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Entre 1909 et 1913, à l'époque des réformes de Piotr Stolypine, le premier ministre et conseiller du tsar, assassiné à 48 ans, la Russie voyait naître un journal tous les quatre ou cinq jours en moyenne, phénomène unique, dû à l'émancipation de la paysannerie et au combat mené par le ministre contre l'analphabétisme.

Stolypine était haï par les révolutionnaires car il leur coupait l'herbe sous le pied, et par les nostalgiques du despotisme, parce qu'il rognait leurs privilèges.

Les koulaks, libérés par la banque des paysans, ont résisté pendant des années aux sirènes rouges.

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