La convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP) fournit un cadre, fondé sur le principe de précaution, visant à garantir l'élimination, dans des conditions de sécurité, et la diminution de la production et de l'utilisation de ces substances nocives pour la santé humaine et pour l'environnement. La convention porte sur douze POP prioritaires, mais l'objectif est, à terme, de couvrir d'autres substances.
La convention couvre 12 POP prioritaires qui sont produits intentionnellement ou non intentionnellement. La production non intentionnelle de ces substances provient de sources diverses, telles que la combustion résidentielle ou l'emploi des incinérateurs de déchets. Ces 12 POP prioritaires sont l'aldrine, le chlordane, le dichlorodiphényltrichloréthane (DDT), le dieldrine, l'endrine, l'heptachlore, le mirex, le toxaphène, les polychlorobiphényles (PCB), l'hexachlorobenzène, les dioxines et les furanes. Dans un premier temps, la convention vise à interdire la production et l'utilisation de 9 POP et à limiter la production et l'utilisation d'une dixième substance. Quant aux deux derniers POP, il s'agit de limiter leur production involontaire et leurs rejets dans l'environnement.

http://europa.eu/scadplus/leg/fr/lvb/l21279.htm


La Suisse viole la convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP) en produisant des dioxines sans aucune loi restrictive (sic).

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