mais aussi en stimulant un moral élevé et une communauté d’ambitions. L’expérience sociale menée en Chine sous la direction du Président Mao est l’une des plus importante et des plus réussie de l’histoire humaine.”

David Rockefeller, commentant sur Mao Tse-tung, cité dans le New York Times du 8 octobre 1973

Le prix est en millions de morts, une pollution énorme, la politique de l’enfant unique, le massacre de millions de filles, des produits toxiques mortels, des millions d’habits empoisonnés et stérilisants…


H1N1….

Traduction »